Maison de Montesquiou (original) (raw)

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Maison de Montesquiou
Image illustrative de l’article Maison de Montesquiou Armes
Blasonnement D'or, aux deux tourteaux de gueules, l'un sur l'autre
Devise Deo duce, ferro comite(Dieu pour guide et l'épée pour compagne)
Branches de Monlucde Marsande Sainte-Colombede Xaintraillesde Pressacde Poylobond'Artagnan
Période XIe siècle - aujourd'hui
Pays ou province d’origine Drapeau de la Gascogne Gascogne
Fiefs tenus Montesquiou
Demeures Montesquiou, Marsan, Artagnan, Bourron-Marlotte, Longpont, Courson, Courtanvaux, Les Hayes, Hauteville, La Roche, Mauperthuis, Xaintrailles
Charges Grand chambellan de l'EmpireMinistre de l'IntérieurSénateursDéputésAmbassadeurMaires
Fonctions militaires Maréchal de FranceAmiralGénéral
Fonctions ecclésiastiques Cardinal, évêques
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour 1758 à 1790
Autres ANF-1959
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La maison de Montesquiou est une famille subsistante de la noblesse française, d'extraction féodale, originaire de Gascogne. Elle a formé de nombreuses branches, dont la branche de Marsan fut titrée duc en 1821 et s'éteignit en 1913, et dont seule subsiste aujourd'hui la branche d'Artagnan, titrée comte de l'Empire en 1810.

Cette famille a donné trois maréchaux de France (dont deux dans la famille de Lasseran de Massencome de Montluc, dont le rattachement est contesté par certains auteurs[1]), un amiral, un cardinal, deux évêques, plusieurs officiers généraux, un ministre, des députés et sénateurs, et deux membres de l'Académie française.

La maison de Montesquiou dont la filiation suivie remonte selon les auteurs à 1050[2] ou 1148[3] ou 1190[4], a été reconnue en 1777 comme issue des anciens comtes de Fezensac, par Raymond-Aymeric, premier baron de Montesquiou au début du XIe siècle (son décès date de 1070), présenté comme le fils cadet d’Aymeric, comte de Fezensac. Bernard Chérin indique que cette filiation est établie à partir d'une notice d'une écriture du XIVe siècle insérée à la fin du Cartulaire noir de l'église Sainte Marie d'Auch[5],[6].

Après avoir fait examiner les titres par lesquels les Montesquiou revendiquaient leur filiation, le Grand Conseil a reconnu cette ascendance en 1777[3], et le roi Louis XVI permit ainsi à tous les membres de la maison de Montesquiou de joindre à leur nom celui de Fezensac et à l'aîné de se faire appeler le comte de Fezensac[3]. Un arrêt du parlement de Paris de 1783 confirma la reconnaissance de cette adjonction[7],[8].

En 1784 le comte de Montesquiou fit rédiger la généalogie de sa famille par Bernard Chérin et l'abbé Jean Thècle de Vergès[9], puis la fit imprimer en un volume[10].

La maison de Montesquiou tient son nom de la terre de Montesquiou, dans le Gers. Ce nom, attesté sous la forme Montesquivo au XVe siècle, Monteschivum (1162), de l'ancien occitan esquiu, signifie sauvage, hostile, d'où « mont sauvage »[11]. Esquieu ou Esquiou est aussi un sobriquet devenu un nom de famille bien attesté, qui a pu désigner le possesseur primitif de ce lieu : « mont d'Esquiou »[12].

La famille de Montesquiou a formé plusieurs branches[13],[3] :

Les premiers barons de Montesquiou, du XIIe au XIVe siècle, sont des vassaux des comtes de Fezensac puis d'Armagnac. Ils participent aux divers conflits féodaux de Gascogne, et se joignent à la 3e croisade de Philippe Auguste et à la croisade des Albigeois[réf. nécessaire].

Lors de la destruction des Armagnacs par Louis XI, la famille de Montesquiou hésite entre la suzeraineté du roi de France et celle du roi de Navarre, les Albret, la branche ainée passant du côté français, les cadets du côté navarrais.

