Ispoure (original) (raw)

Ispoure
Ispoure Ispoure vue depuis Saint-Jean-Pied-de-Port.
Blason de IspoureBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire Mandat Claude Barets 2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64275
Démographie
Gentilé Izpurar
Population municipale 675 hab. (2021 en évolution de +0,3 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 10′ 19″ nord, 1° 13′ 59″ ouest
Altitude Min. 130 mMax. 660 m
Superficie 7,85 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Jean-Pied-de-Port (banlieue)
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port (commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://www.ispoure.fr
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Ispoure est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Izpurar[1],[2].

Carte

Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Ispoure se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

Elle se situe à 116 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 54 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 40 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Jean-Pied-de-Port (0,8 km), Uhart-Cize (1,1 km), Ascarat (1,7 km), Lasse (2,6 km), Caro (2,9 km), Saint-Jean-le-Vieux (3,4 km), Saint-Michel (4,0 km), Aincille (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Ispoure fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

Les communes limitrophes sont Ascarat, Jaxu, Ossès, Saint-Jean-le-Vieux, Saint-Jean-Pied-de-Port et Uhart-Cize.

Carte

Les limites communales de Ispoure et celles de ses communes adjacentes.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseaux hydrographique et routier d'Ispoure.

La commune est drainée par la Nive, le Laurhibar, l'Arzubiko erreka, le Pagolako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[13],[Carte 1].

La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[14].

Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 8 communes[15].

L'Arzubiko erreka, d'une longueur totale de 13,2 km, prend sa source dans la commune de Gamarthe et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Laurhibar à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 7 communes[16].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 477 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 4 km à vol d'oiseau[20], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Nive »[25], d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[26],[Carte 2].

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[27],[Carte 3] :

Au 1er janvier 2024, Ispoure est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[31],[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune du pôle principal[Note 8],[3]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,4 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14 %), cultures permanentes (11,8 %), zones urbanisées (5,2 %), prairies (0,2 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Ispoure est desservie par les routes départementales D 918 (ancienne route nationale 618), D 933 (ancienne route nationale 133) et D 22.

Le territoire de la commune d'Ispoure est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Nive, le Laurhibar et l'Hartzubiko erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2013, 2014 et 2021[37],[35].

Ispoure est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[38]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[39],[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ispoure.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 35,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le 1er octobre 2020, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[42].

Le toponyme Ispoure apparaît sous les formes Yzpura (1264)[43], Yzpure (1366)[43], Yspore de la terre de Sisie (1472[44], notaires de Labastide-Villefranche[45]), Ixpura (1513[44], titres de Pampelune[46]), Yxpura (1621[44], Martin Biscay[47]) et Sanctus Laurentius d'Ispoure (1685[44], collations du diocèse de Bayonne[48]).

Aradoy, désignant un sommet montagneux de la commune, est mentionné en 1863[44] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Jauréguy était un fief vassal du royaume de Navarre, cité dans le dictionnaire de 1863[44].

Son nom basque actuel est Izpura[2].

Blason Blasonnement : D'argent à l'arbre coupé de sinople surmonté d'un pigeon contourné en vol de sable. Commentaires : Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Liste des maires successifs

Période Identité Étiquette Qualité
1983 2004 François Maïtia PS Vice-président du conseil régional
2004 2007 Pierre Irigoin
2007 2008 Claude Barets[49]
2008 2014 François Lambert
2014 En cours Claude Barets[50]
Les données manquantes sont à compléter.

La commune appartient à neuf structures intercommunales[51] :

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

En 2021, la commune comptait 675 habitants[Note 10], en évolution de +0,3 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
343 158 453 427 554 516 591 592 580

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
541 550 586 588 579 534 584 556 555

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
569 552 546 550 606 658 645 678 693

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
734 707 685 671 674 618 602 597 629

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2018 2021 - - - - - - -
673 675 - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

Une très grande partie de la population d'Ispoure parle le basque (81,35 % de la population en 2010[56]). C'est l'une des communes les plus bascophones du Pays basque français.

La seule langue officielle de la commune est le français. Les langues régionales ont fait l'objet d'une première reconnaissance en France en 1951 avec la loi Deixonne qui introduit le basque ainsi que le breton, le catalan et l’occitan dans l'enseignement[57]. La langue basque n'a encore aucune reconnaissance légale.

