Sollacaro (original) (raw)

Sollacaro
Sollacaro Vue générale du centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Corse-du-Sud
Arrondissement Sartène
Intercommunalité Communauté de communes du Sartenais-Valinco
Maire Mandat Jean-Jacques Bartoli 2020-2026
Code postal 20140
Code commune 2A284
Démographie
Gentilé Sollacarais
Population municipale 369 hab. (2021 en évolution de +4,83 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 41° 44′ 42″ nord, 8° 54′ 46″ est
Altitude 450 mMin. 0 mMax. 814 m
Superficie 23,89 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Propriano (commune de la couronne)
Élections
Départementales Taravo-Ornano
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceSollacaro Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceSollacaro Géolocalisation sur la carte : Corse Voir sur la carte topographique de CorseSollacaro Géolocalisation sur la carte : Corse Voir sur la carte administrative de CorseSollacaro
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Sollacaro est une commune française dans la circonscription départementale de la Corse-du-Sud et le territoire de la collectivité de Corse.

À vol d'oiseau, Sollacaro est à 25 km au sud-est de la préfecture Ajaccio, 14 km au nord de la sous-préfecture Sartène et 8 km au sud-ouest de Petreto-Bicchisano[1], les distances par la route sont presque doublées[2].

Sollacaro depuis le chemin de Tabio, au sud-ouest..

Sollacaro depuis le chemin de Tabio, au sud-ouest..

Le village est situé à 450 m d'altitude dans la vallée du Taravo, en grande partie sur le versant nord-ouest d'une colline, orientation qui le prive du soleil matinal[3], les quartiers historiques et en particulier la tour (Torre) sont situés sur un éperon rocheux et bénéficient du soleil des 8 h en été.

La colline est située entre les RD 302 et 157A d'un côté et la RN 196 de l'autre côté. Il est traversé par la route départementale 302 qui relie le col de Celaccia à Pisciatello (près d'Ajaccio) par Pila-Canale.

Commune située dans une zone de sismicité 1.

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

Sollacaro dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1000 équivalent-habitants[5].

Climat méditerranéen classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[6].

En contrebas, sur la RD 57, en direction de Porto Polo, se situent les hameaux de Calvese et, à quelques kilomètres, de Filitosa. Tous deux appartiennent à la commune.

Au 1er janvier 2024, Sollacaro est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Propriano, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), prairies (10,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), terres arables (1,5 %), zones urbanisées (1 %)[13].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

Figure mégalithique à Filitosa.

L'occupation humaine est attestée dans la vallée du Taravo dès la fin du néolithique et le début de l'âge du bronze. Sur le site archéologique de Filitosa, dans la commune de Sollacaro sur une butte en surplomb de la vallée, ont été trouvées des pointes flèches et de la poterie datant d'environ 3300 avant notre ère. Des statues-menhirs humaines de deux à trois mètres de haut, représentant des visages, armures et épées courtes, y ont été érigés vers 1500 à 1300 avant notre ère, comme gardiens probables surveillant une invasion imminente.

Selon la théorie de Roger Grosjean, archéologue responsable des fouilles systématiques organisées depuis 1954, les Shardanes ou les Torréens, l'un des Peuples de la mer qui déferlent sur les côtes méditerranéennes achevant l'Empire hittite et menaçant l'Égypte antique, envahissent le Sud de la Corse et la Sardaigne.

À Filitosa, les statues-menhirs seront parfois réutilisées comme matériau de construction dans de grandes constructions circulaires, les torre, autour desquelles ont été construites des agglomérations néolithiques fortifiées (castelli).

La construction du village en hauteur, caché de la mer, participe d'une tendance générale en Corse du VIIIe au XVIe siècle afin de se protéger des « pirates barbaresques » qui assaillent les côtes. La construction centrale est une maison forte du XVIe siècle, œuvre d'une famille de notables qui domine alors la Corse, les Colonna d'Istria[15].

