Iffendic (original) (raw)

Iffendic
Iffendic La mairie d'Iffendic.
Blason de IffendicBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Montfort Communauté
Maire Mandat Christophe Martins 2020-2026
Code postal 35750
Code commune 35133
Démographie
Gentilé Iffendicois
Population municipale 4 585 hab. (2021 en évolution de +2,89 % par rapport à 2015en évolution de +2,89 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 07′ 49″ nord, 2° 02′ 01″ ouest
Altitude 80 mMin. 32 mMax. 134 m
Superficie 73,66 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Iffendic (ville isolée)
Aire d'attraction Rennes (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montfort-sur-Meu
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceIffendic Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceIffendic Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine Voir sur la carte topographique d'Ille-et-VilaineIffendic Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative) Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)Iffendic
Liens
Site web www.iffendic.fr
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Iffendic (prononciation : /i.fɛ̃'dik/) est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en Bretagne, peuplée de 4 585 habitants[Note 1].

Le territoire de la commune comprend une exclave située au nord-ouest comprenant deux zones qui ne sont rattachées que par la largeur d’une route (quasi-quadripoints).

Les limites d’Iffendic et de Muel ne sont distantes que de quelques dizaines de mètres mais les communes ne sont pas limitrophes.

Carte de la commune d’Iffendic.

Le territoire est traversé par le Meu.

Du point de vue de la richesse de la flore, Iffendic fait partie des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 579 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 38 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 15 taxons protégés et 27 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237)[1].

Le bourg est traversé par les routes départementales D 30 (est-ouest) et D 61 (nord-ouest).

La commune est desservie par la ligne 2 Rennes - Montfort-sur-Meu - Gaël du service BreizhGo.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Rheu à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 720,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au 1er janvier 2024, Iffendic est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Iffendic[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), prairies (12,1 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (2 %), eaux continentales[Note 4] (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hilphintic au XIIe siècle[15],[16], Hilphintic en 1122, Infindic en 1126, Infintic en 1187, Efindic en 1330.

La graphie ph de la forme du XIIe siècle est de type hellénisant. Le premier élément Hil- représente l'ancien breton hil « race, descendant »[17],[18] (breton hil « semence, postérité », également « lierre »[19]). Le second élément est l'anthroponyme celtique Fintic[17],[18]. Fintic est composé du suffixe diminutif breton -ic (autrement -ig) qui est communément employé, Fin- est sans doute la forme irlandaise du mot celtique signifiant « blanc » (breton gwenn). 13,6 % des toponymes sont d’origine bretonne[20].

Iffendic se situait au croisement de deux voies romaines ; la voie romaine nord/sud de Corseul à Nantes et la voie romaine est/ouest de Rennes (Condate) à Carhaix (Vorgium). On peut aussi évoquer des traces antérieures avec le menhir de la Pierre longue (néolithique) près des villages de la Barre et de Vau-Savelin.

De nombreux gisements de tegulae, et un édifice gallo-romain à proximité de la voie romaine Rennes-Carhaix, a reconnu en partie par prospection aérienne, a livré lui aussi des tegulae. Près du Mesnil une autre prospection aérienne a permis de déceler des structures correspondant probablement à un édifice gallo-romain.

Les Vikings ravagent le pays au Xe siècle et l'emplacement de l'église change, elle ne sera plus sur les berges du Meu.

L'église fut alors reconstruite en 1122 par un certain Jacob, à l'emplacement de l'église actuelle. En 1189, l'église d'Iffendic est donnée à l'abbaye de Marmoutier en Touraine qui fonde par la suite un prieuré dans la région. Après l'implantation des bénédictins, l'évêché de Saint-Malo conserve des droits non négligeables sur la paroisse d'Iffendic.

La paroisse était divisée en onze sections, notamment pour la perception des impôts : le Bourg, Allansac, la Barre, Boutavant, Canlou, Couacurel, Pintillac, Tréez, Tréhieuc, Trévit, Vaubeuzet.

Au Moyen Âge, Iffendic possédait en son territoire de nombreux édifices comme des manoirs et châteaux. Le château de Boutavent (XIIe siècle) abrita les seigneurs de Montfort lorsque le château de Montfort fut détruit. Ils restent à Boutavent pendant près de deux siècles avant de retourner dans leur ancien château ; celui de Montfort. Après cela, le site semble laissé à l'abandon, mais rien ne prouve qu'il n'a plus été habité par la suite.

