Vigy (original) (raw)

VigyHessange
Vigy Église Saint-Léger.
Blason de Vigy HessangeBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Haut Chemin-Pays de Pange
Maire Mandat Sylvain Weil[1] 2020-2026
Code postal 57640
Code commune 57716
Démographie
Gentilé Torlas
Population municipale 1 541 hab. (2022 en évolution de −9,88 % par rapport à 2016)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 16″ nord, 6° 17′ 54″ est
Altitude Min. 213 mMax. 324 m
Superficie 17,07 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Metz (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays messin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte topographique de FranceVigyHessange Géolocalisation sur la carte : France Voir sur la carte administrative de FranceVigyHessange Géolocalisation sur la carte : Moselle Voir sur la carte topographique de la MoselleVigyHessange Géolocalisation sur la carte : Grand Est Voir sur la carte administrative du Grand EstVigyHessange
Liens
Site web http://www.mairie-vigy.fr/
modifier

Vigy est une commune française du département de la Moselle. C’est un village fleuri situé dans un cadre forestier protégé, possédant un riche patrimoine architectural rural. Vigy constitue un chef-lieu de canton. Ses habitants s’appellent les Torlas.

Les champs de colza au printemps.

La forêt à Vigy.

Située sur le plateau lorrain, où se mêlent vallée et vallons, la commune de Vigy se trouve à 15 km de Metz et à 48 km de Luxembourg[2]. Elle s’étend sur un territoire de 1 707 hectares dont 493 de forêts[3],[4]. La rivière Canner passe sur le territoire de la commune. La Canner est de faible débit, pratiquement à sec en été. Le niveau des grès rhétiens donne lieu à des sources parfois abondantes (comme la fontaine Charlemagne près de Rabas)[5],[6].

Le village de Vigy est situé dans un secteur reconnu pour ses qualités paysagères. Il est inscrit à l’inventaire des « Paysages remarquables de Lorraine ». Une partie de la commune de Vigy se situe dans le site inscrit de la vallée de la Canner[7].

Une partie de la commune fait partie d’une zone importante pour la conservation des oiseaux, définie en fonction d’observation sur Bazoncourt-Vigy, pour les oiseaux de proie, notamment le busard, le milan royal, le milan noir, le courlis cendré ou le tarier des prés[8],[9],[10].

Flore : cirse grisâtre — Cirsium Canum (L.)[11].

La forêt communale s’étend sur un territoire 306 hectares.

Vigy est située dans un secteur reconnu pour ses qualités paysagères. Il est inscrit à l'inventaire des paysages remarquables de Lorraine et une partie de la commune se situe dans le site inscrit de la vallée de la Canner (voir Politique environnementale).

Les essences les plus présentes sont le chêne, le hêtre et le frêne[12]. on trouve aussi des bois précieux tels l’alisier, le merisier et les fruitiers.

En 2012, la commune de Vigy, soucieuse d’une gestion durable de sa forêt, a validé l’adhésion au système de certification PEFC (Program for the Endorsement of Forest Certification schemes)[13].

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Canner[Carte 1].

Le Canner, d'une longueur totale de 29,4 km, prend sa source dans la commune de Vry et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé onze communes[14].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune

Réseaux hydrographique et routier de Vigy.

La qualité du ruisseau le Canner peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 818 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 13 km à vol d'oiseau[17], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le 25 juillet 2019 ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le 5 janvier 1985[Note 1],[18],[19].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[20]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Le réseau viaire est hiérarchisé autour d'une croix formé par le RD 52 et RD 67.

La commune est située à l’est du sillon mosellan et à 15 km de Metz. Vigy est également située à 21 km de Thionville et 22 km de Boulay-Moselle et de Bouzonville.

Les accès autoroutiers sont :

Bus vers la gare routière de Metz et vers la gare SNCF d’Hagondange (correspondance pour les villes de Nancy, Metz et Luxembourg ville)

À partir d'Antilly.

La ligne télégraphique Metz-Mayence.

Télégraphe ambulant s’abritait sous une toile de tente, de ce fait, il est inutile de rechercher des vestiges de construction. Curieusement, la station de Vigy est mentionnée par le cadastre de l’époque[22].

Vigy est l’un des principaux nœuds de communication en Pays messin. Vigy est donc le lieu de rencontre d’associations, de sportives…

Acheminement vers le Luxembourg, l’Alsace. Production en France et en Allemagne[33],[34].

Au 1er janvier 2024, Vigy est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle est située hors unité urbaine[36]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[36]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[37],[38].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), forêts (31,5 %), prairies (13,6 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la commune proviendrait d’un homme d’origine gallo-romaine, Vigius. Ce dernier aurait possédé le lieu Vigiacum. Le suffixe -acum signifie appartenance. Cette dénomination changera en 691 avec l’avènement de la graphie latine Vidiacum, situm in pago Mettense »[40]. Le village est donné à Drogon, évêque de Metz. Le 23 juin 715, Arnould, fils de Drogon, donne Vigy et ses terres à l’abbaye Saint-Arnould. Par la même occasion, Vigy est attesté sous la forme Vigeium. Cette donation fut confirmée en 977 par Thierry Ier, évêque de Metz et en 1115 par l’empereur Henri IV.

Évolution du nom de Vigy (date à laquelle le nom apparaît dans les documents)[41] : Vigiacum (691) ; Vidiacum situm in pago Mettinse (715) ; Vigey (1200) ; Vigeium (1205) ; Vegei (XVe siècle) ; Vegey (1404) ; Wegey (1518) ; Vigeyum, Vigi (1544) ; Wigi/Wigy aux deux tours (1634) ; Vigy (1793).
Nom allemand (1915-1918 et 1940-1944) : Wigingen.

En lorrain roman : Vgy[41].

Évolution du nom d’Hessange (date à laquelle le nom apparaît dans les documents)[41] : Essingen (1169) ; Haisange (1315) ; Haissanges (1444) ; Hessenges (1493) ; Hessingen (1544).
En allemand : Hessingen[41]. En francique lorrain : Hesséngen.

La place de l’Église en 1900.

Carte de Cassini - 1760.

Gare de Vigy en 1907

Souvenir de Vigy en 1906. Actuellement, rue Pasteur.

Café-restaurant de la place de l’Église en 1901.

