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Esclavage et cannibalisme dans le monde moderne, par Isra�l Adam Shamir
Publi� le 31/08/2015
Esclavage et cannibalisme dans notre monde moderne
Par Isra�l Adam Shamir
J�avais pr�vu d��crire sur la bataille au Congr�s US o� le lobby isra�lien tente de prendre le contr�le du veto pr�sidentiel, ce qui pourrait causer une nouvelle guerre au Moyen Orient, d�clencher une nouvelle vague de r�fugi�s, et en finir avec le creuset de notre foi et de notre civilisation. Cependant, la tendance la plus dangereuse � laquelle nous devions faire face vient de notre d�sir arrogant de rendre caduc l�ordre naturel de la naissance, de la vie et de la mort.
Dans les rues de Tel Aviv, de jeunes Philippins ou des Soudanais charpent�s poussent des fauteuils � roulettes lest�s de vieilles personnes juives. Elles s�accrochent � la vie, ces vieilles dames. Age et race juxtapos�s : c�est g�nial d��tre vieux, � condition d�appartenir � la bonne race ou ethnicit�. Prendre soin des vieux, c�est un boulot pour sans-papiers, r�fugi�s, et immigr�s de la mauvaise race. Chaque fois que je vois une de ces chaises roulantes, je n�exulte pas en constatant notre excellente protection des anciens et nos attitudes pleines d�humanit� ; je plains le destin des Philippines et du Soudan, parce que si ces Etats n�avaient pas �t� d�vast�s par nous, les jeunes femmes s�occuperaient de leurs propres enfants au lieu de prendre l�avion pour le bout du monde afin de changer les couches de vieilles dames juives.
Autrefois, les esclavagistes devaient aller en Afrique, pour traquer et capturer les esclaves convoit�s, et les embarquer de force vers les plantations. Nous avons d�truit leurs soci�t�s, et maintenant les esclaves paient leur propre billet d�avion et sont en concurrence entre eux pour aller vivre dans la case de l�Oncle Tom. Ils sont devenus indispensables pour les soins aux vieillards, et nous en avons des quantit�s dans nos pays d�velopp�s. Voil� ce qui se passe l� o� la traite moderne des esclaves se combine avec le prolongement de vies en fin de course : le moyen et l�objectif vis� sont �galement r�pr�hensibles.
Nous essayons de vivre toujours plus longtemps, comme si la solitude dans des r�sidences sp�cialis�es, ann�e apr�s ann�e, �tait un bienfait merveilleux. La m�decine peut damer le pion � la Faucheuse, et les vieillards font mine de durer �ternellement. Notre ancien premier ministre, le g�n�ral Ariel Sharon, �tait mort, en pratique, en 2006, mais on lui a � sauv� la vie � et il s�est attard� dans les limbes jusqu�en 2014. Pendant huit longues ann�es les docteurs informaient : � il r�agit � la douleur �, jusqu�au jour o� il a �t� autoris� � partir pour sa r�sidence permanente, quelle qu�elle soit.
Un autre juif de renom, le rabbin loubavitch Schneerson a �t� maintenu � en vie � pendant de nombreuses ann�es, jusqu�� ce que ses disciples d�sesp�rent de son retour. Ces exemples �clairent bien d�autres cas. J�ai un ami, un po�te, qui �tait furieux parce que le syst�me m�dical n�avait pas hospitalis� sa m�re de 85 ans sur le champ, pour lui changer de c�ur et d�autres morceaux, et la remettre en selle. Il ne se souciait pas du co�t, une soci�t� humaine ne devrait pas s�en soucier. A moins que ?
Prendre soin des vieillards co�te �norm�ment � la soci�t�, et tous les soins de peuvent pas �tre d�l�gu�s aux Soudanais. Mon vieux copain de classe a laiss� tomber sa femme et sa fille pour s�occuper de sa vieille m�re. Comme un bon fils ? Je me pose la question. En cinq ans sa fille n�glig�e est devenue accro aux drogues et s�est suicid�e, sa femme esseul�e a divorc�, et sa m�re est toujours en vie, est toujours grabataire et va sur ses 90 balais.
