Ilonse (original) (raw)

Ilonse
Ilonse Village d'Ilonse.
Blason de IlonseBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire Mandat Richard Lions 2020-2026
Code postal 06420
Code commune 06072
Démographie
Gentilé Ilonsois
Population municipale 142 hab. (2021 en évolution de −26,8 % par rapport à 2015)
Densité 3,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 59″ nord, 7° 06′ 01″ est
Altitude Min. 351 mMax. 1 992 m
Superficie 40,59 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nice (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tourrette-Levens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceIlonse Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceIlonse Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes Voir sur la carte topographique des Alpes-MaritimesIlonse Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'AzurIlonse
Liens
Site web ilonse.fr
modifier

Ilonse est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Ilonsois.

Vue aérienne de la commune.

Ilonse se situe à 25 km de Clans et 72 (une heure) de Nice.

Commune proche de la vallée de la Tinée[1].

Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[3]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Ilonse, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[4].

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

Ilonse dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 089 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rimplas_sapc », sur la commune de Rimplas à 4 km à vol d'oiseau[10], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 908,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,5 °C, atteinte le 23 août 2023 ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le 27 février 2018[Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

La route arrive à Ilonse en 1945. Une route est inaugurée en septembre 1987 entre Ilonse et Pierlas.

Village accessible par les départementales depuis la nationale 202, Touët-sur-Var, D 28 puis D 428 et M 59 depuis Pierlas[15].

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[16].

Au 1er janvier 2024, Ilonse est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[18]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %), prairies (1,6 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Une voie romaine reliait les deux capitales successives de la province des Alpes-Maritimes, Cimiez et Embrun. Elle devait passer par la vallée de la Tinée et à partir de Saint-Sauveur-sur-Tinée se dirigeait vers le Var par Ilonse ou Roubion.

L'abbaye de Saint-Dalmas-de-Pedona avait un prieuré placé sous le vocable de saint Laurent et une chapelle Notre-Dame à Ilonse.

Le village apparaît dans le cartulaire de l'abbaye de Lérins au XIe siècle[22], Ilontia, puis au XIIe siècle Ilonza dans le cartulaire de la cathédrale de Nice.

Le village a d'abord appartenu à la famille Féraud de Thorame, Thorame-Glandevès, puis aux Grimaldi de Bueil au XIVe siècle.

La peste de 1327 emporta toute la population qui se trouvait dans le vieux castel.

En 1344, Astruge Grimaldi ou Astruga Rostagni-Grimaldi[23], devenue veuve, acheta la seigneurie aux Glandevès mais dût faire valoir ses droits auprès de la Communauté des habitants par la force[24]. Le 18 février 1344, le viguier de Tinée donne l'investiture de la seigneurie aux barons de Beuil et ordonne aux habitants d'Ilonse de reconnaître Astruge Grimaldi. Les habitants passent l'acte de reconnaissance mais refusent de payer certaines redevances féodales, en particulier de participer au paiement de la dot de Tiburge Grimaldi à son mariage avec Ludovic ou Louis Lascaris de Vintimille. Traités durement par les agents de la dame Astruga, les habitants se révoltent. Faucon d'Agoût au nom du sénéchal de Provence Hugues del Bazo vient à Ilonse avec ses milices et décide de convoquer un tribunal arbitral composé du chevalier Guillaume du Puget et de Philippe Balbi, co-seigneur de Saint-Sauveur-sur-Tinée. Le jugement est prononcé par l'évêque de Nice et Philippe Balbi en présence de la dame Astruga, de son père Guillaume Rostaing, de son fils Barnabé Grimaldi et des représentants de la commune, et publié le 9 août 1348. Ils sont condamnés le 2 mai 1351 à payer une indemnité.

Le 29 novembre 1390, Jean Grimaldi de Bueil renonce contre 105 écus annuels à tous ses droits féodaux sur les habitants d'Ilonse sauf exceptions énoncées.

En 1621, à la suite de l'exécution du dernier comte de Beuil, Annibal Grimaldi, le château est démoli. Ilonse devient une seigneurie des Badat, et les habitants font hommage et prêtent serment de fidélité le 6 juillet 1621[25].

En 1729, Ilonse devient une seigneurie des Pascalis avec le titre de comte[26].

En 1848, le hameau d'Abeleria est détruit par un incendie.

En 1860, Ilonse, comme la plus grande partie du comté de Nice, est rattachée à la France. La commune fait alors partie du canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée.