Des habitants datant du néolithique et gallo-romain, découverts au sud du ban communal ainsi qu’une nécropole gallo-romaine découverte à Hessange révèlent la lointaine occupation du territoire de Vigy.

Seigneurie du Haut-Chemin en Pays messin.

Le 23 juin 715, Vigy et ses terres a été donné à l’abbaye de Saint-Arnould de Metz[42]. L'abbaye de Saint-Arnould avait comme couleurs le bleu et le jaune. Ce même bleu et jaune sont les couleurs qui figurent actuellement sur le blason de la commune.

En 1365, les habitants de Vigy sont mis sous la protection du Luxembourg, puis sont réunis à la France en 1648.

En 1635, le 12 septembre, presque tout le village fut brûlé par les Espagnols : les hommes, les femmes, les enfants, et le bétail. Les troupes, dirigées par le colonel Maillard, ne venaient pas de loin car le pays messin était voisin des Pays-Bas espagnols. Elles mirent à feu et à sang le village, ne laissant derrière eux qu’un monceau de ruines autour d’une bâtisse appelée « La grange aux dîmes ». Le but étant de punir les habitants de n’avoir pas voulu héberger ses soldats[43]. Il est donc peu probable qu’il y ait eu deux tours.

À la fin du XVIIIe siècle apparaît l’orthographe Vigy dans le cahier de doléances qui se transformera en Wigingen lors de l’occupation allemande pour en devenir le Vigy actuel. On trouve également l’appellation Vigy en patois lorrain.

Vigy est chef-lieu de canton depuis la Révolution. C’est en 1809 que Napoléon a créé la commune de Vigy-Hessange.

En 1844, on y trouve 851 individus et 89 maisons. 65 garçons fréquentent l’école de garçons et 53 filles, l’école de filles[44].

Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Vigy est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918.

1889 : statuts du règlement de la Caisse d’épargne de Vigy[45].

Durant la Première Guerre mondiale, les cloches de l’église de Vigy furent saisies comme celle des autres villages. La plus petite, fondue en 1847, fut épargnée. En novembre 1940, beaucoup de gens de Vigy furent expulsés à Mussidan en Dordogne. Quelques-uns furent massacrés le 11 juin 1944 après une rafle provoquée par une attaque de la résistance — plus de cinquante morts en tout.

Installation d’un orgue Franz Staudt dans l’église Saint-Léger en 1902[46].

Le 1er mai 1928, distribution publique de l’énergie électrique par l’UEM[47]

La première association l’Union sportive de Vigy (US Vigy) fut fondée en 1937, sous l’impulsion de son premier président, Augustin Mazzocchi[48].

Les pavillons Baticoop[49], unité d'habitation, proposaient un confort moderne. Une architecture destinée à l'épanouissement humain formulé par l'édition de cartes postales. Vivre et partager la conviction que l’architecture et l’urbanisme modernes pouvaient contribuer à un monde meilleur.

Dans cet esprit du vivre et partager, l'association du Foyer Rural de Vigy est fondée en 1962. Puis l’Adeppa est créée en 1963 à l’initiative du carrefour des organisations de jeunesse et d’éducation populaire (COJEP) dans le but de créer un centre de formation des cadres de la vie associative.

En 1963, découverte par Mlle Meyer, du Cirsium canum en colonies le long des routes de vigy (espèce d’Europe Centrale,nouvelle pour la France)[50]

En mars 1965, création de la batterie-fanfare la Jeanne d’Arc par Marc Mazzocchi, Albert et Jean Fuss et quelques volontaires[51]. Puis en 1967 le nouveau "Foyer" est inauguré.

Création du collège Charles-Péguy en 1969. Enfin une caserne de gendarmerie a été édifiée en 1979[52].

En 1985, création du train touristique.

Activités touristiques comme le Labyrinthe Végétal, le Vélorail, la brocante annuelle.

VIGY voit sa population augmenter, un nouveau lotissement voit le jour.

Outre le monde associatif très présent dans la commune, VIGY possède beaucoup d'atouts pour ses habitants :

Hessange est une annexe de Vigy.

Vigy est une ville de tradition conservatrice sur le plan politique. Depuis la Seconde Guerre mondiale, elle vote le plus souvent à droite, toutefois, les listes présentes lors des élections municipales successives sont toutes sans étiquette.

Ci-dessous, le partage des sièges au sein du conseil municipal de Vigy[53] :

Groupe Président Effectif Statut
Nicolas Le Bozec Nicolas Le Bozec 15 majoritaire
Autre[54] ? 4

Le 5 février 2010, démission collective de sept conseillers municipaux et un adjoint au maire[55]

Le 2 mai 2010 1er tour des élections municipales partielles[56] avec un taux d'abstention record, proche de 65 % n'a permis à aucun candidat d'être élu[57])

Le 9 mai 2010 la liste de l'opposition au maire a remporté 50 % des suffrages et gagné 8 sièges au conseil municipal (source : mairie de Vigy)

Le 30 mars 2014, élection municipale, la liste un maire pour tous la mairie à tous remplace l'ancien conseil municipal.

Stade, rue du Château-d’Eau.

Promenade estivale dans le labyrinthe végétal[58].

Liste des maires successifs[59] | Période | Identité | Étiquette | Qualité | | | ------------------------------------------ | --------- | --------------------------------------- | ------- | | | 1969 | 1983 | Paul Vincent | | | | 1983 | 1989 | Bernard Bourdin | | | | 1989 | mars 2008 | Michel Vincent | | | | mars 2008 | 2014 | Alain Vanzella[60] | | | | avril 2014 | mai 2020 | Nicolas Le Bozec | | | | mai 2020 | En cours | Sylvain Weil | | | | Les données manquantes sont à compléter. | | | | |

La commune de Vigy a su mettre en valeur son patrimoine rural de village lorrain traditionnel. Cependant la commune a détruit plusieurs bâtiments et infrastructure, qui étaient témoins du passé.

Le plan local d’urbanisme de Vigy a été arrêté[Quand ?][61].

Depuis le 3 octobre 1994, une partie de la commune de Vigy est un site inscrit (no régional SI57331A)[62] à l’inventaire des « Paysages remarquables de Lorraine ».

Mussidan : le quartier du pont au début du XXe siècle.

