Esquiule (original) (raw)

Esquiule
Esquiule L’église de l’Immaculée-Conception.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire Mandat Maryse Artigau 2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64217
Démographie
Gentilé Esquiulais
Population municipale 534 hab. (2021 en évolution de −0,56 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 41″ nord, 0° 42′ 25″ ouest
Altitude Min. 190 mMax. 661 m
Superficie 28,58 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Esquiule [ɛskjul] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

La commune est géographiquement située en Béarn, malgré son attachement à la Soule tant sur le plan historique que culturel et linguistique. En effet 62,85 % de sa population parlait le basque en 2010[1].

Le gentilé est Esquiulais[2] (ou Eskiulatar[3] en basque).

Carte

Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Esquiule se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[4].

Elle se situe à 43,5 km par la route[Note 1] de Pau[5], préfecture du département, et à 10,6 km d'Oloron-Sainte-Marie[6], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Féas (4,5 km), Moumour (4,8 km), Orin (5,1 km), Barcus (5,2 km), Géronce (5,3 km), Orin (5,6 km), Saint-Goin (5,9 km), Verdets (6,2 km).

Sur le plan historique et culturel, Esquiule fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[8].

Les communes limitrophes sont Ance Féas, Aramits, Barcus, Géronce, Moumour, Oloron-Sainte-Marie et Orin.

Carte

Les limites communales de Esquiule et celles de ses communes adjacentes.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseaux hydrographique et routier d'Esquiule.

La commune est drainée par le Joos, le Vert, le Littos, le Josset, Bouhatéko erreka, un bras du Joos, un bras du Ruisseau le Joos, un bras du Vert, le ruisseau couéüs, le ruisseau de Cambillou, le ruisseau Gorria, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[10],[Carte 1].

Le Joos, d'une longueur totale de 35,6 km, prend sa source dans la commune de Montory et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Préchacq-Josbaig, après avoir traversé 11 communes[11].

Le Vert, d'une longueur totale de 34,9 km, prend sa source dans la commune d'Arette et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Moumour, après avoir traversé 6 communes[12].

Le Littos, d'une longueur totale de 13,1 km, prend sa source dans la commune d'Aramits et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Vert à Esquiule, après avoir traversé 4 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 377 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 8 km à vol d'oiseau[17], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[22], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[23],[Carte 2].

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[24],[Carte 3] :

Au 1er janvier 2024, Esquiule est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[4]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,1 %), prairies (34,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), terres arables (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones urbanisées (0,1 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Huit quartiers composent la commune d'Esquiule[31] :

Le territoire de la commune d'Esquiule est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Vert, le Littos et le Joz erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2008, 2009 et 2014[34],[32].

Esquiule est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36],[37].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[38]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Esquiule.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 95 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le 1er octobre 2020, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[41].

Le toponyme Esquiule apparaît[42] sous les formes Esquiula, Squiule et Esquiulle (respectivement 1542 pour les deux premiers, et 1548, réformation de Béarn[43]).

Selon Jean-Baptiste Orpustan, Esquiule provient du basque ezkiola, « la cabanne des tilleuls » avec assimilation vocalique romane -iola > -iule. Le nom basque moderne a été calqué sur le nom roman[44].

Son nom basque actuel est Eskiula[3] et Esquiula ou Esquiule en béarnais.

Panneau de signalisation bilingue (français et basque).

La Coutume de Soule, écrite le 21 novembre 1520 par Jacques de Béla[45] est un document qui décrit la société et les institutions de la Soule au Moyen Âge et même au-delà. La Soule est divisée en trois messageries et Esquiule fait partie de la messagerie de Haute-Soule qui comprend dix-neuf paroisses. Cette messagerie est divisée en deux dégairies ou vics : le val dextre et le val senestre[46].

Paul Raymond[42] note que la seigneurie d'Esquiule dépendait de la baronnie de Mesplès[47]. Esquiule est souvent énumérée dans les listes de communes souletines. Pourtant ce village, de création relativement récente (au milieu du XVe siècle), a bien été fondé sur des terres béarnaises — même si sa population a été constituée de colons venus des terres basques situées plus à l'ouest. De langue basque, la paroisse n'en est pas moins demeurée sous juridiction béarnaise (dépendant tant de la subdélégation que de la sénéchaussée d'Oloron[48]), et a été rattachée au canton d'Aramits à la départementalisation en 1790. On peut d'ailleurs préciser que le 23 janvier 1796, la population a réclamé par référendum son rattachement au canton basque de Barcus, ce qui ne lui a pas été concédé[49]. On a donc affaire ici à une commune de culture basque en terres béarnaises. En matière pastorale, Esquiule n'est d'ailleurs pas membre de la commission syndicale du Pays de Soule, propriétaire des terres de pacage indivises, mais a conclu deux accords (le premier en 1456 et le second en 1652) pour l'utilisation de certains terrains d'altitude de la province historique[50].

