Léning (original) (raw)

Léning
Léning Église Saint-Barthélemy, XVIIIe siècle.
Blason de LéningBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes du Saulnois
Maire Mandat Antoine Ernst 2020-2026
Code postal 57670
Code commune 57394
Démographie
Gentilé Léningeois, Léningeoises
Population municipale 329 hab. (2022 en évolution de +0,92 % par rapport à 2016)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 28″ nord, 6° 48′ 28″ est
Altitude Min. 216 mMax. 300 m
Superficie 6,49 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Saulnois
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceLéning Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceLéning Géolocalisation sur la carte : Moselle Voir sur la carte topographique de la MoselleLéning Géolocalisation sur la carte : Grand Est Voir sur la carte administrative du Grand EstLéning
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Léning est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Le village de Léning est situé sur la rive droite de l'Albe près de la route de Dieuze à Saint-Avold, à 5 km au N. O. d'Albestroff et à 37 km au N. E. de Château-Salins.

La commune fait partie de la ZNIEFF du pays des étangs[1].

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Albe, le ruisseau Kuhmattgraben, le ruisseau de Sussmatte et le ruisseau le Matzengraben[Carte 1].

L'Albe, d'une longueur totale de 33,3 km, prend sa source dans la commune de Rodalbe et se jette dans la Sarre à Sarralbe, après avoir traversé douze communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseaux hydrographique et routier de Léning.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de l'Albe, peut être consultée sur un site spécial géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 810 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Kappelkinger_sapc », sur la commune de Kappelkinger à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,8 °C, atteinte le 25 juillet 2019 ; la température minimale est de −19,6 °C, atteinte le 26 décembre 2010[Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site spécial publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au 1er janvier 2024, Léning est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (47,4 %), prairies (35,5 %), forêts (12,1 %), zones urbanisées (5,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Bien que le village ait été possédé au XIIIe siècle par les comtes de Linange originaires de Leiningen en Rhénanie-Palatinat, son nom est plus ancien et n’a aucun rapport avec cette illustre famille. Une des mentions les plus anciennes et irréfutables de Léning se trouve dans une charte de l’abbaye de Wörschweiler où Léning est mentionné sous le nom de Lendingen[15] (1240). Par la suite on trouve dans les archives diverses dénominations dont Laudingen (1365), Lenningen-Altorf (1510)[16], Altorff-Leningen (1559)[16], Linningen-Aldorf (1567)[16], Leiningen (1587), Leyningen (1594)[16], Leiningen-et-Altorff (XVIe siècle)[16], Léning-les-Hingsanges (1626)[16], Lenningen (1633)[16], puis Léning qui prévaudra à partir du XVIIIe siècle (1793), jusqu’à l’annexion allemande (1871-1919) où l’ancien nom de Leiningen devient le nom officiel du village.

En francique lorrain Léning se dit Läning [lεniŋ].

Le village de Léning est situé en Lorraine allemande non loin de la frontière linguistique mosellane du XXe siècle.

La plupart des auteurs contemporains admettent à la suite de Stoffel[17] que la mention « Altorf juxta Tannae villam » trouvée dans une charte de l’évêque Enguerrand de Metz[18] datant de l’an 787 fait référence à Francaltroff près de Grostenquin. Dans cette hypothèse, l’origine de Léning, dont Francaltroff n’était jusqu’au XVIIIe siècle qu’une annexe paroissiale, pourrait être antérieure à cette époque.

Léning faisait initialement partie du comté de Marimont (Mörsberg) dont avait hérité au XIIe siècle la puissante maison des comtes de Sarrebruck puis au siècle suivant les comtes de Deux-Ponts (Zweibrücken) et de Linange (Leiningen) qui en sont issus[19].

En 1240 Walter de Brucken fait don à l’abbaye de Wörschweiler, située près de Hombourg (Sarre), de ses dimes de « Lendingen » avec l’accord de ses suzerains Frédéric de Linange et Henri de Deux-Ponts[15]. L’abbaye conserva la jouissance de ces dimes jusqu’à sa sécularisation par les princes de Palatinat-Deux-Ponts au XVIe siècle[20].

À la suite du mariage de Cunégonde de Linange (Kunigunde von Leiningen) avec Henri I de Blâmont, Léning échut vers 1266 aux sires de Blâmont[21] dont les armes ont inspiré l’actuel blason du village.

Kunigunde von Leiningen (1259-1311), chapelle des Cordeliers, Nancy.

Détachée du comté de Marimont et morcelée au gré des héritages, la seigneurie de Léning a été divisée dès le XIIIe siècle et jusqu’à la Révolution française en deux parties distinctes :

Le duc Henri II de Lorraine réunit en 1623 ses fiefs lorrains de Francaltroff et Léning à la seigneurie de Lixheim qui fut érigée en 1629 en principauté immédiate du Saint-Empire romain germanique par Ferdinand II de Habsbourg en faveur de Louis de Guise, baron d'Ancerville et de son épouse Henriette de Lorraine, sœur du duc Charles IV de Lorraine[24]. À la suite du décès sans postérité d’Alexandre de Grimaldi, neveu par alliance du dernier époux d’Henriette de Lorraine, l’éphémère principauté de Lixheim est réintégrée au duché de Lorraine en 1707[25].

