Passavant-sur-Layon (original) (raw)

Passavant-sur-Layon
Passavant-sur-Layon Les remparts du château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire Mandat Olivier Lecomte 2023-2026
Code postal 49560
Code commune 49236
Démographie
Gentilé Passavantais
Population municipale 127 hab. (2021 en évolution de +0,79 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 27″ nord, 0° 23′ 16″ ouest
Altitude 91 mMin. 62 mMax. 112 m
Superficie 4,91 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cholet-2
Législatives 4e circonscription de Maine-et-Loire
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FrancePassavant-sur-Layon Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FrancePassavant-sur-Layon Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Voir sur la carte topographique de Maine-et-LoirePassavant-sur-Layon Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire Voir sur la carte administrative des Pays de la LoirePassavant-sur-Layon
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Passavant-sur-Layon est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

La commune se situe dans l'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC).

Commune angevine de la rive gauche du Layon, située dans les Mauges à la limite du Saumurois, ce territoire rural de l’ouest de la France se trouve à quelques kilomètres au sud-est de Vihiers, en Maine-et-Loire à la limite des Deux-Sèvres[1]. Pays de bocage, le Vihiersois se situe dans un triangle entre Angers, Cholet et Saumur.

Elle fait partie des Mauges.

Les communes limitrophes sont Cléré-sur-Layon, Val en Vignes et Lys-Haut-Layon.

Carte

Les limites communales de Passavant-sur-Layon et celles de ses communes adjacentes.

À quelques kilomètres au nord et à l'est du Vihiersois se trouve la vallée du Layon, qui marque la transition entre les Mauges et le Saumurois[2]. Le sud de l'Anjou comporte à l'est des terrains secondaires et tertiaires (Saumurois) et à l'ouest des terrains primaires (Mauges). Dans ces derniers, on trouve un pays de bocage sur des terrains de schistes et de granites[3].

Passavant-sur-Layon se situe sur l'unité paysagère du Couloir du Layon[4].

L'altitude de la commune varie de 62 à 112 mètres[5], pour une altitude moyenne de 91 mètres. Son territoire s'étend sur près de 5 km2 (491 hectares)[6].

Carte hydrographique de la commune.

La rivière le Layon, un des affluents de la Loire, traverse le territoire de la commune (au sud et à l'est)[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 643 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bouille-loretz », sur la commune de Loretz-d'Argenton à 12 km à vol d'oiseau[9], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au 1er janvier 2024, Passavant-sur-Layon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[14],[15].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40 %), zones agricoles hétérogènes (38,1 %), terres arables (15 %), forêts (3,1 %), eaux continentales[Note 1] (2,6 %), prairies (1,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 92, alors qu'il était de 89 en 2015 et de 91 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 72,5 % étaient des résidences principales, 21,5 % des résidences secondaires et 6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Passavant-sur-Layon en 2020 en comparaison avec celle de Maine-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (21,5 %) supérieure à celle du département (3,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81 % en 2015), contre 60,4 % pour le Maine-et-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Passavant-sur-Layon en 2020.

Typologie Passavant-sur-Layon[I 2] Maine-et-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 72,5 90,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 21,5 3,2 9,7
Logements vacants (en %) 6 6,6 8,2

Formes anciennes du nom : Passavantum en 1060, Willelmus de passavante Castro en 1061, Castrum stagnum de Passavant en 1092, Ecclesia sancte Marie de Passavanto cum capella Sancti Stephani en 1156, Senscallia de Passavento en 1236, La ville de Passavant en 1571[17], Passavant en 1793 et 1801, pour devenir par décret du 14 février 1922 Passavant-sur-Layon en 1922[6],[18].

Le nom de Passavant est indissociable du château primitif, construit par Foulques Nerra et laissé en garde à Sigebrant de Passavant[19].

À noter qu'il existe d'autres communes ayant dans leur nom « Passavant », comme Passavant (Doubs), Passavant-en-Argonne (Marne) et Passavant-la-Rochère (Haute-Saône).

Nom des habitants (gentilé) : les Passavantais[20].

Face au Poitou, sur le haut Layon, le comte d'Anjou Foulques Nerra fait construire un château au XIe siècle. Ruiné, il est reconstruit après 1210 sur le site actuel, à la place du four du prieuré, avec une enceinte cantonnée de tours ; s'ajoute au XVe siècle un logis à haute tour d'escalier. Le château est ravagé par les huguenots en 1574[17].

Au XVIIIe siècle un nouveau logis est construit, puis vers 1930 l'ensemble est réaménagé en maison viticole avec celliers.

