Aramits (original) (raw)

Aramits
Aramits La mairie.
Blason de AramitsBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité CC du Haut Béarn
Maire Mandat Jean-François Cazaux 2023-2026
Code postal 64570
Code commune 64029
Démographie
Gentilé Aramitsiens
Population municipale 659 hab. (2021 en évolution de −2,23 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 18″ nord, 0° 43′ 34″ ouest
Altitude Min. 212 mMax. 628 m
Superficie 29,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives 4e circonscription des Pyrénées-Atlantiques
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceAramits Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceAramits Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques Voir sur la carte topographique des Pyrénées-AtlantiquesAramits Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine Voir sur la carte administrative de Nouvelle-AquitaineAramits
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Aramits [aʁamits] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Carte

Carte de la commune avec localisation de la mairie.

Aramits est un village situé à 350 mètres d’altitude dans la vallée de Barétous, au piémont des Pyrénées et proche de la station de ski de la Pierre-Saint-Martin, située à une vingtaine de kilomètres.

Il se trouve à 47 km par la route[Note 1] de Pau[1], préfecture du département, et à 14 km d'Oloron-Sainte-Marie[2], sous-préfecture.

Sur le plan historique et culturel, Aramits fait partie de la province du Béarn, un ancien état et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[3].

Les communes limitrophes sont Ance Féas, Arette, Asasp-Arros, Barcus, Esquiule, Issor et Lanne-en-Barétous.

Carte

Les limites communales de Aramits et celles de ses communes adjacentes.

Le Sommet de Souek culmine à 623 mètres[4], le Soum d'Unars à 604 mètres[4] et le Barrat de Sottou à 556 mètres[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseaux hydrographique et routier d'Aramits.

Le Vert au lieu-dit Serreuille.

La commune est drainée par le Joos, le Vert, la Mielle, le Littos, le Bitole, l'Aurone, le ruisseau de Lancy, l’Arrec Bugalaran, l’Arrec de Ibarcis, l’Arrec de Rachet, l’Arrec Dragon, l’Arrec Labaigt, l’Arriou de Soulou, Bouhatéko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 48 km de longueur totale[5],[Carte 1].

Le Joos, d'une longueur totale de 35,6 km, prend sa source dans la commune de Montory et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Préchacq-Josbaig[6].

Le Vert, d'une longueur totale de 34,9 km, prend sa source dans la commune d'Arette et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Moumour, après avoir traversé 6 communes[7].

La Mielle, d'une longueur totale de 14,3 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Elle se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 5 communes[8].

Le Littos, d'une longueur totale de 13,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il se jette dans le Vert à Esquiule, après avoir traversé 4 communes[9].

Le Bitole, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Lanne-en-Barétous et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Vert sur le territoire communal[10].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 422 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 13 km à vol d'oiseau[14], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[19],[Carte 2].

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Cinq ZNIEFF de type 2[Note 3] sont recensées sur la commune[20],[Carte 3] :

Au 1er janvier 2024, Aramits est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,5 %), prairies (29,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), zones urbanisées (0,9 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 394, alors qu'il était de 401 en 2015 et de 359 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 73,4 % étaient des résidences principales, 19,2 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aramits en 2020 en comparaison avec celle des Pyrénées-Atlantiques et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,2 %) supérieure à celle du département (13,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74 % en 2015), contre 61,3 % pour les Pyrénées-Atlantiques et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Aramits en 2020.

Typologie Aramits[I 2] Pyrénées-Atlantiques[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 73,4 78,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 19,2 13,5 9,7
Logements vacants (en %) 7,4 7,9 8,2

La commune est desservie par l'ancienne Route nationale 618a(actuelle RD 919) menant à Oloron-Sainte-Marie.

La ligne 848 du réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques, qui relie La Pierre Saint-Martin à Oloron-Sainte-Marie, s'arrête à Aramits.

Le territoire de la commune d'Aramits est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Mielle, le Vert, le ruisseau le vert de barlanès, le Littos et le Joz erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2008 et 2009[32],[30].

Aramits est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[33]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[34],[35].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aramits.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[36].

Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 90,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le 1er octobre 2020, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[38].

