Diviser pour r�gner (original) (raw)
I
Cynthia McKinney, repr�sentante de la G�orgie au Congr�s, a �t� �limin�e par le lobby juif, parce qu�elle ne voulait pas promettre d�apporter un soutien aveugle � l'�tat juif. Le soutien aveugle � Isra�l est un serment de fid�lit� moderne, une promesse donn�e par un politicien d'ob�ir aux instructions du lobby juif, pas seulement � propos de la question marginale [pour les Am�ricains] de la Palestine, mais au sujet de la question centrale du pouvoir aux �tats-Unis. Ce pouvoir ne pourrait pas �tre s�il n�avait quelques soutiens dans la communaut� noire.
Un haut responsable juif, Stephen Steinlight, directeur des affaires nationales au Comit� juif am�ricain[1], appelait franchement les juifs � maintenir �nos actuels privil�ges, succ�s et pouvoir politique� en sapant la maigre influence des Noirs, des Latinos et des autres Non-Blancs, puisque ceux-ci �ne nourrissent pas de sentiment de culpabilit� et voient les Juifs seulement comme les plus privil�gi�s et les plus puissants des Am�ricains blancs�. Il proposait d'employer pour cela �la puissance juive concentr�e d'une mani�re disproportionn�e � Hollywood, � la TV et dans les nouvelles industries� afin de �diviser et de conqu�rir� les diverses communaut�s d'Am�ricains.
II
Ce principe de �diviser pour r�gner� �tait au centre du long �rapport privil�gi� entre les Noirs et les Juifs. Celle-ci commen�a dans les ann�es 1950 et 1960, quand les juifs am�ricains �taient les plus importants et les plus puissants amis des Noirs. Deux tiers des Freedom Riders, ces jeunes gens du Nord, qui descendirent dans le Sud pour r�veiller les Noirs, �taient des juifs[2]. Cela ressemble � un conte de f�e, car, de nos jours, les politiques des communaut�s juives sont tout sauf �galitaires. Mais, avant 1968, les activistes juifs conseill�rent les Noirs du Sud dans leur combat pour leurs droits civiques et troubl�rent le calme des campus. Ils �taient soutenus par de surprenants alli�s : la cr�me de la communaut� juive, les banquiers de New York et les propri�taires des m�dias.
C'�tait une alliance inattendue, car dans le pass� les Juifs avaient �t� d'importants trafiquants d'esclaves. Aux Antilles, la traite des noirs avait �t� entre les mains des juifs depuis le seizi�me si�cle. Les Juifs des �tats-Unis utilisaient leurs relations dans les Antilles et amenaient les esclaves noirs dans les plantations du Sud. Un dirigeant juif important, Rabbi Isaac Mayer Wise, s'opposa � Lincoln et lutta pour le droit �d'acheter et de vendre des sauvages noirs�[3]. On a souvent dit que la tradition juive d�fend la dignit� et l'�galit� humaine, mais Ma�monide, la plus grande autorit� juive, rejetait l'humanit� des Noirs et approuvait l'esclavage[4].
Le soutien juif aux droits des Noirs peut �tre compris comme un mouvement tactique op�r� pour promouvoir les int�r�ts juifs en utilisant la col�re et l'�nergie des Noirs. A cette p�riode, les Juifs �tait encore un corps social s�par�, ext�rieur aux �lites traditionnelles, c��tait une ��lite paria� selon les termes de Lenni Brenner. Face � l'assaut des Noirs, men� par des activistes juifs, les vieilles �lites furent forc�es d'ouvrir leurs portes aux juifs. Une fois accomplie l'int�gration de l'�lite juive dans la nouvelle �lite de l'Am�rique, l'activisme des Juifs cessa. La r�volution de 1968 �tait trahie. Les journaux juifs lib�raux comme le New York Times commenc�rent � pr�cher un nouveau programme : le m�lange vivifiant du n�o-lib�ralisme et de la supr�matie juive. Les activistes disparurent dans le monde des affaires et ouvrirent des magasins d'ameublement, comme s'ils �taient satisfaits d'avoir �tabli la �m�ritocratie�, la pierre fondatrice du Nouvel ordre mondial.