À l'époque féodale, Passavant est confié à une famille châtelaine puis seigneuriale qui en prend le nom. L'évêque du Mans Guillaume de Passavant en est issu. Selon Célestin Port[21], Agnès de Passavant transmet à la fin du XIIe siècle la terre de Passavant à son mari Geoffroi de La Troche, et c'est leur fils, autre Geoffroi, qui reconstruit donc le château vers 1210 ; la fille de ce dernier, Isabelle de Passavant, transmet à son mari Guillaume (ou Geoffroy II, ou Philippe/Philibert ?) de La Haye, épousé vers 1230 [une tradition soutient sans élément probant qu'il s'agit de La Haye-du-Puits en Normandie (Cotentin), et une autre qu'il s'agit de La Haye-Jouslain en Anjou ; Célestin Port et la Société archéologique de Touraine se réfèrent plus sûrement à la grande famille de La Haye en Touraine : les armes sont voisines, d'or à la fasce de gueules pour La Haye en Touraine, d'or à deux fasces de gueules pour Passavant].

La famille de Passavant est alors puissante, bien implantée dans le pays de Vihiers et Chemillé. Leur descendant Louis de La Haye-Passavant et de Mortagne, fils de Jean, petit-fils d'autre Jean et arrière-petit-fils de Barthélemy de La Haye, épouse en 1466 Marie d'Orléans, fille de Dunois, d'où Louis, Charlotte, Antoine (abbé de St-Denis en 1499, de Fécamp en 1482, et de Compiègne), et Yolande de La Haye-Passavant qui marie en 1492 Jean d'Armagnac-Nemours, sans postérité ; la succession passe à une cousine issue de germain de Yolande, Renée de La Haye dame de Chemillé et de Mortagne, femme de Joachim de Montespedon de Beaupréau († 1509) et mère de Philippe de Montespedon (morte en 1578 ; princesse de La Roche-sur-Yon par ses 2e noces en 1544 avec Charles de Bourbon, sans postérité) ; Passavant, comme Beaupréau et Chemillé, échoit alors à un arrière-cousin, Guy III de Scépeaux († 1605), et son fils prédécédé Guy (IV) de Scépeaux († 1597).

Mais Passavant est vendu vers 1570/1579 à Gilbert Gouffier, duc de Roannez (1553-1582), et à son frère puîné Claude Goufier (1556-1618) qui fonde la branche des Gouffier, comtes de Caravas et de Passavant, barons de Doué, fondue en 1726 dans la branche cousine des Gouffier de Thais et Morvill(i)ers[22].

À la Révolution Charles-Jean de Rarécourt de La Vallée, marquis de Pimodan, baron de Buxières (1730-1803), en est le dernier seigneur par son mariage en 1762 avec l'héritière Charlotte-Sidonie-Rose Gouffier de Thais (née en 1733).

Il s'est développé autour de deux ouvrages, le château bâti au XIe siècle et le prieuré[Note 2] Notre Dame du XIIe siècle. Ces deux centres seront à l'origine au XVe siècle des deux paroisses Saint-Étienne et Notre-Dame. L'église Saint-Étienne sera détruite en 1626[17].

La structure actuelle du village reflète encore cette bipolarisation.

À la veille de la Révolution française, une partie du Vihiersois dépend de la sénéchaussée d'Angers (La Salle-de-Vihiers, Vihiers, Coron) et une autre de la sénéchaussée de Saumur (Tigné, Cernusson, Les Cerqueux, Saint-Paul-du-Bois, La Plaine)[23].

Comme dans le reste de la région, à la fin du XVIIIe siècle se déroule la guerre de Vendée, qui marquera de son empreinte la région.

En 1841, la commune achète une maison du bourg pour y installer l'école qui ferme en 1990. Désormais le bâtiment constitue la mairie[18].

À la fin du XIXe siècle la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique du Petit Anjou est construite. Ouverte en 1896 la ligne Cholet-Saumur passait par Saint-Hilaire, Vihiers, Les Cerqueux, Cléré, Passavant et Nueil[24].

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saumur du département du Maine-et-Loire.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Vihiers[6]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Cholet-2[25]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de Maine-et-Loire.

Passavant-sur-Layon était membre de la communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le 1er janvier 2017, la communauté d'agglomération dénommée Cholet Agglomération (créée sous le nom de d'agglomératiion du Choletais), dont est désormais membre la commune.

Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de 11 élus, dontb le maire et ses adjoints[26].