Le toponyme Aramits apparaît sous les formes Aramiçs (1270[29], titres de la vallée d'Ossau), Aramitz en Baratons (1376[29], contrat de Luntz[39]), Iramitz (1383[29], contrat de Luntz[39]), Sent-Vinsens d'Aramitz (1606[29], insinuations du diocèse d'Oloron[40]), Aramys (1630[41], carte le Païs de Béarn) et Aramits sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]).

Pour Brigitte Jobbé-Duval[42], l’origine du toponyme est basque, de aran (« vallée ») et -itz (suffixe locatif et collectif), donnant « lieu des vallées » ou « confluent »[41]. Elle indique également que les habitants étaient autrefois surnommés grenouilles (sobriquet désignant les habitants des marécages).

L'Arrigau est un hydronyme désignant un ruisseau qui prend sa source sur Arette et conflue avec le Vert à Aramits. Il est cité en 1538[29] (lo ariu aperat la Rigau, réformation de Béarn[43]) et en 1863[29] (l’Arrigas, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque) sous des graphies différentes.

Paul Raymond mentionne en 1863[29] un hameau du nom de Basques.

La Bourette est le nom d’un tributaire du Vert, qui arrose Aramits. Il est mentionné en 1863[29], dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Le bois de Bugangue était situé, en 1863[29], sur le territoire d’Asasp. Il apparaît sous la graphie lo boscq de Buyangue en 1477 dans les titres de la vallée d'Aspe[44]. Le ruisseau de Bugangue, nom d’un affluent de la Mielle, arrosait en 1863, Asasp et Gurmençon.

La Grange-d’Osse était une ferme appartenant à l’abbaye de Pontaut[45] (Landes) et un fief de la vicomté de Béarn, dépendant du bailliage d’Oloron. On retrouve le toponyme sous les formes l’Espitau d’Osse (1385[29], censier de Béarn[46]) et la Grange de Osse ab une petite gleysi (1538[29], réformation de Béarn[43]).

Le toponyme Calangué fait référence au ruisseau le Calangue, mentionné par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque (1863[29]), qui prend sa source dans le bois de Budangue et rejoint le Dandarou, un affluent du Vert.

Gouloume apparaît sous la graphie Goulomme en 1863[29] (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque) et désignait à l’époque un bois.

Lanne de Haut est à rapprocher d’un autre lieu-dit d’Aramits, aujourd’hui commune de Lanne-en-Barétous. Ce toponyme est mentionné sous les formes Lane (1385[29], cencier de Béarn[46]), Lana (1444[29], règlements de la Cour Majour de Béarn[47]), Sanctus Martinus de Lanne (1673[29], insinuations du diocèse d'Oloron[40]).

Olivé désigne une ferme de la commune, déjà citée sous la forme Oliber en 1538 (réformation de Béarn[43]).

Serreuille est un hameau d’Aramits, mentionné sous les graphies Seruilhe (1376[29], montre militaire de Béarn[48]), Sarrulhe-Susoo et Sarrulhe-Jusoo (1385[29] pour ces deux formes, censier de Béarn[46]).

Soulou est une ferme que l’on retrouve sous la forme Soulon en 1581[29] dans la réformation de Béarn[43].

Aramits est l'ancien chef-lieu de la vallée de Barétous. Celle-ci disposait d'un for particulier dès 1221. La communauté était administrée par un conseil de jurats représentant l'ensemble de la vallée et qui se réunissait dans la « maison de la vallée ».

Paul Raymond[29] note l'existence de deux abbayes laïques, vassales de la vicomté de Béarn : l'Abadie-Susan et l'Abadie-Jusan. Le château restant — dont il ne subsiste qu'une porte — a vu naitre Henri d'Aramitz, admis dans la Compagnie des mousquetaires du roi.

En 1385, Aramits comptait 52 feux et dépendait du bailliage d'Oloron. Peu avant (1375), le curé d'Aramits joua un rôle de conciliateur dans les conflits opposant les Espagnols et les Français, et qui donna naissance au traité appelé Junte de Roncal.

Le 13 mars 2000, Aramits a été frappé par un tremblement de terre de magnitude 4,2.

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Aramits[49]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Oloron-Sainte-Marie-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription des Pyrénées-Atlantiques.