Les fantassins noirs de la r�volution perdirent leurs partenaires, pire, ils furent attaqu�s par leurs alli�s d'hier. Martin Luther King fut assassin� quand son mouvement pour l'�galit� et l'int�gration des Noirs alla trop loin; aussi loin que les riches faubourgs juifs. Quand les Noirs commenc�rent � emm�nager dans les quartiers privil�gi�s du Nord, King fut tu� et le mouvement des droits civiques fut ralenti. Les faubourgs rest�rent Juifs; les Noirs rest�rent dans leur ghetto ; cela m'a �t� racont� par un important juif am�ricain qui participa aux �v�nements.
Lenni Brenner date la volte-face juive de 1967, quand les enseignants et les hommes de loi les plus connus de la communaut� juive de New York s�oppos�rent � l��galit� scolaire et professionnelle[5]. �Ces n�gres ne peuvent donc pas s�emp�cher de fourrer leurs sales pattes de cueilleurs de coton dans notre fromage�, authentique.
III
Un �tranger � la communaut� pourrait s�imaginer que nous, juifs, nous sommes des professionnels du double-jeu; que nous pr�chions les droits des Noirs mais que nous planifiions juste de les utiliser pour promouvoir notre propre programme. Je ne suis pas un �tranger � la communaut� et une telle duplicit� rel�verait de la fiction romanesque. Les jeunes juifs activistes de l'Am�rique d'avant 1968 �taient des gens sinc�res, mais leur r�ussite fut en partie due au soutien de leurs parents, des �tablissements bancaires juifs et de l'�lite des m�dias. Quand l'�lite changea son fusil d��paule, les r�volutionnaires furent perdus, comme des soldats abandonn�s par leurs commandants � l�int�rieur des lignes ennemies. Ce fut un drame pour beaucoup d'entre eux. Une petite fraction des forces progressives juives surv�cut au changement, mais elle ne fut plus renforc�e par des jeunes membres de la communaut�. Apr�s 1968, les nouveaux juifs jeunes et dynamiques furent envoy�s par leurs parents en Isra�l, jusque l� un lieu �loign� de peu d'importance.
On a souvent dit que la grande et impressionnante victoire des forces isra�liennes dans la guerre des Six Jours de 1967 est � l�origine de ce retour au sionisme. Mais cette affirmation (formul�e par Norman Finkelstein et d'autres) ne r�siste pas � un examen critique. En 1956, Isra�l avait d�j� remport� une victoire qui n��tait pas moins spectaculaire, mais les juifs am�ricains ne s'y �taient pas int�ress�s. En 1968, il se retourn�rent vers Isra�l pour une raison tr�s diff�rente : le sionisme �tait promu comme une cause de substitution pour les jeunes juifs activistes afin de les �loigner de la cause r�volutionnaire.
La trahison de la cause de l'�galit� par l'�lite juive a �t� une �tape rationnelle. Une R�volution est semblable � un mariage : les gens s'y engagent pour des raisons vari�es. Chaque fois que les �lites traditionnelles sont vaincues, les �lites montantes vivent un grand moment. La trahison (Thermidor, selon les termes de la R�volution fran�aise) est une r�ponse bourgeoise normale � une r�volution r�ussie qui va trop loin. L'�lite juive n'avait rien � faire des Noirs, de l'�galit� ou du �_Flower Power_�, mais elle s�en �tait servi pour saper la structure traditionnelle de la soci�t�.
Incidemment, ce tournant � 180� chassa le vieil antis�mitisme qui avait de fortes racines de droite. Les antis�mites consid�raient d'habitude les juifs comme des crypto-communistes, mais, apr�s 1970, ce fut ahurissant. L�extr�me gauche comprenait trop de juifs avant 1968 et elle ne comprenait pas pourquoi la communaut� juive, jusqu�alors amicale, la poussait dans le vide. Maintenant seulement, avec le remplacement des g�n�rations, les lamentations ont �t� remplac�es par la col�re.