Vigy-Hessange est jumelée avec la commune de Mussidan en Dordogne depuis 1990. Ce village a accueilli un grand nombre d’expulsés de Vigy-Hessange durant la Seconde Guerre mondiale. Certains des habitants y sont nés[63]. Le 19 novembre 1940, après deux jours d’un voyage pénible dont ils ignoraient la destination, une partie des habitants de Vigy et d’Hessange débarquent sur le quai de la gare de Mussidan. Ils sont logés provisoirement à l’hôtel de ville, à l’école et dans des centres d’accueil. Ensuite, chacun se cherche un logement, chez des particuliers ou dans des baraquements. Les habitants d’Hessange seront accueillis à Sourzac, à trois kilomètres de Mussidan. Les hommes trouvent du travail, les uns dans l’usine « Bois et fer », les autres chez des fermiers ou planteurs de tabac[64].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[66].

En 2022, la commune comptait 1 541 habitants[Note 3], en évolution de −9,88 % par rapport à 2016 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
570 662 632 802 883 851 824 821 763

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
778 761 734 659 656 615 818 680 608

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
605 629 603 612 590 766 930 984 1 123

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1990 1999 2006 2011 2016 2021 2022 - -
1 172 1 278 1 301 1 512 1 710 1 607 1 541 - -

Histogramme de l'évolution démographique

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,2 % la même année, alors qu'il est de 26,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 848 hommes pour 887 femmes, soit un taux de 51,12 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,08 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[69]

Hommes Classe d’âge Femmes
0,2 90 ou + 2,2
6,1 75-89 ans 8,7
10,5 60-74 ans 10,8
25,4 45-59 ans 19,8
18,7 30-44 ans 22,3
16,8 15-29 ans 13,6
22,4 0-14 ans 22,7

Pyramide des âges du département de la Moselle en 2021 en pourcentage[70]

Hommes Classe d’âge Femmes
0,6 90 ou + 1,5
6,8 75-89 ans 9,5
17,2 60-74 ans 18,4
20,9 45-59 ans 20,5
19,5 30-44 ans 18,6
17,7 15-29 ans 15,7
17,4 0-14 ans 15,8

La fête de la musique, le 21 juin 2008.

En date du 13/02/2012, Eau d'alimentation conforme aux exigences de qualité en vigueur pour l'ensemble des paramètres mesurés[81].

Le stade de la Forêt.

Le duc Simon Ier de Lorraine donne des terres pour la création de l’abbaye de Villers-Bettnach. Les moines défrichent les terres, introduisent de nouvelles cultures, de la formation[style à revoir]. L’abbaye prospère rapidement[82].

Une tuilerie, une tannerie, un moulin à vent, moulin à eau (moulin de Rabas[83]), deux notaires et deux huissiers[84].

Les effets du nitrate de chaux sur la culture de l’avoine.

À partir du poste de transformation de la commune, l'électricité produite par la centrale nucléaire de Cattenom est distribuée dans le réseau français. Une interconnexion électrique avec l'Allemagne s'effectue depuis le poste de Vigy[Carte 4].

Carte de la frontière linguistique mosellane en 1630.

Depuis les différentes guerres (Guerre franco-allemande), la frontière politique et donc la frontière militaire a été fluctuante. Au cours du processus de construction européenne les frontières politiques internes de l’Union européenne sont devenues de plus en plus perméables. L’ouverture de la frontière a permis une augmentation des échanges de toutes sortes et, quels qu’en soient les motifs (travail, loisirs, commerce…).

Les flux de travail frontalier sont évidemment favorisés par la proximité linguistique existant de part et d’autre de la frontière (langues/dialectes) et par la disparition de l’effet barrière de la frontière (échanges scolaire, mise en place de la libre circulation des travailleurs….).

La frontière linguistique acquiert alors le statut de barrière qui a un caractère politique. Il y a dévalorisation de la frontière réel au profit d’«une zone tampon» ou bien d’une «frontière linguistique»..La frontière linguistique et culturelle mosellane ne correspond nullement à une frontière politique[87].

Cette frontière linguistique passait sur le Nord du ban de Vigy jusqu'à la guerre de Trente Ans.

La « frontière linguistique » n’est donc pas le signe d’un affrontement entre des peuples de culture et de langue différentes, mais plutôt un espace de bilinguisme où ces cultures sont entrées dans un monde d’échange[88].

L’observatoire linguistique Linguasphere distingue sept variantes du lorrain et associe le messin à Metz, au pays messin et à toute la Moselle francophone.

D’après une carte des patois romans de la Moselle plus détaillée, le patois messin est une variante parlée dans le Haut-Chemin, centrée sur Vigy, juste en dessous la frontière linguistique mosellane.

Vigy est connu pour son dynamisme et son tissu associatif fort avec plus de quarante associations. Le Foyer Rural est une association d'éducation populaire. Il regroupe historiquement de nombreuses sections et développe des activités socioculturelles diversifiées. Il est historiquement adhérent au mouvement rural de la Confédération Nationale des Foyers Ruraux. L’association la plus célèbre est l’Adeppa.

Le groupe local de scoutisme laïque, mixte et sans uniforme basé sur une méthode éducative active est né à Vigy en 2009 sous l'impulsion d'Alexandre Simon (Gecko) qui a longtemps été le responsable de la structure locale d'activité (jusqu'en 2021). Les Trappeurs de Vigy organisent la majeure partie de leurs activités sur un terrain de l'association des EEDF de 2 ares de verdure et de bois en bordure du village[90].

L’un des pavillons de l’Adeppa.

L’Adeppa est née en 1963 à l’initiative du Carrefour des organisations de jeunesse et d’éducation populaire (COJEP) dans le but de créer un centre de formation des cadres de la vie associative[91].

Dispersés dans treize hectares de verdure, un pavillon central abrite une salle de congrès sonorisée (300 places), divers salles et des chambres individuelles. De plus, six autres pavillons pour être complètement indépendants.

Cet équipement est notamment un lieu de restauration et de terrains de sport[92].

Plusieurs manifestations s’y tiennent, comme Europe Direct[93] et Éthic Étapes[94].

Exposition du Centre de l’Est du véhicule militaire.