Au XXIe siècle encore, la commune fait partie d'un canton ainsi que d'une intercommunalité béarnaise. Il s'agit donc d'une commune de culture et de langue basque en terre béarnaise. Selon l'Académie de la langue basque, Esquiule fait partie de la Soule[51]. L'attachement à la culture basque et souletine est toujours ancré de nos jours. Esquiule a notamment organisé la pastorale souletine de 1912 sur le thème de Napoléon, de 1955 sur le thème de Matalas et de 2000 sur le thème de Maddalena De Jauréguiberry. Elle possède une association de danses souletines. Esquiule est également membre du syndicat intercommunal de soutien de la culture basque.

Liste des maires successifs | Période | Identité | Étiquette | Qualité | | | ------------------------------------------ | -------- | -------------------------- | ------- | | | 1790 | 1791 | Joseph Murcuillat | | | | 1791 | 1792 | Pierre Andère-Hagolabustan | | | | 1792 | 1805 | Pierre Lepphaille | | | | 1805 | 1812 | Jean Pierre Castillon | | | | 1812 | 1813 | Joseph Poutchoue | | | | 1813 | 1815 | Martin Castège | | | | 1815 | 1831 | Jean Pierre Castillon | | | | 1831 | 1837 | Jean Pierre Quintaburu | | | | 1837 | 1848 | Alexis Castéjurry | | | | 1848 | 1871 | Simon Etchanchu Espelet | | | | 1871 | 1876 | Pierre Narbéburu | | | | 1876 | 1881 | Pierre Legris | | | | 1881 | 1892 | Jean Etchégorry | | | | 1892 | 1896 | Pierre Narbéburu | | | | 1896 | 1901 | Simon Augé Eyheralt | | | | 1901 | 1904 | Pierre Berho | | | | 1904 | 1925 | Thomas Solougaray | | | | 1925 | 1945 | Pierre Etchart Bichar | | | | 1945 | 1949 | Armand Berdot | | | | 1949 | 1959 | Albert Lepphaille | | | | 1959 | 1969 | André Orgambide | | | | 1969 | 1983 | Jean-Pierre Rousseu | | | | 1983 | 1995 | Jean Berdot | | | | 1995 | 2008 | Laurent Chabalgoity | | | | 2008 | 2016 | Jean Bedecarrax | | | | 2016 | en cours | Maryse Artigau | | | | Les données manquantes sont à compléter. | | | | |

La commune fait partie de quatre structures intercommunales[52] :

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].

En 2021, la commune comptait 534 habitants[Note 7], en évolution de −0,56 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 513 1 274 1 382 1 362 1 382 1 410 1 390 1 320 1 251

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 281 1 236 1 221 1 169 1 117 1 089 1 057 1 012 1 030

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
966 975 918 814 836 804 808 741 639

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
617 538 497 474 523 500 541 548 534

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2014 2019 2021 - - - - - -
539 538 534 - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie.

La commune dispose d'une école élémentaire publique[57].

L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture, vigne). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Carte des sept provinces basques (1), 1863

Carte des sept provinces basques (2), 1863

Les deux versions de la Carte des sept provinces basques montrant la délimitation actuelle de l'euscara en dialectes, sous-dialectes et variétés dressée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte placent Esquiule dans l'aire bascophone.

Le Recueil des idiomes de la région gasconne réalisé en 1894 par le linguiste Édouard Bourciez nous livre pour Esquiule une version de la parabole de l'enfant prodigue traduite en basque.

La carte du Pays basque français dressée en 1943 par Maurice Haulon laisse apparaître la "démarcation actuelle entre la langue basque et les dialectes romans". La commune d'Esquiule est située dans l'aire bascophone.

D'après la Morfología del verbo auxiliar vasco [Morphologie du verbe auxiliaire basque], Esquiule est située dans l'aire bascophone, et plus précisément de dialecte souletin. Son auteur Pedro de Yrizar estime dans les années 1970-1972 le nombre de locuteurs basques à 100%, soit l'un des taux les plus hauts de Soule.

Dans le choix des communes dites les plus adaptées pour réaliser une étude linguistique sur le dialecte souletin, l'auteur, assisté du linguiste et philologue René Lafon, précise pour Esquiule : " localité en dehors des limites de la Soule ; frontière basco-romane ".

