Cuzorn (original) (raw)
Cuzorn | |
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Mairie. | |
Administration | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Lot-et-Garonne |
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot |
Intercommunalité | Communauté de communes Fumel Vallée du Lot |
Maire Mandat | Didier Caminade 2020-2026 |
Code postal | 47500 |
Code commune | 47077 |
Démographie | |
Gentilé | Cuzornais |
Population municipale | 849 hab. (2021 ) |
Densité | 36 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 32′ 45″ nord, 0° 56′ 56″ est |
Altitude | 92 mMin. 76 mMax. 242 m |
Superficie | 23,34 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Fumel (banlieue) |
Aire d'attraction | Fumel (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Fumélois |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France Cuzorn Géolocalisation sur la carte : France Cuzorn Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne Cuzorn Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine Cuzorn | |
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Cuzorn est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Commune de l'aire d'attraction de Fumel située aux portes de la Bouriane dans la vallée de la Lémance sur l'ex-route nationale 710 et la ligne de Niversac à Agen (la gare de Cuzorn est fermée) entre Sauveterre-la-Lémance et Fumel.
Les communes limitrophes sont Blanquefort-sur-Briolance, Saint-Front-sur-Lémance, Salles, Gavaudun, Monsempron-Libos et Fumel.
Les limites communales de Cuzorn et celles de ses communes adjacentes.
Le département du Lot n'est qu'à 200 mètres du territoire communal à l'est (commune de Soturac)[1].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lacapelle-Biron à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Au 1er janvier 2024, Cuzorn est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fumel[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fumel, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), terres arables (14,4 %), prairies (8,9 %), zones urbanisées (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Cuzorn est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Lémance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2003, 2008, 2009 et 2021[17],[15].
Cuzorn est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le 20 avril 2016, les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cuzorn.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 93,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le 1er octobre 2020, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2006 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28]. En 2021, la commune comptait 849 habitants[Note 5], en évolution de −0,59 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population [ modifier ]
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 175 | 1 247 | 1 184 | 1 257 | 1 373 | 1 439 | 1 418 | 1 378 | 1 451 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 474 | 1 435 | 1 401 | 1 380 | 1 360 | 1 303 | 1 267 | 1 151 | 1 081 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 048 | 949 | 914 | 889 | 810 | 747 | 740 | 694 | 800 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
823 | 822 | 786 | 837 | 901 | 870 | 834 | 845 | 878 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (4)
2015 | 2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
854 | 852 | 849 | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
- Église paroissiale Saint-Martin[31], chœur roman, ancien prieuré de l'abbaye d'Aurillac comme Saint-Front et Monsempron. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1925[31] ;
- Château de Cuzorn[32]. Le castrum de Cuzorn dépendait de la baylie de Tournon. Il est mentionné pour la première fois en 1271 dans le Saisimentum comitatus tholosani, entre les mains d'une dizaine de co-seigneurs ;
- Demeure de Roudigou, avec domaine: ensemble de bâtiments sur voûtes fermant plusieurs cours avec un corps de logis du début du XVIIIe siècle à trois travées et un pigeonnier carré ;
- Vestiges préhistoriques.
Église Saint-Martin.
Église Saint-Martin - Chevet roman.
Château.- Guillaume Léonard de Bellecombe né en 1728 à Bellecombe de Perville mort en 1792, baron de Cuzorn, gouverneur général des îles Sous-le-Vent, commandant de l'île Bourbon, maréchal de camp des armées du roi.
- Hilarion Ballande né en 1820 à Cuzorn mort en 1887 comédien, auteur et écrivain français, fondateur des « Matinées littéraires du Dimanche » en 1869.
- Henri Austruy (1871-1944), journaliste et écrivain, y est né.
- Jiddu Krishnamurti, séjourne vers 1954 à Roudigou où il écrit une partie de Commentaires sur la vie, sur le conseil d'Aldous Huxley[33].
- Notes
- ↑ Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- ↑ Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Fumel comprend deux villes-centres (Fumel et Montayral) et cinq communes de banlieue.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 16 juillet 2023).
↑ « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 1er octobre 2022).
↑ a et b Carte IGN sous Géoportail
↑ « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, 2018 (consulté le 10 novembre 2023), p. 2.
↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 10 novembre 2023).
↑ Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 10 novembre 2023)
↑ « Orthodromie entre Cuzorn et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le 10 novembre 2023).
↑ « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 10 novembre 2023).
↑ « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 10 novembre 2023).
↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 10 novembre 2023).
↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).
↑ « Unité urbaine 2020 de Fumel », sur le site de l'Insee (consulté le 28 juin 2024).
↑ a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cuzorn ».
↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fumel », sur le site de l'Insee (consulté le 28 juin 2024).
↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).
↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 19 avril 2021).
↑ a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Cuzorn », sur Géorisques (consulté le 18 octobre 2022).
↑ BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le 1er octobre 2022).
↑ « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le 1er octobre 2022), chapitre Risque inondation.
↑ « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le 1er octobre 2022).
↑ « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le 1er octobre 2022), chapitre Feux de forêts.
↑ « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le 1er octobre 2022), chapitre Mouvements de terrain.
↑ « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cuzorn », sur georisques.gouv.fr (consulté le 1er octobre 2022).
↑ « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 1er octobre 2022).
↑ « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le 1er octobre 2022).
↑ Les maires du canton de Fumel, p. 802, dans La vallée de la Lémance et sa région, Revue d'histoire de Lot-et-Garonne et de l'ancien Agenois_, Académie des sciences, lettres et arts d'Agen, juillet-septembre 2006, no 3._
↑ https://www.ladepeche.fr/article/2008/01/23/428598-cuzorn-christian-rabot-dans-le-sillage-de-didier-caminade.html dans la Dépêche du Midi du 23 janvier 2008
↑ http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=122&type=0 sur le site de l'Amicale des Maires de Lot-et-Garonne
↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
↑ a et b Notice no IA47000545, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Église paroissiale Saint-Martin
↑ Notice no IA47000544, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Château de Cuzorn
↑ Jiddu Krishnamurti, The years of fulfilment, 2002, préface, Mary Lutyens. Les Commentaires sur la vie ont été publiés en 1959, puis en français chez Buchet Chastel en 1973, 3 volumes.
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Le bourg s’est développé sous le rocher qui porte les ruines de son château. Cuzorn eut la première forge à la catalane de la région en 1504, inaugurant ainsi la vocation industrielle de la vallée de la Lémance. Un circuit de randonnée est disponible à l’office de tourisme. En savoir + : http://www.tourisme-fumel.com/
- Gare de Cuzorn (fermée)
- Histoire du château de Cuzorn
- Randonnée sur les hauteurs de Cuzorn: Église romane Saint-Martin - Tandou - domaine de Roudigou (office de Tourisme Fumel-Vallée du Lot)
- Cuzorn sur le site de l'Institut géographique national
- Cuzorn tourisme : http://www.tourisme-fumel.com/
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