Liste des maires successifs[18]

Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
janvier 1793 An IV Jean Guiard
An VII An XIII M. Pellu
1808 1832 Joseph Frogier
1832 1840 Armand Rabouin
1840 1855 Gabriel Binsse
1855 1861 Joseph Reclus
1861 1866 René Moron
1866 1870 René Moron
1870 1871 M. Guittière
1871 1884 Jacques Gaudicheau
1888 1888 Henri Pichon
1888 1900 Jacques Gaudicheau
1900 1904 Pierre Beauchene
1904 1912 Auguste Derouet
1912 1919 Auguste Nauleau
1919 1929 Henri Boisdron
1929 1945 Louis Gaudicheau
1945 1964 Jean Falloux Viticulteur au châtea
1965 1971 Léon Buisson
1971 juin 1995 André Gallard DVD
juin 1995 Juin 2023[27] Pascal Bertrand[28],[29] Mandat écourté par la démission du conseil municipal
septembre 2023[30] En cours (au 30 novembre 2023) Olivier Lecomte SE Gérant du domaine Château de Passavant

Hormis la mairie, il n'y a pas de services publics sur la commune de Passavant-sur-Layon. Ils sont présents à Vihiers, ainsi que les structures sociales (ADMR du Vihiersois…) et culturelles (école de musique intercommunale…).

La plupart des structures de santé se situent également à Vihiers, tel l'hôpital local[31] ou le centre de secours.

Le ramassage des déchets est géré par le Syndicat mixte intercommunal pour le traitement des ordures ménagères et des déchets, le Smitom du Sud Saumurois, qui se trouve à Doué-la-Fontaine[32].

On trouve sur la commune l'étang de Passavant[20]. L'office du tourisme est situé à Vihiers.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 127 habitants[Note 3], en évolution de +0,79 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
340 361 334 370 391 388 375 339 345

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
308 309 303 298 303 301 286 268 266

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
250 261 295 264 256 278 273 274 251

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
230 232 185 155 124 135 131 130 126

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
127 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

La population de la commune est relativement âgée.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 63 hommes pour 61 femmes, soit un taux de 50,81 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]

Hommes Classe d’âge Femmes
0,0 90 ou + 0,0
10,9 75-89 ans 16,1
23,4 60-74 ans 24,2
18,8 45-59 ans 22,6
18,8 30-44 ans 14,5
9,4 15-29 ans 9,7
18,8 0-14 ans 12,9

Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[37]

Hommes Classe d’âge Femmes
0,9 90 ou + 2,1
7 75-89 ans 9,5
16,2 60-74 ans 16,9
19,4 45-59 ans 18,7
18,2 30-44 ans 17,5
18,8 15-29 ans 17,6
19,5 0-14 ans 17,6

Commune principalement agricole, en 2008, sur les 17 établissements présents sur la commune, 71 % relevaient du secteur de l'agriculture[38]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 19 établissements présents sur la commune, 58 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur l'ensemble du département), 5 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 26 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[39].

Sur 14 établissements présents sur la commune à fin 2014, 50 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 21 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[I 7]..

Les commerces et artisans les plus proches se trouvent sur la commune voisine de Nueil-sur-Layon. La zone d’activités intercommunale se situe sur les communes de Vihiers/Montilliers (Anjou Actiparc Vihiersois-Haut-Layon)[40].

La commune se situe dans la zone d'appellation viticole des Coteaux-du-layon (AOC).

Liste des appellations sur le territoire[41] :

L'église Saint-Étienne.

Bâtiments de la commune de Passavant-sur-Layon inscrits aux monuments historiques[42] :

Et autres bâtiments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[42] :

Le village comporte des édifices datant du XIe siècle au XIXe siècle.

Blason à dessiner Blason Tiercé en fasce: au 1er d'argent au lion léopardé de gueules, au 2e échiqueté de gueules et d'or de cinq tires de treize points, au château de trois tours de sable ouvert d'argent mouvant de la pointe, au 3e d'azur plain[43].
Détails Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

  2. Prieuré, voir sur Wiktionnaire.

  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 16 juillet 2023).

  5. Insee, « Métadonnées de la commune de Passavant-sur-Layon ».

  6. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Passavant-sur-Layon » (consulté le 4 mars 2024).

  7. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Passavant-sur-Layon - Section LOG T2 » (consulté le 4 mars 2024).

  8. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Passavant-sur-Layon - Section LOG T7 » (consulté le 4 mars 2024).

  9. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Maine-et-Loire » (consulté le 4 mars 2024).

  10. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le 4 mars 2024).

  11. Insee, Statistiques locales du territoire de Passavant-sur-Layon (49), consultées le 7 novembre 2016.

  12. a et b IGN et BRGM, Géoportail Passavant-sur-Layon (49), consulté le 11 juillet 2011.

  13. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, 2003, 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 146.

  14. Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou méridional (Mauges et Saumurois) », Annales de Géographie, t. 44, no 251,‎ 1935, p. 474 (lire en ligne).

  15. Atlas des paysages de Maine-et-Loire (op. cit.) — Données consultables sur WikiAnjou.

  16. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2012 - Données consultables sur WikiAnjou.