Jusqu'à leur réunion dans la commune de Sollacaro en 1853, Sollacaro et Calvese appartiennent à la pieve d'Istria, un découpage administratif antérieur au XIe siècle permettant un mode de vie autarcique[15] .

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

En 2021, la commune comptait 369 habitants[Note 2], en évolution de +4,83 % par rapport à 2015 (Corse-du-Sud : +6,69 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
559 536 448 607 615 685 762 706 906

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 020 1 050 1 103 1 027 1 024 1 099 1 159 1 341 1 494

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 433 1 259 1 286 1 292 1 078 1 056 754 657 485

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
448 355 290 324 326 340 344 347 369

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
369 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,0 % la même année, alors qu'il est de 30,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 179 hommes pour 190 femmes, soit un taux de 51,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,7 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]

Hommes Classe d’âge Femmes
1,1 90 ou + 2,1
10,6 75-89 ans 15,3
32,4 60-74 ans 28,4
24,0 45-59 ans 21,1
14,5 30-44 ans 14,2
6,1 15-29 ans 11,1
11,2 0-14 ans 7,9

Pyramide des âges du département de la Corse-du-Sud en 2021 en pourcentage[21]

Hommes Classe d’âge Femmes
0,8 90 ou + 1,9
9,5 75-89 ans 11,2
19 60-74 ans 19,2
21,2 45-59 ans 20,1
19 30-44 ans 19,7
13,9 15-29 ans 12,9
16,7 0-14 ans 15,1

Malgré sa proximité du littoral, Sollacaro partage avec la plupart des communes rurales de l'intérieur un exode important jusque dans les années 1980[22] avec un solde migratoire de l'ordre de -10‰ entre 1968 et 1982. Depuis, cette tendance s'est inversée avec un solde migratoire de 15‰ sur la période 1990-1990, compensant le solde naturel de -14‰. Ainsi, passant de 448 à 290 habitants en 14 ans (1968–1982), la population s'est stabilisée autour de 324 habitants depuis 1990[23]. Cet inversement de tendance est surtout observé dans le voisinage des grandes villes Ajaccio et Bastia : dans un phénomène de rurbanisation, on assiste au retour des retraités et de certains actifs dans les villages. L'effet reste faible à Sollacaro en raison de sa distance à ces agglomérations[22]. De fait, seuls 44 % des nouveaux arrivants de la décennie 1990-1999 proviennent de la région ; 54 % habitaient en France métropolitaine en 1990. Sept venus de métropole sur dix sont des retraités (44 %) ou d'autres inactifs (28 %)[24], revenant dans leur village d'origine après une carrière professionnelle hors de Corse.[réf. nécessaire]

La population actuelle est particulièrement âgée, les personnes de 60 ans et plus comptant pour près de la moitié (46 %). Cela explique le solde naturel fortement négatif : le taux de natalité est faible (5‰) et celui de mortalité, élevé (19‰)[25].

Après une chute importante de 1968 à 1982 en corollaire de l'exode, le nombre de résidences principales est remonté en 1999 près de son niveau d'origine, avec 2,1 personnes par résidence. Le nombre de résidences secondaires a fortement augmenté au cours de toute la période et dépasse actuellement le nombre de résidences principales[23]. Cela est grande partie lié à l'habitude des anciens Sollacarais d'y conserver une résidence secondaire[26]. Seules deux résidences principales sur dix sont occupées par un locataire (21 %), sept sur dix (72 %) par leur propriétaire et 7 % à titre gratuit[27] ; plus de neuf sur dix (92 %) sont des maisons individuelles dont le nombre médian de pièces est 3[28] et dont la date de construction date d'avant 1949 (pour 75 %)[29].