Le Centre de l’Est du véhicule militaire (CEVM)[95] est une association créée en 1978 ayant pour but de conserver un patrimoine mécanique des années 1940-1945 : véhicules militaires français, américains, russes, anglais soit environ 90 véhicules, jeep, camions, etc. Cette association est installée à Vigy depuis 1998. Elle propose l’accueil de groupes et la location de matériel pour des manifestations ou des expositions[96],[97]. L'association organise des journées de rassemblement de collectionneurs, au cours desquelles sont proposés des balades autour de Vigy[98].

« Rien n’est d’une plus grande importance que l’éducation de la jeunesse, c’est de la jeunesse que dépend toute la vie. » Jean-Martin Moyë (Directoire, Projet p. 112 et 114).

La communauté des sœurs de la Divine Providence a été fondée par Jean-Martin Moyë, à Befey (à 6 km de Vigy) qui avec l’aide de Mlle Marguerite Lecomte a ouvert la première école de la communauté à Vigy en 1762[99]. Chassées à la Révolution française, les sœurs se réfugient à Saint-Jean-de-Bassel. La communauté se développe dans le monde (États-Unis…). Elles reviennent à Vigy-Hessange dans les années 1980[100].

Chapelle de Rabas. Narthex roman du XIe siècle et chœur datant de 1416.

Vierge à l'enfant en pierre à l'intérieur de la chapelle Rabas. 4e quart du XIVe siècle, classé au titre objet (monument historique).

La légende raconte[101] : « Une chaleur accablante ! Une troupe de chasseurs et une meute de chiens poursuivent un cerf aux abois dans les bois de Saint-Hubert. Ils s’égarent. Gens et bêtes souffrent d’une soif intense. Très touché de voir ses gens et ses bêtes souffrir, Charlemagne fait alors le vœu de construire une chapelle à la Vierge si elle venait à son secours. Soudain, sous les pieds de son cheval jaillit une source fraîche et limpide. »

Une autre légende moins connue raconte[102] « Alors qu’il chassait dans la forêt de Saint-Hubert, Charlemagne aperçoit un chevreuil au milieu d’un torrent. L’animal reste figé sur place alors que la meute et la troupe font grand bruit. Étonné par le comportement de l’animal et soupçonnant un miracle, l’Empereur fait creuser là où s’est arrêté le chevreuil. On eut tôt fait de trouver une statue noire de la Vierge. Charlemagne lui fit édifier une chapelle qu’il nomma Rebach, c’est-à-dire « torrent du chevreuil », en allemand. »

Recensée en 1200, Rebach fut effectivement une des appellations des lieux. Il pourrait effectivement s’agir de Reh : « le chevreuil » et Bach : « le ruisseau ». Le nom a ensuite lentement dérivé vers Rabas. Le ruisseau lui s’est par contre arrêté au patronyme de Reibach. Ici il faut comprendre ruisseau à la place de torrent.

L’histoire ne semble pas contredit la possible d'influence de Charlemagne dans la construction de la chapelle de Notre-Dame-De-Rabas Les Chroniques de la cité de Metz en font d’ailleurs mention pour cette seconde version de la légende[103]

Le premier oratoire aurait été érigé en 806. Cette première chapelle était très petite et n’avait pas de clocher. La chapelle actuelle a été construite sur le même emplacement.

En 1049, le pape Léon IX serait venu consacrer la chapelle. Dès le XIe siècle, la chapelle de Rabas devient un lieu de pèlerinage[104].

Pendant des siècles, l’abbaye Saint-Arnould de Metz a administré et entretenu la chapelle car Charlemagne était apparenté à saint Arnould. Les religieux trouvaient refuge à Rabas en cas de danger ou d’épidémie.

En 1405, les prêtres des environs de Rabas ont écrit et signé une missive dans laquelle ils font état d’une bulle en latin signée par le pape Urbain II qui parlait de la construction de la chapelle de Rabas par l’empereur Charlemagne et de sa déconsécration par le pape Léon IX. En 1603, don Floret religieux de Saint-Arnould traduisit cette pièce en français[105].

À la Révolution, la chapelle fut confisquée et vendue à des particuliers en 1797 mais les pèlerinages ne s’arrêtèrent pas.

En 1423, vivait à Rabas un ermite du nom d’André, originaire de Flévy. On note également, en 1630, un autre ermite, le franciscain Colezius, docteur en théologie.

La médaille de Notre-Dame-de-Rabas est très rare. Elle a été gravée avant la reconstruction de la chapelle. Il y a deux plans de reconstruction, un plan important et donc plus cher et un plan plus simple. Sur la médaille, c’est le premier plan de la chapelle qui a été gravé.

Notre-Dame-de-Rabas.

En 1883, sur l’initiative de l’abbé Pierron et son successeur l’abbé Cazin, archiprêtre à Vigy, le domaine de Rabas est racheté aux héritiers. De 1884 à 1886, sous l’impulsion de l’abbé Cazin, la chapelle vétuste, délabrée, est reconstruite dans son état actuel, en intégrant une partie ancienne chapelle à savoir l’entrée[106]. À cette époque, trois vitraux ont été offerts par le vicomte de Coëtlosquet du château de Mercy. Le quatrième vitrail est un don de la baronne de l’Épée de Metz.

La chapelle possède un carillon de neuf cloches, bénites en l’église de Vigy, le 15 avril 1895. Depuis, il a été électrifié.

En juin 1984, des centaines de pèlerins ont célébré avec ferveur le centenaire de Notre-Dame-de-Rabas avec Mgr Paul-Joseph Schmitt, évêque de Metz. Des festivités populaires avec le groupe irlandais Clann Na Gael, des animations folkloriques, des chants grégoriens grâce à la Psalette de Saint-Avold[107]

Chaque lundi de Pentecôte, le pèlerinage de Notre-Dame-de-Rabas revit ; de nombreux pèlerins cheminent vers la chapelle[108].

Selon un vœu très ancien, les paroissiens d’Oudrenne et environs y viennent en pèlerinage (le mercredi après la Fête-Dieu)[109].

Les trois sources[Lesquelles ?] coulent toujours, sans tarir, à partir de Rabas et à environ 300 m en direction du hameau de Befey. La source de Charlemagne, potable, alimente le ruisseau de Rebach.