Nous d�pensons trop d�efforts pour pr�server la vie, et les gens (je devrais peut-�tre dire nous, car j�approche des 70 ans) vivons bien plus longtemps que jamais auparavant. Gr�ce � la m�decine, des nourrissons qui ne survivraient jamais autrement, sont maintenant en vie. Ils ont besoin de traitement quotidien, de drogues ch�res et d�op�rations, pour mener leur triste existence, parce que leurs parents et la soci�t� sont convaincus que la vie devrait �tre pr�serv�e � tout prix. Ne sommes-nous pas des gens formidables ?
Eh bien non, pas vraiment. Nos soci�t�s tuent des enfants parfaitement sains, soit par avortement soit par le bombardement de leurs pays populeux. 500 000 enfants irakiens ont �t� tu�s par Madeleine Albright, � sa grande satisfaction. Plus pr�s de chez moi, je n�ai jamais pu comprendre pourquoi un enfant juif avec le syndrome de Down devrait �tre maintenu en vie � un co�t �lev� et en exigeant des efforts cons�quents, tandis qu�un enfant palestinien en bonne sant� peut �tre �limin� en toute gratuit�.
Dans des pays moins prosp�res, les magazines publient des publicit�s appelant � l�aide pour retarder la mort. Les gens qui ont des enfants malades, des parents, des �pouses, demandent des dons pour emmener leur malade l� o� se pratiquent des gu�risons miraculeuses ou pour acheter un m�dicament hors de prix, et non couvert par leur assurance. Leurs page vous montrent un doux enfant ou un ancien paisible, et d�crit leurs maladies et le traitement miraculeux qui va lui redonner un cerveau, lui faire repousser un c�ur ou de nouvelles jambes pour la modique somme qui deviendra un �norme tas de dollars. Cet argent pourrait servir � nourrir des milliers d�enfants en pleine forme, ou pourvoir � peu de frais � la sant� de grandes foules.
Les gens riches ne nous demandent pas de contribuer, mais ils d�pensent aussi �norm�ment en soins. Les tr�s riches font des d�penses colossales pour atteindre l�immortalit�, mais ils cr�vent aussi. Il y a des rumeurs, selon lesquelles le milliardaire centenaire David Rockefeller avait re�u plusieurs greffes du c�ur. Peut-�tre que ces rumeurs ne sont pas fond�es, mais de toute fa�on, sa long�vit� reposait sur le sacrifice d�autres vies plus jeunes. Ces gens-l� consomment bien d�autres vies, dans la mesure o� ils rendent inaccessible la m�decine ordinaire pour les gens ordinaires.
Les ressources humaines sont limit�es. Un grand investissement en rem�des chers et en stratag�mes chers signifie forc�ment moins d�argent pour traiter tous ceux qui souffrent de maladies moins exotiques. Pr�server et �tirer l�existence de ceux qui ne peuvent pas vivre sans aide, qu�il s�agisse de gens �g�s ou d�enfants en phase terminale, signifie moins de ressources pour tous les autres. La sacralit� de la vie de quelques-uns implique la mort pour d�autres. Il n�y a pas moyen de continuer � d�penser sans limite pour une minorit� sans voler � la majorit� ses chances de vivre.
Ce syst�me a �t� d�nonc� par Ivan Illich dans son ouvrage N�m�sis m�dicale il y a des ann�es, mais les choses sont devenues pires depuis lors. La racine du probl�me est dans notre adoration de la vie et notre peur de la mort. Et cela n�est pas naturel, c�est une tendance relativement nouvelle. Les g�n�rations pr�c�dentes savaient qu�il y a beaucoup de choses plus importantes que la vie. Ils estimaient leur �me, leur honneur, leur int�grit� au-dessus la vie de leur corps. Ils acceptaient la mort comme un �v�nement in�vitable dans une vie, rien qui m�rite de prendre la fuite. Ils voyaient les fleurs, les arbres, les animaux sauvages, et ils apprenaient d�eux.
Leur monde �tait centr� sur Dieu, et dans un tel univers, la vie et la mort d�un homme sont des choses normales. Ils pouvaient prier pour que leur vie dure plus, mais ils ajoutaient, comme les chr�tiens orthodoxes continuent � le dire encore � chaque office du dimanche : �Dieu veuille que j�aie une mort chr�tienne, paisible, sans peine et sans honte. � Le chr�tien demande qu�un r�pit lui soit donn� pour se pr�parer � la mort, pour se repentir et pour recevoir les derniers sacrements, et si son v�u est exauc�, il meurt content, parce que sa mort est juste une transition vers la vie �ternelle. Les gens qui adorent la vie sont des pa�ens, ou des animaux, du point de vue chr�tien.
