Dijon Métropole (original) (raw)

Dijon Métropole
Blason de Dijon Métropole
Dijon Métropole Le siège de Dijon Métropole situé à Dijon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Forme Métropole
Siège Dijon
Communes 23
Président François Rebsamen (PS)
Budget 320 573 009 €[1] (2017)
Date de création 1999
Code SIREN 242100410
Démographie
Population 258 630 hab. (2022)
Densité 1 078 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 00″ nord, 5° 02′ 00″ est
Superficie 240,0 km2
Localisation
Localisation de Dijon Métropole Localisation de Dijon Métropole dans le département de la Côte-d'Or.
Liens
Site web metropole-dijon.fr
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne
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Dijon Métropole est une métropole française, située dans le département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne-Franche-Comté.

Dijon Métropole a été créée le 28 avril 2017 par transformation de la communauté urbaine du Grand Dijon.

En 1966 est créé le syndicat intercommunal des services de l’agglomération dijonnaise (Sisad) et qui regroupe les neuf communes d'Ahuy, Chenôve, Dijon, Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Plombières-lès-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire et Talant. Ce syndicat gère les transports urbains, les ordures ménagères et le service de secours et de lutte contre l’incendie, ainsi que l’agence d'urbanisme[2].

Le district de Dijon est créé en 1976, à l’initiative du docteur Jean Royer, par cinq communes (Ahuy, Chenôve, Dijon, Plombières-lès-Dijon et Saint-Apollinaire) afin de gérer notamment les transports urbains, les ordures ménagères et les pompiers.

Le district passe à neuf communes en 1978 (Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Quetigny et Talant rejoignant l’intercommunalité) puis à treize communes en 1984 (Chevigny-Saint-Sauveur, Daix, Neuilly-lès-Dijon, Sennecey-lès-Dijon).

Le district reprend les compétences du SISAD et prend les compétences liées au logement et à la réalisation de zones industrielles, telles que celles de Dijon-Chenôve et de Dijon-Saint-Apollinaire (futur Cap Nord). Ses compétences s'accroissent progressivement avec la gestion des sols en 1982, le crématorium et le cimetière en 1988, les actions de développement économique en 1993 et la « grande voirie »en 1994[3].

Carte des communes de Dijon Métropole (à l'époque, la Communauté d'agglomération du Grand Dijon) depuis le 1er janvier 2013. En 2019, au sud-est, les communes de Neuilly-lès-Dijon et Crimolois ont fusionné pour former Neuilly-Crimolois.

La communauté de l'agglomération dijonnaise (COMADI) est fondée le 24 décembre 1999, sous l'impulsion de Maurice Lombard, alors président du district de Dijon, pour remplacer ce dernier.

Présidée par Maurice Lombard, la naissante communauté d'agglomération dijonnaise regroupe 16 communes : les treize de l’ancien district (Ahuy, Chenôve, Chevigny-Saint-Sauveur, Daix, Dijon, Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Neuilly-lès-Dijon, Plombières-lès-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire, Sennecey-lès-Dijon et Talant) et trois nouvelles communes (Marsannay-la-Côte, Ouges et Perrigny-lès-Dijon).

Comme toutes les communautés d'agglomération, la COMADI est notamment financée par la taxe professionnelle unique qui assure une péréquation fiscale entre les communes pauvres et celles dotées d'un tissu économique important. Cela permet de financer de nouvelles compétences, telles que le développement économique, l'aménagement de l'espace communautaire, l'équilibre social de l'habitat, la politique de la ville, la protection et la mise envaleur de l'environnement et du cadre de vie, la voirie communautaire, l'eau et l'assainissement[4],[5]...