Cette division persiste à travers les guerres de Religion, l'aîné étant capitaine des gardes du corps du duc d'Anjou, futur Henri III, lors de la bataille de Jarnac (où il assassine Henri Ier de Bourbon-Condé, protestant), tandis que la plupart des branches cadettes soutiennent Henri de Navarre, le futur Henri IV, bien que la branche de Sainte-Colombe se trouve exterminée par les troupes protestantes.

La famille de Lasseran de Massencome de Montluc, donnée comme issue de la famille de Montesquiou, s'illustra lors des guerres d'Italie puis lors des guerres de Religions avec Blaise de Montluc, serviteur de cinq rois, élevé à la dignité de maréchal de France par Henri III en 1574 et dont les mémoires étaient décrites comme "la bible du soldat" par Henri IV, pourtant longtemps son ennemi. Son frère, l'archevêque de Montluc, prince de Chabannais, s'illustra comme émissaire auprès de Soliman le Magnifique et son fils légitimé, le maréchal de Balagny, prince de Cambrai, bénéficia des faveurs d'Henri IV et de Gabrielle d'Estrées, dont il avait épousé la sœur aînée, Diane. Le dernier représentant, l'écrivain Adrien de Montesquiou-Montluc, fut emprisonné par Richelieu et cette branche s'éteignit par les mâles au XVIIe siècle[17].

Une branche cadette, les Montesquiou d’Artagnan, montent à Paris au service du Roi. Dix d'entre eux serviront comme comme mousquetaires puis militaires sous Louis XIII et ses descendants, dont le maréchal d'Artagnan, Joseph de Montesquiou d'Artagnan et Anne-Pierre de Montesquiou-Fézensac et ses fils, jusqu'à la dissolution des régiments de mousquetaires lors de la Révolution française[18]. Cette branche rallia ensuite Napoléon Ier, le Pierre de Montesquiou-Fezensac obtenant notamment la charge de Grand Chambellan de l'Empire en remplacement de Talleyrand.

À travers ses différentes branches, la famille de Montesquiou fut reçue 10 fois aux Honneurs de la Cour de 1758 à 1790[19]. Lors de la Révolution, elle est présente dans les Trois Ordres de États Généraux de 1789, l’abbé de Montesquiou siégeant sur les bancs du clergé tandis que le marquis de Montesquiou, député de la noblesse, ralliait le tiers état lors de la nuit du 4 août. Il présidera plusieurs fois l'Assemblée constituante et, en tant que général, annexa la Savoie à la France.

La branche de Marsan fut illustrée sous la Restauration avec l'abbé François-Xavier-Marc-Antoine de Montesquiou-Fézensac, ministre de l'Intérieur, titré de duc de Fezensac et pair de France en 1821. Cette branche s’éteignit en 1913 avec Philippe André de Montesquiou, troisième et dernier duc de Fezensac[1].

Il ne subsiste plus aujourd'hui que la branche d'Artagnan[20], issue de Manaud de Montesquiou, vivant en 1492[13],[3], seigneur de Salles en Lauragais, dont le fils Paulon de Montesquiou, écuyer du roi de Navarre, épousa en 1524 Jeanne d'Estaing, dame et héritière de la seigneurie d'Artagnan en Bigorre, qu'elle lui légua en 1541 avant son décès. Il n'eut pas d'enfant de son épouse, se remaria en 1545 à Claude de Tersac et fut l'auteur de la branche subsistante.

La famille délaissa progressivement le nom d'Artagnan au début du XIXe siècle, au profit de celui de Fezensac, jugé plus prestigieux puisque issu des anciens comte de Gascogne, qui furent longtemps considérés comme d'ascendance mérovingienne du fait de la fausse charte d'Alaon. Henri de Montesquiou-Fézensac fut le dernier à porter le titre de courtoisie de comte d'Artagnan. Son décès en 1844 coïncide avec la publication du roman des Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas qui rendit soudain le nom célèbre, à la colère de la famille Montesquiou.