La foire annuelle de la Saint-Barthélemy, patron de la paroisse, est une tradition très ancienne, comme le prouve une mention trouvée en 1510 dans les comptes du receveur de Dieuze[26].

Les plaids annaux (Jahrgeding) de Léning se tenaient traditionnellement le jeudi qui suit l’Épiphanie[27],[28]. Les droits et devoirs de chacun y étaient précisés et la justice rendue. Les seigneurs d’Hingsange et le duc de Lorraine se partageaient la haute justice pour moitié. La moyenne et la basse justice appartenaient pour moitié aux seigneurs d’Hingsange et aux vassaux du duc de Lorraine.

La guerre de Trente Ans qui dévasta la toute la Lorraine n’épargna pas le village de Léning qui fut brûlé trois fois et perdit une grande partie de ses habitants[29].

Conformément aux dispositions du traité de Vienne (1738), le duché de Lorraine perd son indépendance et sa souveraineté en 1766 à la suite du décès du duc Stanislas Leszczyński. Le village de Léning devient alors français et est rattaché à la province de Lorraine, née de la fusion des Trois-Évêchés (dont faisait partie la seigneurie de Hingsange annexée de facto au royaume depuis 1552) et des anciens duchés nouvellement acquis.

Le cahier de doléances[30] des habitants de la commune a été rédigé le 17 mars 1789 par Joseph Riquet, maire de Léning puis député du Tiers à l'assemblée du bailliage de Dieuze et enfin celle de Sarreguemines. Ces doléances témoignent de l’injustice du système féodal, de la lourdeur des taxes et des nombreux litiges entre les villageois et le comte d’Helmstatt qui semble avoir été âpre au gain et fort peu conciliant.

Le découpage de la Lorraine en départements en 1790 fait fi aussi bien des liens historiques de ses territoires que de la frontière linguistique mosellane. Le vœu formulé par l'assemblée de réduction de Sarreguemines de créer un département lorrain de langue allemande n'a pas été retenu[31]. La commune se voit ainsi intégrée au département de la Meurthe majoritairement francophone.

En 1871, Léning est annexé à Empire allemand en vertu du traité de Francfort. La commune reprend le nom de « Leiningen » et fait alors partie de l'arrondissement de Château-Salins au sein du district de Lorraine, l’un des trois districts administratifs du Reichsland Elsass-Lothringen. C'est une époque de prospérité économique et Léning bénéficie de la construction d'une gare de chemin de fer sur la ligne de Champigneulles à Sarralbe. En 1914, la mobilisation des soldats du Reichsland s’opéra dans l’ordre et le calme, les défections furent rares ; seuls quelques centaines de mobilisables proches de la frontière s’enfuirent en France plutôt que de se battre pour le Kaiser[32]. Huit jeunes soldats originaires de Léning laissèrent ainsi leur vie sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale comme le rappelle pudiquement une plaque apposée dans l'église du village car ils ne sont pas morts pour la France mais « avec Dieu pour l'Empereur et la Patrie » selon la devise prussienne.

Conformément à l’article 27 du Traité de Versailles, Léning redevient française en 1919 et se voit rattachée au nouveau département de la Moselle qui adopte les limites administratives du district de Lorraine.

Le village n'a pas été évacué en 1939-1940 et n'a pas subi de dégâts matériels importants lors des combats. L'adjudant-chef Joseph Grosse (1908-1940) originaire de Léning perdit la vie le 14 juin 1940 dans la défense héroïque de Cappel par la 4e Armée française[33]. De juin 1940 à novembre 1944, le village est occupé par l’Allemagne et annexé de facto au troisième Reich qui l’incorpore au Gau Westmark. Le 19 août 1942, le Gauleiter Josef Bürckel promulgua l’ordonnance instituant le service militaire obligatoire pour les Mosellans, en violation du droit international. Nombreux furent les jeunes Alsaciens-Lorrains qui refusèrent de se battre pour le troisième Reich. Quatre jeunes soldats de Léning qui avaient été incorporés dans la Wehrmacht perdirent la vie sur les champs de bataille entre 1944 et 1945. Le drame de ces Malgré-nous et de leurs familles marquera encore longtemps les esprits.

Liste des maires successifs | Période | Identité | Étiquette | Qualité | | | ------------------------------------------ | --------- | -------------- | ------- | | | mars 1989 | mars 2001 | Joseph Steiler | | | | mars 2001 | En cours | Antoine Ernst | | | | Les données manquantes sont à compléter. | | | | |

Léning la gare

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2022, la commune comptait 329 habitants[Note 2], en évolution de +0,92 % par rapport à 2016 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
325 395 425 476 484 523 501 468 462

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
468 418 388 339 352 334 298 312 326

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
315 292 237 222 215 210 222 202 195

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
196 183 180 205 210 268 276 306 339

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2022 - - - - - - - -
329 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

L’église Saint-Barthélemy en 1908 avec son ancien clocher à flèche de charpente.