Le 1er janvier 2004, cinq nouvelles communes rejoignent la communauté d'agglomération. Il s'agit des communes de Bressey-sur-Tille, Bretenière, Crimolois, Hauteville-lès-Dijon et Magny-sur-Tille. L'année suivante, la structure change de nom, pour devenir la Communauté d'agglomération du Grand Dijon, et le nom usuel « Grand Dijon » remplace celui de « Comadi ». En 2007, la commune de Fénay rejoint le Grand Dijon. Le 1er janvier 2013, les communes de Corcelles-les-Monts et Flavignerot rejoignent le Grand Dijon, portant à 24 le nombre de communes associées.[réf. nécessaire]

Le 1er janvier 2015, la communauté d'agglomération du Grand Dijon se transforme et prend le statut de communauté urbaine avec l'accord de toutes les communes membres (sauf Talant), exerçant un plus grand nombre de compétences, mais bénéficiant de ce fait de dotations d'état plus importantes[6].

Le 28 avril 2017, avec l'approbation d'au moins la moitié des membres des conseils municipaux des communes concernées, la communauté urbaine du Grand Dijon est transformé en métropole sous le nom de « Dijon Métropole »[7],[8],[9].

Le 28 février 2019, la commune nouvelle de Neuilly-Crimolois se substitue à Neuilly-lès-Dijon et Crimolois, ramenant à 23 le nombre de communes dans l’intercommunalité.

Les grandes agglomérations les plus proches de la métropole sont :

La métropole est composée des 23 communes suivantes :

Liste des communes de l'intercommunalité

Nom Code Insee Gentilé Superficie (km2) Population (dernière pop. légale) Densité (hab./km2)
Dijon(siège) 21231 Dijonnais 40,41 159 941 (2022) 3 958
Ahuy 21003 Aqueduciens 6,4 1 695 (2022) 265
Bressey-sur-Tille 21105 Bresseyliens 7,26 1 110 (2022) 153
Bretenière 21106 Bretenièrais 6,03 935 (2022) 155
Chenôve 21166 Cheneveliers 7,42 14 299 (2022) 1 927
Chevigny-Saint-Sauveur 21171 Chevignois 12,11 10 895 (2022) 900
Corcelles-les-Monts 21192 Corcellois 14,33 654 (2022) 46
Daix 21223 Daixois 11,8 1 520 (2022) 129
Fénay 21263 Fédinois 10,46 1 724 (2022) 165
Flavignerot 21270 Flavignerotins 6,29 231 (2022) 37
Fontaine-lès-Dijon 21278 Fontainois 4,49 9 032 (2022) 2 012
Hauteville-lès-Dijon 21315 Hautevillois 9,01 1 206 (2022) 134
Longvic 21355 Longviciens 10,56 8 787 (2022) 832
Magny-sur-Tille 21370 Magnytillois 10,56 872 (2022) 83
Marsannay-la-Côte 21390 Marcenaciens 12,85 5 440 (2022) 423
Neuilly-Crimolois 21452 Neuilloisien 8,21 3 430 (2022) 418
Ouges 21473 Ougeois 12,1 1 505 (2022) 124
Perrigny-lès-Dijon 21481 Patriniens 6,71 2 321 (2022) 346
Plombières-lès-Dijon 21485 Plombiérois 16,21 2 508 (2022) 155
Quetigny 21515 Quetignois 8,19 8 897 (2022) 1 086
Saint-Apollinaire 21540 Épleumien 10,24 7 517 (2022) 734
Sennecey-lès-Dijon 21605 Senneçois 3,42 2 125 (2022) 621
Talant 21617 Talantais 4,9 11 986 (2022) 2 446

Évolution démographique du territoire métropolitain

1968 1975 1982 1990 1999 2010 2015 2021
192 337 221 542 224 605 237 246 244 027 244 652 251 650 257 193

Les données présentées sont établies à périmètre géographique identique, dans la géographie en vigueur au 1er janvier 2024.
(Sources : Insee[10])

Le siège de Dijon Métropole est situé à Dijon au 40, avenue du Drapeau[11]. La salle du conseil de Dijon Métropole porte le nom d'Alain Millot depuis le 28 janvier 2016[12],[13].

Le conseil métropolitain se compose de 86 conseillers[14], représentant chacune des communes membres et élus pour une durée de six ans.