La littérature nous informe que d’après une croyance ancienne : « Pour guérir les nourrissons : apporter une chemise ou bien un autre vêtement du malade à la fontaine et jeter l’objet sur l’eau de bassin creusé devant la fontaine. Si cet objet flotte sur l’eau la guérison est considérée comme certaine. Puis toucher la statue miraculeuse de Notre-Dame de Rabas, puis ne pas manquer de boire l’eau de la fontaine… »[112]

Le site de la source de Charlemagne et la chapelle de Notre-Dame de Rabas qui donne lieu à un pèlerinage et à un rite ambulatoire auprès de la source de Charlemagne trouve son origine dans des croyances pré-chrétiennes[113].

Labyrinthe végétal : une représentation du Graoully en 2005.

Labyrinthe végétal : Au hasard de nouveaux chemins…

Sur plusieurs kilomètres, au hasard de nouveaux chemins, les aventuriers d’un jour partiront à la recherche de panneaux comportant plusieurs questionnaires sur différents thèmes. Une récompense attend les concurrents les plus perspicaces[114].

Des animations nocturnes ponctuelles très appréciées sont également organisées. Les chemins boueux par temps de pluie rajoutent du piment à cette promenade en pleine campagne.

Tous les ans, les bénévoles créent et gèrent un nouveau labyrinthe végétal ouvert de juillet à septembre. Les anciens labyrinthes étaient un personnage inca, une caravelle, un dirigeable, un dragon, une locomotive à vapeur[115].

L’édition 2009 utilise le thème de l’anniversaire du Débarquement : le labyrinthe de maïs représente un char avec son canon et une borne de la liberté. D’après la responsable du site, Danielle maire, le labyrinthe a franchi le cap des 10 000 visiteurs[116].

Le 6 juillet 2012, les caméras de l'hélicoptère du Tour de France ont repéré la forme d’un immense vélo dans un champ de maïs[117].

Locomotive Krupp en gare de Vigy.

100 ans de chemin de fer dans la vallée de la Canner. Plaque commémorative en gare de Vigy.

Chemin de fer touristique de la vallée de la Canner.

La ligne de chemin de fer Metz-Vigy-Anzeling a été inaugurée le 25 mars 1908 par Monsieur Watersapp, Président des chemins de fer d'Alsace-Lorraine, le maire de Vigy dit dans l'enthousiasme 'que cette ligne apporte la prospérité à notre canton'.

Le 1er avril 1908 fut mise en circulation régulière la première locomotive à vapeur[118].

Le tracé de la ligne est issu de l’un des deux tronçons d’itinéraires stratégiques qui reliaient Metz à Anzeling via Vigy et Bettelainville à Merzig via Waldwisse[119].

L'Allemagne de Guillaume II voulait, en cas de nouvelle guerre avec la France, amener vite et facilement des troupes du Rhin, de la Sarre vers Metz et la Frontière avec la France.

Cette ligne était très technique, avec des tunnels et viaducs.

La section Vigy à Bettelainville est abandonnée par la SNCF le 26 septembre 1976. Conscient de l’intérêt touristique du site, le département de la Moselle acquiert dès 1978 la ligne qui est confiée à l’association ALEMF en 1985, puis cédée en 1991[120].

Depuis 1985, cette ligne de chemin de fer touristique de douze kilomètres qui relie Vigy et Hombourg-Budange, traversant la vallée de la Canner en passant par la forêt de Saint-Hubert.

Des anciennes gares de Vigy et de Hombourg-Budange sont les points de départ d’arrivée.

La section de Vigy vers Metz fut victime des combats de la libération en novembre 1944 et l'important viaduc de Failly fut détruit et jamais reconstruit[121],[122],[123].

Elle fête ses cent ans le 24 mai 2008[124].

Les wagons de 3e et 4e classe sont classés monuments historiques.

Ouverture du 1er mai au 1er dimanche d’octobre (locomotive à vapeur ou autorail « Picasso » en fonction des heures de départ)[125],[126].

Cette association s’est aussi distinguée en organisant des expositions de modèles réduits ferroviaires de haut niveau, en particulier lors de la première Exposition internationale en 1972 qui donna à l’association le poids suffisant pour que la SNCF renoue avec une ancienne tradition : le baptême des Locomotives. C’est ainsi qu’en 1973 eut lieu le baptême d’une BB15000 aux armes de la Ville de Metz[127].

Le vélorail de Vigy.

La voie ferrée.

Le chemin de fer touristique de la vallée de la Canner ne fonctionnant que le dimanche et les jours fériés, le vélorail utilise cette voie en semaine ainsi que le matin (des dimanches et jours fériés) pour donner vie et valoriser ce patrimoine centenaire[128].

Plusieurs parcours sont possibles pour une balade à travers les bois et les champs en vélorail :

Du 1er week-end d’avril jusqu’au début octobre[129],[130].

Circuits labellisés par le département:

Autre circuit :

Ancien abri du pèlerin transformé en chalet de vacances. Ce chalet appartient à la paroisse de Vigy. Les locations sont réservées aux mouvements de jeunes, associations, amicales et particuliers. Le chalet est ouvert toute l’année et est géré bénévolement par l’association "Les amis de Rabas".

L'abbaye cistercienne de Villers-Bettnach. Porte Coislin datant du XVIIIe siècle.

L'église Saint-Léger.

Chœur de l'église Saint-Léger. Le vitrail de droite représente Notre-Dame-de-Rabas qui protège la paroisse, celui de gauche, saint Léger.

Le Saint est le patron des malades.

La rue principale du village ancien d’Hessange est constitué d’usoirs.

La structure viaire d’Hessange est linéaire. Elle correspond au village-rue lorrain.

Au milieu du dix-neuvième siècle, la démolition de la partie centrale a permis la construction d’une entrée et des écuries avec des têtes d’animaux sculptées au-dessus de chaque fenêtre. Quelques propriétaires du château :

Dans les années 1960-1970 (?), la commune d’Amnéville rachète le château pour en faire un centre de vacances[136].

En répétition

La tarte de Metz (appelée "tarte au me'gin") est une spécialité du pays messin.