Aramits était le siège de la petite communauté de communes de la vallée de Barétous, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1990 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le 1er janvier 2017, la communauté de communes du Haut Béarn, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires successifs[50]

Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Jean Cauhapé Notaire Conseiller général d'Aramits (1852 → 1872)
Henri Rey Républicain Notaire Conseiller général d'Aramits (1872 → 1893)
mars 1983 mars 1989 Pierre Louis
mars 1989 2014 Daniel Lourtau
2014 juin 2023[51],[52] Étienne Serna[53] Chef d’équipe chez Lindt & Sprüngli Démissionnaire
octobre 2023[54] En cours (au 15 janvuer 2024[55]) Jean-François Casaux Agriculteur retraité

Au 16 février 2012, Aramits est jumelée avec[56] :

L'école.

La commune possède une école primaire.

Le nom des habitants est Aramitsiens[57],[42].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59].

En 2021, la commune comptait 659 habitants[Note 6], en évolution de −2,23 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 024 938 1 001 1 220 1 264 1 317 1 303 1 306 1 249

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 209 1 150 1 073 1 024 1 040 1 110 1 031 962 986

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
953 953 940 796 766 753 740 697 642

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
622 600 621 602 588 653 666 669 676

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2018 2021 - - - - - - -
666 659 - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

En rugby à XV, l'Entente Aramits-Asasp a évolué en Fédérale 2 et en Fédérale 3 lors de la saison 2017-2018.

L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). Elle fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

L'église.

Blason de Aramits Blason De sinople à deux rapières basses d'argent passées en sautoir et surmontées d'un chapeau de mousquetaire de sable au panache d'argent.
Détails Blason utilisé de fait, présenté sur FR3 le 03/08/2022 dans "la carte aux trésors".

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..

  2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Aramits », sur geoportail.gouv.fr (consulté le 13 août 2021).

  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Aramits », sur geoportail.gouv.fr (consulté le 13 août 2021).

  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 4 octobre 2022).

  6. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».

  7. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Aramits » (consulté le 2 février 2024).

  8. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Aramits - Section LOG T2 » (consulté le 2 février 2024).

  9. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Aramits - Section LOG T7 » (consulté le 2 février 2024).

  10. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans les Pyrénées-Atlantiques » (consulté le 2 février 2024).

  11. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le 2 février 2024).

  12. Stephan Georg, « Distance entre Aramits et Pau », sur fr.distance.to (consulté le 6 août 2021).

  13. Stephan Georg, « Distance entre Aramits et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le 6 août 2021).

  14. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, avril 1999 (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.

  15. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc cd ce cf cg ch ci cj ck cl cm cn co cp cq cr cs ct cu cv cw cx cy cz da et db Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le 30 novembre 2011).

  16. « Fiche communale d'Aramits », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le 9 août 2021).

  17. Sandre, « le Joos ».

  18. Sandre, « le Vert ».

  19. Sandre, « la Mielle ».

  20. Sandre, « le Littos ».

  21. Sandre, « le Bitole ».

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  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 11 novembre 2023).

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  64. « Etienne Serna / Homme de Rugby de la Vallée de Barétous : Alors qu’ils visitaient le Béarn à la recherche de nouveaux talents, c’est en survolant la Vallée de Barétous, à hauteur d’Aramits, que les Dieux du Rugby furent interpellés par le gamin qu’était alors cet homme… », La Mêlée Puissance 15, sur puissance15.fr, 26 mai 2016 (consulté le 2 février 2024) « je faisais déjà partie de l’équipe municipale passée, et notre Maire, qui avait déjà fait 4 mandats, a souhaité prendre sa retraite et m’a demandé si je voulais reprendre le flambeau ».

  65. G.B., « Jean-François Casaux élu maire d’Aramits : Suite aux élections partielles du village, le conseil municipal d’Aramits a désigné son nouveau maire : il s’agit de Jean-François Casaux », La République des Pyrénées,‎ 9 octobre 2023 (lire en ligne Accès limité, consulté le 2 février 2024).

