Peyret-Saint-André (original) (raw)

Peyret-Saint-André
Peyret-Saint-André Paysage dans les environs du village de Peyret-Saint-André
Blason de Peyret-Saint-AndréBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire Mandat Pierre Labat 2020-2026
Code postal 65230
Code commune 65358
Démographie
Population municipale 63 hab. (2022 en évolution de +14,55 % par rapport à 2016)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 14″ nord, 0° 30′ 32″ est
Altitude Min. 253 mMax. 392 m
Superficie 6,25 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FrancePeyret-Saint-André Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FrancePeyret-Saint-André Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées Voir sur la carte topographique des Hautes-PyrénéesPeyret-Saint-André Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)Peyret-Saint-André
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Peyret-Saint-André est une commune française située dans le nord-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par, la Gèze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Peyret-Saint-André est une commune rurale qui compte 63 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 205 habitants en 1891..

La commune de Peyret-Saint-André se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 37 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 11 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Boulogne-sur-Gesse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Larroque (1,7 km), Castelnau-Magnoac (2,8 km), Sariac-Magnoac (2,9 km), Puntous (3,5 km), Monlaur-Bernet (3,6 km), Ponsan-Soubiran (4,0 km), Chélan (4,3 km), Mont-d'Astarac (5,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Peyret-Saint-André fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[4].

Les communes limitrophes sont Monlaur-Bernet, Chélan, Castelnau-Magnoac et Larroque.

Carte

Les limites communales de Peyret-Saint-André et celles de ses communes adjacentes.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Gèze, le Cartet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Peyret-Saint-André.

Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4

Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[8].

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[9] : les « bois et landes des Argudes, Téchéné et les Lannes » (147 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Gers et deux dans les Hautes-Pyrénées[10].

Entrée sud du village.

Au 1er janvier 2024, Peyret-Saint-André est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,3 %), forêts (9,4 %), prairies (3,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[11].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 35[I 5].
Parmi ces logements, 71,4 % sont des résidences principales, 25,7 % des résidences secondaires et 2,9 % des logements vacants.

Cette commune est desservie par les routes départementales D 9 et D 35.

Le territoire de la commune de Peyret-Saint-André est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gèze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[14]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[15],[12].

Peyret-Saint-André est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le 21 avril 2020 pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du 27 octobre 2014, qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[16]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyret-Saint-André.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 36 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 36 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Peyret et Saint-André séparément.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[20] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Nom occitan : Peiret – Sent-Andrèu.

Le plan cadastral napoléonien de Peyret-Saint-André est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[21].

La mairie en 2020.

Le foyer rural en 2020.

Liste des maires successifs | Période | Identité | Étiquette | Qualité | | | ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -------- | ------------ | ------- | | | Les données manquantes sont à compléter. | | | | | | | | | | | | | mars 2001 | en cours | Pierre Labat | | |

Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, canton de Castelnau-Magnoac (depuis 1790). Agrandie de la section de Lannemajou distraite de Castelnau-Magnoac en 1874[22].

Peyret-Saint-André appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en janvier 2017 et qui réunit 50 communes.

La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

Liste des juridictions compétentes pour la commune[23]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25]. En 2022, la commune comptait 63 habitants[Note 4], en évolution de +14,55 % par rapport à 2016 (Hautes-Pyrénées : +1,59 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
166 144 144 120 148 167 164 169 155

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
139 151 142 135 193 196 186 205 189

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
194 193 189 127 135 124 119 124 94

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
68 63 60 68 64 57 58 58 57

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2017 2022 - - - - - - -
54 63 - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)

Histogramme de l'évolution démographique

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[28].

Taux de chômage

2008 2013 2018
Commune[I 6] 5,4 % 6,5 % 6,9 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 28 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 7 emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 22, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 10].

Sur ces 22 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 95,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 4,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

L'église Saint-André en 2020.

L'entrée.

Le monument aux morts municipal.

  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  1. « Carte hydrographique de Peyret-Saint-André » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).

  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 avril 2021). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 15 septembre 2022).

  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le 10 avril 2021).

  5. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Peyret-Saint-André ».

  6. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).

  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).

  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).

  9. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Peyret-Saint-André

  10. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Peyret-Saint-André » (consulté le 17 février 2022).

  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le 17 février 2022).

  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le 17 février 2022).

  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le 10 avril 2021).

  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Peyret-Saint-André » (consulté le 17 février 2022).

  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le 17 février 2022).

  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le 17 février 2022).

  17. Stephan Georg, « Distance entre Peyret-Saint-André et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le 20 août 2021).

  18. Stephan Georg, « Distance entre Peyret-Saint-André et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le 20 août 2021).

  19. « Communes les plus proches de Peyret-Saint-André », sur villorama.com (consulté le 20 août 2021).

  20. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, avril 1999 (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.

  21. Carte IGN sous Géoportail

  22. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le 4 novembre 2021).

  23. « Fiche communale de Peyret-Saint-André », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le 4 novembre 2021).

  24. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le 25 septembre 2016).

  25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Peyret-Saint-André », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 27 août 2021).

  26. « ZNIEFF les « bois et landes des Argudes, Téchéné et les Lannes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 27 août 2021).

  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 15 avril 2021).

  28. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Peyret-Saint-André », sur Géorisques (consulté le 17 octobre 2022).

  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le 15 septembre 2022).

  30. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le 15 septembre 2022).

  31. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le 15 septembre 2022), partie 1 - chapitre Risque inondation.

  32. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le 15 septembre 2022).

  33. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le 15 septembre 2022), chapitre Mouvements de terrain.

  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 15 septembre 2022).

  35. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyret-Saint-André », sur georisques.gouv.fr (consulté le 15 septembre 2022).

  36. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, 2000, 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..

  37. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Peyret-Saint-André en 1812

  38. Archives départementales des Hautes-Pyrénées

  39. « Liste des juridictions compétentes pour Peyret-Saint-André », sur le site du ministère de la Justice (consulté le 17 décembre 2015)

  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  43. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.

  44. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 17 janvier 2017).