La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[21].

En 1839 le maire d'Iffendic, le marquis d'Andigné, demande un instituteur pour l'école communale ; le recteur d'académie envoie un normalien, mais la municipalité lui préfère un Frère de Lamennais pourtant n'ayant pas le brevet requis[22].

La section FFI de Plélan-le-Grand fut fondée le 1er mars 1943 par le sous-lieutenant Bourhis en accord avec le lieutenant Duval. La section était constituée des groupes de Plélan, Maxent, Bréal, Treffendel, Saint-Malon, Iffendic et Mordelles[23].

Blason Blasonnement : Taillé : au premier de gueules à l'aigle d'argent, membré d'or, chargé d'un écusson du champ surchargé de deux coupes aussi d'argent passées en sautoir, au second d'or au menhir du lieu de sable.

Liste des maires successifs depuis la Libération[24]

Période Identité Étiquette Qualité
Liste des maires de 1815 à 1944 Période Identité Étiquette Qualité Les données manquantes sont à compléter. 1815 1818 Marc Le Brun 1818 1830 Georges Marie Huchet de Cintré 1830 1832 Joachim Guynot Boissière 1832 1835 Joseph Texier 1835 1837 Julien Guérin 1837 1843 Mathurin Grasland 1843 1851 Auguste Berthelot Républicain Propriétaire, notaire 1851 1854 Félix Oresve 1854 1863 Olivier Dahyot 1863 1871 François Levillain 1871 1884 Armand de Cintré 1884 1888 Georges de Cintré 1888 1891 Mathurin Burel 1891 1896 Charles d'Antin 1896 1919 Aimé Neveu Rad. 1919 1943 Louis Trébert 1943 1944 Eugène Legavre Source :
1944 mars 1965 Louis Delahaye Maréchal expert
mars 1965 mars 1971 Eugène Jan Concessionnaire engins agricoles
mars 1971 mars 1983 Pierre Pinault (1928-2014) Inséminateur, maire honoraire
mars 1983 juin 1995 Guy Colliaux Cadre administratif, maire honoraire
juin 1995 mars 2006[25](démission) Rémy Demeuré DVD[26] Négociant en grains, maire honoraire (2010)
mai 2006[27] En cours Christophe Martins Marques PRG[28]puis PRV Attaché territorialConseiller général (2008-2015) puis départementalPrésident de la communauté de communes

Drapeau de l'Italie Orune (Italie) depuis 2003

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 4 585 habitants[Note 5], en évolution de +2,89 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 968 4 315 4 010 4 459 4 292 4 251 4 299 4 319 4 464

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 297 4 233 4 406 4 299 4 319 4 315 4 110 4 280 4 200

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 028 4 038 3 919 3 386 3 428 3 202 3 267 3 127 2 892

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 736 2 528 2 416 2 580 2 675 3 047 3 778 4 379 4 454

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
4 585 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

La gestion du tourisme à Iffendic est confiée par Montfort Communauté à l'office de tourisme du Pays de Montfort. La ville est également classée commune touristique.

Iffendic dispose également d'établissements d'hôtellerie, de restauration et d'un camping. La ville d'Iffendic possède également un atout environnemental et culturel, le lac de Trémelin, de plus ce lac est distingué comme Pavillon bleu[33].

Le marché se tient le jeudi soir de 16 h à 20 h, toute l'année.

La commune compte deux monuments historiques :

La commune possède 378 fiches d’inventaire[37] dont :

Vallon de la chambre au loup à l'orée de Brocéliande.

Lac de Trémelin.

Épée du roi Arthur au bord du lac.

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.

  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.

  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 juillet 2023).

