Maisons-Alfort (original) (raw)

Maisons-Alfort
Maisons-Alfort L'hôtel de ville.
Blason de Maisons-AlfortBlason Maisons-AlfortLogo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Créteil
Intercommunalité Métropole du Grand ParisEPT Paris-Est-Marne et Bois
Maire Mandat Mary-France Parrain (LR) 2021-2026
Code postal 94700
Code commune 94046
Démographie
Gentilé Maisonnais
Population municipale 58 068 hab. (2021 en évolution de +5,74 % par rapport à 2015)
Densité 10 854 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 21″ nord, 2° 26′ 16″ est
Altitude Min. 24 mMax. 47 m
Superficie 5,35 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris (banlieue)
Aire d'attraction Paris (commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Maisons-Alfort(bureau centralisateur)
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceMaisons-Alfort Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceMaisons-Alfort Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Voir sur la carte topographique du Val-de-MarneMaisons-Alfort Géolocalisation sur la carte : Île-de-France Voir sur la carte administrative d'Île-de-FranceMaisons-Alfort
Liens
Site web https://maisons-alfort.fr/
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Maisons-Alfort est une commune française du Val-de-Marne, en Île-de-France. Elle se situe dans la banlieue sud-est de Paris, à trois kilomètres de la capitale (et à 600 mètres du Bois de Vincennes, Paris 12e), sur la rive sud de la Marne.

Son positionnement lui permet un accès rapide à plusieurs axes majeurs de communications franciliens que sont l'A4 au nord ou l'A86 au sud. Sa population actuelle en fait la sixième ville la plus importante du département derrière Vitry-sur-Seine, Créteil, Champigny-sur-Marne, Saint-Maur-des-Fossés et Ivry-sur-Seine. Ses habitants sont appelés les Maisonnais.

Carte

Les limites communales de Maisons-Alfort et celles de ses communes adjacentes.

Autrefois plus étendue, elle perdit partie de son territoire quand la commune d'Alfortville fut créée en 1885. Maisons-Alfort est l'une des 47 communes du Val-de-Marne, dont le chef-lieu est Créteil.

Elle a la forme d'un triangle :

Maisons-Alfort est entourée des six communes suivantes en commençant au nord et en tournant dans le sens des aiguilles d'un montre : Charenton-le-Pont, Saint-Maurice, Joinville-le-Pont, Saint-Maur, Créteil et Alfortville.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 631 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Joinville-le-Pont à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 654,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records JOINVILLE (94) - alt : 37m, lat : 48°48'49"N, lon : 2°27'45"ERecords établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023

Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,5 4,7 7,1 10,6 13,9 15,8 15,6 12,4 9,3 5,6 3,1 8,6
Température moyenne (°C) 5,2 6 9,2 12,4 15,8 19,1 21,3 21,1 17,4 13,3 8,7 5,6 12,9
Température maximale moyenne (°C) 7,9 9,5 13,7 17,6 21 24,3 26,8 26,5 22,5 17,4 11,7 8,1 17,3
Record de froid (°C)date du record −15,617.01.1985 −12,107.02.1991 −6,601.03.05 −2,512.04.1986 108.05.1997 4,804.06.1991 7,514.07.08 6,829.08.1986 418.09.10 −128.10.03 −6,824.11.1998 −9,529.12.1996 −15,61985
Record de chaleur (°C)date du record 17,327.01.03 22,527.02.19 27,531.03.21 3120.04.18 33,427.05.05 38,921.06.17 42,525.07.19 4112.08.03 35,908.09.23 3103.10.11 22,508.11.15 17,217.12.15 42,52019
Précipitations (mm) 52 47,1 46,3 45,4 62,9 54,2 59,1 55,9 49,9 56,2 59,2 65,8 654

Source : « Fiche 94042001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base

Au 1er janvier 2024, Maisons-Alfort est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[I 4],[I 5].

Maisons-Alfort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[I 6],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[I 7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 8],[I 9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[I 10],[I 11].

La ville ne respecte pas le rythme et l'objectif de la loi SRU (votée en 2000), atteindre 25 % de logements sociaux/HLM (de tous types, y compris logements étudiants ou maisons de retraite abordables), elle doit payer des amendes à l'État (https://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/logements-sociaux-13-communes-a-l-amende-dans-le-val-de-marne-12-04-2018-7660695.php et https://actu.fr/societe/ces-maires-du-val-de-marne-demandent-plus-de-temps-pour-construire-leurs-logements-sociaux_57482241.html).

En 1312, il est fait mention d'un bâtiment que l'on nommait hôtel d'Harrefort ; il relevait de l’abbé de Saint-Maur. Sur un titre de l’an 1495, il est question de Jean de Harcourt, comte de Vaudémont - il semble bien que Harcourt et Harrefort ne devaient faire qu’un. Plus tard, en 1612, on trouve le château d'Hallefort. M. Mallet de la Cour des comptes, en était possesseur. Plus tard, on peut encore lire :

Louis de Falcony, seigneur d'Alfort, possédait plusieurs pièces de terre ; la moitié de la basse-cour d'Alfort, le tout jusqu’à la concurrence de 64 arpents 1/2, ayant compris 16 arpents que M. l’Archevêque venait de lui inféoder dans la censive de Maisons ; mais M. l’Archevêque érigea cette portion d'Alfort en fief, à la prière de Falcony, par acte, devant Dupuis et Nicolas Boucher, notaires à Paris, le 27 juillet 1641.

En 1765, Jean-Louis de L'Héraud ou Lhéreau, seigneur de la baronnie de Bormes, vendit cette propriété pour qu'y soit fondée l’École Vétérinaire par Claude Bourgelat. La ferme de Maisonville restée en dehors de l'opération, comprenait, outre les bâtiments d’exploitation, 500 arpents de terres et prés.

Vestiges de l'orangerie de l'ancien château de Charentonneau.

Charentonneau semble être d'origine aussi ancienne que le village de Maisons. C'est parfois Charentonnellum, Carentoniolo, ou Charentonnet que l'on rencontre.

Il est vaguement question en 1240 et 1246 de Charentonnellum. En 1281, l'abbé de Saint-Maur était propriétaire du moulin de Charentonneau, auquel les hommes de Maisons étaient banniers[10]. Le 14 octobre 1377, le roi Charles V acheta à Nicolas Braque, son maître d’hôtel, « la maison qu'il avait à Charentonnel près du pont de Charenton, et ses dépendances » pour 3 200 livres d'or. Il la donna à Philippe de Mézières, chancelier de Chypre. Cette charte est datée de Beauté-sur-Marne, 1377. À cette époque, le pont de Charenton est parfois désigné sous le nom de pont de Charentonneau. En 1444, à Nicolas Duru, huissier au Parlement, achète le fief de Charentonneau avec mention d'un manoir près du pont. En 1641, M. de Falcony devient possesseur des domaines de Charentonneau, d'Alfort et de la ferme de Maison Ville. Par la suite, René Gaillard, propriétaire du château voisin, en fait l'acquisition en 1671. Le domaine est saisi et vendu comme bien national sous la Révolution et remanié à la fin du XVIIIe siècle. Il est acquis le 31 janvier 1808 par le baron Rodier Saliège et revendu à Charles-François Grimoult en 1832. Le domaine passe ensuite à ses descendants Delalain[Lequel ?], Jouët et Jouët-Pastré puis partagé en lotissement à la fin du XIXe siècle. Le château est mentionné au XVIIe siècle sur une gravure d'Albert Flamen datée de 1646 et au XVIIIe siècle par Piganiol de La Force. Il fut détruit à la fin des années 1950 et il ne subsiste actuellement que deux murs de l'orangerie[11]. Le château, alors encore debout, et la cité de Château-Gaillard, alors en construction, furent en 1958, le cadre du tournage de quelques scènes au début du film Archimède le clochard, avec Jean Gabin. On aperçoit brièvement le château dans ce film.

Le château de Reghat a été construit au XVIIIe siècle, c'est l'une des demeures les plus anciennes de Maisons-Alfort[12]. Il a été utilisé comme rendez-vous de chasse de Louis XV et a servi de lieu de séjour pour la Marquise de Pompadour. Ses façades sur jardin et ses toitures sont inscrites depuis 1979 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. À partir de 1872, il est devenu la propriété de la société de fabrique de levures fondée par le baron Max von Springer, devenue depuis Bio-Springer (groupe Lesaffre).

Dans le cadre d'un mécénat de Bio-Springer, le château abrite depuis 2003 le Musée de Maisons-Alfort[13].

Carte des quartiers.

(en faisant le tour de la ville, dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant du nord)

Ce n'est qu'à partir de 1880 que l'on construisit les premières maisons que l'on peut assimiler à nos lotissements actuels. Au milieu du XXe siècle, seuls ces deux derniers quartiers étaient urbanisés. Le reste du territoire de la commune était occupé par des terrains maraîchers.

La Ville est traversée par l'ancienne route nationale 6, qui contourne le centre-ville, et l'ancienne route nationale 19, ainsi que par l'autoroute A86.

Elle est desservie au nord par l'autoroute A4 (qui passe de l'autre côté de la Marne, sur la commune de Charenton-le-Pont).

Les deux anciennes routes nationales partent du carrefour de la Résistance, situé à l'entrée nord-ouest de la ville en venant du pont de Charenton.

Durant sa traversée de Maisons-Alfort, la RD 6 (ex-RN 6), prend successivement les noms d'avenue du Général-de-Gaulle, puis avenue du Professeur-Cadiot, puis avenue Léon-Blum, puis rue Jean-Jaurès. Elle est orientée vers le sud le long de la voie de chemin de fer sur la plus grande partie de son tracé, mais elle s'en écarte provisoirement pour contourner la partie du centre-ville où se situe la mairie. Dans le passé, cependant, la route principale, correspondant globalement à l'actuelle départementale, pénétrait dans le centre-ville (partie sud de l'avenue du Général-de-Gaulle) et se dirigeait directement sur l'église Saint-Rémi, ce qui est un signe de l'ancienneté du tracé (sans doute une voie romaine).

La RD 19 (ex-RN 19), sous le nom d'avenue du Général-Leclerc, est orientée transversalement vers le sud-est en coupant la ville en deux parties. La partie est de la RN 19 est surtout résidentielle avec des quartiers pavillonnaires et les bords de Marne, tandis que la partie ouest abrite la plus grande part des équipements urbains (École vétérinaire, Fort de Charenton, mairie, cimetière, terrains de sport, établissements d'enseignement supérieur, usines Bio-Springer et Aventis, grands ensembles d'habitation, voie ferrée).

Le RER D et la ligne 8 enjambant la Marne à Maisons-Alfort.

Maisons-Alfort bénéficie d'une situation géographique favorable à l'usage du vélo avec la proximité immédiate des quais de la Marne, aménagés à Saint-Maurice en véloroute de Joinville-le-Pont à Paris. Des pistes cyclables séparées du trafic motorisé sont aménagées le long des deux principaux axes de circulation en direction de Paris, la RD19 et la RD6, toutefois ce n'est pas le cas du principal axe traversant la ville de l'ouest au nord-est, l'avenue de la République.

En 2018, l'extension du SAVM Vélib aux communes de la Métropole du Grand Paris permet à la Ville d'y adhérer. Sept stations Vélib' sont implantées à Maisons-Alfort :

En 2019, le Collectif Vélo Île-de-France présente un projet de réseau cyclable structurant à l'échelle de la région Île-de-France, le RER V. Construit par les militants associatifs, il intègre la RD19 (avenue du Général Leclerc) dans la "ligne" D, reliant Paris à Tournan-en-Brie. En 2020, la Région Île-de-France adopte le projet de RER V et définit les axes à aménager prioritairement. La ligne Paris-Tournan devient la ligne E et est programmée pour la première phase de l'aménagement du réseau, à partir de 2025[16].

Depuis 2017, la Fédération des Usagers de la Bicyclette organise tous les deux ans une enquête en ligne afin de connaître le ressenti des cyclistes sur les communes où ils circulent. Les répondants sont invités à répondre à une cinquantaine de questions et à noter, sur une échelle de allant de 1 à 6, différents aspects des conditions de circulation, de stationnement, d'efforts de leur collectivité menés depuis la précédente édition pour améliorer la place du vélo.

Panneau d'entrée depuis Alfortville.

L'origine du nom de la ville serait lié au fait que les premiers habitants se seraient installés à la confluence de la Marne et de la Seine et qu'au fil du temps, le bourg aurait pris l'appellation de « les Maisons ». Il est possible qu'il s'agissait à l'origine d'une mansio, c'est-à-dire un lieu de repos le long de la voie romaine. Le site des Mansiones est mentionné dès l'an mil ; il a alors déjà pris de l'importance et s'est doté d'une église paroissiale[19].

La deuxième partie du nom apparaît au XIVe siècle sous la forme de Hareford ou Harefort[19] ; elle vient d'un hameau de la commune qui à l'origine (au XIIe siècle) était un domaine de Pierre d'Aigueblanche, seigneur d’Herefort – francisation de Hereford (Angleterre), où le savoyard Pierre d'Aigueblanche a été intronisé en 1240 Bishop of Hereford, c'est-à-dire évêque d'Hereford. Le temps passant, le nom évolua en Hallefort (attesté en 1612) et enfin Alfort à partir du XVIIIe siècle[19].

Dès la fin du XVIIe siècle, Maisons et son hameau Alfort ont été assemblés sous la désignation Maisons-Alfort[19].

Les fouilles archéologiques réalisées à Maisons-Alfort en 1994 ont livré les vestiges d'une occupation préhistorique, néolithique et protohistorique, datée entre 200 000 et 160 000 ans. Sur les rives de la Marne on retrouve des restes d'une sépulture, un mégalithe, quelques vestiges plus à l'est et quelques outils. Dans les années 1990, lors de fouilles près du pont de Charenton, un important habitat néolithique, avec une sépulture, a été exhumé par le LDA (Laboratoire Départemental d'Archéologie 94) puis par l'AFAN (Association pour les fouilles archéologiques nationales)[20]. Ces vestiges archéologiques ont donné des indices importants et inédits sur le mode de vie de l’Homme de Néandertal dans le Bassin parisien. Les fouilles de 1997 et 1998 ont permis de découvrir des restes osseux d’un cheval de Mosbach, d’un cerf élaphe, d’un jeune mammouth, d’un auroch et d’un grand canidé[21].

Lors de la construction du fort de Charenton au XIXe siècle, on fit la découverte d'une structure en bordure d'un ancien chemin, probablement identifiable à un tumulus, relief visible appelé « Butte de Grammont ». On y découvrit plusieurs sépultures dont certaines présentent un certain apparat. Elles sont datables de la Tène ou de l'époque romaine[22].

Donation par Hugues Capet en 988 du domaine de Maisons-Alfort à l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés (Archives nationales).

Dès 988, on trouve mention au sein d’une charte, de l’expression d’un village dénommé Mansiones ou encore Maisons. Cette charte énonce la donation des terres de Maisons-Alfort de Hugues Capet vers l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés. À la suite de quoi, quatre ans après ce don en 992, le pape Jean XV fonde la cure de Maisons appelée église « ecclesium Mansionibus ».

Par sept chartes successives des années 1262, 1269, 1287, 1291, 1301, 1324 et 1325, les abbés de Saint-Maur « affranchirent de toutes servitudes 143 chefs de ménage et leur postérité née et à naître (…) ». En comptant cinq personnes par ménages, la population est alors estimée à 715 habitants. Cette estimation ne prenant pas en compte les seigneurs, le curé et les serfs qui n'ont pas été affranchis, si toutefois il en reste. Cependant, s’agissant de ce recensement, on ignore s'il n’est question que des serfs de Maisons. En effet, il est plausible que ceux de Créteil, qui appartenaient également aux abbés de Saint-Maur, soient, eux aussi, compris au sein du comptage de la population. Ainsi au vu de ces données, on peut raisonnablement avancer un total approximatif d’environ 800 personnes, soit environ 400 pour Maisons, ce qui semble vraisemblable d’après les informations que l’on dispose et de par la comparaison que l’on puisse faire avec d’autres hameaux de taille comparable contemporains à cette période.

Par cet écrit : « (…) cependant, par une charte du samedi avant la Chandeleur, en 1295, l'abbé de Saint-Maur amortit à la confrairie lesdits deux quartiers de vigne (…) ». On apprend que du vin y est produit, ce qui constitue un témoignage des aspects économiques et sociaux de Maisons-Alfort durant le Moyen Âge.

En 1358, lors de la guerre de Cent Ans, les Anglais et Charles de Navarre prennent le pont de Charenton. Toutefois, on ignore tout du sort des habitants.

En 1465, l'armée de la Ligue du Bien public, formée par des seigneurs contre le roi de France Louis XI, campe dans le voisinage du pont. De nombreux combats y sont livrés. Maisons-Alfort est durant un temps un champ de bataille où s'expriment les belligérants de cette guerre seigneuriale[23].

Lors des guerres de religion, en 1567, les calvinistes s'emparent du pont de Charenton. Point de passage stratégique, en 1590, une nouvelle bataille a lieu pour la possession de ce même pont ; Henri IV l'enlève aux soldats de la Ligue catholique pendant le siège de Paris.

En raison du coût de la guerre, le roi décida de faire payer à nouveau, en 1652, le droit d'amortissement[24]. Il y a lieu de remarquer que si, d’un côté ; les abbés de Saint-Maur contestaient aux habitants de Maisons la propriété complète des quelques champs dont ils jouissaient en commun, et leur réclamaient de ce fait un impôt sous forme de corvées, le roi reconnaissait leurs droits sur ces mêmes champs, afin de pouvoir à son tour exiger d'eux la taxe de mainmorte[25].

Maisons-Alfort sur la carte de Cassini.

En 1674, Maisons compte parmi les terres et seigneuries réunies en un duché de Saint-Cloud. En 1680, il est question depuis quelque temps de prés communs entre Maisons et Créteil. Ces prés faisaient partie de ceux concédés par les abbés aux habitants pour le pacage de leurs bestiaux. Ces terres avaient été surnommées Prés des pailles, parce que les habitants de Maisons qui fournissaient depuis longtemps les pailles et litières pour la grande écurie du roi, affectaient le revenu qu'elles produisaient à l'acquisition de cette paille quand elle n'avait pas pu y être récoltée ou qu'elle venait à manquer. C'est de l'une de ces livraisons qu'il s'agit, lorsqu'on parle de l'octroi de Paris. Cette paille était plus généralement livrée à Carrières-Charenton, dans les écuries royales au Séjour du roi. En échange de cette fourniture, depuis le roi Jean, en 1351, jusqu'à Louis XV, en 1717, il leur avait été octroyé dix-huit chartes comportant des privilèges dont on peut lire la dernière :

« Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir salut. Nos bien-aimés les habitants de Créteil, Maisons et villages qui en dépendant, nous ont fait remontrer qu'ils sont obligés de fournir à leurs dépens toutes les pailles et litières nécessaires pour les chevaux de notre grande écurie, et de les conduire en quelque lieu que notre dite écurie soit commandée… Pour les indemniser, il leur a été accordé l'exemption de tout port, péage, passage, barrage, travers pour eux leurs chevaux et voitures. »

On les exemptait également de fournir des chevaux ou voitures pour l’armée et l'artillerie, de loger des troupes, et de tout impôt et taxes diverses. Ce qui n'empêche pas qu'à diverses reprises il soit constaté des dépenses occasionnées par l'hébergement de troupes ou de leur passage.

Selon les dénombrements de l'élection de Paris de 1709, la commune abrite 95 feux[26], elle compte 450 habitants en 1726 et 92 feux en 1745[23].

En 1766, Claude Bourgelat crée l'école vétérinaire

Le 3 mars 1814, l'école d'Alfort fut transformée en un camp militaire par les jeunes élèves vétérinaires, après avoir fortifié le château et crénelé les murs de l’école et du parc. Soutenus par quelques troupes régulières et des canons, ils défendirent vaillamment le passage du pont de Charenton contre les Alliés.

Par la Loi du 1er avril 1885, dont voici le texte intégral, la commune est amputée d'environ 40 % de son territoire avec la création de la commune d'Alfortville :

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l’État.

À Paris, le 1er avril 1885. Le ministre de l'Intérieur : « Signé : Jules Grévy », « Signé : Waldeck-Rousseau».

La ligne de chemin de fer Paris-Lyon marquait la frontière entre les deux nouvelles communes.

La crue de la Seine en 1910 (mois de janvier, février) a presque entièrement[27] inondé la commune d'Alfortville et une partie[28] de la commune de Maisons-Alfort dans une zone délimitée par la voie ferrée à l'ouest et l'avenue du Général-de-Gaulle, la rue Victor-Hugo, le rue Georges-Médéric à l'est (Le rapport Picard - analyse de la crue de 1910[29] - Carte d'inondation des environs de Paris[30])

Pendant l'Occupation, Maurice Lissac (commandant) et l'industriel Roland Deplanque (capitaine) créent en 1942 à Maisons-Alfort un groupe de résistance qui comptera une centaine de membres[31]. Le 9 juin 1944, le commandant Maurice Lissac est arrêté puis déporté au camp de concentration de Buchenwald dont il ne reviendra pas, le capitaine Roland Deplanque le remplace alors. Il est lui aussi arrêté puis fusillé le 22 août 1944 au carrefour de la Croix de Villeroy[32] (entre Tigery et Quincy-sous-Sénart). Les rues « Maurice Lissac » et « Capitaine Roland Deplanque » leur rendent hommage.

Le 8 septembre 1944, le tout premier tir opérationnel d'un missile de type V2, développé par l'Allemagne nazie, tombe sur la ville, et plus précisément sur des immeubles situés 25, rue des Ormes et 35, rue des Sapins. L'objectif était la ville de Paris[33]. Le premier missile balistique opérationnel de l'histoire fit six morts et 36 blessés[34].

Le 27 juin 1988 en début de soirée se produisait un accident dans la gare de banlieue souterraine de Paris-Lyon faisant 56 morts et 57 blessés. Le train de banlieue à l'arrêt qui avait été percuté était un omnibus pour Melun (actuel RER D) desservant Maisons-Alfort. De ce fait de nombreuses victimes habitaient la ville, parmi lesquelles le conducteur du train. Cette tragédie causa une très grande émotion parmi les habitants de Maisons-Alfort.

Jusqu'à la loi du 10 juillet 1964[35], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le 1er janvier 1968, et fait partie de l'arrondissement de Créteil.

Depuis la création du département du Val-de-Marne, la commune était divisée entre les cantons de Maisons-Alfort-Nord et de Maisons-Alfort-Sud. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune constitue désormais le canton de Maisons-Alfort.

Concernant les circonscriptions législatives, les Maisonnais dépendent de la huitième circonscription du Val-de-Marne qui constitue l'une des 12 circonscriptions législatives françaises que compte le département du Val-de-Marne.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le 1er janvier 2016, la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[36].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 (Loi NOTRe) prévoit également la création le 1er janvier 2016 d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

La commune fait donc également partie depuis le 1er janvier 2016 de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[37] créé par un décret du 11 décembre 2015[38].

Lors du référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les Maisonnais ont majoritairement voté en faveur du texte proposé (51,48 % de Oui contre 48,52 % de Non avec un taux d’abstention de 29,65 % - France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %). Ces chiffres ne sont pas conformes à la tendance nationale, celle-ci se trouvant en opposition[39].

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste d'union de la droite menée par le maire sortant Olivier Capitanio (LR) — qui avait succédé en 2017 à Michel Herbillon, qui, réélu député, avait du démissionner de son mandat de maire en application de la législation limitant le cumul des mandats en France — remporte le scrutin avec 10 467 voix (74,13 % des suffrages exprimés et 40 sièges), suivie par les listes menées par Cécile Panassac (union de la gauche, 2 367 voix, 16,76 %, 4 sièges) et Thomas Maubert (union du centre, 790 voix, 5,60 %, un siège), l'abstention s'étant élevée à 60,01 %[40]

Le conseil municipal de Maisons-Alfort est composé, compte tenu du nombre d'habitants de la commune, de 45 conseillers municipaux, qui élisent en leur sein le maire et ses adjoints[41].

Liste des maires successifs[42],[43]

Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1791 Antoine Roger
1791 1793 François Bernard
1793 M. Poret
1793 1795 Edmé Christophe Roger Fils d'Antoine Roger
1800 1813 Edmé Christophe Roger Nommé à nouveau maire après la période des municipalités de canton
1813 1855 Claude Laurent MarieDodun de Kéroman[44],[45] MarquisAncien officier d’état major, ancien secrétaire d’ambassadeDécédé en fonction
1855 1870 Adolphe Véron Ancien auditeur au Conseil d’État
1871 1878 François Augustin Bourguignon
1878 1878 Jean-Baptiste Faitot Démissionnaire
1878 1881[46] Pierre Philippot Maraîcher à AlfortvilleDémissionnaire
1881 1884 Isidore Busteau
1884 1896 Christian Edmond Durst[47] Négociant
1896 1901 Amédée Chenal[48],[49] Rad.soc. Patron d'une menuiserieDéputé de la Seine (1909 → 1914).Conseiller général de la Seine (1900 → 1909)
1901 1935 Léon Champion Rad. Caissier à la Caisse d’épargne de Paris, propriétaireConseiller général de la Seine (1919 → 1935)
1935 octobre 1939[50] Albert Vassart[51],[52] PCF Métallurgiste.Conseiller général de la Seine (1935 → 1940)Résistant durant la Seconde Guerre mondialeSuspendu par le Gouvernement Daladier à la suite de la signature du Pacte germano-soviétique[53]
octobre 1939[50] 1944 Francis Léon Maugé[54] Fonctionnaire de la préfecture de la SeineMaire de Sèvres (1929 → 1932)Nommé président de la délégation spéciale, puis, en 1941, maire par le Gouvernement de Vichy[55] .
1944 1944 Jean-Marie Marceau[56] PCF ComptablePrésident du comité local de libération
1944 1947 André Léon Jules Saulnier[57] PCF Métreur-vérificateur, résistant FTP
1947 1949 Jean Antoine Justin Maupas RPF Carrière dans l'Enregistrement et les DomainesDémissionnaire
10 mai 1949[58] 27 juin 1965 Arthur Hévette[59] RPF puis UDT Représentant en vinsDécédé en fonction
8 octobre 1965 23 mai 1992[60] René Edmond Nectoux[61] RI puisUDF-PR Contrôleur principal à la SNCF[62], syndicaliste CFTCConseiller général de Maisons-Alfort-Sud (1967 → 1989)Conseiller régional[Quand ?]Chevalier de la Légion d’honneurDémissionnaire
23 mai 1992[60] 2 juillet 2017 Michel Herbillon[63],[64] UDF-PRpuis DL puis UMP[65]puis LR Cadre supérieur Député du Val-de-Marne (8e circ.) (1997 → )Conseiller général de Maisons-Alfort-Sud (1989 → 1998)Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016 → )Démissionnaire à la suite de sa réélection comme député.
2 juillet 2017[66] 8 juillet 2021 Olivier Capitanio[67] LR Cadre, ancien attaché parlementaire de Michel HerbillonConseiller général de Maisons-Alfort-Nord (2004 → 2015) Conseiller général de Maisons-Alfort (2015 → ) Président de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois (2020 → 2021) Devait démissionner suite à son élection comme président du conseil départemental du Val-de-Marne; pour le moment il en est toujours le Président .[68]
8 juillet 2021[69] En cours (au 9 juillet 2021) Mary-France Parrain LR Fonctionnaire retraitéeConseillère générale de Maisons-Alfort-Sud (2011 → 2015)Conseillère départementale de Maisons-Alfort (2015 → )Conseillère de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois

Michel Herbillon, maire de Maisons-Alfort de 1992 à 2017.

Depuis sa rénovation faite début 2013, sont affichés dans la salle de réunion du conseil municipal les noms et les photos (disponibles) de tous les élus municipaux et maires, ainsi que ceux des élus décédés en cours de mandat.

Le monument aux morts de Maisons-Alfort après la cérémonie du 11 novembre 2018, avec les drapeaux français et allemands.

La ville de Maisons-Alfort est jumelée[70] avec une seule ville étrangère : Drapeau de l'Allemagne Moers (Allemagne).

Le serment de jumelage a été signé le 16 avril 1966 par René Nectoux, maire de Maisons-Alfort, et Albin Neuse, bourgmestre de Moers.

En 2016, à l'occasion du cinquantième anniversaire du jumelage, un groupe de Maisons-Alfort se rend à Moers ; le 24 septembre 2016, le serment de jumelage est de nouveau signé par Michel Herbillon (maire de Maisons-Alfort) et Christoph Fleischhauer (de) (maire de Moers) réaffirmant les liens entre les deux communes.

En novembre 2018, pour le centenaire de l'Armistice de la Première Guerre mondiale, un groupe de la ville de Moers a été invité par la ville de Maisons-Alfort[71]. Lors de cette venue, une visite du Palais Bourbon, siège de l'Assemblée nationale, a été organisée[réf. nécessaire] ainsi qu'un dépôt de fleurs à l'Arc de Triomphe, réunissant des élèves du collège Condorcet et leurs correspondants allemands du Grafschafter Gymnasium. Le lendemain, dimanche 11 novembre 2018, une cérémonie a eu lieu au cimetière, puis au monument aux morts où des gerbes de fleurs ont été déposés par les deux villes, donnant l'occasion, fortement symbolique, de voir les drapeaux allemands et français réunis sur le monument aux morts.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[72],[Note 6].

En 2021, la commune comptait 58 068 habitants[Note 7], en évolution de +5,74 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 077 807 900 615 1 257 1 515 1 892 1 590 1 812

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 317 3 748 4 049 5 890 7 619 9 174 7 034 7 853 9 479

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
10 547 13 409 16 466 20 997 25 108 31 012 34 384 36 485 40 358

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
51 186 53 149 54 146 51 065 53 375 51 103 53 233 53 265 55 289

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
58 068 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

Écoles Maternelles

Écoles Primaires

Collèges

Lycées

Établissement d'enseignement supérieur

Le théâtre Claude-Debussy se trouve place de la mairie et dans le quartier de Charentonneau se trouve le NECC (Nouvel Espace Culturel Charentonneau) qui propose des pièces de théâtre et de documentaires[75].

Maisons-Alfort compta trois cinémas[76] :

Deux fois par an (en mai et novembre), le nouvel espace culturel Charentonneau (NECC) propose un festival de films sur un thème donné.

À la mi-mars 2016, le théâtre Debussy acquiert un nouvel équipement spécialisé de projection. A l'occasion de l'inauguration de cet équipement[77] par Michel Herbillon, est mis en place un nouveau cycle[78] de projections cinématographiques sur un rythme de deux films différents récents en quatre séances hebdomadaires, redonnant ainsi un cinéma à Maisons-Alfort.

En 2020, Maisons-Alfort possède une médiathèque, deux bibliothèques et un bibliobus[79]:

Bibliothèque du Centre.

Enfin le bibliobus dessert depuis 1982, les quartiers les plus éloignés des bibliothèques: les Planètes, Vert-de-Maisons etc. par des arrêts réguliers et des lectures dans les écoles.

Le stade Auguste-Delaune.

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 495 € ce qui plaçait Maisons-Alfort au 8 488e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[I 12].

La commune dispose de structures pour aider les chercheurs d'emploi dans leurs démarches et leur parcours professionnel ainsi que pour l'orientation.

Un Bureau Information Jeunesse (BIJ) y est présent. Celui-ci propose notamment une bourse de mobilité à destination des jeunes Maisonnais effectuant un stage à l'étranger[85] .

Une mission locale offre, quant à elle, de nombreux services aux entreprises locales, guide les projets professionnels, organise des forums et des évènements autour de nombreuses thématiques comme l'emploi, des droits sociaux…

La mission locale comprend une Permanence de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM), une Permanence Juridique du CIFF (Centre Information Féminin et Familial) ainsi qu'une Permanence du centre d'accueil et d'écoute.

Liste non exhaustive des principaux monuments religieux de la ville :

Le parc du Moulin Brûlé sur l'Ile de Charentonneau.

La ville de Maisons-Alfort bénéficie d'environ 34 hectares d’espaces verts ouverts au public. Une promenade piétonnière est aménagée en bord de Marne sur une longueur de 4 km dont certaines parties sont constituées de passerelles au-dessus de la rivière. Ces espaces verts ont permis à la ville de bénéficier du label Ville fleurie : quatre fleurs Grand Prix attribué en 2006 par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris[96] de France au Concours des villes et villages fleuris.

Les bords de Marne constituent depuis longtemps un lieu de promenade renommé, c'était notamment le cas à la fin du XIXe siècle et durant la première moitié du XXe, où les fameuses guinguettes, attractions incontournables à l'époque, attiraient de nombreux badauds. Les Maisonnais aiment bien maintenir le souvenir de ces lieux de réjouissances[Note 9].

La rue Condorcet (située entre la rue Marc-Sangnier et le bord de Marne) est bordée de cerisiers dont la floraison à mi-avril offre un beau spectacle.

Plusieurs scènes de films ont été tournées à Maisons-Alfort :

Plusieurs chansons évoquent Maisons-Alfort :

Logotype de la ville de Maisons-Alfort.

Les armes de Maisons-Alfort se blasonnent ainsi :D’azur à la champagne de gueules, à la ruche d’or ouverte du champ, les pieds brochant sur la champagne, accompagnée de neuf abeilles d’or volant vers la ruche[99].La ruche et les abeilles l’entourant évoquent la laborieuse activité de la commune (Commission héraldique de 1962).

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.

  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.

  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le 14 novembre 2020 en comité interministériel des ruralités.

  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  8. L'ancien site est devenu le parc L'Alsacienne qui accueille un ensemble immobilier résidentiel. Des plaques apposées à l'entrée du parc rappellent l'existence passée de l'entreprise.

  9. Dans le cadre de l'édition 2005 du festival vidéo de l'académie de Créteil, l'école primaire des Planètes a présenté un film entièrement joué par les jeunes élèves d'une classe de CE2 de l'école. Ce film sympathique, intitulé Un dimanche au bord de l'eau, reconstitue l'ambiance des guinguettes des bords de Marne, il est visible en ligne sur Internet.

  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 30 juin 2024).

  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le 30 juin 2024).

  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Maisons-Alfort ».

  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le 30 juin 2024).

  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 30 juin 2024).

  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 6 avril 2021).

  16. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le 6 avril 2021).

  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 6 avril 2021).

  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, 21 octobre 2020 (consulté le 6 avril 2021).

  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le 6 avril 2021).

  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, 21 octobre 2020 (consulté le 6 avril 2021).

  21. « Revenus fiscaux localisés par ménages-Année 2010 », sur site de l'Insee, 2010 (consulté le 13 novembre 2015).

  22. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».

  23. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 28 décembre 2023)

  24. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 28 décembre 2023)

  25. « Orthodromie entre Maisons-Alfort et Joinville-le-Pont », sur fr.distance.to (consulté le 28 décembre 2023).

  26. « Station Météo-France « Joinville » (commune de Joinville-le-Pont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 décembre 2023)

  27. « Station Météo-France « Joinville » (commune de Joinville-le-Pont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 décembre 2023)

  28. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 28 décembre 2023)

  29. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 6 avril 2021).

  30. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 6 avril 2021).

  31. Dictionnaire de l'Ancien Régime et des abus féodaux - 1830 - Anonyme Un sujet bannier était lié à la banalité.

  32. a et b Le château de Charentonneau.

  33. « Le Château de Réghat », sur Maisons-Alfort (consulté le 28 janvier 2022).

  34. Histoire de la ville sur le site web officiel de Maisons-Alfort.

  35. 5e réunion publique pour la gare du Vert de Maisons le vendredi 20 mai 2016 au théâtre Claude Debussy de Maisons-Alfort..

  36. « À vélo », sur Maisons-Alfort (consulté le 6 janvier 2022).

  37. « RER Vélo : plus de pistes cyclables pour les déplacements quotidiens », sur Région Île-de-France (consulté le 6 janvier 2022).

  38. « 2017 Barometre des villes cyclables - analyses », sur public.tableau.com, 2017 (consulté le 6 janvier 2022).

  39. « Parlons-Vélo : Palmarès », sur Parlons-Vélo : Palmarès (consulté le 6 janvier 2022).

  40. a b c et d Louis Deroy, Marianne Mulon (1992), Dictionnaire des noms de lieux, Le Robert, (ISBN 2-85036-195-X).

  41. Mémoire pour le futur - Archéologie et histoire du Val-de-Marne - p. 149.

  42. Sous la direction de Sylvie Robin, Dans la Seine, Paris, Paris Musées, 2024, page 26.

  43. Revue archéologique; ou, Recueil des documents et des mémoires relatifs à l'étude des monuments, à la numismatique et à la philologie (avril 1844-mars 1847, « relatifs à l'étude des monuments et à la philologie ») de l'Antiquité et du Moyen Âge, page 501.

  44. a b et c Amédée Chenal - « Histoire de Maisons-Alfort et d’Alfortville ».

  45. - Précis de l'ancien droit coutumier français de Charles Giraud - p. 31 Définition du droit d'amortissement.

  46. Jurisprudence générale. Répertoire méthodique et alphabétique de législation, de doctrine, de jurisprudence - 1857- p. 358 - signet 98 de Victor Alexis. Définition de la mainmorte.

  47. Abbé Jean Lebeuf, Histoire du diocèse de Paris, treizième partie, 1757.

  48. La Grande Crue de la Seine de janvier 1910 à Alfortville.

  49. La Grande Crue de la Seine de janvier 1910 à Maisons-Alfort.

  50. Le rapport Picard - analyse de la crue de 1910 sur le site driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr

  51. Voir Carte d'inondation des environs de Paris.

  52. Fiche concernant Maurice Lissac sur le site internet MemorialGenWeb.org.

  53. Notice sur la stèle à la mémoire du capitaine Roland Deplanque sur le site internet du Musée de la Résistance en ligne.

  54. Site CDG43, page "Un missile s’écrase à Maisons-Alfort", consulté le 16 avril 2021.

  55. T. D. Dungan, V-2 : a combat history of the first ballistic missile, Yardley, Penn. Garsington, Westholme Windsor distributor, coll. « Weapons in history », 2005, 250 p. (ISBN 978-1-59416-012-7 et 1-594-16012-0, OCLC 59355583), p. 115.

  56. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne.

  57. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance.

  58. C.N., « Oubliez le T10, nommez-le Paris-Est-Marne et Bois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ 8 février 2016 (lire en ligne).

  59. Décret n° 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance.

  60. « Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution Européenne - Maisons-Alfort », ministère de l'intérieur (consulté le 8 février 2008).

  61. « Maisons-Alfort 94700 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le 10 octobre 2020).

  62. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.

  63. « Les maires de Maisons-Alfort », sur francegenweb.org (consulté le 16 avril 2016).

  64. Archives départementales du Val-de-Marne.

  65. « DODUN de Kéroman Claude Laurent Marie », Les maires de Maisons-Alfort, Cercle Généalogique de Maisons-Alfort, 11 avril 2016 (consulté le 16 avril 2016).

  66. Dodun de Kéroman a vécu au domaine de Château-Gaillard de Maisons-Alfort.

  67. Pierre Philippot est un libre penseur convaincu, il démissionne 6 mois après sa réélection.

  68. Christian Edmond Durst est né de parents Suisses, il fut naturalisé après la Guerre franco-allemande de 1870.

  69. « Amédée, François Chenal (1852 - 1919) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.

  70. Amédée François Chenal est l'auteur de : A. Chenal, Histoire de Maisons-Alfort et d'Alfortville depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Paris, Asselin et Houzeau (réimpr. 2014) (1re éd. 1898), 288 p. (ISBN 9782013503655, lire en ligne), il meurt en 1919.

  71. a et b « Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et le Pas de Calais », Le Populaire, no 6076,‎ 6 octobre 1939, p. 4 (lire en ligne, consulté le 28 mai 2021).

  72. « 24 mai 1898 – Albert Vassart », Les maires de Maisons-Alfort, Cercle Généalogique de Maisons-Alfort, 24 mai 2014 (consulté le 16 avril 2016).

  73. Claude Pennetier, « VASSART Albert [VASSART Auguste, Albert] : Né le 24 mai 1898 à Apremont-sur-Aire (Ardennes), mort le 12 février 1958 à Paris (XVIe arr.) ; ouvrier métallurgiste ; syndicaliste et militant communiste, secrétaire de la Fédération CGTU des Métaux, membre du comité central, du bureau politique et du secrétariat du Parti communiste ; conseiller général, maire de Maisons-Alfort (Seine, Val-de-Marne) ; secrétaire général de la Fédération des municipalités communistes », Le Maitron en ligne, 17/7/2009 mis à jour le 28/5/2021 (consulté le 10 juillet 2021).

  74. Le 4 octobre 1939, le Président de la République, Albert Lebrun, suspend par décret les conseils municipaux de 27 communes de la banlieue parisienne à majorité communiste, dont celui de Maisons-Alfort. La « Loi » du 20 janvier 1940 entrainera la déchéance de 423 conseillers municipaux communistes.

  75. G. Blanc-Cesan, « 10 mars 1875 – Francis Léon Mauge (Maire) », Les maires de Maisons-Alfort, Cercle Généalogique de Maisons-Alfort, 10 mars 2016 (consulté le 16 avril 2016).

  76. « Maires des communes suburbaines de la Seine », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, no 131,‎ 13 mai 1941, p. 391 (lire en ligne, consulté le 30 avril 2021), lire en ligne sur Gallica.

  77. Notice MARCEAU Jean-Marie par Claude Pennetier, version mise en ligne le 2 septembre 2009, dernière modification le 27 octobre 2009.

  78. Notice SAULNIER André, Léon, Jules par Paul Boulland, Claude Pennetier, version mise en ligne le 6 octobre 2009, dernière modification le 15 décembre 2019.

  79. « Le R.P.F. conserve la mairie de Maisons-Alfort », Le Monde,‎ 10 mai 1949 (lire en ligne).

  80. Arthur Hévette légua à la municipalité sa propriété de Vaulxfins, pour en faire un centre de vacances communal.

  81. a et b « Deux nouveaux maires », Le Monde,‎ 27 mai 1992 (lire en ligne) « M. Herbillon (UDF-PR) à Maisons-Alfort :
    M. Michel Herbillon, UDF-PR, a été élu maire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), samedi 23 mai, par 33 voix contre 5 à M. Raymond Riquier, PS, et 4 à M. Philippe Olivier, FN. Il y a eu deux bulletins blancs et un nul (le conseil municipal comprend 33 élus de droite, 5 PS, 1 PC, 3 FN et 3 divers).
    M. Herbillon succède à M. René Nectoux, UDF-PR, dont il était le premier adjoint. Maire depuis 1965, M. Nectoux, âgé de soixante-quatorze ans, s'est démis de son mandat à la suite de sa réélection au conseil régional d'Ile-de-France, et il a manifesté l'intention d'abandonner également celui de conseiller municipal. (Corresp.)
    [Âgé de quarante et un ans, diplômé de sciences politiques, licencié en droit, M. Michel Herbillon, directeur du développement et de la communication d'une filiale du groupe Générale des eaux, est premier adjoint au maire de Maisons-Alfort et conseiller général depuis 1989. Il préside le groupe UDF du conseil général du Val-de-Marne.] »

  82. Notice NECTOUX René, Edmond par Michel Gorand, Annie Pennetier, version mise en ligne le 3 décembre 2013, dernière modification le 18 décembre 2013.

  83. « Dans les cabinets ministériels », Le Monde,‎ 7 mars 1961 (lire en ligne).

  84. Corinne Nèves, « Michel Herbillon grand favori à Maisons-Alfort », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ 18 février 2008 (lire en ligne).

  85. « Municipales dans le Val-de-Marne : revivez les temps forts du premier tour », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ 23 mars 2014 (lire en ligne).

  86. « Michel Herbillon élu président de l'UMP », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ 24 mars 2003 (lire en ligne).

  87. Denis Courtine, « Maisons-Alfort : grosse émotion pour le passage de témoin à la mairie : Olivier Capitanio a été élu maire ce dimanche. Il succède à Michel Herbillon après 25 ans à la tête de la ville », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ 2 juillet 2017 (lire en ligne, consulté le 3 juillet 2017).

  88. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Compte-rendu de la séance publique du Conseil Municipal du jeudi 28 mai 2020 » [PDF], Comptes rendus du Conseil Municipal, sur maisons-alfort.fr (consulté le 10 octobre 2020).

  89. C. Dubois, « Qui pour succéder à Olivier Capitanio à Maisons-Alfort et Paris Est Marne et Bois ? : Alors qu’Olivier Capitanio a été élu ce jeudi président du conseil départemental du Val-de-Marne, Maisons-Alfort va devoir se trouver un nouveau ou une nouvelle maire », 94citoyens.com,‎ 1er juillet 2021 (lire en ligne, consulté le 10 juillet 2021).

  90. « Mary France Parrain (LR), première femme maire de Maisons-Alfort : Âgée de 69 ans, cette ancienne fonctionnaire est élue depuis 2014. Proche du député Michel Herbillon et de l’ancien maire Olivier Capitanio, démissionnaire depuis son élection à la présidence du Val-de-Marne, elle promet de se «consacrer pleinement» à la ville », Le Parisien,‎ 9 juillet 2021 (lire en ligne, consulté le 10 juillet 2021) « Ce jeudi soir, Mary France Parrain (LR) est devenue la première maire femme de l’histoire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne). Elle succède à Olivier Capitanio (LR), tout juste élu à la présidence du département, dont elle était la première adjointe depuis 2017, lorsqu’il a succédé au député Michel Herbillon (LR). Elle reste son binôme au sein de l’assemblée départementale ».

  91. Page sur le jumelage avec Moers sur le site web officiel de Maisons-Alfort.

  92. « Magazine Maisons-Alfort décembre 2018 » [PDF], sur maisons-alfort.fr, décembre 2018 (consulté le 24 octobre 2021).

  93. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  94. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  95. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  96. « Les Théâtres de Maisons-Alfort », sur theatredemaisons-alfort.org (consulté le 2 septembre 2022).

  97. Il y avait également le cinéma situé devant la gare SNCF qui s'appelait le CLUB 123. Fermé dans les années 1990 il a été rasé et à la place s'est construit un immeuble.

  98. Article du journal Le Parisien du 7 janvier 2016 : "Maisons-Alfort : Le cinéma de retour après 24 ans d'écran noir".

  99. Programmation cinéma à Maisons-Alfort.

  100. « Médiathèque et bibliothèques de Maisons-Alfort », sur bibliotheques.maisons-alfort.fr (consulté le 19 juillet 2020).

  101. « La médiathèque André Malraux de Maisons-Alfort fête ses 40 ans », sur 94 Citoyens (consulté le 19 juillet 2020).

  102. Par Antoine Letisser et Auteur Val-de-Marne, « La bibliothèque du centre relookée à Maisons-Alfort », sur 94 Citoyens, 17 octobre 2017 (consulté le 19 juillet 2020).

  103. Site web du JCMA (Judo Club de Maisons-Alfort).

  104. Site web de l'ASALF (club d'escrime de Maisons-Alfort).

  105. Site web officiel du Club de Natation de Maisons-Alfort.

  106. « BOURSE POUR L'ETRANGER », sur BIJ - Bureau Information Jeunesse de Maisons-Alfort, 25 septembre 2019 (consulté le 2 septembre 2022).

  107. http://musee.vet-alfort.fr/ Site officiel du Musée Fragonard de l'École vétérinaire de Maisons-Alfort.

  108. Coordonnées géographiques : 48°47'22,16" N ; 2°26'2,49" E.

  109. Conseil d’architecture, de l’urbanisme et de l’environnement du Val de Marne et le Centre départemental de documentation pédagogique du Val-de-Marne, Maisons-Alfort : Square Dufourmantelle / Ecole Lules-Ferry : Modernité en banlieue rouge dans les années 30…, 2006, 38 p. (ISBN 2-86918-179 5, lire en ligne).

  110. Les logements sociaux du square Dufourmantelle protégés au titre des Monuments historiques, Maisons-Alfort magazine no 344, mai 2007.

  111. Fiche sur le site topic-topos.com.

  112. Marc Mimram, « Passerelle de Saint-Maurice - Maisons-Alfort », Formes et structures, no 127,‎ 1998, p. 60-61 (ISSN 1140-5597).

  113. Histoire du groupe Lesaffre sur le site web officiel du groupe Lesaffre.

  114. Vincent Moriniaux, Les odeurs de levure dans la ville de Maisons-Alfort.
    Repris dans Robert Dulau et Jean-Robert Pitte, Géographie des odeurs, L'Harmattan, 1998 (ISBN 2-7384-6974-4, lire en ligne), p. 159-165.

  115. L'église Sainte Agnès sur le site DOCOMOMO.

  116. Chapelle Saint-Gabriel.

  117. Conseil National des Villes et Villages Fleuris.

  118. Article du journal Le Parisien du 23 février 2004 "Le feuilleton « Julie Lescaut » à Maisons-Alfort".

  119. Qui est Marine Vacth ?.

  120. Banque du Blason.