Médaillon d’un vitrail représentant Jean-Martin Moyë

Blasonnement : Mi-parti d’azur à l’aigle d’or, et fascé d’or et d’azur de huit pièces. Explications : La seigneurie a appartenu à l’abbaye Saint-Arnould jusqu’à la Révolution. Or le plus ancien sceau de l’abbaye présente d’un côté le saint en costume épiscopal et de l’autre l’aigle, emblème de saint Jean l’Évangéliste. C’est cette aigle, confondue avec l’aigle impériale de la dynastie carolingienne qui figure au XIIe siècle sur le blason de l’abbaye : d’azur à l’aigle essorante d’or (« essorante » étant fautivement confondue avec bicéphale), d’après l’armorial d’Hozier[136].
  1. Les records sont établis sur la période du 1er janvier 1973 au 4 janvier 2024.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Vigy » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).

  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le 31 juillet 2022) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 16 juillet 2023).

  4. (en) « Capacity for connection at 400 kV » [GIF], sur RTE.

  5. « Présention de Vigy-Hessange » [vidéo], sur YouTube (consulté le 30 mai 2023).

  6. Carte sur le site du Pays des Trois Frontières

  7. Etape entre Saint Hubert et Vigy Le chemin de Saint-Jacques, site personnel

  8. Randonnée en forêt

  9. Grès de Vigy

  10. Mise en évidence d'une origine marine des grès de Vigy par une analyse granulométrique

  11. [PDF]Paysage de Lorraine.

  12. (en) Birdlife.org — Zone Bazoncourt-Vigy

  13. Des busards chanceux.

  14. Direction régionale de l’environnement de Lorraine. — Base oiseaux éoliens

  15. Association des botanistes lorrains, Willemetia no 28, janvier 2002.[PDF].

  16. Essences des forêt de Vigy, site de l’académie de Nancy-Metz

  17. « mairie-vigy.fr/environnement-e… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

  18. Sandre, « le ruisseau le Canner »

  19. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 28 janvier 2024)

  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  21. « Orthodromie entre Vigy et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le 28 janvier 2024).

  22. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  23. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  24. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le 28 janvier 2024).

  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, novembre 2022 (consulté le 28 janvier 2024).

  26. Lignes Metz Mayence 1813

  27. Téléphone à Metz

  28. [PDF]A - no 48, 16 juillet 1904

  29. RHD57 - Le réseau haut débit de la moselle

  30. [1]

  31. [PDF]Le déploiement de la fibre optique publique et ouverture

  32. [PDF]cc-hautchemin.fr Wimax sur le site de la communauté de communes du Haut-Chemin

  33. Moselle Télécom Le réseau haut débit en Moselle

  34. [PDF]Communes couvertes par la technologie WiMax., consulté le 8 avril 2010.

  35. Couverture de la TNT luxembourgeoise

  36. [PDF]TNT allemande

  37. (en)[PDF](DE) page 8 / énergie société RWE., consulté le 8 avril 2010.

  38. (de) D/A/CH 2004 - Internationale Dreiländer-Tagung Engpassmanagement und Intra...., consulté le 8 avril 2010.

  39. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).

  40. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Vigy ».

  41. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le 28 juin 2024).

  42. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).

  43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 20 mai 2021).

  44. Vigy situé dans le pays messin

  45. a b c et d Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868

  46. L’abbaye de Saint-Arnould sur le site de la mairie de Metz.

  47. Henri Sacchi, La Guerre de Trente Ans

  48. 1844 Site généalogique.

  49. Auszug aus den Statuten und der Geschaeftsordnung der Sparkasse zu Vigy, googlebooks

  50. Église Saint-Léger - Orgue Franz Staudt

  51. [PDF]Comptes de l’UEM.

  52. Site de l’US Vigy

  53. Carte postale « Vigy les sept jours », Château d’Eau édition.

  54. Naturalis Biodiversity Center via europeana https://www.europeana.eu/fr/item/11652/_Botany_L_3695445

  55. http://www.mairie-vigy.fr/vie-associative-et-culturelle/associations/annuaire-des-associations

  56. Création d’une caserne de gendarmerie sur la commune de Vigy, site du ministère de la Défense

  57. [PDF]Document en ligne de la mairie de Vigy.

  58. Site web des 8 conseillers municipaux majortiaires de vig-hessange http://www.vigy-nouveaux-elus.com/

  59. « communiqué du maire à la suite de la démission des conseillers municipaux », sur alainvanzella.fr (consulté le 26 juillet 2015).

  60. Républicain lorrain - Environs de Metz / Vigy p. 10

  61. Républicain lorrain Environs de Metz / Vigy p. 13

  62. Les labyrinthes de maïs en France. sur le site de Le Post, consulté le 9 avril 2010.

  63. Liste des Maires de Vigy

  64. Vigy - Résultats des élections municipales 2008 - LeMonde.fr

  65. L’étude a été réalisée par l’atelier d’architecture et d’urbanisme A4

  66. [PDF]Vallée du Canner par la Direction Régionale de l'Environnement, consulté le 9 avril 2010.

  67. Voir l’article Alsace-Lorraine

  68. Josette Grandidier-Léonard, La Lorraine déchirée, 1939-1945, 1997. (ISBN 2911992067).

  69. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  70. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.

  71. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  72. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.

  73. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vigy (57716) », 30 juin 2021 (consulté le 5 janvier 2022).

  74. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Moselle (57) », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).

  75. « Apres vantoux et avant pange,vigy fete des rubans…octobre 2007 », sur GARDEZ LES YEUX OUVERTS !, 19 septembre 2007 (consulté le 7 juin 2020).

  76. Handball Club est l’organisateur de la Brocante de printemps

  77. Les métiers d’art en Lorraine

  78. Site officiel de Cycloclub de Metz.

  79. Programme département de Moselle. sur le site de Lorraine.eu, consulté le 9 avril 2010.

  80. [PDF]Animation théâtrale

  81. Site officiel de : En Scène Vigy. Associations "Vigy-Circus" et "Latroupeauthéâtre" à Vigy, en Moselle

  82. Concours des illuminations de Noël, site de la mairie

  83. http://video.google.com/videoplay?docid=-5722533483770585780# video - jeu de quille - club de vigy

  84. « Vigy | Dans le sillon de la finale des labours », Le Républicain lorrain,‎ 19 août 2014 (lire en ligne).