La commune dispose d'une école élémentaire publique[58]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[59].

La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

La maison forte Lastaunea[60] date de la fin du XIIIe siècle et du début du XIVe siècle ; la maison forte appelée château de Larrea date du XVIe siècle.

L'église Saint-Laurent date du milieu du Moyen Âge. Le prieuré Sainte-Madeleine[61] portait le nom de La Recluse (Erreculusa) et était à ses débuts réservé aux soins et à l'isolement des lépreux.

Une maison de retraite, la fondation Luro, est installée sur le territoire de la commune. Selon Philippe Veyrin[62] elle est l'un des exemples de l'assistance des expatriés américains au pays d'origine.

  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port comprend trois villes-centres (Saint-Jean-le-Vieux, Saint-Jean-Pied-de-Port et Uhart-Cize) et quatre communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Carte hydrographique d'Ispoure » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..

  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ispoure », sur geoportail.gouv.fr.

  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ispoure », sur geoportail.gouv.fr (consulté le 14 août 2021).

  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 4 octobre 2022).

  6. Gentilé sur habitants.fr

  7. a et b - Académie de la langue basque

  8. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».

  9. Stephan Georg, « Distance entre Ispoure et Pau », sur fr.distance.to (consulté le 9 août 2021).

  10. Stephan Georg, « Distance entre Ispoure et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le 9 août 2021).

  11. Stephan Georg, « Distance entre Ispoure et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le 9 août 2021).

  12. « Communes les plus proches d'Ispoure », sur villorama.com (consulté le 9 août 2021).

  13. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, avril 1999 (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.

  14. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, avril 1999 (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.

  15. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le 4 août 2021).

  16. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).

  17. Carte IGN sous Géoportail

  18. « Fiche communale d'Ispoure », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le 10 août 2021).

  19. Sandre, « la Nive ».

  20. Sandre, « le Laurhibar ».

  21. Sandre, « l'Arzubiko erreka ».

  22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, 2018 (consulté le 11 novembre 2023), p. 2.

  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 11 novembre 2023).

  24. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 11 novembre 2023)

  25. « Orthodromie entre Ispoure et Bustince-Iriberry », sur fr.distance.to (consulté le 11 novembre 2023).

  26. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 11 novembre 2023).

  27. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 11 novembre 2023).

  28. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 11 novembre 2023).

  29. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire

  30. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ispoure », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  31. « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  32. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ispoure », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  33. « ZNIEFF les « landes de Larla-Jarra et d'Orzaize-Izpura » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  34. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Nives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 14 août 2021).

  35. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).

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  38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).

  39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 19 avril 2021).

  40. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Ispoure », sur Géorisques (consulté le 18 octobre 2022).

  41. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le 4 octobre 2022).

  42. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022), chapitre Risque inondation.

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  45. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le 4 octobre 2022), chapitre Feux de forêts.

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  49. a b c d e et f Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, 1863, 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..

  50. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques

  51. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda

  52. Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°

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  54. Fiche de la commune sur le site de la préfecture

  55. Fiche de la commune sur le site du pôle territorial Garazi-Baigorri de la Communauté d'agglomération du Pays Basque

  56. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le 8 juin 2014).

  57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  61. (eu) Tokiko nortasunaren bizitasuna -> Euskara ezagutza tasa, Euskal Herriari Begira, 2010, Udalbiltza, Institut basque de statistique (Eustat), Institut national de la statistique en Espagne (INE), Nafarroako Estatistika Zerbitzua eta Euskal Herriko Hizkuntza Adierazle Sistema (EAS). Voir l'article sur les pourcentages des bascophones par commune au Pays basque français.

  62. Manex Goyhenetche, Pays Basque Nord : un peuple colonisé, vol. 13, Bayonne, Éditions Elkar, coll. « Oldar », 1979, 192 p. (OCLC 9195140), p. 156

  63. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Ispoure%20%2864%29}}.

  64. {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=15&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.

  65. « la maison Lastaunea », notice no IA64000927, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  66. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6) page 110

  67. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6) page 76

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