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v · m Communes du Béarn
Blason du Béarn Aast Abère Abidos Abitain Abos Accous Agnos Ance Féas Andoins Andrein Angaïs Angous Anos Anoye Aramits Araujuzon Araux Arbus Aren Aressy Arette Argagnon Argelos Arget Arnos Arricau-Bordes Arrien Arros-de-Nay Arrosès Arthez-d'Asson Arthez-de-Béarn Artigueloutan Artiguelouve Artix Arudy Arzacq-Arraziguet Asasp-Arros Assat Asson Aste-Béon Astis Athos-Aspis Aubertin Aubin Aubous Audaux Auga Auriac Aurions-Idernes Aussevielle Auterrive Autevielle-Saint-Martin-Bideren Aydie Aydius Baigts-de-Béarn Balansun Baleix Baliracq-Maumusson Baliros Barinque Barraute-Camu Barzun Bassillon-Vauzé Bastanès Baudreix Bédeille Bedous Bellocq Bénéjacq Bentayou-Sérée Béost Bérenx Bernadets Bescat Bésingrand Bétracq Beuste Beyrie-en-Béarn Bidos Bielle Bilhères Billère Biron Bizanos Boeil-Bezing Bonnut Borce Bordères Bordes Bosdarros Boueilh-Boueilho-Lasque Bougarber Bouillon Boumourt Bourdettes Bournos Bruges-Capbis-Mifaget Bugnein Burgaronne Buros Burosse-Mendousse Buziet Buzy Cabidos Cadillon Cardesse Carrère Carresse-Cassaber Castagnède Casteide-Cami Casteide-Candau Casteide-Doat Castéra-Loubix Castet Castetbon Castétis Castetnau-Camblong Castetner Castetpugon Castillon (près d'Arthez-de-Béarn) Castillon (près de Lembeye) Caubios-Loos Cescau Cette-Eygun Charre Claracq Coarraze Conchez-de-Béarn Corbère-Abères Coslédaà-Lube-Boast Coublucq Crouseilles Cuqueron Denguin Diusse Doazon Dognen Doumy Eaux-Bonnes Escos Escot Escou Escoubès Escout Escurès Eslourenties-Daban Espéchède Espiute Espoey Esquiule Estialescq Estos Etsaut Eysus Fichous-Riumayou Gabaston Gan Garlède-Mondebat Garlin Garos Gayon Gelos Ger Gerderest Gère-Bélesten Géronce Gestas Géus-d'Arzacq Geüs-d'Oloron Goès Gomer Guinarthe-Parenties Gurmençon Gurs Hagetaubin Haut-de-Bosdarros Herrère Higuères-Souye L'Hôpital-d'Orion Hours Idron Igon Issor Izeste Jasses Jurançon Laà-Mondrans Laàs Labastide-Cézéracq Labastide-Monréjeau Labastide-Villefranche Labatmale Labatut Labeyrie Lacadée Lacommande Lacq Lagor Lagos Lahontan Lahourcade Lalongue Lalonquette Lamayou Lannecaube Lanne-en-Barétous Lanneplaà Laroin Larreule Laruns Lasclaveries Lasserre Lasseube Lasseubetat Lay-Lamidou Ledeuix Lée Lées-Athas Lembeye Lème Léren Article de qualité Lescar Lescun Lespielle Lespourcy Lestelle-Bétharram Limendous Livron Lombia Lonçon Lons Loubieng Lourdios-Ichère Lourenties Louvie-Juzon Louvie-Soubiron Louvigny Luc-Armau Lucarré Lucgarier Lucq-de-Béarn Lurbe-Saint-Christau Lussagnet-Lusson Lys Malaussanne Mascaraàs-Haron Maslacq Maspie-Lalonquère-Juillacq Maucor Maure Mazères-Lezons Mazerolles Meillon Méracq Méritein Mesplède Mialos Miossens-Lanusse Mirepeix Momas Momy Monassut-Audiracq Montcaup Moncla Monein Monpezat Monségur Mont Montagut Montaner Montardon Montaut Mont-Disse Montfort Morlaàs Morlanne Mouhous Moumour Mourenx Nabas Narcastet Narp Navailles-Angos Navarrenx Nay Noguères Nousty Ogenne-Camptort Ogeu-les-Bains