  85. « http://orobnat.sante.gouv.fr/orobnat/rechercherResultatQualite.do »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

  86. « Abbaye cistercienne Notre-Dame de Villers-Bettnach à Saint-Hubert (Moselle) », sur Blogspot.com (consulté le 7 juin 2020).

  87. http://www.archives57.com/archives/docs/archives/16AL Agriculture 517-684.rtf

  88. Vigy

  89. [PDF]Données de l’Insee

  90. Perception-Trésor Public

  91. La frontière linguistique et culturelle en Moselle

  92. « La Canner, pays-frontière ou pays-carrefour ? »

  93. http://legende-et-realite.blogspot.com/2010/02/font-de-genivaux-vigy-57-la-legende-que.html fontaine de genivaux à vigy 57640

  94. « Vigy », sur EEDF - Scoutisme Laïque (consulté le 19 mars 2022).

  95. Site internet de l’Adeppa

  96. Bourse Solidarité Vacances

  97. (en) Projet environnemental

  98. Hébergement dans la région

  99. Les véhicules de guerre au cœur des cérémonies. sur le site de Moselle River 1944, consulté le 9 avril 2010.

  100. Diaporama de voitures

  101. (de) Centre de l’Est du véhicule militaire, site officiel.

  102. http://3945-hv.forumactif.com/39-45-histoire-vivante-en-images-f69/vigy-15-aout-2009-t2638.htm nous avons proposé au public (venu nombreux pour la nocturne du 15 août) différents uniformes de la Seconde Guerre Mondiale car le thème du labyrinthe était un char Sherman superbement t

  103. 1762 Fondation de la première école à Vigy-Befey

  104. http://www.divine-providence-stjean.org/notre-histoire/nos-premieres-soeurs.html les 1eres sœurs de la divine providence

  105. 1e La légende de la chapelle de Rabas et de la source Charlemagne. sur le site Entre Légende et Réalité, consulté le 9 avril 2010.

  106. 2e légende de la Chapelle de Rabas (Saint-Hubert (57)) sur le site Entre Légende et Réalité, consulté le 9 avril 2010.

  107. Écritures de l'histoire (XIVe – XVIe siècle) : actes du colloque du Centre...par Danièle Bohler. sur le site de Google, consulté le 9 avril 2010.

  108. Dictionnaire du département de la Moselle, par Claude Philippe de Viville. sur le site de Google, consulté le 9 avril 2010.

  109. Notre-Dame-de-Rabas, Don Floret

  110. Images des Archives départementales de la Moselle

  111. Le républicain lorrain - Faits du Jour - Centenaires de Notre-Dame-de-RABAS - La ferveur des pèlerins le 13 juin 1984.

  112. Rabas à la Pentecôte

  113. site du Républicain lorrain.

  114. Statue : Vierge à l'Enfant assise sur le site de Ministère de la Culture, consulté le 9 avril 2010.

  115. Notre Dame de Rabas

  116. Une langue, deux cultures : rites et symboles en France et au Québec,De Gérard Bouchard, Martine Segalen, Presses Université Laval, 1997, (ISBN 2-7637-7531-4), 351 p. .

  117. P. Walter, « La Rage et le Rabat : étude d’un site mythologique du pays messin. Notre-Dame-de-Rabat », Bulletin de la Société de mythologie française, (ISSN 0037-9077), 1988, no 150, p. 21-23.

  118. Labyrinthe de Vigy/Chemin de fer touristique de la Vallée de la Canner à Vigy sur le site de l'Office du tourisme de Metz

  119. Labyrinthe de Vigy

  120. Le Républicain lorrain, « Vigy. Labyrinthe : dernier week-end », 16 septembre 2009, p. 13.

  121. http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/07/24/vigy-la-cle-des-enigmes-est-dans-le-labyrinthe labyrinthe végétal de Vigy en 2012.

  122. (de) Museumsbahn

  123. Numérotation des lignes de chemin de fer de la région Est (France)

  124. Site de l’ALEMF.

  125. Ligne Metz Anzeling.

  126. FERREE Voie ferrée à Failly.

  127. Vélorail en Moselle. sur le site de vélo Moselle, consulté le 9 avril 2010.

  128. Nouveautés et Évènements 2008 - Le blog de l’A.L.E.M.F

  129. « Petit Futé »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) — Guide Vigy : chemin de fer touristique

  130. (de) Deutsch - Fahrt mit einer Museumsbahn

  131. Modélisme ferroviaire

  132. Site des vélorails de France.

  133. [PDF][2]

  134. (de) « site allemand du vélorail. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

  135. https://www.randogps.net/randonnee-pedestre-gps-moselle-57.php?num=25&meta=VIGY départ randonnée : Parking à la sortie du village de Vigy sur la D52 (Moselle 57) - Distance à plat : 18,4 km - Dénivelé : 400 m - Durée : 5 h 20

  136. Sortie à vigy

  137. La Croix de Lorraine Mosellane : le Nord sur le site de Croix de Lorraine, consulté le 9 avril 2010.

  138. Les 132 Bibliothèques-Relais De La Moselle. sur le site du Conseil Général de la Moselle, consulté le 9 avril 2010.

  139. http://www.louvre.fr/oeuvre-notices/statuette-equestre-charlemagne-ou-charles-le-chauve

  140. a et b Jean-Paul Phillips, Patrimoine rural en Pays messin, éd. Serpenoise, 2006, (ISBN 2-87692-698-9).

  141. Carnet de campagne. sur le site de France-Inter.

  142. Politique du cinéma.

  143. (de) « Vélorail, Wir sind die Eisenbahn! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur le site de SR-online, consulté le 9 avril 2010.

  144. (de) Train de la canner. sur le site de SR-online, consulté le 9 avril 2010.

  145. Photos - Batterie Fanfare

  146. Vidéo sur les musicales 2006 2007

  147. Méli Mémodie,la Chanson Passion. sur leur site. Photos : I Muvrini en répétition

  148. [3]I Muvrini en répétition

  149. [PDF]- Groupe folklorique.

  150. Le rendez-vous des notes enchantées - le tourdion paru le 16 avril 2007

  151. Cornello, « Tarte à la rhubarbe de Vigy », sur Cornellocuisine.fr, 3 juillet 2016.

  152. C. Marsal est jeune femme native de Vigy (Moselle).

  153. C Marsal, championne du monde sur route en 1990.

  154. Ouverture en mai 2010 du Centre Pompidou-Metz.

  155. [PDF]Le château de Courcelles accueille une exposition.