Par décret du 16 mars 2012, Aymeri de Montesquiou-Fezensac, Jean-Louis de Montesquiou-Fezensac et leurs enfants ont été autorisés à ajouter le nom « d'Artagnan » à leur patronyme devenant « de Montesquiou-Fezensac d'Artagnan. » Des membres d'une famille de Batz, revendiquant une parenté avec le célèbre d'Artagnan, s'opposèrent sans succès à cette demande de changement de nom[21]. En effet, le mousquetaire célèbre ne s'appelait pas « d'Artagnan » mais Charles de Batz de Castelmore. Il avait emprunté ce nom à la famille de sa mère, Françoise de Montesquiou d’Artagnan, lorsqu'il vint à la cour pour se mettre au service du roi, et c'est lui qui l'a rendu célèbre[22].

Arbre généalogique simplifié des différentes branches de la famille de Montesquiou

La branche éteinte de Marsan fut titrée :

La branche subsistante d'Artagnan fut titrée :

Devenu chef de nom et d'armes en 1913, Joseph, comte de Montesquiou Fezensac (1875-1939), décida de relever proprio motu le titre de « duc de Fezensac »[40],[41].

Ce titre ducal est irrégulier puisque ses porteurs ne descendent d'aucun duc de Fezensac (l'ancêtre commun avec la branche de Marsan étant Barthélemy de Montesquiou, né vers 1405 et mort en 1482).

L'historien Joseph Valynseele écrivait à ce sujet au milieu du XXe siècle : « Le titre de marquis porté tout d’abord par Joseph de Montesquiou-Fezensac n’était lui-même au reste qu’un titre de courtoisie : quoi qu’on ait une usurpation vieille de plusieurs générations ne saurait en effet tenir lieu de bonnes lettres patentes. Le duc de Fezensac d’aujourd’hui, fils de Joseph, n’est de la sorte authentiquement que, tout à la fois, chevalier de l’empire, baron de l’empire, baron de 1824 et comte de l’empire, titres conférés à son arrière-arrière-grand-père, le fils ainé de la gouvernante du roi de Rome, pour les deux premiers, et au mari de cette dernière pour le troisième et le quatrième[41] ».

La famille de Lasseran de Massencome de Montluc (éteinte en 1642), rattachée à la famille de Montesquiou mais dont le rattachement est contesté par Borel d'Hauterive[1], porta les titres suivants :

Les différents membres de la famille de Montesquiou ont possédé ou possèdent, entre autres, les châteaux de Montesquiou, d’Artagnan, de Marsan, de Montluc, d'Estillac, de Xaintrailles, de Mauperthuis, Courtanvaux, Longpont, des Hayes, du Fresne, de Bourron-Marlotte et Courson.

À Paris, ils ont fait bâtir l'hôtel de Montesquiou, boulevard des Invalides, et l'hôtel de Montesquiou-Fezensac, quai d'Orsay.

Figure Blasonnement
D'or aux deux tourteaux de gueules, l'un sur l'autre.[43]
Branche de Monluc Écartelé : au 1 et 4 d'azur, au loup ravissant d'or; au 2 et 3 d'or au tourteau de gueules.[44]
Branche de Montesquiou-Sainte-Colombe Écartelé : au 1 et 4 de Montesquiou ; au 2 et 3 d'azur, à trois colombes d'argent, accompagnées en chef d'un croissant du même (Sainte-Colombe)
Branche de Montesquiou-Marsan Parti : au 1 de Montesquiou; au 2 de gueules pleins.
Pierre de Montesquiou-Fezensac, grand chambellan de l'empire :D'or à deux tourteaux de gueules, posés en pal, au canton des comtes membres de collège électoral brochant. L'écu posé sur les insignes de grand chambellan de l'Empire. Toque de comte de l'Empire, manteau des sénateurs de l'Empire.