En 1999, moins de trois habitants de plus de 15 ans sur dix (28 %) exercent une activité professionnelle : 35 % sont retraités, 6 % à la recherche d'emploi et 31 % sont d'autres inactifs[30], qui sont essentiellement des femmes (75 %)[31] et des étudiants[30]. Le taux de chômage est élevé (16 %), surtout chez les hommes (19 %)[32], et deux chercheurs d'emploi sur trois sont chômeurs de longue durée[33]

Les agriculteurs ne représentent plus que 8 % de la population totale et 20 % des actifs, contre 13 % et 48 % respectivement 9 ans plus tôt ; les artisans et commerçants ne représentent plus que 12 % des actifs ayant un emploi soit une baisse du tiers depuis 1990[30]. La catégorie socio-professionnelle la plus représentée, avec quatre personnes ayant un emploi sur dix, est formée par les employés (38 % des actifs), suivie par les agriculteurs (20 %) puis les professions intermédiaires (19 %)[34],[30]. La diminution des occupations locales (artisanat, commerce, agriculture) s'accompagne par une augmentation du nombre de personnes travaillant à l'extérieur : six personnes sur dix exercent leur activité dans une autre commune (+ 85 % en 9 ans)[35]. Le mode de transport prépondérant est la voiture particulière (85 % des personnes avec un emploi)[36]. En 1999, tous les salariés sont employés à temps plein, près de la moitié (46 %) sont titulaires de la fonction publique, la même proportion d'un contrat à durée indéterminée, et un peu moins d'un sur dix (8 %) a un emploi subventionné.

Les étrangers représentent 1,8 % de la population ; sept habitants sur dix (71 %) sont nés en Corse, ce chiffre tombe à 55 % chez les 25-59 ans[34], tranche d'âge correspondant à l'exode le plus important (des années 1950 aux années 1970) : de nombreux Corses partent travailler en métropole lors des Trente Glorieuses.[réf. nécessaire]

Le fait que de nombreux jeunes suivent leurs études hors de la commune ou sur le continent a eu des conséquences au niveau de l'école primaire du village passant 150 élèves en 1945 à 8 en 1983. Elle a un temps été regroupée avec celle de la commune voisine de Casalabriva (une année sur deux à Sollacaro). Le renouveau démographique a permis au village de récupérer une école à temps plein : elle compte actuellement une vingtaine d'élèves[15].

Le nombre de personnes de plus de 15 ans non scolarisée sans aucun diplôme a diminué de moitié de 1990 à 1999, passant à 22 %. 16 % disposent d'un diplôme équivalent au baccalauréat, au brevet professionnel ou supérieur[37].

Établissements d'enseignements[38] :

Professionnels et établissements de santé[39] :

L'économie est dominée par le secteur tertiaire avec trois quarts des emplois (74 %), avec une part significative pour le secteur primaire (20 %). La construction et l'industrie ne comptent que pour 6 %[41]. Le chômage est élevé (16 % en 1999)[32] et comparable à la moyenne de la région (17,6 % en 2004, 12,9 % au niveau français)[42] ; le revenu moyen par ménage est de 87 % de la moyenne corse (9 742 € en 2004, 65 % du revenu moyen français)[43],[42].

Malgré sa proximité au littoral et le site archéologique de Filitosa, la part du tourisme dans l'économie de la commune reste limitée : en 2003, la commune ne compte aucune place de camping et aucune chambre d'hôtel classée[35].

Toutefois, Sollacaro offre plusieurs possibilités d'hébergements en gîtes et chambres d'hôtes, classés auprès des Gites de France Corse.

Liste des maires successifs

Période Identité Étiquette Qualité
1865 1935 Célestin Caïtucoli
1965 1971 Charles Colonna d'Istria[44]
1971 198? Paul Lorenzi
1983 2014 Alexandre Mondoloni Apparenté PCF
2014 En cours Jean-Jacques Bartoli Professeur des écoles

En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation[10].

Commune membre de la Communauté de communes du Sartenais-Valinco.