  156. [PDF]Constellation

  157. Fiche de M Hocquaux.

  158. Marcel Hocquaux, coureur du Circuit des mines.

  159. HOCQUAUX Marcel spécialité route et cyclo-cross

  160. Pèlerinage à Notre-Dame-RABAS

  161. [PDF]Rapport d'activité 2005.

  162. http://enscenevigy.jimdo.com/

Sur les autres projets Wikimedia :

v · mCommunes de la Moselle de 500 à 2 000 hab.
Plus de 1 900 habitants (Plappeville) Rouhling Blason de la Moselle
Plus de 1 800 habitants Saint-Privat-la-Montagne Châtel-Saint-Germain Novéant-sur-Moselle Distroff Peltre
Plus de 1 700 habitants Ogy-Montoy-Flanville Illange Sierck-les-Bains Lorry-lès-Metz
Plus de 1 600 habitants Seingbouse Diebling Ay-sur-Moselle
Plus de 1 500 habitants Montbronn Saulny Roussy-le-Village Vigy Willerwald
Plus de 1 400 habitants Ancy-Dornot Walscheid Goetzenbruck Pierrevillers Stuckange Merten Jouy-aux-Arches Abreschviller Lemberg Petit-Réderching
Plus de 1 300 habitants Folkling Jury Kuntzig Angevillers Neufgrange Hundling Argancy Retonfey Rozérieulles Farschviller Vic-sur-Seille Rémelfing
Plus de 1 200 habitants Fleury Rodemack Gros-Réderching Zoufftgen Holving Teting-sur-Nied Troisfontaines Russange Laquenexy Kanfen Kerbach Enchenberg Sarreinsming Entrange Mécleuves
Plus de 1 100 habitants Fèves Buhl-Lorraine Bousbach Courcelles-sur-Nied Nousseviller-Saint-Nabor Bining Boust Niderviller Delme Solgne Etzling Lorquin Béning-lès-Saint-Avold Gorze Noisseville
Plus de 1 000 habitants Hargarten-aux-Mines Apach Kédange-sur-Canner La Maxe Roncourt Tenteling Cuvry Rémering-lès-Puttelange Puttelange-lès-Thionville Diesen Bambiderstroff Soucht Semécourt Freistroff Rédange Norroy-le-Veneur
Plus de 900 habitants Metzeresche Trémery Bliesbruck Varsberg Brouderdorff Achen Piblange Ébersviller Saint-Jean-Rohrbach Luttange Hartzviller Ars-Laquenexy Pouilly Guessling-Hémering Lachambre Wiesviller Ranguevaux Loupershouse
Plus de 800 habitants Louvigny Flétrange Guerting Pange Betting Zetting Breistroff-la-Grande Rettel Hilsprich Hommarting Cheminot Bettviller Vantoux Coin-lès-Cuvry Gravelotte Lixing-lès-Rouhling Waldwisse Le Val-de-Guéblange
Plus de 700 habitants Lessy Charly-Oradour Sarraltroff Ippling Vaux Sainte-Barbe Plesnois Kalhausen Filstroff Volmunster Téterchen Francaltroff Henriville Pontpierre Baerenthal Féy Pournoy-la-Grasse Wittring Oudrenne Rosbruck Pommérieux Condé-Northen Rahling Nouilly Etting Silly-sur-Nied Zimming Henridorff Imling Marieulles Dalem Escherange Wœlfling-lès-Sarreguemines
Plus de 600 habitants Metzing Saint-Quirin Hunting Guenviller Malling Cappel Lorry-Mardigny Vernéville Saint-Jean-Kourtzerode Elzange Lixing-lès-Saint-Avold Danne-et-Quatre-Vents Grundviller Blies-Guersviller Rustroff Veckring Fénétrange Siersthal Mittelbronn Meisenthal Sillegny Rimling Langatte Vry Bettelainville Saint-Louis Grostenquin Racrange Hilbesheim Philippsbourg Béchy Pournoy-la-Chétive Albestroff Kerling-lès-Sierck Plaine-de-Walsch Sainte-Ruffine Frauenberg Manderen-Ritzing Coume Insming Laning Pontoy Blies-Ébersing
Plus de 500 habitants Chémery-les-Deux Gavisse Hauconcourt Flévy Luppy Marsilly Mondorff Mittersheim Avricourt Hoste Barst Gosselming Buding Moussey Boucheporn Epping Colligny-Maizery Lixheim Lutzelbourg Chesny Réchicourt-le-Château Volmerange-lès-Boulay Hesse Haute-Kontz Hombourg-Budange Bazoncourt Failly Schorbach Vergaville Arry Altviller Beyren-lès-Sierck Basse-Rentgen Contz-les-Bains Lemud Arzviller Waldweistroff Herny Bénestroff Val-de-Bride Hellimer Nitting Villing Tritteling-Redlach Berthelming Sanry-lès-Vigy Dannelbourg Ernestviller Leyviller Rezonville-Vionville Hottviller Bronvaux Gondrexange Varize-Vaudoncourt (Vahl-Ebersing)
v · mCommunes de la communauté de communes Haut Chemin - Pays de Pange (écarts et lieux-dits)
Bazoncourt Berlize Vaucremont Burtoncourt Charleville-sous-Bois Mussy-l’Évêque Nidange Coincy Aubigny Colombey Colligny-Maizery Courcelles-Chaussy Pont-à-Chaussy Landonvillers Courcelles-sur-Nied Chailly-sur-Nied Les Étangs Failly Vrémy Glatigny Béville Hayes Maizeroy Chevillon Marsilly Ogy-Montoy-Flanville Lauvallières Puche Saint-Agnan Pange Domangeville Mont Raville Retonfey Sainte-Barbe Avancy Cheuby Gras Saint-Hubert Befey Rabas Villers-Bettnach Sanry-lès-Vigy Méchy Sanry-sur-Nied Domangeville Servigny-lès-Raville Frécourt Servigny-lès-Sainte-Barbe Poixe Silly-sur-Nied Landremont Sorbey Poncillon Vigy Hessange Villers-Stoncourt Aoury Vry Gondreville