Branche de Marsan :

Branche d'Artagnan :

  1. Le rattachement de la famille de Monluc à la famille de Montesquiou est contesté par Borel d'Hauterive qui écrit : « La postérité de Blaise de Montluc était éteinte depuis un siècle, nul héritier direct ne pouvait revendiquer la haute illustration de cette famille, les Montesquiou mirent tous leurs soins à la rattacher à leur maison comme rameau de la branche cadette de Lasseran Massencomme. Quelques points d'analogie dans les armes et les alliances contractées entre les deux familles donnèrent au système de jonction une apparence de probabilité ou du moins de vraisemblance. La complaisance des généalogistes fit le reste et grâce à la haute considération dont jouissait le nom de Montesquiou, pas une voix ne s'éleva pour émettre le moindre doute. Voici comment les auteurs de la troisième édition de L'Histoire des grands officiers de la Couronne _du Père Anselme dans le tome 7 publié en 1738 établirent pour la première fois que les Montluc étaient issus des Montesquiou._»

  2. a b c et d Borel d'Hauterive, Revue historique de la noblesse, volume 2, 1841, p.173

  3. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, 2007, page 142.

  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s Raoul de Warren, Grand Armorial de France, tome 5, p.92

  5. Almanach de Gotha, Justus Perthes, 1905, page 335.

  6. Bernard Chérin, Abbé Jean Thècle de Vergès, Généalogie de la maison de Montesquiou-Fezensac, suivie de ses preuves, 1784, page 2.

  7. Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, revue d'érudition, 1901, page 276.

  8. André François Joseph Borel d'Hauterive, Howard Horace d'Angerville et Albert Révérend, Annuaire de la noblesse de France et d'Europe, 1843 (lire en ligne)

  9. Almanach de Gotha, 1902, p.330

  10. Bernard Chérin et Abbé Jean Thècle de Vergès (non mentionné dans l'ouvrage), Généalogie de la maison de Montesquiou-Fezensac, suivie de ses preuves, Paris, Valade, 1784 (BNF 30233721, lire en ligne)

  11. Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, volume 1, 1879, p.150

  12. Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux de France, Paris, éd. Guénégaud

  13. Bulletin de la Société archéologique, historique, littéraire & scientifique du Gers, volume 72, Impr. Th. Bouquet, 1971, p.692

  14. a b et c Anselme de Sainte-Marie, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la couronne, tome 7, 1773, p.262 à 294. "Généalogie de la maison de Montesquiou"

  15. François-Alexandre de La Chenaye-Aubert, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, t. X, Paris, Antoine Boudet, 1775, 2e éd. (lire en ligne), p. 327.

  16. Histoire de la maison de Montesquiou-Fezensac, par M. le duc de Fezensac, 1847, p. 119

  17. Jean Castarède, Histoire de la Guyenne et de la Gascogne, 1997, p. 198

  18. Georges Martin, Histoire et généalogie de la Maison de Montesquiou, Lyon, SudOffset, 2005, 347 p. (ISBN 978-2-901990-04-8), p. 14

  19. a et b Odile Bordaz, D'Artagnan et les mousquetaires du Roi, Paris, Balzac Éditeur, 2018, 463 p. (ISBN 978-2-913907-65-2).

  20. E. de Séréville & F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la Noblesse française, 1975, p.730

  21. Hervé Drévillon, L'Impôt du sang : Le métier des armes sous Louis XIV, 2005, p.64

  22. http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?oldAction=rechJuriAdmin&idTexte=CETATEXT000027377282&fastReqId=1060873153&fastPos=1 Arrêt 359472 du Conseil d'État du 29 avril 2013

  23. Histoire de la maison de Montesquiou-Fezensac par M. le duc de Fezensac. Imprimerie de Guiraud, Paris, 1847, p.157 et 158

  24. Conseil constitutionnel, « Décision no 2015-4931 SEN du 11 juin 2015 », 11 juin 2015 (consulté le 11 juin 2015).

  25. [AN, BB/29/1056, page 420] « Philippe André Aimery Charles de Montesquiou Fézensac, successeur au titre de baron accordé à son grand-père, Raimond Aimery Philippe Joseph de Montesquiou Fézensac. Donné à Paris, le 15 novembre 1869. », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  26. a b c et d Albert Révérend, Armorial du premier empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, vol. 3, Paris, Au bureau de "L'Annuaire de la noblesse", 1896 (lire en ligne), p. 266-270