�Le sort de la population juive am�ricaine changea, passant de d�buts modestes � la position actuelle qui combine richesse, pouvoir et influence�, a �crit Anton Baumgartner[6], qui demande : �Quand s�est produit le virage d�cisif ? Quand et comment la bourgeoisie juive est-elle parvenue � p�n�trer dans l'establishment en grande partie antis�mite et sp�cialement, dans son saint des saints, dans la capitale de la haute finance : Wall Street ? Quel r�le y a jou� le mouvement des droits civiques des ann�es 1960, dont le New York Times �tait le porte-parole, qui fit la promotion non seulement des droits des Noirs mais aussi de ceux des banquiers juifs (�l�ironie de l'histoire�) ? �
La volte-face devint bient�t �vidente, les Juifs d�non�ant la �discrimination positive�, diffamant les activistes noirs ind�pendants et subornant les autres. En 1978, le Conseiller national pour la s�curit�, Zbigniew Brzezinsky, r�digeait un memo secret confidentiel, le NSC-46, appelant � combattre le mouvement noir aux �tats-Unis puisque les Afro-am�ricains s'opposaient � la supr�matie juive. Cet appel fut entendu et les gangs arm�s de la communaut� juive, la Ligue de d�fense juive, cibla, assassina et pi�gea les dirigeants noirs. C�est ce que McKinney expliquait � ses partisans... Le FBI �tait de connivence avec la LDJ, comme il l�est encore, car, alors que ce gang terroriste est officiellement interdit, aux �tats-Unis et en Isra�l, il op�re en toute libert�.
Andy Young, le diplomate noir le plus prometteur, fut limog� et sa carri�re d�finitivement interrompue quand il osa montrer de l'ind�pendance d'esprit. Son sort fut partag� par la suite par de nombreux autres jusqu'� Cynthia, puisque les anges gardiens juifs maintenaient les Noirs sous leur contr�le. Il n�est pas surprenant que les Afro-am�ricains aient perdu leurs positions, tandis que celles des juifs am�ricains, leurs anciens alli�s, se consolidaient r�guli�rement.
IV
L'ann�e derni�re, j�ai visit� Atlanta, la ville natale de Cynthia. C'est une m�galopolis moderne sans �me, compos�e de tours de bureaux et de l'habituelle banlieue �tendue dont les quartiers sont plut�t ethniquement homog�nes. Aucun esprit de Scarlet O'Hara ou de son compagnon noir ne hantait les lieux. J'�tais l'invit� de l'universit� Emory, suppos�e �tre la meilleure de l'�tat. Je venais pour pr�cher l'id�e de l'int�gration des Juifs et des Palestiniens dans la Terre sainte. Les organisations d'�tudiants juifs n'�taient pas d'accord pour l'int�gration et appelaient au boycott. Elles offrirent de r�gler tous les frais, il fallait juste annuler la conf�rence et �touffer mon message. Finalement, la conf�rence eut lieu, mais mes frais de voyage ne m�ont toujours pas �t� pay�s par Emory.
A Atlanta, je vis le vrai b�n�ficiaire de la grande lutte pour la lib�ration des Noirs. Apr�s le �_bussing_�[7] et les bagarres avec le KKK, apr�s de nombreuses pertes pour les Noirs, les �tudiants juifs constituent quarante pour cent de l'effectif d'Emory, alors que les Noirs, qui sont majoritaires dans la population d'Atlanta n�y sont que les 10 % que pr�voient les statuts de l�Universit�. Les �tudiants juifs ne vont pas � l'Universit� en sortant des ��coles int�gr�es� que leurs p�res et oncles avaient exig� : ils vont dans de superbes �coles priv�es o� l�on met en pratique la s�gr�gation raciale.
Les Noirs ne font pas concurrence aux Juifs dans les universit�s, loin de l�, il sont plut�t les locataires pr�f�r�s des prisons g�r�es par le priv� et � but lucratif. Tandis que le pourcentage des �tudiants juifs a augment� dans les universit�s, �le nombre des Noirs en prison a �t� multipli� par cinq�, rapporte le New York Times[8]et il y a �plus de Noirs derri�re les barreaux qu'il y en a d'inscrits dans l�enseignement sup�rieur �. Il y a vingt ans, il y avait cent cinquante mille prisonniers noirs et un demi million d'�tudiants noirs. Maintenant huit cent mille noirs sont en prison et seulement six cent mille sont inscrits dans les grandes �coles et les universit�s.