Ils sont répartis comme suit[14] :

Nombre de conseillers Communes
43 Dijon
5 Chenôve, Talant
4 Chevigny-Saint-Sauveur, Quetigny
3 Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Saint-Apollinaire
2 Marsannay-la-Côte
1 (+1 suppléant) les 14 autres communes

Dijon Métropole est administrée par le conseil métropolitain, composé de 86 conseillers métropolitains[15],[16],[17],[18],[19],[20],[21].

Lors du conseil métropolitain du 16 juillet 2020, François Rebsamen (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) a été élu président de Dijon Métropole avec 70,93 % des suffrages (soixante-et-un votes) contre 20,93 % des suffrages (dix-huit votes) pour Emmanuel Bichot (LR, Agir, UDI, LC, SL). On comptabilise également 8,14 % de bulletins blancs ou nuls (sept votes), dont 6,98 % de bulletins blancs (six votes) et 1,16 % de bulletins nuls (un vote).

L'exécutif (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) de Dijon Métropole est composé, pour le mandat 2020-2026, du président, de dix-huit vice-présidents et de dix conseillers métropolitains délégués[22],[23],[24].

La répartition par partis de l'exécutif (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) de Dijon Métropole est la suivante : dix-sept élus du Parti socialiste, quatre élus du Mouvement démocrate, un élu du Mouvement radical, un élu de Cap21, deux élus ex-Europe Écologie Les Verts, deux élus Les Républicains et deux élus Sans étiquette. L'exécutif (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) est composé de dix-huit hommes et de onze femmes.

L'opposition (LR, Agir, UDI, LC, SL) est composée de huit élus qui forment le groupe Agir ensemble pour Dijon Métropole - Droite, Centre et Indépendants[25],[19],[26] présidé par Emmanuel Bichot (LR)[27].

Le groupe Agir ensemble pour Dijon Métropole - Droite, Centre et Indépendants a des représentants au sein de la commission d'appel d'offres, de la commission de délégation de service public, de la commission consultative des services publics locaux, de la commission de contrôle financier et du syndicat mixte Tille Vouge Ouche[28]. Le groupe d'opposition dispose d'une tribune de libre expression trimestrielle dans le magazine d'information de Dijon métropole publiée également sur le site internet et la page Facebook de Dijon Métropole[29],[30].

Dijon métropole exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

La métropole exerce de plein droit, en lieu et place des communes membres un ensemble des compétences en matière de développement et d'aménagement économique, social et culturel comme en matière d'aménagement de l'espace métropolitain[37].

La métropole exerce également certaines compétences facultatives[38], ainsi que des compétences départementales, car à compter du 1er janvier 2020, la métropole bénéficie d'un transfert de certaines compétences du département de la Côte-d'Or[39].

Dijon métropole est un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.

Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit, comme toutes les métropoles, la fiscalité professionnelle unique[11] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources.

Quartier du Belvédère de Talant.

La politique de la ville étant une compétence de la métropole, celle-ci joue un rôle important dans la mise en place des opérations de rénovation urbaine dans les quartiers dit « sensibles ». La métropole de Dijon compte cinq quartiers prioritaires, rassemblant près de 20 000 habitants[48].

Alors que tous présentent un taux de pauvreté équivalent, Fontaine d'Ouche est le plus peuplé. Dans le cadre des projets de réhabilitations, il est classé d’intérêt régional par l'Agence nationale pour la rénovation urbaine tandis que Le Mail est d'intérêt national[48].

La ville de Chenôve a la plus grande part de logements sociaux de la métropole (43 %), tandis que Dijon, Talant et Longvic en comptent entre 16 et 31 %[48].

Quartier Commune Population(2018) Part HLM Pauvreté
Le Belvédère Talant 3 219 95 % 40,4 %
Le Mail Chenôve 5 037 68 % 43,7 %
Bief du Moulin Longvic 1 134 95 % 45,6 %
Les Grésilles Dijon 4 180 93 % 47,8 %
Fontaine d'Ouche Dijon 6 952 71 % 44,1 %

La Métropole de Dijon accorde une grande importance à la question du numérique et se veut la première métropole intelligente française[49]. L’attractivité économique du territoire est au cœur de la conception dijonnaise de la Ville Intelligente. Dijon Métropole obtient le label Métropole French Tech en juillet 2016 et crée, en partenariat avec la Région Bourgogne Franche Comté la Food Tech, alliant innovation numérique et alimentation[50]. En novembre 2017, la Métropole présente le « Projet Métropolitain » dans lequel le programme OnDijon est décrit comme un outil de gestion de la ville[51].

