Ansac-sur-Vienne (original) (raw)

Ansac-sur-Vienne
Ansac-sur-Vienne L'église d'Ansac vue du pont.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire Mandat Fabrice Audoin 2020-2026
Code postal 16500
Code commune 16016
Démographie
Gentilé Ansacois
Population municipale 820 hab. (2021 en évolution de −2,26 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 38″ nord, 0° 38′ 52″ est
Altitude Min. 130 mMax. 231 m
Superficie 30,79 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Confolens (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ansac-sur-vienne.fr
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Ansac-sur-Vienne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

La commune d'Ansac-sur-Vienne est située dans la partie est du département de la Charente, souvent nommée le Confolentais ou encore la Charente limousine.

Elle est située sur la rive gauche de la Vienne, à 3 km au sud de Confolens et 53 km au nord-est d'Angoulême. La D 951, maillon de la route Centre-Europe Atlantique qui dévie maintenant Confolens, traverse toute la commune et passe au nord-ouest du bourg. L'ancienne route renommée D 952 passe toujours au bourg et dessert Confolens[1].

Ansac est aussi au carrefour de la D 16, route de Montmoreau à Confolens et qui passe par Villebois-Lavalette, Montbron, La Péruse et Manot[1].

Ansac est aussi à 6 km au nord de Manot, à 14 km de Chabanais, à 17 km de Saint-Claud et à 13 km de Roumazières-Loubert où est la gare la plus proche, desservie par des TER entre Angoulême et Limoges[2].

La commune comprend de nombreux hameaux : Vaine et Ris-Martin sur la route de Manot, le Poirier, les Prats, Maison Neuve, le Mas, Monvallier au sud-ouest, le Mansle, la Vergne, chez Ganet à l'ouest, etc. La Parlie et les Procureurs, au nord, sont les hameaux les plus importants. Il y a aussi de nombreuses fermes[1].

Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

Le sous-sol de la commune d'Ansac est principalement de la diorite et gneiss pour une grande partie nord-est, granit pour la partie centrale et sud, et arènes argilo-sableuses pour la moitié occidentale, sur les plateaux. La vallée de la Vienne est occupée par des alluvions (argiles, sables, graviers, galets)[3],[4],[5].

La commune occupe un plateau vallonné d'une altitude moyenne de 200 m, bordé à l'est par la vallée de la Vienne. Le territoire communal culmine à 231 m d'altitude, sur sa limite ouest ; le point le plus bas est 130 m en bord de Vienne, au nord-est en limite de la commune de Confolens. Le bourg est à environ 145 m d'altitude, au bord de la rivière[1].

La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[7]. Elle est drainée par la Vienne, la Tulette, le Mas, le ruisseau de la Faye, le ruisseau de Rouillac et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source dans la commune de Volx et se jette dans la Loire à Saint-Setiers, après avoir traversé 99 communes[9]. Elle longe la commune sur son flanc est, en aval de Manot et en amont de Confolens.

De petits ruisseaux affluents se jettent dans la Vienne. On trouve le ruisseau du Mas au sud, le ruisseau temporaire de Virat, le ruisseau de la Faye au nord du bourg, et celui de la Tulette en limite avec Confolens. Quelques petits étangs et retenues d'eau parsèment la commune[1].

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Vienne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le 19 novembre 2019. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022[11].Le SAGE « Vienne», dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le 1er juin 2006. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[12]. Il est quant à lui une déclinaison du SDAGE du Bassin Loire-Bretagne[7] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 18 mars 2022[13].

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

Au 1er janvier 2024, Ansac-sur-Vienne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Confolens, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,6 %), forêts (24,2 %), terres arables (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (3 %), eaux continentales[Note 2] (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le territoire de la commune d'Ansac-sur-Vienne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2016[21],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ansac-sur-Vienne.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 11,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 495 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 170 sont en aléa moyen ou fort, soit 34 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et Vassivière, des ouvrages de classes A[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Ansac-sur-Vienne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Une forme ancienne est Ensiaco en 1293[28].

L'origine du nom d'Ansac remonterait à un personnage gallo-roman Antiacum auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Antiacum »[29],[30].

Ansac est située dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et se nomme Ançac en occitan limousin[31].

L'ancienne voie romaine d'Angoulême à Bourges par Argenton qui traversait la Vienne à Confolens passait au nord-ouest du bourg par la Vergne et le Maslinard[32].

Une autre voie antique, de Périgueux à Poitiers par Charroux, qui passait par Manot et La Péruse, a été reconnue près du Bois de Lacaud[32].

Ansac était une vicairie de l'ancien diocèse de Poitiers unie à l'abbaye Notre-Dame de Nanteuil[33]. Ansac était aussi le siège de l'importante seigneurie de la Villatte au XVe siècle, au château du même nom autrefois plus important, qui a été rattachée au comté de Confolens au XVIe siècle[34].

La mairie.

Ansac est devenue Ansac-sur-Vienne en 1924.

Liste des maires successifs

Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2001 Marcel Dupont
mars 2001 mars 2008 Jean-Michel Froin
mars 2008 avril 2014 Serge Boudesseul SE Intérimaire de l'industrie
avril 2014 En cours Fabrice Audoin PCF

Depuis 2010, l'aire urbaine de Confolens regroupe les communes d'Ansac-sur-Vienne, Confolens, Esse et Lessac.

Les habitants sont appelés les Ansacois[35].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 820 habitants[Note 4], en évolution de −2,26 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

La proximité de la ville de Confolens peut être une des causes de la relative stabilité de la population durant les deux derniers siècles.