  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  3. Données à vol d'oiseau du site http://www.lion1006.com : [1], [2] et [3]

  4. Distances par la route du site http://www.viamichelin.fr [4],[5] [6]

  5. Vue satellite

  6. L'eau dans la commune

  7. Description de la station

  8. Table climatique

  9. Réseau de transports en commun

  10. Port d'Ajaccio Tino-Rossi

  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, 28 mai 2024 (consulté le 27 juin 2024).

  12. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Sollacaro ».

  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Propriano », sur insee.fr (consulté le 27 juin 2024).

  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 27 juin 2024).

  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 28 mai 2021).

  16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 28 mai 2021). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

  17. a b et c Le village

  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sollacaro (2A284) », 30 juin 2021 (consulté le 24 décembre 2021).

  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Corse-du-Sud (2A) », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).

  24. a et b L'évolution démographique et économique constatée à Sollacaro se retrouve-t-elle ailleurs en Corse ?

  25. a et b INSEE, Sollacaro : évolution démographique 1968-2006

  26. INSEE, Migrations (caract socio-économique selon le lieu de résidence au 01/01/90)

  27. INSEE, Sollacaro : population par âge et par sexe (5 classes d'âge) et Sollacaro : population par âge et par sexe (âge quinquennal)

  28. Sollacaro : démographie

  29. INSEE, Sollacaro : Logement : les occupants (site web indisponible en ce moment)

  30. INSEE, Sollacaro : caractère des résidences principales selon le nombre de pièces (site web indisponible)

  31. INSEE, Sollacaro : Logements par catég selon l’époque d’achèvement (site web indisponible)

  32. a b c et d INSEE, Sollacaro : CSP

  33. INSEE, Population de 15 ans ou plus par sexe, âge et type d’activité.

  34. a et b INSEE, Population active par sexe, âge et type d’activité (site web indisponible)

  35. INSEE, Sollacaro : Chômeurs selon l’ancienneté de la recherche d’un emploi

  36. a et b INSEE, Sollacaro : recensement de la population. La population active utilisée pour le calcul des pourcentages est celle donnée précédemment (98).

  37. a et b Les actifs selon le recensement de l'INSEE

  38. INSEE, Sollacaro : Emploi

  39. INSEE, Sollacaro : Formation : scolarisation et diplômes (site web non disponible)

  40. Établissements d'enseignements

  41. Professionnels et établissements de santé

  42. Ensemble interparoissial de Propriano et Olmeto

  43. INSEE, Sollacaro : Population active ayant un emploi par sexe et statut selon l’activité économique (site web indisponible)

  44. a et b Corse sur le site du Journal du Management

  45. Sollacaro sur le site du Journal du Management

  46. a et b Charles Colonna d'Istria sur http://www.ordredelaliberation.fr

  47. Les comptes de la commune

  48. « Site préhistorique de Filitosa », notice no PA00099120, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  49. « Site préhistorique I Callanchi - Saparata Alta », notice no PA00099132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  50. Dolmen du Tarava

  51. « Ancienne église paroissiale de Saint-Albert de Calvese », notice no PA2A000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  52. « église Saint-Albert », notice no IA2A000676, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  53. « église paroissiale de l'Assomption », notice no IA2A000675, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  54. « Chapelle Saint-Roch », notice no IA2A000677, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  55. « Ancienne chapelle Saint-Laurent », notice no IA2A000678, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  56. « Mairie-école », notice no IA2A000679, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  57. « monument aux morts de la guerre 1914-1918 », notice no IA2A000680, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  58. « monument de Célestin Caïtucoli », notice no IA2A000681, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  59. Plaque commémorative

  60. « Célestin,Marc CAÏTUCOLI », sur assemblee-nationale.fr (consulté le 29 juillet 2011).

  61. Plaque en son honneur

  62. Photo de Paul Poggionovo hissant le drapeau français au palais Farnèse à Rome le 5 juin 1944

  63. Article sur Paul Poggionovo paru le 30 novembre 1956 dans le journal "La Marseillaise" à l'occasion du rattachement de la Corse à la France

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