Les Noirs commencent � comprendre qu'ils sont bafou�s. The Black Commentator[9] r�sume ainsi le sentiment de nombreux Afro-am�ricains :
�La d�faite �lectorale de la Repr�sentante Cynthia McKinney signe la fin de tout �rapport privil�gi� entre les Afro-am�ricains et le courant principal de la communaut� juive am�ricaine. La rupture finale a couv� pendant longtemps. Les attaques sans rel�che men�es contre la discrimination positive en faveur des minorit�s, men�es par la tendance dominante de la communaut� juive commenc�rent, dans les ann�es soixante-dix, � mettre � mal les relations entre les Noirs et les Juifs. Mais quand la relation est vraiment rompue, les deux parties le savent.
Les organisations du courant dominant de la communaut� juive am�ricaine sont tomb�es sous l'influence de racistes de droite � la fois en Isra�l et aux �tats-Unis. Elles ont agi de concert avec la droite chr�tienne dure pour saper la coh�sion politique et l�ind�pendance noire. Elles facilitent les carri�res de certains Noirs pour contrecarrer les aspirations authentiques du peuple. Leur conduite est celle d'un ennemi. Ces organisations agissent avec une arrogance cruelle et gratuite. Elles se vantent et paradent, et savourent leur puissance en intervenant dans la politique de la communaut� noire. Elles ont menti, sali et conspir� pour imposer leurs propres candidats au peuple noir. Le quasi silence de la gauche juive sur tout cela est �pouvantable. Pour nous, cela signifie soit de la couardise, soit la capitulation devant les racistes de la communaut�.
Cette r�flexion est partiellement erron�e, le �rapport privil�gi� entre les Noirs et les Juifs �tait d�clar� mort[10] depuis longtemps, mais l�annonce de ce d�c�s avait �t� pr�matur�e. Et voil� que maintenant, la direction de la communaut� juive, dans un changement brusque de politique, a d�cid� de soutenir le racisme. Voici ce que j�ai �crit � ce sujet dans � L�empoisonnement des puits � :
� Ils volent notre argent et violent nos filles �, - ce concept fut appliqu� avec succ�s dans le pass�, notamment par Adolf Hitler et son Mein Kampf, contre les juifs. Maintenant la puissante machine de propagande juive, ce conglom�rat mondial de magnats des m�dias, de journalistes ob�issants, de professeurs d'universit� pleins de d�f�rence, en fait la promotion. Hitler ou Staline n'avaient jamais eu un pareil r�seau � leur disposition. Cette puissante machine �tale l'image alarmante digne du Ku Klux Klan d'un violeur � peau sombre lubriquement embusqu�, � l�aff�t des jeunes filles aryennes � la peau blanche et aux cheveux d'or du Danemark. Copi�e dans le grand film muet de Griffith, qui v�n�rait le KKK,Naissance d�une nation (The Nation is Born) cette image raciste ouvre un nouveau film : Men in Black II : un grand n�gre avec un grand couteau et de grandes dents attaque une innocente femme blanche dans le parc. Le film a �t� produit par le cr�ateur de _La Liste de Schindler_�
V
Les Afro-am�ricains devraient penser � de nouveaux modes d'action politique, se chercher de nouveaux alli�s et prouver leur capacit� � agir ind�pendamment. La d�b�cle de Cynthia montre que deux partis officiels �tablis n'offrent pas de solution. Ils prennent les Noirs comme faisant partie du d�cor. Heureusement, les peuples sont de plus en plus fatigu�s du syst�me pi�g� des deux partis. Il est temps de changer les mod�les, de former de nouvelles alliances et de rejeter les vieilles rivalit�s et les vieilles haines. Le peuple du Sud, les Noirs, les Blancs, les Indiens d'Am�rique, les immigr�s, doivent vivre ensemble et d�cider du futur du Sud. Une bonne part des conflits inter-communautaires est import�e de New York dans le but de �diviser pour r�gner�. Les groupes les plus extr�mes, du KKK aux Black Panthers, ont des relations dans les m�mes cercles.