Le 14 novembre 2018 Dijon Métropole figure parmi les 7 finalistes des 473 candidats des World Smart City Awards lors de la Smart City Expo de Barcelone. Le World Smart City Award est décerné pour récompenser les idées, les projets et les stratégies mises en œuvre pour le développement urbain utilisant les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) afin d’améliorer les services urbains[52].

Le 11 mars 2019, l'Université de Bourgogne crée une chaire unique intitulée « Smart City et gouvernance de la donnée »[53] associée à plusieurs partenaires académiques et privés[54].

Si l’implication de Dijon Métropole pour intégrer les enjeux numériques de manière centralisée est remarquée à l’échelle nationale[55], le territoire métropolitain dijonnais n’assiste pas à une mobilisation particulière de ses habitants pour la mise en œuvre d’une politique du numérique de la Métropole. Une partie de l’opposition est contre l’importance accordée à la politique du numérique. Le projet OnDijon fait l’objet de critiques : Laurent Bourguinat, représentant de la droite et du centre, a déclaré en Conseil de Métropole de janvier 2019 que « Le projet OnDijon consommera en 2019 l’essentiel des dépenses de voirie. »[56].

  1. Dijon Métropole : La métropole a voté son budget 2017 (le 22 décembre 2016)
  2. Grand Dijon, du district à la communauté urbaine, document mentionné en bibliographie, p. 6-7.
  3. Grand Dijon, du district à la communauté urbaine, document mentionné en bibliographie, p. 7.
  4. Grand Dijon, du district à la communauté urbaine, document mentionné en bibliographie, p. 8.
  5. Christiane Perruchot, « Dijon : la Comadi étend ses compétences », Les Échos,‎ 23 octobre 2002 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019).
  6. Marianne Picoche, « Dijon : Le Grand Dijon est devenue communauté urbaine le 1er janvier : La naissance officielle, hier 1er janvier 2015, de la communauté urbaine de Dijon, avec ses 24 communes, marquera un tournant décisif dans l'histoire de l'intercommunalité de la capitale bourguignonne », France 3 Bourgogne-Franche-Comté,‎ 2 janvier 2015 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019).
  7. « Le décret de la création de Dijon Métropole publié au Journal Officiel », Le Bien public,‎ 27 avril 2017 (lire en ligne, consulté le 19 décembre 2019).
  8. Décret n° 2017-635 du 25 avril 2017 portant création de la métropole dénommée « Dijon Métropole », sur Légifrance
  9. Gabriel Zignani, « Création de la métropole dénommée « Dijon Métropole », La Gazette des communes,‎ 27 avril 2017 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019).
  10. « Population en historique depuis 1968 - Dijon Métropole (242100410). », sur Insee, 27 juin 2024 (consulté le 19 août 2024)
  11. a et b « Dijon Métropole (N° SIREN : 242100410) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, 4 octobre 2019 (consulté le 19 décembre 2019).
  12. « Côte-d'Or - Hommage. Grand Dijon : la salle Alain Millot inaugurée », sur bienpublic.com (consulté le 30 décembre 2020).
  13. « Grand Dijon : La salle du conseil porte le nom d'Alain Millot - K6FM - La radio 100% Côte-d'Or », sur k6fm.com (consulté le 30 décembre 2020).
  14. a et b « Les élus métropolitains. », sur le site de la métropole (consulté le 5 août 2021).
  15. « Côte-d'Or - Politique. François Rebsamen (PS) réélu président de Dijon Métropole », sur bienpublic.com (consulté le 30 décembre 2020).
  16. « DIJON MÉTROPOLE : Le vote des conseillers métropolitains », sur infos-dijon.com (consulté le 30 décembre 2020).
  17. « COLLECTIVITÉ : François Rebsamen réélu président de Dijon Métropole », sur infos-dijon.com (consulté le 30 décembre 2020).
