Pierrefonds (Oise) (original) (raw)

Pierrefonds
Pierrefonds (Oise) Le château et le centre-ville vus du lac.
Blason de PierrefondsBlason Pierrefonds (Oise)Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes des Lisières de l'Oise
Maire Mandat Florence Demouy 2020-2026
Code postal 60350
Code commune 60491
Démographie
Gentilé Pétrifontains
Population municipale 1 882 hab. (2021 en évolution de +2,28 % par rapport à 2015)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 06″ nord, 2° 58′ 53″ est
Altitude Min. 55 mMax. 145 m
Superficie 22,32 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Compiègne (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FrancePierrefonds Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FrancePierrefonds Géolocalisation sur la carte : Oise Voir sur la carte topographique de l'OisePierrefonds Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France Voir sur la carte administrative des Hauts-de-FrancePierrefonds
Liens
Site web mairie-pierrefonds.fr
modifier

Pierrefonds est une commune française située dans le département de l'Oise dans la région Hauts-de-France.

Située en lisière est de la forêt de Compiègne, elle est principalement connue pour son château de Pierrefonds, restauré par Viollet-le-Duc.

Pierrefonds se situe en lisière sud-est de la forêt de Compiègne sur le ru de Berne. La commune se situe à environ 80 km au nord-est de Paris et à 15 km à l'est de Compiègne.

Le hameau de Palesne, situé au sud, fait partie de la commune de Pierrefonds.

Représentations cartographiques de la commune

Carte OpenStreetMap

Carte topographique

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ru de Berne, le ru de la Fontaine Porchers[2], le ru du Pre Tortu[3], le cours d'eau 01 du Mont Arcy[4], divers bras de Berne[5],[6],[Carte 1].

Le ru de Berne, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Aisne à Compiègne, après avoir traversé trois communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseau hydrographique de Pierrefonds[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Vertefeuilles (0,7 ha)[Carte 1],[8].

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 789 km2 de superficie, délimité par trois bassins versants en totalité ou en partie (Aisne, Oise et Aronde). Le périmètre a été arrêté le 16 octobre 2001 et le SAGE proprement dit a été approuvé le 8 juin 2009, puis révisé le 27 novembre 2019. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Oise-Aronde[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 14 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Au 1er janvier 2024, Pierrefonds est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[17]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %), terres arables (30 %), zones urbanisées (5,7 %), prairies (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 654, 656, 657, 658, 6302 et 6319 du réseau interurbain de l'Oise[21].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Petrafogium (vers 995) ; fiscum de Petri fonte (XIe) ; dominus de Petrafonte (XIe) ; Petrofontium (XIe) ; Petrifons (1058) ; Petrefondus (1060) ; Nivelo de Petrafonte (1060) ; de Petraefonte (1061) ; de Petrefonte (1085) ; alodium de Petrefontense castrum (1089) ; Nivelo Petra fontensis dominus (1098) ; Nivelo dominus de Petrafonte (vers 1100) ; Petro de petrefonte (1108) ; Petrofongium (1110) ; Nevelo de Petrefonte (vers 1112) ; Petra fons (1113) ; in castello Petrefonte (1113) ; in Petrefons (1128) ; Petrefontensis (1135) ; de Petrofonte (1140) ; Petrefontis (1143) ; Drogonis de Petrafonte (vers 1150) ; Drogonis de Petra fonte (1153) ; Gobertus de Petrafonte (1168) ; dominus petrefontis (1171) ; Petrofontis (1178) ; alodium de petrefonz (1179) ; Agatha de petrafontis (1183) ; Agatha domina Petrafontis (1192) ; Pierrefons (1210) ; monachos sancti Sulpicii de Petrafonte (1222) ; apud monte de petrafonte (1232) ; in traverso Petraefontis (1243) ; Petrosus fons (1247) ; apud petram fontem (vers 1260) ; Pierrefonz (XIIIe) ; la mesure de Pierre fonz (1269) ; apud Petram fontis (1302) ; Pierreffons (1304) ; Pierrefont (1308) ; prepositure Petrefontis (1309) ; apud Petram fontem in Valesia (1327) ; de maioria Petre fontis (1332) ; la porte de pierrefons (1359) ; Pierrefonts (1470) ; Pierrefont (1470) ; Pierreffons (1480) ; prioratus conventualis de S. Sulpiciis de Petrafonte (XVe) ; Pierrefond (1663) ; Pierrefonds (1840) ; Pierrefonds-les-Bains (1928)[22].

Le village de Pierrefonds a emprunté son nom (Petri fonte) à la fontaine Saint-Sulpice, dans la crypte de l'église homonyme[23].

Le centre du village se situe non loin de vestiges gallo-romains au mont Berny (quartier de la Queue-de-Saint-Etienne, partagé avec la commune de Saint-Etienne-Roilaye - et non le quartier du Mont Berny à 900 m au nord-est). Ces habitations, rassemblées en occupation dense autour d'un fanum, auraient été construites au carrefour de la voie romaine Soissons-Beauvais par Champlieu (future chaussée Brunehaut) et Soissons-Beauvais par le gué de Compiègne. Le site se trouve à la lisère des marais que recouvrent aujourd'hui la forêt de Compiègne[24],[25] et marque la limite occidentale du Soissonnais que contrôle la peuplade gauloise des Suessions. La forêt de Compiègne, avant l'arrivée des romains, est essentiellement une zone de contact pour les Suessions, Bellovaques et Silvanectes et sert de no man's land pacificateur avant la mise en place de la Pax romana[26].

Le sanctuaire de source de "La Folie", sur la commune de Pierrefonds, est également près de la voie romaine[27]. Il a livré des monnaies gauloises et romaines, des statuettes en terre cuite et en bronze, des vases et des ornements divers[28].

Dans les environs, au sud-ouest, se trouvent les vici de la Carrière-du-Roi sur Morienval[27] ou Saint-Jean-aux-Bois[29] (7,5 km à pied) et le sanctuaire antique de Champlieu sur Orrouy[30] (12 km à pied).

Au Xe siècle, l'ancien château aurait été détruit. Le nouveau château est construit plus à l'ouest près de la forêt sur une butte. Le village s'installe à son pied. Le fort devient puissant, protège de nombreux monastères ou villages et lève des impôts féodaux.[réf. nécessaire]

Le château de Pierrefonds avec la gare au premier plan, début du XXe siècle.

Au XIe siècle, sous Nivelon Ier (mort vers 1072), la seigneurie comprend une partie des forêts de Compiègne (alors nommée forêt de Cuise) et de Retz, Chelles, Couloisy, Croutoy, Haute-Fontaine, Jaulzy, Saint-Étienne, Retheuil, Montigny-Langrain, Taillefontaine, Mortefontaine, etc.[réf. nécessaire]

Pierrefonds est le chef-lieu de la plus grande des six châtellenies du duché de Valois. Le roi Louis XIII dépêche en 1616 un corps spécial commandé par Charles de Valois pour assiéger Pierrefonds, puis le cardinal de Richelieu demande la destruction du château.[réf. nécessaire]

On rend la justice à Pierrefonds jusqu'en mars 1780, date à laquelle elle est transférée à Villers-Cotterêts.[réf. nécessaire]

Vase en grès de Pierrefonds, vers 1920.

Le village, devenu ville d'eaux sous le nom de Pierrefonds-les-Bains, connut un fort engouement au Second Empire, avec la restauration du château, et au début de la Troisième République avec la construction de la gare ferroviaire. Pierrefonds compta alors jusqu'à neuf hôtels et 200 000 visiteurs annuels, une fréquentation réduite de moitié au début des années 2000.

Le village fut également connu, au début du XXe siècle, pour sa production de poteries de grès et leurs remarquables glaçures à cristallisations étoilées. La fabrication, débutée en 1903, cessa en 1986. Les pièces restent très recherchées par les collectionneurs.

Liste des maires successifs

Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1914 1919 Adolphe Clément-Bayard Industriel
1989 2001 Jacques Dandoy
2001 2020 Michèle Bourbier DVG
2020 En cours Florence Demouy[31] DVD Juriste, Vice-Présidente de la Communauté de communes

Vue du village depuis le château de Pierrefonds.

Cette sous-section présente la situation des finances communales de Pierrefonds[Note 3].

Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Pierrefonds s'établit à 1 395 000 € en dépenses et 1 243 000 € en recettes[A2 1] :

En 2013, la section de fonctionnement[Note 4] se répartit en 937 000 € de charges (438 € par habitant) pour 1 083 000 € de produits (506 € par habitant), soit un solde de 146 000 € (68 € par habitant)[A2 1],[A2 2] :

Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Pierrefonds[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

La section investissement[Note 7] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

Les ressources en investissement de Pierrefonds se répartissent principalement en[A2 4] :

L'endettement de Pierrefonds au 31 décembre 2013 peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 10], l'annuité de la dette[Note 11] et sa capacité de désendettement[Note 12] :

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 1 882 habitants[Note 13], en évolution de +2,28 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 300 1 754 1 405 1 389 1 500 1 444 1 510 1 687 1 575

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 614 1 728 1 882 1 760 1 665 1 935 1 735 1 745 1 819

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 729 1 804 1 786 1 566 1 632 1 487 1 460 1 569 1 672

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 548 1 531 1 474 1 376 1 548 1 945 2 039 1 890 1 819

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
1 882 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 928 hommes pour 911 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]

Hommes Classe d’âge Femmes
1,0 90 ou + 1,8
6,8 75-89 ans 8,9
15,6 60-74 ans 17,5
22,4 45-59 ans 23,3
17,6 30-44 ans 17,9
19,7 15-29 ans 15,6
16,9 0-14 ans 15,0

Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[37]

Hommes Classe d’âge Femmes
0,5 90 ou + 1,4
5,5 75-89 ans 7,6
15,6 60-74 ans 16,3
20,8 45-59 ans 20
19,4 30-44 ans 19,4
17,6 15-29 ans 16,2
20,6 0-14 ans 19,1
Armes de Pierrefonds Les armes de Pierrefonds se blasonnent ainsi :d'azur au château du lieu d'argent, accompagné de quatre fleurs de lys d'or, ordonnées deux en chef et deux aux flancs.

Sa devise est : « Qui veult, peult ».

Château de Pierrefonds, côté sud.

Église Saint-Sulpice de Pierrefonds.

Ancienne gare de Pierrefonds.

Pierrefonds compte quatre monuments historiques sur son territoire :

Vue aérienne de Pierrefonds.

Vue aérienne de Pierrefonds.

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.

  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  3. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Pierrefonds. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.

  4. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.

  5. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.

  6. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.

  7. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d'envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.

  8. Les « dépenses d'équipement » servent à financer des projets d'envergure ayant pour objet d'augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d'améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d'en créer de nouveaux.

  9. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.

  10. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au 31 décembre de l'année considérée

  11. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année

  12. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dette⁄capacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Pierrefonds.

  13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  14. a et b « Les comptes des communes - Pierrefonds : chiffres clés » (consulté le 11 août 2015).

  15. « Les comptes des communes - Pierrefonds : opérations de fonctionnement » (consulté le 11 août 2015).

  16. a et b « Les comptes des communes - Pierrefonds : fiche détaillée » (consulté le 11 août 2015).

  17. a et b « Les comptes des communes - Pierrefonds : opérations d'investissement » (consulté le 11 août 2015).

  18. a et b « Les comptes des communes - Pierrefonds : endettement » (consulté le 11 août 2015).

  19. « Les comptes des communes - Pierrefonds : autofinancement » (consulté le 11 août 2015).

  20. a et b « Réseau hydrographique de Pierrefonds » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).

  21. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le 22 septembre 2024)

  22. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

  23. « Communes limitrophes de Pierrefonds (Oise) » sur Géoportail..

  24. Sandre, « le ru de la Fontaine Porchers »

  25. Sandre, « le ru du Pre Tortu »

  26. Sandre, « le cours d'eau 01 du Mont Arcy »

  27. Sandre, « divers bras de Berne »

  28. « Fiche communale de Pierrefonds », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le 22 septembre 2024)

  29. Sandre, « le ru de Berne »

  30. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le 22 septembre 2024).

  31. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le 22 septembre 2024)

  32. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 22 décembre 2023)

  33. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 22 décembre 2023)

  34. « Orthodromie entre Pierrefonds et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le 22 décembre 2023).

  35. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 22 décembre 2023)

  36. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 22 décembre 2023)

  37. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 22 décembre 2023)

  38. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).

  39. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pierrefonds ».

  40. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).

  41. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).

  42. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 22 mai 2021).

  43. « Transports en commun à Pierrefonds », sur oise-mobilite.fr, 1er novembre 2023 (consulté le 1er novembre 2023).

  44. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, 1982 (lire en ligne), p. 428.

  45. Michel Roblin, Fontaines sacrées et nécropoles antiques, deux sites fréquents d'églises paroissiales rurales dans les sept anciens diocèses de l'Oise : La christianisation des pays entre Loire et Rhin (IVe – VIIe siècle), coll. « Revue d'histoire de l'Église de France », 1976, p. 236.

  46. F. Digues, « Les fouilles de la ville des Gaules (le Mont Berny à Pierrefonds) », Revue du Nord, no 195,‎ 1967, p. 691-701 (lire en ligne).

  47. Jacques Harmand, « Deux «uici» suessions en forêt de Compiègne : le pseudo Mont-Berny et la Carrière-du-Roi », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, séance du 17 décembre 1975,‎ 1977, p. 254-289 (lire en ligne).

  48. Harmand 1977, p. 265.

  49. a et b George Pierre Woimant, « Le sanctuaire antique de Champlieu, commune d'Orrouy (Oise) », Revue archéologique de Picardie, vol. 1, no 2,‎ 1993, p. 63-198 (lire en ligne). Voir p. 66.

  50. Victor Cauchemé, Description des fouilles archéologiques exécutées dans la forêt de Compiègne sous la direction de M. Albert de Roucy, vol. 1 : 1) Un rapport de M. Albert de Roucy ; 2) Fouilles du Mont-Berny, Compiègne, impr. du Progrès de l'Oise, 1902, 26 pl. (lire en ligne), p. 5.

  51. Harmand 1977.

  52. Woimant 1993.

  53. « Pierrefonds », Cartes de France (consulté le 21 septembre 2014).

  54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  58. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pierrefonds (60491) », 30 juin 2021 (consulté le 8 janvier 2022).

  59. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).

  60. « Château de Pierrefonds », notice no , sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  61. Fiche d'information du château édité par le CMN.

  62. « Église Saint-Sulpice », notice no PA00114804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  63. Dany Sandron, « L'église Saint-Sulpice de Pierrefonds à l'époque romane », Groupe d'étude des monuments et œuvres d'art de l'Oise et du Beauvaisis - L'Art roman dans l'Oise et ses environs (actes du colloque organisé à Beauvais les 7 & 8 octobre 1995), Beauvais,‎ 1997, p. 57-65.

  64. « Gare de Pierrefonds », notice no PA00114805, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  65. « Domaine du Bois d'Aucourt », notice no PA60000058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  66. « Domaine du bois d'Aucourt » (consulté le 26 avril 2013).

  67. « Monument aux infirmières », sur Office de tourisme de Pierrefonds (consulté le 26 avril 2013).

  68. « Pierrefonds-les-Bains », sur Office de tourisme de Pierrefonds (consulté le 26 avril 2013).

  69. « Le Parc de l'Institut Charles Quentin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Institut Charles-Quentin (consulté le 26 avril 2013) ; « Les différents jardins »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Institut Charles-Quentin (consulté le 26 avril 2013).