Vouvray (Indre-et-Loire) (original) (raw)

Vouvray
Vouvray (Indre-et-Loire) Vue sur la ville.
Blason de VouvrayBlason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine-Est Vallées
Maire Mandat Brigitte Pineau 2020-2026
Code postal 37210
Code commune 37281
Démographie
Gentilé Vouvrillons
Population municipale 3 346 hab. (2021 en évolution de +4,86 % par rapport à 2015)
Densité 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 46″ nord, 0° 48′ 00″ est
Altitude Min. 48 mMax. 121 m
Superficie 27,92 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Tours (banlieue)
Aire d'attraction Tours (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vouvray(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web vouvray37.fr
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Vouvray est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Ses habitants sont appelés les Vouvrillon(ne)s.

Maisons troglodytes à Vouvray

Vouvray est située à 10 kilomètres à l'est de Tours, dans la vallée de la Loire, en bordure de la Loire et de la Cisse, dont le confluent avec le fleuve se situe dans la commune. Vouvray est construite en partie à flanc de coteau dans lequel se nichent de nombreuses maisons troglodytiques et caves de producteurs de vins. Sur le coteau, la commune compte quelques hameaux importants et de très nombreuses vignes.

Réseau hydrographique de Vouvray.

La commune est bordée sur son flanc sud par la Loire (1,452 km) et traversée par la Cisse (4,451 km) qui coule d'est en ouest parallèlement à la Loire. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 19,01 km, comprend en outre cinq petits cours d'eau[1],[2].

La Cisse, d'une longueur totale de 87,7 km, prend sa source à Rhodon[Note 1] en Loir-et-Cher, et se jette dans la Loire à l'extrémité sud-ouest du territoire communal, après avoir traversé 28 communes[3]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[4],[5]. Sur le plan piscicole, la Cisse est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[7], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le 9 décembre 2003, la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[8],[9]. La hauteur maximale historique a été atteinte le 3 juin 1856 avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[10]. Sur le plan piscicole, la Loire est également classée en deuxième catégorie piscicole[6].

Une zone humide[Note 4] a été répertoriée sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[11],[12].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay à 5 km à vol d'oiseau[15], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,8 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Au 1er janvier 2024, Vouvray est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[20],[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[21]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,5 %), cultures permanentes (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), zones urbanisées (8,4 %), eaux continentales[Note 8] (5,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), forêts (2,4 %), prairies (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Vouvray disposait d'une gare de chemin de fer, située sur la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean, juste avant le viaduc de Montlouis sur la Loire, côté rive droite. La gare bénéficiait d'une halle à marchandises. La gare et la halle marchandise, toujours visibles, ne sont désormais plus affectées au service ferroviaire. La commune est traversée par la LGV Atlantique qui passe dans le tunnel de Vouvray[25].

Le territoire de la commune de Vouvray est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cisse et la Loire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1997, 1999, 2003, 2008 et 2018[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vouvray.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 400 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1065 sont en aléa moyen ou fort, soit 76 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[31].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1992, 1993, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2008[26].

Gaulois vober = terre inculte, broussailles (FEW, XIV, 92a), et suffixe collectif latin etum ; d’où : ensemble inculte, ensemble de broussailles.
Vobridus, 774 (Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. V) ; Vobridius super Ligerim, 845 (Actes de Charles II le Chauve, n° 175) ; Vovreius, 903 (Actes de Charles III le Simple, n° 97) ; Vaubridius, Xe s. (Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. X, diplôme de Charles III le Simple, de Hugues Capet) ; Vovroi, qui est juxta Roiches, XIIe s. (Missale Beatae Martini) ; In parrochia de Vovreio, mars 1242 (Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 322, charte 314) ; Hacelina, de parochia de Vovray, 1247 (Archives nationales-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 887) ; Vovray, 1284 (Charte de Jeanne de Vierzon) ; Voveray in Turonia, 1437 (Charte du chapitre Saint-Martin de Tours) ; Vovray, avril 1469 (Archives Nationales-JJ 197, n° 74, fol. 46) ; Vouvray, novembre 1495 (Archives nationales-JJ 228, n° 45, fol. 22) ; Vouvray sur Loyre, XVIIe s. (Registres paroissiaux, passim) ; Vouvray, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
Délimitation réalisée de Vouvray d’avec Rochecorbon par Ordonnance royale du 1er octobre 1817 : Vouvray cède à Rochecorbon le territoire formé du bois de la Roche, du bois de Luynes contenant la ferme des Roches et 12 habitations aux Pâtis ; en échange, Rochecorbon cède à Vouvray Montauran, une partie de la ferme de la Malourie, 3 caves habitées et un territoire proche de la Bellangerie (Archives nationales-F 2 II Indre-et-Loire 3, plan annexé à la minute).

Drapeau de l'Allemagne Randersacker (Allemagne), voir Randersacker (page allemande) - Site de la ville

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 3 346 habitants[Note 9], en évolution de +4,86 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 080 1 954 2 266 2 425 2 387 2 610 2 443 2 341 2 418

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 295 2 438 2 267 2 180 2 227 2 246 2 299 2 250 2 361

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 285 2 350 2 335 2 165 2 333 2 245 2 249 2 552 2 617

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 753 2 725 2 606 2 469 2 933 3 046 3 083 3 062 3 234

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
3 346 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

La ville possède de nombreux clubs sportifs (football, badminton, handball, volley-ball…).

Vouvray dispose de l'église Notre-Dame-et-Saint-Jean-Baptiste. Elle est rattachée au diocèse de Tours.

Diverses manifestations autour du vin, notamment :

Église de Vouvray.

Blason de Vouvray Les armes de Vouvray se blasonnent ainsi :D'azur aux deux lions affrontés d'argent supportant une grappe de raisin tigée d'or[39].
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 juillet 2023).
  1. « Source de la Cisse à Rhodon » sur Géoportail..

  2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.

  3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.

  4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».

  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.

  6. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Tours, il y a une ville-centre et 37 communes de banlieue.

  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  10. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le 3 février 2019).

  11. « Carte hydrologique de Vouvray », sur geoportail.gouv.fr (consulté le 3 février 2019).

  12. « Fiche Sandre - la Cisse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le 3 février 2019).

  13. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le 3 février 2019).

  14. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le 3 février 2019).

  15. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le 3 février 2019).

  16. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.

  17. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le 3 février 2019).

  18. « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le 3 février 2019).

  19. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.

  20. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le 3 février 2019).

  21. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, 26 mars 2013 (consulté le 3 février 2019).

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  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 5 janvier 2024).

  24. « Orthodromie entre Vouvray et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le 5 janvier 2024).

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  26. « Station Météo-France « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 5 janvier 2024).

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