Selon Jacques Allières qui dresse en 1977 la frontière linguistique de la langue basque, " En France, sa frontière [...] englobe la vallée du Saison, affluent du Gave d'Oloron, jusqu'à Domezain, courant à l'est de Sainte-Engrâce, Esquiüle [...] "[58].

L'église de l'Immaculée-Conception[59] date du XIXe siècle.

La commune dispose d'une école primaire.

  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Carte hydrographique d'Esquiule » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..

  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Esquiule », sur geoportail.gouv.fr.

  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Esquiule », sur geoportail.gouv.fr (consulté le 14 août 2021).

  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 4 octobre 2022).

  6. (eu) Tokiko nortasunaren bizitasuna -> Euskara ezagutza tasa, Euskal Herriari Begira, 2010, Udalbiltza, Institut basque de statistique (Eustat), Institut national de la statistique en Espagne (INE), Nafarroako Estatistika Zerbitzua eta Euskal Herriko Hizkuntza Adierazle Sistema (EAS). Voir l'article sur le pourcentage des bascophones par commune au Pays basque français.

  7. Gentilé sur habitants.fr

  8. a et b Euskaltzaindia - Académie de la langue basque

  9. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».

  10. Stephan Georg, « Distance entre Esquiule et Pau », sur fr.distance.to (consulté le 9 août 2021).

  11. Stephan Georg, « Distance entre Esquiule et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le 9 août 2021).

  12. « Communes les plus proches d'Esquiule », sur villorama.com (consulté le 9 août 2021).

  13. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, avril 1999 (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.

  14. Carte IGN sous Géoportail

  15. « Fiche communale d'Esquiule », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le 10 août 2021).

  16. Sandre, « le Joos ».

  17. Sandre, « le Vert ».

  18. Sandre, « le Littos ».

  19. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, 2018 (consulté le 11 novembre 2023), p. 2.

  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 11 novembre 2023).

  21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 11 novembre 2023)

  22. « Orthodromie entre Esquiule et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le 11 novembre 2023).

  23. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 11 novembre 2023).

  24. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 11 novembre 2023).

  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 11 novembre 2023).

  26. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire

  27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Esquiule », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  28. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  29. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Esquiule », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  30. « ZNIEFF le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  31. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  32. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).

  33. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).

  34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).

  35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 19 avril 2021).

  36. [1]

  37. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Esquiule », sur Géorisques (consulté le 18 octobre 2022).

  38. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le 4 octobre 2022).

  39. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022), chapitre Risque inondation.

  40. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, 7 octobre 2020 (consulté le 4 octobre 2022).

  41. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le 4 octobre 2022).

  42. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022), chapitre Feux de forêts.

  43. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022), chapitre Mouvements de terrain.

  44. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Esquiule », sur georisques.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022).

  45. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 4 octobre 2022).

  46. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022).

  47. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque

  48. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».

  49. Jean-Baptiste Orpustan, Toponymie Basque : noms des pays, communes, hameaux et quartiers historiques de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Centre d'études linguistiques et littéraires basques, Presses Universitaires de Bordeaux, 1997, 194 p. (ISBN 2867810957 et 9782867810954).

  50. La mise par écrit de La Coutume de Soule fut demandée par lettres patentes du roi François Ier, du 5 mars 1520. Le 21 novembre 1520, elle était rédigée. La première publication a été imprimée en 1553.

  51. La coutume de Soule

  52. La baronnie de Mesplès fut établie en 1633. Elle comprenait Esquiule, Berbielle et Illiasse. Elle dépendait de la vicomté de Béarn. Mesplès est le nom de la famille pour laquelle la baronnie fut érigée.

  53. Voir l'article « Oloron » du dictionnaire topographique de Paul Raymond.

  54. Un historique sommaire d'Esquiule est disponible sur le site Pastorale de l'an 2000 (consulté le 28 décembre 2006)

  55. Selon Jean-Louis Etchecopar-Etchart, la communauté syndicale de Soule « considère cette faculté comme une simple tolérance », voir Histoire du Pays de Soule, recueil de références, Mauléon, 1989.

  56. (eu) Zuberoako herri izendegia - Euskaltzaindia

  57. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le 6 juin 2014).

  58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  62. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Esquiule%20%2864%29}}.

  63. Jacques Allières, Les Basques, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », mars 2003 (1re éd. 1997), 127 p. (ISBN 213053144X et 9782130531449, OCLC 77097933)

  64. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église de l'Immaculée-Conception

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