Liste des maires (occupation française 1794-1815 et depuis 1860) et syndics (1815-1860) successifs

Liste des maires (occupation française 1794-1815 et depuis 1860) et syndics (1815-1860) successifs

Période Identité Étiquette Qualité
1800 Matheudi
1803 Ciamos
1803 Jean-Louis Remusatty
1807 Antoine Chamossi
1815 Charles Ciamos Syndic
1816 Jean Antoine Chiabaudo Syndic
1816 Jean Honoré Bergondi Syndic
1819 Jean Stéphane Audoli Syndic
1821 Charles Ciamos Syndic
1823 Louis Chiabaudo Syndic
1825 Jean-Stéphane Audoli Syndic
1829 Joseph Antoine Puons Syndic
1831 Jean-Stéphane Audoli Syndic
1833 Jean Baptiste Ricelme Syndic
1837 Joseph Robion Syndic
1840 Jean Baptiste Ricelme Syndic
1846 Laurent Issautier Syndic
1849 Joseph Ciampossin Syndic
1852 Joseph Ciabaut Syndic
1857 Laurent Issautier Syndic

Liste des maires à partir de 1860

Période Identité Étiquette Qualité
1860 Laurent Issautier
1865 François Audoly
1870 Jean Bres
1874 Baptiste Audoli
1878 Augustin Ciamos
1884 Jean-Baptiste Audoli
1888 Joseph Mario
1890 Louis Poesi
1892 Jean-Baptiste Richelme
1896 Baptiste Ricelme
1900 Baptiste Ciamos
1904 Baptiste Ricelme
1908 Joseph Pierlas
1912 Eugène Dalbouse
1929 Joseph Ribotti
1934 Honoré Riquier
1935 Louis Paul
1938 André Rousset
1938 Charles Rousset
1945 Louis Bres
1945 Lucien Pierlas
1983 Michel Rittano
1995 Christian Castellani
mars 2008 En cours Richard Lions[27] DVD Fonctionnaire

La mairie.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation[29].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 142 habitants[Note 3], en évolution de −26,8 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1822 1831 1838 1841 1848 1851
434 570 534 571 809 659 713 978 652

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1858 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
506 493 481 401 434 435 377 333 354

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
308 302 306 262 249 225 160 124 124

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
102 80 57 55 78 113 129 132 167

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2015 2020 2021 - - - - - -
194 147 142 - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

En 1925, fermeture de l’école d’Abillièra.

En 1968, fermeture de l’école au village.

Établissements d'enseignements proches[34] :

Professionnels et établissements de santé[35] :

Patrimoine religieux :

Patrimoine rural :

Blason de Ilonse Blason D’or aux trois rencontres de bélier de sable accornés d’argent, au chef de sinople chargé de trois épis de blé du champ[66].
Détails Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. Les records sont établis sur la période du 1er février 2007 au 4 janvier 2024.

  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 13 juillet 2023).

  5. Le village de Ilonse

  6. Trois hameaux

  7. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020

  8. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor

  9. Didacticiel de la règlementation parasismique

  10. L'eau dans la commune

  11. Description de la station

  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 30 janvier 2024)

  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 30 janvier 2024).

  14. « Orthodromie entre Ilonse et Rimplas », sur fr.distance.to (consulté le 30 janvier 2024).

  15. « Station Météo-France « Rimplas_sapc », sur la commune de Rimplas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 30 janvier 2024).

  16. « Station Météo-France « Rimplas_sapc », sur la commune de Rimplas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 30 janvier 2024).

  17. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le 30 janvier 2024).

  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, novembre 2022 (consulté le 30 janvier 2024).

  19. Routes d'accès

  20. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)

  21. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, 28 mai 2024 (consulté le 23 juin 2024).

  22. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».

  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le 23 juin 2024).

  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 23 juin 2024).

  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 28 mai 2021).

  26. Nice Rendez-vous : Ilonse

  27. Note 1 : Astruge Rostaing (aussi écrit Rostang) ou Astruga Rostagni est la fille de Guillaume Rostaing (ou Rostagni), seigneur de Beuil. Ce dernier avait poussé à la révolte en 1258 les habitants de Beuil, puis avait été tué en 1315 par les habitants de Thiéry indignés parce qu'il a usé d'un prétendu droit de cuissage sur une nouvelle mariée. Astruge se maria en 1315 avec Andaron Grimaldi, oncle de Rainier Ier Grimaldi, seigneur de Monaco. C'est le début de la famille Grimaldi de Beuil. Son fils Barnabé Grimaldi s'est rendu célèbre par le meurtre en 1353 de son voisin Bertrand de Caïs, fils de François Caïs qui avait acheté la seigneurie de Rourequ'il convoitait. Il lui avait fait trancher la main droite et crever les yeux. Il obtint le pardon du sénéchal de Provence après paiement de 2 000 florins d'or à la chambre royale. Pour laver sa conscience de ce crime il testa le 18 avril 1368 un don de 300 florins d'or aux héritiers de Caïs. Barnabé Grimaldi est le père de Jean Grimaldi de Beuil.