  27. a b c et d Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830, vol. 5, Paris, Honoré Champion, coll. « Les familles titrées et anoblies au XIXe siècle », 1905 (lire en ligne), p. 162-164

  28. [AN, BB/29/984, pages 57 et 58] « Titre de duc et pair, accordé à François, Xavier, Marc, Antoine de Montesquiou, à la suite de l'ordonnance du 17 août 1815. Paris (25 octobre 1821) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  29. [AN, CC//961, p. 55] « Titre de duc et pair, accordé à François Xavier Marc Antoine de Montesquiou, élevé à la dignité de pair de France par l'ordonnance du 17 août 1815. Paris (25 octobre 1821) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  30. [AN, BB/29/1056, page 421] « Philippe André Aimery Charles de Montesquiou Fézensac, successeur au titre de duc accordé à son grand-père, le Duc de Montesquiou-Fézensac. Donné à Paris, le 15 novembre 1869. », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  31. « Titre de chevalier, accordé suite au décret le nommant membre de la Légion d'honneur en date du 28 juin 1807, à Eugène Montesquiou. Bayonne (24 juin 1808) », AN, BB/29/970, page 103, sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  32. [AN, BB/29/966, page 327] « Titre de comte, accordé par décret du 31 janvier 1809, à Elisabeth, Pierre Montesquiou Fezensac. Paris (10 février 1809) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  33. [AN, BB/29/967, page 37] « Titre de comte, accordé par décret du 3 décembre 1809, à Henry de Montesquiou Fezensac. Paris (14 février 1810) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  34. [AN, BB/29/967, page 426] « Titre de baron, accordé par décret du 15 août 1809, à Charles, Eugène de Montesquiou Fezensac. Saint-Cloud (29 août 1810) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  35. [AN, BB/29/967, page 203] « Titre de baron, accordé par décret du 15 août 1809, à Ambroise, Anatole, Augustin de Montesquiou-Fezensac. Compiègne (26 avril 1810) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  36. [AN, CC//962, pages 29 et 29 bis] « Titre de baron et pair, accordé à Elisabeth Pierre comte de Montesquiou Fezensac, élevé à la dignité de pair de France par l'ordonnance du 5 mars 1819. Paris (23 avril 1824) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.

  37. a et b (es) Fernández-Mota de Cifuentes, « Relación de Títulos Nobiliarios vacantes ... (Continuación) », Hidalguía : La revista de genealogía, nobleza y armas : Publicación bimestrial, vol. XVI, no 86,‎ enero-febrero 1968, p. 89 (lire en ligne)

  38. (es) Cárdenas Piera (de), Catálogo de títulos nobiliarios : Sacados de los legajos de Estado en el Archivo Histórico Nacional, Madrid, Ediciones Hidalguia, 1982, 274 p. (ISBN 978-84-00-05066-5, lire en ligne), p. 146

  39. (es) « Ministerio de Gracia y Justicia : Parte civil : Títulos del reino », Gaceta de Madrid,‎ martes 16 de agosto 1853, p. 1 (lire en ligne)

  40. (es) Alonso de Cadenas y Lopez, Suplemento al Elenco de grandezas y títulos nobiliarios españoles : Appendice II, Títulos vacantes y títulos extranjeros cuyo uso fue autorizado en España, Madrid, Ediciones Hidalguia, 1991, 126 p. (ISBN 978-84-87204-29-6, lire en ligne), p. 59

  41. Généalogie de la maison de Montesquiou-Fezensac, suivie de ses preuves, imprimerie de Valade, Paris 1784, p.257

  42. a et b Joseph Valynseele, Les maréchaux de la Restauration et de la Monarchie de Juillet, leur famille et leur descendance, Paris, 1962 (lire en ligne), p. 88

  43. Louis Moreri, Le grand dictionnaire historique, ou le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, volume 3, 1759, p.96

  44. Anselme de Sainte-Marie, Histoire de la Maison royale de France, et des grands officiers de la Couronne, tome 7, 1733, page 263.

  45. Véronique Garrigues, Adrien de Monluc (1571-1646) : d'encre et de sang, Presses universitaires, Limoges 2006, page 215.