Millac (original) (raw)
Millac | |
---|---|
Administration | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Vienne |
Arrondissement | Montmorillon |
Intercommunalité | Communauté de communes Vienne et Gartempe |
Maire Mandat | Bernard Savard 2020-2026 |
Code postal | 86150 |
Code commune | 86159 |
Démographie | |
Population municipale | 495 hab. (2021 ) |
Densité | 12 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 11′ 26″ nord, 0° 41′ 17″ est |
Altitude | Min. 98 mMax. 216 m |
Superficie | 40,59 km2 |
Type | Commune rurale à habitat très dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Lussac-les-Châteaux |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France Millac Géolocalisation sur la carte : France Millac Géolocalisation sur la carte : Vienne Millac Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine Millac | |
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Millac est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Millac est située au sud-est de la Vienne, à la frontière de la Charente.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 866 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Vigeant à 4,83 km à vol d'oiseau[4], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Au 1er janvier 2024, Millac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37 %), terres arables (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,1 %), forêts (10,4 %), eaux continentales[Note 1] (1,8 %), zones urbanisées (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le territoire de la commune de Millac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et la Blourde. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[15],[13]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "amont" - Section Availles-Limouzine/Valdivienne », approuvé le 24 décembre 2009 et par le PPRI « Vienne Communauté de Communes Vienne et Gartempe (CCVG) », prescrit le 28 janvier 2021[16].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Millac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 46 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le 1er octobre 2020, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[19].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].
La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de Vassivière dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[21].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Millac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].
Le nom du village proviendrait de l'anthroponyme gallo-romain Aemilius (Émile) avec le suffixe latin de propriété -acum, signifiant domaine d'Émile[23].
Liste des maires successifs[24] | Période | Identité | Étiquette | Qualité | | | --------- | --------- | --------------------- | ------- | | | mars 2001 | mars 2008 | Jean-Pierre Dardillac | | | | mars 2008 | En cours | Danielle Maytraud | | |
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 495 habitants[Note 4], en évolution de −6,95 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population [ modifier ]
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
754 | 977 | 795 | 1 021 | 1 129 | 1 176 | 1 079 | 1 146 | 1 210 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 256 | 990 | 1 008 | 1 046 | 1 052 | 1 068 | 1 140 | 1 177 | 1 150 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 160 | 1 146 | 1 111 | 1 103 | 1 059 | 936 | 973 | 974 | 902 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
806 | 692 | 662 | 598 | 579 | 588 | 527 | 505 | 554 |
Évolution de la population [ modifier ], suite (4)
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
495 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Histogramme de l'évolution démographique
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 13 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
La diminution de 11 % de la population de la commune de 1999 à 2006 s’intègre dans une évolution générale à l’ensemble des communes rurales du département de la Vienne. Les zones rurales perdent de leurs habitants au profit d’une vaste région circonscrite autour des deux grandes métropoles du département : Poitiers et Châtellerault, et plus particulièrement au profit des cantons limitrophes de la préfecture.
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 29 exploitations agricoles en 2010 contre 37 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 9 % et sont passées de 2 478 hectares en 2000 à 2 712 hectares en 2010[29]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[30].
27 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 12 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 1 % pour les protéagineux, 30 % pour le fourrage et 25 % restent en herbes[29].
Huit exploitations en 2010 (contre onze en 2000) abritent un élevage de bovins (825 têtes en 2010 contre 513 têtes en 2000). Seize exploitations en 2010 (contre 29 en 2000) abritent un élevage important d'ovins (6 988 têtes en 2010 contre 11 115 têtes en 2000)[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[31]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300 têtes[32]. L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie (559 têtes réparties sur 22 exploitations)[29].
- Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Millac. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[33].
Le vallon, qui est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[34],au fond duquel coule le ruisseau du Puits de Tourlet est situé dans l’extrême sud-est du département de la Vienne entre l’Isle-Jourdain et Availles-Limouzine, sur la rive droite de la Vienne. Le vallon est d’orientation générale ouest-est.
Le vallon aux sols acides, présente des versants pentus aux expositions très contrastées - majoritairement sud ou sud-ouest sur la rive droite et nord ou nord-est pour la rive gauche - générant des micro-climats tranchés.
De ce fait, la forêt qui s’étage le long des versants, a adopté un boisement diversifié : une chênaie acidophile à Chêne pédonculé sur les sols à tendance sableuse et peu profonds des pentes raides, une chênaie-charmaie sur les substrats plus argileux des bas de versants et une aulnaie-frênaie en fond de thalweg dans la zone d’influence de la nappe du ruisseau.
La strate herbacée mélange de nombreuses plantes sylvatiques banales avec des espèces à affinités submontagnardes comme :
- le Myosotis des bois,
- le Compagnon rouge,
- la Jacinthe des bois,
- l’Ornithogale des Pyrénées,
- l’Aconit tue-loup : il s’agit d’une robuste Renonculacée dont la tige, haute jusqu’à un mètre, porte de grandes feuilles profondément divisées et produit à partir du mois de juin une grappe plus ou moins rameuse de fleurs jaune pâle en forme de casque allongé très caractéristiques. Elle est répandue dans les Pyrénées, les Alpes et le Massif central mais rarissime dans les plaines atlantiques. En Poitou-Charentes, l’aconit se trouve dans des sites très dispersés, presque tous situés dans la partie granitique du département de la Vienne (quelques très rares cas sont connus sur calcaire toutefois comme à Ligugé), toujours en situation fraîche, en général en fond de vallons ombragés ou en bordure de ruisseaux ou de petites rivières.
- la Scille à deux feuilles est abondante sur le site. Répandue dans l’Est et le Centre de la France, elle se raréfie fortement vers l’ouest et s’arrête à la vallée de la Vienne qui constitue dans la région sa limite géographique naturelle.
- Liste des communes de la Vienne
- Anciennes communes de la Vienne
- Croissant (Occitanie)
Sur les autres projets Wikimedia :
- ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- ↑ Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- ↑ Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).
↑ « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 7 octobre 2022).
↑ « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, 2018 (consulté le 12 novembre 2023), p. 2.
↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 12 novembre 2023).
↑ Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 12 novembre 2023)
↑ « Orthodromie entre Millac et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le 12 novembre 2023).
↑ « Station Météo-France « Deauville » (commune du Le Vigeant) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 12 novembre 2023).
↑ « Station Météo-France « Deauville » (commune du Le Vigeant) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 12 novembre 2023).
↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 12 novembre 2023).
↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 30 juin 2024).
↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 30 juin 2024).
↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 30 juin 2024).
↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 20 avril 2021).
↑ a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Millac », sur Géorisques (consulté le 18 octobre 2022).
↑ BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 7 octobre 2022).
↑ « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le 7 octobre 2022), chapitre Risque inondation.
↑ « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le 7 octobre 2022).
↑ « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le 7 octobre 2022), chapitre Mouvements de terrain.
↑ « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 7 octobre 2022).
↑ « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le 7 octobre 2022).
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↑ « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, janvier 2021 (consulté le 7 octobre 2022).
↑ Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
↑ Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
↑ Agreste – Enquête Structure 2007
↑ Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
↑ Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
↑ « Eglise paroissiale Saint-Gervais, Saint-Protais », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le 4 mars 2022).
↑ Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011