Il y a quelques jours, le New York Times[11] faisait une campagne de promotion inhabituelle pour le pasteur raciste Matt Hale, �le plus effrayant marchand de haine en Am�rique� Francis Boyle, homme de loi bien connu et ami de la Palestine, r�pondit � ce compte rendu : �Hale n'�tait rien de plus qu'un bigot et un raciste de troisi�me ordre du centre de l'Illinois, jusqu'� ce que Dershowitz vienne et donne d�lib�r�ment � Hale des dizaines de millions de dollars de publicit� gratuite dans les nouveaux m�dias afin de promouvoir sa violente haine raciale contre les Noirs, les Juifs, les Asiatiques et maintenant les Latinos et les Indiens d'Am�rique. L�ADL (Anti Defamation League [puissant organe de diffamation se r�clamant du juda�sme, ndt.]) soutient elle aussi Hale�.
Le peuple du Sud devrait comprendre qui attise les divisions du pass� et qui les rejette. L'approche conflictuelle ne m�ne nulle part et il est bon que l�on soit pr�t � passer de la d�sunion � la coop�ration. L'h�ritage de l'esclavage ne doit pas conduire � une confrontation �ternelle. Les paysans russes furent lib�r�s de leur servage en 1861, presque en m�me temps que le furent les Noirs. Cependant, maintenant, un descendant de serf russe ne ressent aucune animosit� vis-�-vis d�un descendant d'un propri�taire russe et vice versa.
Les m�dias du parti de la guerre et les centres de fabrication de l'opinion, en d�monisant activement tous les secteurs de la population du Sud, constituent un obstacle � la coexistence pacifique. Ils pr�sentent les Blancs comme des supr�matistes, des racistes, des individus enclins au lynchage. Ils pr�sentent les Noirs comme des criminels, des paresseux, des fain�ants. Ils pr�sentent les immigr�s comme des partisans fanatiques d'Oussama Ben Laden. Cependant � Atlanta, les gens du pays qui ch�rissent l'h�ritage des �tats Conf�d�r�s avaient compris leurs vrais int�r�ts et ils soutenaient activement Cynthia.
La m�moire des �tats Conf�d�r�s ne doit pas diviser ; elle pourrait au contraire souder, se faire unificatrice, car il y eut aussi beaucoup de Noirs et d'Am�rindiens dans l'arm�e vaincue. Tout le monde sait que les soi-disant Blancs et Noirs du Sud sont souvent fr�res ou cousins. Cette division pourrait devenir aussi hors de propos que la division entre Yaman et Kais parmi les Arabes. La guerre civile a ruin� le Sud pour de nombreuses ann�es; elle n'a pas apport� le bonheur ni aux Noirs, ni aux Blancs du pays. Son souvenir maintient le Sud divis�, tandis que le pouvoir a �chapp� au peuple. Cependant, les habitants du Sud de toutes teintes de peau peuvent vivre ensemble dans le respect mutuel et arracher l��pine du �Diviser pour r�gner�.
Notes :
Arthur Liebman, Jews and the Left, cit� par Lenni Brener dans Jews in America today, p. 227.
Hertzberg, Jews in America.
4. Vous ne trouverez pas ces paroles de Ma�monide dans la traduction anglaise, elles ont �t� supprim�es par les �diteurs juifs am�ricains, mais elles sont toujours pr�sentes dans la version en h�breu. Cit� par Israel Shahak dans 3000 ans d�histoire de la religion juive.
The Jews in America, Saki Books, London.
left.ru magazine.
Des mesures de � carte scolaire � pour favoriser la mixit� sociale amen�rent la plupart des �coliers � emprunter des transports collectifs qui les sortaient de leurs quartiers s�gr�gationnistes.
New York Times, 28 ao�t 2002, �Study finds Big Increase in Black Men as Inmates since 1980� par Fox Butterfield.
Jonathan Kaufmann, Broken Alliance : The Turbulent times between Blacks and Jews in America, Charles Scribner�s Sons, 1988.
30 ao�t 2002, article de Nicholas D. Kristof.