La croix monolithe de Léning (1700).

Blason de Léning Les armes de Léning se blasonnent ainsi: De gueules à l'épée d'argent garnie d'or, accostée de deux saumons adossés d'argent.Il s'agit des armes d'Henri I de Blâmont (de gueules accostée de deux saumons adossés d'argent) qui posséda Léning au XIIIe siècle, l'épée symbolisant le martyre de saint Barthélemy, patron de la paroisse.

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Les records sont établis sur la période du 1er mai 2007 au 4 janvier 2024.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Léning » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).

  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le 31 juillet 2022) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 16 juillet 2023).

  4. Comité Z.N.I.E.F.F. Lorraine, « ZNIEFF 410010373 - Pays des étangs » [PDF], sur inpn.mnhn.fr.

  5. Sandre, « l'Albe »

  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 28 janvier 2024)

  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  8. « Orthodromie entre Léning et Kappelkinger », sur fr.distance.to (consulté le 28 janvier 2024).

  9. « Station Météo-France « Kappelkinger_sapc », sur la commune de Kappelkinger - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  10. « Station Météo-France « Kappelkinger_sapc », sur la commune de Kappelkinger - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, novembre 2022 (consulté le 28 janvier 2024).

  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).

  14. Insee, « Métadonnées de la commune de Léning ».

  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).

  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).

  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 20 mai 2021).

  18. a et b Andreas Neubauer : Regesten des Klosters Werschweiler, Speyer 1921

  19. a b c d e f et g Henri Lepage - Dictionnaire topographique du département de la Meurthe (1862)

  20. J. G. Stoffel : « De l’ancienneté du château de Morimont (Mörsperg), en Alsace ». Le Bibliographe alsacien : gazette littéraire, historique, artistique, 1869 (4) p. 204-207, éditions Berger-Levrault, Strasbourg, (ISSN 2015-2027).

  21. Dom Calmet : Histoire de Lorraine, preuves, tome I, col. 293, première édition

  22. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. II. Theil, Straßburg 1909 p. 315-323.

  23. Jean Houpert, La Prévôté d'Insming : repeuplement et restauration d'un canton lorrain après la guerre de Trente ans, Éditions Naaman, Sherbrooke, 1975 p. 71.

  24. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. I. Theil, Straßburg 1909 p. 241.

  25. Hermann Peter Barth, Die Herrschaft Hingsingen. Zeitschrift für die Geschichte der Saargegend. XII Saarbrücken 1962, p. 134-148.

  26. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. I. Theil, Straßburg 1909 p. 241-243.

  27. Henri Hiegel : Le bailliage d'Allemagne de 1600 à 1632. Tome 1 : L'administration, la justice, les finances et l'organisation militaire, Sarreguemines, Éditions Pierron, 1961 p. 113-116.

  28. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. II. Theil, Straßburg 1909 p. 184.

  29. Henri Lepage : Les Communes de la Meurthe: journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, Publié par A. Lepage, 1853 p. 576-577.

  30. Weistum von Leiningen. Landesarchiv des Saarlandes, Saarbrücken Amtsbuch Nassau-Saarbrücken II 2441, 665-670.

  31. Irmtraut Eder: Die saarländischen Weistümer, Dokumente der Territorialpolitik. Minerva-Verlag Thinnes u. Nolte, Saarbrücken 1978

  32. Jean Houpert, La Prévôté d'Insming : repeuplement et restauration d'un canton lorrain après la guerre de Trente ans, Éditions Naaman, Sherbrooke, 1975 p. 69-70.

  33. Charles ETIENNE : Cahiers de doléances des bailliages des généralités de Metz et de Nancy pour les États généraux de 1789. Première série, Département de Meurthe-et-Moselle. Tome 2, Cahiers du bailliage de Dieuze, Imprimerie Berger-Levrault, Nancy 1912 p. 194-209.

  34. Jean-Louis Masson: Histoire administrative de la Lorraine. Éditions Fernand LANORE, Paris 1982, p. 139.

  35. François Roth, Alsace Lorraine histoire d’un « pays perdu » de 1870 à nos jours, Place Stanislas Éditions, 2010, (ISBN 978-2-35578-050-9).

  36. 14 juin 1940 : la bataille de Cappel. Le Republicain Lorrain, édition du 19 juin 2012

  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  40. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.

  41. Marcel Lutz, Maurice Toussaint La Moselle gallo-romaine Société d'Histoire et d'Archéologie de la Lorraine, section de Sarrebourg, 1991 p. 67.

  42. « Base Mérimée ».

  43. Jean Houpert, La Prévôté d'Insming : repeuplement et restauration d'un canton lorrain après la guerre de Trente ans, Éditions Naaman, Sherbrooke, 1975 p. 72.

  44. Thimothée Moser : La « croix en pierre de Léning ». Les cahiers Lorrains, Nr. 2, avril 1952, p. 26-27. (ISSN 0758-6760)

v · mCommunes de la Moselle de moins de 500 habitants
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