  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 5 janvier 2024)

  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 5 janvier 2024)

  20. « Orthodromie entre Passavant-sur-Layon et Loretz-d'Argenton », sur fr.distance.to (consulté le 5 janvier 2024).

  21. « Station Météo-France « Bouille-loretz », sur la commune de Loretz-d'Argenton - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 5 janvier 2024)

  22. « Station Météo-France « Bouille-loretz », sur la commune de Loretz-d'Argenton - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 5 janvier 2024)

  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 5 janvier 2024)

  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).

  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).

  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).

  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 11 mai 2021).

  28. a b et c Célestin Port 1878, p. 56-58 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.

  29. a b et c « Histoire des mairies : Passavant-sur-Layon », Synergence hebdo, le journal de l'agglomération du Choletais, no 578,‎ 7-13 avril 2021, p. 22 (ISSN 1774-458X, lire en ligne [PDF], consulté le 4 mars 2024).

  30. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 125.

  31. a et b Office du Tourisme Vihiersois-Haut-Layon, Passavant-sur-Layon, consulté le 21 septembre 2011.

  32. « Passavant, p. 56-58 », sur Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. III, par Célestin Port, à Angers, 1878.

  33. « Maison de Gouffier, p. 5, 7 et 12 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2012 et 2021.

  34. Carte du Saumurois sous l'Ancien régime notamment réalisée à partir de l'ouvrage de Maïté Lafourcade, La Frontière des origines à nos jours, Presses Universitaires de Bordeaux, 1998.

  35. Michel Raclin et Michel Harouy, Vihiers au temps du Petit Anjou, les Dossiers de l'AAPA no 18, 1996.

  36. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.

  37. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.

  38. Lucile Moy, « Tous les élus de ce village de Maine-et-Loire ont démissionné : une nouvelle élection en septembre : Les huit conseillers municipaux, les deux adjoints et le maire de Passavant-sur-Layon viennent de démissionner. Depuis un an, cette petite commune du sud du Maine-et-Loire, dans l’Agglomération du Choletais, est secouée par une crise intestine due à la suppression d’une douzaine de lieux-dit », Ouest-France-Le Courrier de l'Ouest,‎ 23 juin 2023 (lire en ligne, consulté le 4 mars 2024).

  39. « Passavant-sur-Layon. Un 5e mandat pour Pascal Bertrand », sur Le Courrier de l'Ouest, 1er juin 2020 (consulté le 5 juillet 2020).

  40. « Menacé de mort à deux reprises, le maire d’un village du Maine-et-Loire dépose plaint : Visé depuis un an par des menaces de mort, le maire de Passavant-sur-Layon, Pascal Bertrand, a déposé plainte en gendarmerie. Dans ce petit village de l’agglomération de Cholet (Maine-et-Loire), les habitants font bloc contre la suppression d’une douzaine de lieux-dits », Ouest-France-Le Courrier de l'Ouest,‎ 12 juin 2023 (lire en ligne, consulté le 4 mars 2024).

  41. Lucille Moy, « Municipales à Passavant-sur-Layon : Olivier Lecomte élu dans un fauteuil : Le candidat sans étiquette a été désigné maire de Passavant-sur-Layon (Maine-et-Loire), ce dimanche 17 septembre 2023, à la majorité. Il succède à Pascal Bertrand, à la tête de la commune de 1995 à 2023. Ce dernier avait démissionné de ses fonctions en juin dernier », Ouest-France-Le Courrier de l'Ouest,‎ 17 septembre 2023 (lire en ligne, consulté le 4 mars 2024) « En 1995, contre toute attente, il entre au conseil municipal « sans avoir candidaté » et est élu conseiller. Parallèlement, il nourrit de nombreux engagements syndicaux depuis trente ans à la Fédération viticole de l’Anjou. Il est aussi membre depuis 2022 du comité régional de l’Institut national de l’origine et de la qualité (Inao), secrétaire général de la fédération horticole et trésorier de l’association interprofessionnelle LoireVinBio » .

  42. Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Vihiers), consulté le 6 octobre 2011.

  43. Smitom Sud Saumurois, Son territoire, consulté le 29 septembre 2011.

  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Passavant-sur-Layon (49236) », 30 juin 2021 (consulté le 31 décembre 2021).

  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).

  49. Insee, Statistiques 2008 du territoire, consultées le 13 septembre 2011.

  50. Insee, Statistiques locales du territoire de Passavant-sur-Layon (49), consulté le 20 janvier 2013.

  51. Ville de Vihiers, Z.I. Anjou Actiparc, consulté le 15 septembre 2011.

  52. INAO, Fiche de Passavant-sur-Layon (49) consultée le 13 septembre 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).

  53. a et b Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, Base Mérimée consultée le 24 janvier 2011.

  54. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=18464