  28. Philippe de Beauchamp, Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 86-87, Éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9)

  29. Note 2 : Annibal Badat, gouverneur de Villefranche et de Barcelonnette, avait conduit l'armée du duc de Savoie contre Annibal Grimaldi retranché dans son château de Tourette-du-Château et le prit. Le duc de Savoie investit Annibal Badat d'Ilonse, de Rorà et de Pierlas avec le titre de comte. Ces fiefs sont revenus à la Couronne en 1722 (J. De Orestis, La Noblesse niçoise. Notes historiques sur les anciennes familles du comté de Nice, p. 51-52, Nice-Historique, 1909, no 3).

  30. En 1729, le fief appartient au comte Charles-François Pascalis (ou Charles-François Pascal, seigneur d'Ilonse). Les membres de la noble famille Pascalis (ou Pascal, Pascale), originaire de Cuneo en Piémont (Italie), étaient barons de Nucetto et comptes de Ilonse (Ilonsa en italien).

  31. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008

  32. Les comptes de la commune

  33. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet

  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  38. Établissements d'enseignements

  39. Professionnels et établissements de santé

  40. Paroisse Notre-Dame de la Tinée

  41. La Ferme des 3 buis

  42. Gîtes communaux et ruraux

  43. l’auberge communale « La Gruppio »

  44. Ilonse dans le Comté de Nice

  45. Le village d'Ilonse

  46. Site Natura 2000 SIC/ZSC FR9301556 (directive Habitats) « Massif du Lauvet d’Ilonse et des Quatre Cantons – Dôme de Barrot – Gorges du Cians »

  47. Luc F. Thévenon, L'art du Moyen Âge dans les Alpes méridionales, p. 46, Éditions Serre, Nice, 1983 (ISBN 2-86410-047-9)

  48. Christiane Lorgues-Lapouge, René Lorgues, Comté de Nice baroque - Tome 1 : La vallée de la Tinée, p. 44-45, Encyclopædia Niciensis, Volume V, Serre éditeur, Nice, 2004 (ISBN 2-86410-416-4) ; p. 99

  49. Église Saint Michel, sur montnice.fr/cartographie/

  50. Territographie : Liste des chapelles

  51. Chapelle Saint Grat

  52. Philippe de Beauchamp, L'art religieux dans les Alpes maritimes, p. 88, Édisud, Aix-en-Provence, 1993 (ISBN 2-85744-485-0)

  53. Chapelle Saint Antoine Asclos, sur montnice.fr/cartographie/

  54. Chapelle Saint Antoine Asclos

  55. Chapelle Sainte Barbe Le Pous

  56. Chapelle Saint Maur Irougne

  57. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux

  58. Chapelle Saint Pons Col Saint Pons

  59. Chapelle Saint Joseph Régeasses

  60. Chapelle Saint Marie (Sainte Vierge) Abéliéra

  61. Présentation de l'histoire du village

  62. Monuùent aux morts : Conflits commémorés 1914-1918

  63. Bénédiction de l'oratoire Saint-Pons au col de la Sinne à Illonse

  64. Visite du village par l'Association Accueil et Patrimoine

  65. Ilonse, sur departement06.fr/

  66. Google Livres : Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes, Tome Ier, p. VII, Nice, 1863

  67. Luc F. Thévenon, op. cité, p. 46

  68. Yves Bernard, L'annuaire Touristique et Culturel des Alpes-Maritimes et de Monaco p. 211, Éditions Campanile, 1997 (ISBN 2912366-003)

  69. Joseph-Maitron Puons

  70. Dominique Cureau, « La Tinée : Ilonse », sur vexil.prov.free.fr (consulté le 18 avril 2023).

Sur les autres projets Wikimedia :

v · mCommunes de la métropole Nice Côte d’Azur
Aspremont Bairols Beaulieu-sur-Mer Belvédère Bonson Cagnes-sur-Mer Cap-d’Ail Carros Castagniers Châteauneuf-Villevieille Clans Colomars Drap Duranus Èze Falicon Gattières Gilette Ilonse Isola La Bollène-Vésubie La Gaude La Roquette-sur-Var La Tour La Trinité Lantosque Le Broc Levens Marie Nice Rimplas Roquebillière Roubion Roure Saint-André-de-la-Roche Saint-Blaise Saint-Dalmas-le-Selvage Saint-Étienne-de-Tinée Saint-Jean-Cap-Ferrat Saint-Jeannet Saint-Laurent-du-Var Saint-Martin-du-Var Saint-Martin-Vésubie Saint-Sauveur-sur-Tinée Tournefort Tourrette-Levens Utelle Valdeblore Venanson Vence Villefranche-sur-Mer