  18. « François Rebsamen reconduit à la présidence de Dijon Métropole », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté (consulté le 30 décembre 2020).
  19. a et b « Côte-d'Or - Politique. Emmanuel Bichot officialise son groupe d'opposition "Agir ensemble pour Dijon métropole " », sur bienpublic.com (consulté le 30 décembre 2020).
  20. « Le nouveau conseil de Dijon métropole est installé - K6FM - La radio 100% Côte-d'Or », sur k6fm.com (consulté le 30 décembre 2020).
  21. « Le Mag Dijon Métropole N53 Septembre 2020 », sur calameo.com (consulté le 30 décembre 2020).
  22. « Site internet de Dijon Métropole ».
  23. « Site internet de Dijon Métropole ».
  24. « Site internet de Dijon Métropole ».
  25. « Site internet de Dijon Métropole ».
  26. « DIJON MÉTROPOLE : Emmanuel Bichot crée un groupe politique », sur infos-dijon.com (consulté le 30 décembre 2020).
  27. « Site internet de Dijon Métropole ».
  28. « Site internet de Dijon Métropole ».
  29. « Dijon Metropole n°54 - Décembre 2020 », sur calameo.com (consulté le 31 décembre 2020).
  30. « Site internet de Dijon Métropole ».
  31. « Biographie Maurice Lombard », sur Who's Who in France.
  32. Patrice Bouillot, « François le conquérant », L'Express,‎ 18 janvier 2007 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019).
  33. AFP, « Dijon : Alain Millot succède à François Rebsamen à la tête de la communauté d'agglomération : Alain Millot a succédé ce jeudi à François Rebsamen, devenu ministre du Travail, à la tête du Grand Dijon », RTL,‎ 17 avril 2014 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019) « Alain Millot a été élu à la tête de la communauté d'agglomération avec 58 voix sur 79, contre 3 pour le candidat FN Edouard Cavin ».
  34. « Dijon : mort d'Alain Millot, maire de Dijon (PS) : Le maire de Dijon, Alain Millot, ancien premier adjoint de l'actuel ministre du Travail, François Rebsamen, est mort ce lundi à 63 ans d'un cancer », Le Parisien,‎ 27 juillet 2015 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019).
  35. « Rebsamen quittera le ministère du Travail s'il est élu maire de Dijon : François Rebsamen quittera le gouvernement s'il est élu maire et président de la communauté urbaine de Dijon (Côte-d'Or) lors des élections organisées après le décès d'Alain Millot lundi dernier », Le Parisien,‎ 30 juillet 2015 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019) « Comme nous l'annoncions ce jeudi matin dans nos colonnes, le ministre du Travail François Rebsamen va briguer la mairie de Dijon (Côte-d'Or) ainsi que la communauté urbaine après le décès d'Alain Millot lundi dernier. Le ministre, toujours élu municipal et conseiller de la communauté urbaine de la capitale bourguignonne, avait cédé ses mandats à son premier adjoint Alain Millot, lors de sa nomination au gouvernement en avril 2014 ».
  36. A.M et S.G., « François Rebsamen reprend la mairie et le Grand Dijon », Le Bien public,‎ 10 août 2015 (lire en ligne, consulté le 20 décembre 2019) « François Rebsamen est élu maire de Dijon avec 46 voix (11 votes blancs et 2 voix pour Édouard Cavin) ».
  37. Article L 5217-2 du Code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  38. Article 4 du décret no 2017-635 du 25 avril 2017 portant création de la métropole dénommée « Dijon Métropole ».
  39. « Signature de l’arrêté préfectoral portant transfert de compétences entre le Conseil départemental de la Côte-d'Or et Dijon-Métropole » [PDF], Communiqués de presse 2019, Préfecture de la Côte-d'Or, 28 novembre 2019 (consulté le 20 décembre 2019).
  40. « Keolis renouvelé à Dijon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur keolis.com, 8 janvier 2010 (consulté le 17 août 2012).
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