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
900 856 803 904 900 918 916 975 986

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
898 915 954 951 1 093 1 054 1 003 1 019 1 002

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 024 921 782 772 728 738 769 760 740

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
738 752 854 936 852 822 830 830 820

Histogramme de l'évolution démographique

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 414 hommes pour 413 femmes, soit un taux de 50,06 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]

Hommes Classe d’âge Femmes
1,2 90 ou + 2,7
10,0 75-89 ans 12,2
26,1 60-74 ans 22,2
23,2 45-59 ans 24,2
13,4 30-44 ans 12,8
13,9 15-29 ans 12,9
12,3 0-14 ans 12,9

Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[41]

Hommes Classe d’âge Femmes
1 90 ou + 2,7
9,2 75-89 ans 12
20,6 60-74 ans 21,3
20,7 45-59 ans 20,3
16,8 30-44 ans 16
15,6 15-29 ans 13,4
16,1 0-14 ans 14,3

La distillerie d'alcool à betterave et à vin dite Société Auxiliaire Métallurgique construite vers 1940, transformée en distillerie à vin en continu vers 1950 est devenue dans les années 1960 un atelier de tôlerie durant une dizaine d'années[42].

Place et fontaine en face de la mairie.

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ansac et Manot. Ansac accueille une école primaire (élémentaire et maternelle), Ratier-Lacouture, et Manot une école élémentaire[43].

L'église paroissiale Saint-Benoît dont l'origine remonte au XIe siècle a été reconstruite à partir de la fin du XIIe siècle, et réparée en 1578, puis entre 1878 et 1905. Un décor peint a été réalisé en 1886 par Alexandre-Félix Périn[Note 5],[44]. L'église, et le décor peint ont été inscrits monument historique le 28 octobre 1996[45].

La chapelle Notre-Dame.

La chapelle Notre-Dame[46] (ou chapelle Saint-Jean[44],[Note 6]) est située à côté de l'église, dans le centre du bourg et surplombant comme elle la vallée de la Vienne. C'était l'ancienne église paroissiale à la fin du XVe siècle dont il reste la chapelle nord. Elle présente deux gisants sous enfeu, des Pontbriant portant l'inscription « A JESUS MARIA » autour du cou datant de la fin du XVe siècle et classés au titre objet en 1941[47]. Une vierge de Pitié du XVe siècle a été classée au titre objet en 1973[48]. Elle est inscrite monument historique en 1996[46].

Le logis de la Villatte est un manoir datant du XVIe siècle avec escalier en vis situé à l'angle des ailes nord et ouest. Il a été inscrit monument historique par arrêté du 8 mars 1991 ainsi que la chapelle avec son plafond à caissons est située dans l'aile ouest du logis[49].

  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Aussi orthographié Félix Alexandre Perrin.
  6. Sa façade est cependant surmontée d'une statuette de la Vierge.
  1. « Réseau hydrographique d'Ansac-sur-Vienne » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).

  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 14 juillet 2023).

  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 21 septembre 2022).

  4. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail

  5. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper

  6. Visualisateur Infoterre, site du BRGM

  7. Carte du BRGM sous Géoportail

  8. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, 1983 (consulté le 5 novembre 2011).

  9. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le 19 juin 2022).

  10. a et b « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, 9 mars 2022 (consulté le 19 juin 2022).

  11. « Fiche communale d'Ansac-sur-Vienne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le 19 juin 2022).

  12. Sandre, « la Vienne »

  13. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le 19 juin 2022).

  14. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le 19 juin 2022).

  15. « SAGE Vienne », sur gesteau.fr (consulté le 19 juin 2022).

  16. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur eau-grandsudouest.fr (consulté le 19 juin 2022).

  17. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, 28 mai 2024 (consulté le 24 juin 2024).

  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».

  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Confolens », sur insee.fr (consulté le 24 juin 2024).

  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 24 juin 2024).

  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 17 avril 2021).

  22. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Ansac-sur-Vienne », sur Géorisques (consulté le 17 octobre 2022).

  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le 21 septembre 2022).

  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le 21 septembre 2022), partie 1 - chapitre Risque inondation.

  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 21 septembre 2022).

  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ansac-sur-Vienne », sur georisques.gouv.fr (consulté le 21 septembre 2022).

  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le 21 septembre 2022), chapitre Risque transport de matières dangereuses.

  28. Article R214-112 du code de l’environnement

  29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le 21 septembre 2022), chapitre Risque rupture de barrage.

  30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, janvier 2021 (consulté le 21 septembre 2022).

  31. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, 1900, 582 p., p. 178

  32. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928

  33. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1989 (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 16.

  34. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », 2005 (consulté le 8 mars 2014).

  35. a et b Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », 1993, 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 125

  36. Jean George, Les églises de France, Charente, Letouzey et Ané, 1933, 307 p. (présentation en ligne), p. 17

  37. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 58

  38. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », 2013 (consulté le 15 mars 2014).

  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ansac-sur-Vienne (16016) », 30 juin 2021 (consulté le 22 décembre 2021).

  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).

  45. « Ancienne distillerie », notice no IA00066131, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

  46. Site de l'inspection académique de la Charente

  47. a et b Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, 2014, 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 45-46

  48. « Église paroissiale », notice no PA16000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

  49. a et b « Chapelle Notre-Dame », notice no PA16000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

  50. « Enfeu de la chapelle Notre-Dame », notice no PM16000049, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

  51. « Vierge de Pitié de la chapelle Notre-Dame », notice no PM16000050, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

  52. « Logis de la Villatte », notice no PA00104560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture