Sistels (original) (raw)

Sistels
Sistels Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Rives
Maire Mandat Christophe Boisseau 2020-2026
Code postal 82340
Code commune 82181
Démographie
Population municipale 203 hab. (2021 en évolution de −5,14 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 40″ nord, 0° 47′ 04″ est
Altitude 187 mMin. 98 mMax. 199 m
Superficie 13,57 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Agen (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceSistels Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceSistels Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne Voir sur la carte topographique de Tarn-et-GaronneSistels Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)Sistels
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Sistels est une commune française située dans l'ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau du Métau, le ruisseau de Sempesserre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « cavités et coteaux associés en Quercy-Gascogne ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sistels est une commune rurale qui compte 203 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 642 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Agen. Ses habitants sont appelés les Sistelois ou Sisteloises.

Commune située dans le Brulhois. Elle est limitrophe du département du Gers.

Les communes limitrophes sont Flamarens, Gimbrède, Miradoux, Saint-Antoine, Donzac, Dunes et Saint-Cirice.

Carte

Les limites communales de Sistels et celles de ses communes adjacentes.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseaux hydrographique et routier de Sistels.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le ruisseau du Métau, le ruisseau de Sempesserre, le ruisseau de Lamouyne, le ruisseau de Mellac, le ruisseau de Sirech et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[3],[Carte 1].

Le ruisseau du Métau, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune de Flamarens et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la rivière de l'Auroue à Dunes, après avoir traversé 3 communes[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence », sur la commune de Valence à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43 °C, atteinte le 12 août 2003 ; la température minimale est de −13,7 °C, atteinte le 9 février 2012[Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « cavités et coteaux associés en Quercy-Gascogne »[13], d'une superficie de 1 103 ha, un site hébergeant régulièrement huit espèces de chiroptères de l'annexe II. Il est fréquenté à toutes les saisons par les chauves-souris. En particulier, parmi ces espèces, le Minioptère de Schreibers et le complexe bispécifique Petit Murin/Grand Murin possèdent des effectifs remarquables en période de reproduction[14].

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[15] : les « vallons et coteaux associés à la grotte du Roc » (623 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Gers et deux dans le Tarn-et-Garonne[16].

Au 1er janvier 2024, Sistels est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), forêts (20,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), prairies (6,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le territoire de la commune de Sistels est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau du Métau. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[21],[18].

Sistels est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire . Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sistels.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 98 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre de sûreté de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 6]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d'iode[Note 7],[27],[28].

Sistels vient du latin Cythus[réf. nécessaire].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un groupe de résistants se cacha dans l'une des nombreuses forêts aux alentours du village. Ce groupe faisait partie de la XIIIe compagnie de l'armée secrète.[réf. nécessaire]

Liste des maires successifs | Période | Identité | Étiquette | Qualité | | | ------------------------------------------ | -------- | ------------------- | -------------------------------------------- | | | avant 1981 | | Henri Chambert | DVG | | | 1995 | 2020 | Alain Delpech | | | | 2020 | En cours | Christophe Boisseau | | | | Les données manquantes sont à compléter. | | | | |

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30]. En 2021, la commune comptait 203 habitants[Note 8], en évolution de −5,14 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
457 484 527 541 642 508 477 505 479

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
457 433 437 390 395 375 357 341 329

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
325 299 267 212 218 232 272 238 212

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
203 205 149 146 142 142 180 191 211

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2018 2021 - - - - - - -
209 203 - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)

Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, la commune compte 84 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 213 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 770 €[I 5] (20 140 € dans le département[I 6]).

Taux de chômage

2008 2013 2018
Commune[I 7] 5,3 % 8,5 % 7,7 %
Département[I 8] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 130 personnes, parmi lesquelles on compte 77,7 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 7,7 % de chômeurs) et 22,3 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Agen, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 93, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,9 %[I 11].

Sur ces 93 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 1,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

8 établissements[Note 11] sont implantés à Sistels au 31 décembre 2019[I 14]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 8 entreprises implantées à Sistels), contre 13,6 % au niveau départemental[I 15].

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département de Tarn-et-Garonne[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 26 20 18 14
SAU[Note 13] (ha) 828 942 933 737

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 26 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 20 en 2000 puis à 18 en 2010[35] et enfin à 14 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[36],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 828 ha en 1988 à 737 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 53 ha[35].

Église Saint-Laurent.

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Les records sont établis sur la période du 1er juillet 1994 au 1er décembre 2020.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  6. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  7. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
  1. « Carte hydrographique de Sistels » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).

  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 18 septembre 2022).

  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le 10 avril 2021).

  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le 17 mars 2022).

  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le 17 mars 2022).

  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le 17 mars 2022).

  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le 17 mars 2022).

  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 30 juin 2024).

  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sistels ».

  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le 30 juin 2024).

  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 30 juin 2024).

  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Sistels » (consulté le 17 février 2022).

  14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le 17 février 2022).

  15. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sistels » (consulté le 17 février 2022).

  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le 17 février 2022).

  17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le 17 février 2022).

  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le 10 avril 2021).

  19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sistels » (consulté le 17 février 2022).

  20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le 17 février 2022).

  21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le 17 février 2022).

  22. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sistels » (consulté le 17 mars 2022).

  23. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le 17 mars 2022).

  24. Carte IGN sous Géoportail

  25. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le 1er novembre 2021).

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  27. Sandre, « le Ruisseau du Métau »

  28. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 2 février 2024)

  29. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 2 février 2024).

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  33. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le 2 février 2024).

  34. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, novembre 2022 (consulté le 2 février 2024).

  35. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire

  36. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sistels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).

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