  1. Diard 2005, p. 170.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 21 décembre 2023)
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 21 décembre 2023).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, 2009 (consulté le 21 décembre 2023).
  5. « Orthodromie entre Iffendic et Le Rheu », sur fr.distance.to (consulté le 21 décembre 2023).
  6. « Station Météo-France « Le Rheu-inra » (commune du Le Rheu) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 21 décembre 2023).
  7. « Station Météo-France « Le Rheu-inra » (commune du Le Rheu) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 21 décembre 2023).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 21 décembre 2023).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Iffendic », sur insee.fr (consulté le 28 juin 2024).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le 28 juin 2024).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 3 mai 2021).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 359a.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) [1]
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  18. a et b Ernest Nègre, op. cit.
  19. [2]
  20. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spezed, Coop Breizh, 1990 (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804).
  21. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399
  22. Gilbert Nicolas, "Instituteurs entre politique et religion", éditions Apogée, 1993, (ISBN 2-909275-11-6).
  23. « Groupes de la 12e compagnie FFI d'Ille-et-Vilaine. Les futurs F.F.I. du secteur sud, sud-ouest du département », sur memoiredeguerre.free.fr (consulté le 11 novembre 2024).
  24. Les maires de Iffendic, sur MairesGenWeb
  25. « Le maire d'Iffendic démissionne de son poste », Ouest-France,‎ 31 mars 2006 (archives du journal)
  26. Annuaire des Mairies de l'Ille et Vilaine (35), p. 55, 2006.
  27. « Christophe Martins élu maire d'Iffendic », Ouest-France,‎ 30 mai 2006 (archives du journal)
  28. Journal Radical 605, PRG (consulté le 22 avril 2014)
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Le Dauphiné Libéré - L'actualité en Rhône Alpes, Isère, Haute-Savoie, Savoie, Vaucluse, Drôme, Ardèche et Hautes-Alpes », sur ledauphine.com (consulté le 26 mars 2019).
  34. Notice no PA00090601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no PA35000026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no IA35029624, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Inventaire préliminaire du conseil régional de Bretagne.
  38. René Jet, Iffendic, son histoire, les d'ici, Rennes, 1999.
  39. Notice no IA35029509, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Notice no IA35029829, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Notice no IA35029510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IA35029792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Notice no IA35029662, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Notice no IA00130979, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  46. Notice no IA35029827, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Notice no IA35029826, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Diard 2005, p. 64.
  49. « L'aparté, lieu de création, présente 5 à 6 expositions originales chaque année et développe un programme de médiation. - L'aparté, lieu d'art contemporain », sur laparte-lac.com (consulté le 15 juillet 2016).
  50. Nous-Vous-Ille, Milieux humides - Un passeport vous en dit plus, Mars-avril-mai 2009, p. 46.
  51. « La responsabilité de la gendarmerie dans le drame de Monterfil », Ouest-Journal,‎ 30 octobre 1949 (lire en ligne).
  52. AFP, « 70 ans après, le tabou des pendues se lézarde à Monterfil » [vidéo], 2014.
  53. Maxime LE POULICHET (Président de l’amicale des anciens de la 12e Cie F.F.I. d’Ille-et-Vilaine), « MONTERFIL (le camp des radars, les F.F.I., la bavure) ».
  54. Sur le site des anciens combattants de Monterfil :Alexandre Boucard, « Une Libération assombrie », bulletin municipal "Vivre à Monterfil" « 1940-1944 Monterfil sous l'Occupation »,‎ février 1995 (lire en ligne) :

    « Témoigagne d'Henri LEBORGNE 13 ans au moment des faits « Dans le pays, sitôt la libération établie, ce fut tout de suite la course aux collabos et aux filles qui avaient fraternisé avec l'occupant. Le vendredi après-midi 4 août, trois d'entre elles furent exécutées sans jugement. Après avoir été exposées dans le bourg, attachées sous un soleil ardent, couvertes de croix gammées. Quand on l'a vu on n'oublie pas cela. Je revois encore l'une d'entre elles, quelques semaines auparavant. Elle chantait dans le bourg la chanson J'attendrai. Chaque fois que je l'entends, le souvenir me revient ». »
    .

  55. AFP, « 70 ans après l’épuration, le tabou des pendues se lézarde à Monterfil », Libération,‎ 8 août 2014 (lire en ligne).
  56. Marie MERDRIGNAC, « Un collectif en hommage aux « pendues de Monterfil » », Ouest-France,‎ 4 août 2014 (lire en ligne) :

    « À l'occasion des célébrations de la Libération, des habitants veulent rendre hommage à trois femmes victimes des épurations sauvages, un aspect peu relaté de la Libération. »
    .

  57. Hubert Hervé ("C'est la publication en 2013, d'un roman d'Hubert Hervé, In nomine patris, librement inspiré du drame de Monterfil, qui a réveillé les consciences. « L'auteur a été contacté par de nombreuses personnes qui se rappelaient ces dramatiques événements. Le descendant de deux de ces femmes s'est aussi manifesté », raconte Lucette." in Ouest-France 4 août 2014 "Un collectif en hommage aux « pendues de Monterfil »" Marie Merdrignac), In nomine patris, Mane Huily, 2013 (978-2954459905).