Oloron-Sainte-Marie Oraàs Orin Orion Orriule Orthez Os-Marsillon Osse-en-Aspe Ossenx Ouillon Ousse Ozenx-Montestrucq Parbayse Pardies Pardies-Piétat Article de qualité Pau Peyrelongue-Abos Piets-Plasence-Moustrou Poey-de-Lescar Poey-d'Oloron Pomps Ponson-Debat-Pouts Ponson-Dessus Pontacq Pontiacq-Viellepinte Portet Pouliacq Poursiugues-Boucoue Préchacq-Josbaig Préchacq-Navarrenx Précilhon Puyoô Ramous Rébénacq Ribarrouy Riupeyrous Rivehaute Rontignon Saint-Abit Saint-Armou Saint-Boès Saint-Castin Saint-Dos Sainte-Colome Saint-Faust Saint-Girons-en-Béarn Saint-Gladie-Arrive-Munein Saint-Goin Saint-Jammes Saint-Jean-Poudge Saint-Laurent-Bretagne Saint-Médard Saint-Pé-de-Léren Saint-Vincent Salies-de-Béarn Salles-Mongiscard Sallespisse Samsons-Lion Sarpourenx Sarrance Saubole Saucède Sault-de-Navailles Sauvagnon Sauvelade Sauveterre-de-Béarn Séby Sedze-Maubecq Sedzère Séméacq-Blachon Sendets Serres-Castet Serres-Morlaàs Serres-Sainte-Marie Sévignacq Sévignacq-Meyracq Simacourbe Siros Soumoulou Sus Susmiou Tabaille-Usquain Tadousse-Ussau Taron-Sadirac-Viellenave Tarsacq Thèze Urdos Urost Uzan Uzein Uzos Verdets Vialer Viellenave-d'Arthez Viellenave-de-Navarrenx Vielleségure Vignes Viven
Anciennes communes de Béarn Aas Abos Abère-près-Corbères Ance Angos Arance Armau Arraziguet Arricau Arrive Arros-d'Oloron Arzacq Asasp Aspis Athos Audiracq Audéjos Aurions Autevielle Baliracq Barraute Bassillon Bentayou Bezing Bideren Boast Boeil Bordes Boucoue Boueilh Boueilho Bretagne Bruges Burosse Bérérenx Camptort Camu Capbis Carresse Cassaber Castéra Caubios Clarac Corbères Coslédaà Coslédaà-Lube Domengeux Faget Féas Fichous Garlède Germenaud Geteu Gouze Guinarthe Haron Higuères Idernes Idron-Lée-Ousse-Sendets Idron-Ousse-Sendets Juillacq Lahayède Lalonquère Lamidou Lannegrasse Lanusse Lasque Lay Legugnon Lendresse Lezons Lion Loos Loubix Lube Luc Lussagnet Lusson Marcerin Marsillon Mascaraàs Maspie Maspie-Lalonquère Maubecq Maumusson Mazères Meillac Mendousse Mifaget Miossens Monassut Mondebat Montestrucq Moustrou Munein Navailles Nay-Bourdettes Ogenne Oloron Oreyte Os Parenties Peyrelongue Piets Plasence Ponson-Debat Pontiacq Poursiugues Pouts Puyoô-Bellocq-Ramous Riumayou Sadirac Saint-Gladie Saint-Laurent Saint-Martin Sainte-Marie Sainte-Marie-Legugnon Sainte-Suzanne Samsons Soeix Souye Sunarthe Sérée Tabaille Tadousse Taron Usquain Ussau Val-du-Gave-d'Aspe Vauzé Viellenave Viellepinte
Géographie politique des communes des Pyrénées-Atlantiques sous l'Ancien Régime
v · mCommunauté de communes du Haut Béarn
Communes Accous Agnos Ance Féas Aramits Aren Arette Asasp-Arros Aydius Bedous Bidos Borce Buziet Cette-Eygun Escot Escou Escout Esquiule Estialescq Estos Etsaut Eysus Géronce Geüs-d'Oloron Goès Gurmençon Herrère Issor Lanne-en-Barétous Lasseube Lasseubetat Ledeuix Lées-Athas Lescun Lourdios-Ichère Lurbe-Saint-Christau Moumour Ogeu-les-Bains Oloron-Sainte-Marie Orin Osse-en-Aspe Poey-d'Oloron Préchacq-Josbaig Précilhon Saint-Goin Sarrance Saucède Urdos Verdets