La peur de la mort devrait �tre chass�e de notre monde. Nous devrions accepter la mort comme nous acceptons la vie : avec gratitude, comme saint Sim�on le Stylite l�avait dit : � Seigneur, maintenant [apr�s 39 ans pass�s � prier sur un pilier], vous laissez votre serviteur partir en paix �.
Si nous nous lib�rons de la peur de la mort, nous devrions aussi �liminer les greffes d�organes, forme moderne du cannibalisme. Comme � l��poque du capitaine Cook, des hommes riches consomment les reins ou les foies de leurs fr�res en humanit�. Parfois il s�agit d�organes arrach�s � une personne qui meurt, troublant son dernier repos. Bien souvent on ampute de leurs reins de malheureux d�biteurs qui sont forc�s au sacrifice par leurs cr�anciers, ou par des gens r�duits � la pauvret� qui ont besoin de nourrir leurs enfants.
En Isra�l, on a pris des parties de leur corps � des Palestiniens au profit des juifs, comme nous l�ont appris les aveux de Yehuda Hiss [directeur de l�Institut m�dico-l�gal de Tel Aviv][1]. Les organes �taient pr�lev�s par les Albanais du Kossovo sur des Serbes vivants, a dit Carla del Ponte, procureur � la Cour p�nale internationale de La Haye [dans son livre _La Traque, les criminels de guerre et moi_]. Pourquoi sommes-nous choqu�s par le cannibalisme en Nouvelle Guin�e ? Nous sommes pires !
Le monde m�di�val connaissait le d�sir de sauver sa peau aux d�pens d�une autre vie, ou au prix de blessures inflig�es � autrui. C��taient les sorci�res et les satanistes qui organisaient des bains de sang d�enfants innocents pour le ou la b�n�ficiaire qui voulait garder sa jeunesse apr�s les ann�es qui lui �taient d�volues. Voil� pourquoi la Bible appelait � les faire p�rir. Nos moissonneurs modernes ne sont pas meilleurs.
Nous devrions ramener la m�decine � son niveau cubain : l�-bas, un traitement m�dical simple est � la port�e de chacun, gratuitement, tandis que les traitements compliqu�s ne sont accessibles pour personne, m�me pour David Rockefeller. L��galit� de traitement m�dical nous rappellera que nous sommes tous �gaux devant la mort, et c�est une bonne nouvelle.
La crainte de Dieu est salutaire, la peur de la mort est maladive ; c�est un d�ni de Dieu et de la place privil�gi�e de l�homme dans l�univers. Nous partirons comme nous avons v�cu. Les m�chants font de mauvaises choses parce qu�ils sont certains qu�il n�y a rien apr�s. Le p�re spirituel des n�o-conservateurs, Leo Strauss, brandissait des arguments pleins d�acrimonie (contre Martin Buber entre autres), et niait Dieu. C��tait important pour lui de clamer qu�il n�y avait pas de r�compense ni de punition pour nos actions. Et ce sont ses disciples qui ont investi le Pentagone, mis � feu le Moyen Orient, et exp�di� de grandes vagues de r�fugi�s vers l�Europe. Seuls des gens qui nient le Christ sont susceptibles de faire des choses pareilles.
Bien des gens d�testent le concept de droits humains parce qu�il a �t� utilis� pour les � interventions humanitaires � en Libye et en Irak. D�autres r�torqueraient que le concept a �t� d�voy� par Bush et Blair. Pour ma part je rejette l�id�e des droits de l�homme parce que les devoirs humains sont plus importants, l�amour est plus important, et l�amour de Dieu est encore plus important. Les droits de l�homme ne devraient pas avoir la priorit� sur le devoir, l�amour et la pi�t�.
Le concept n�est nulle part plus fallacieux que dans la sph�re des politiques reproductives. Non, une femme n�a aucun droit sur son corps, pas plus qu�un homme, ou un enfant. Notre corps, c�est Dieu qui nous le pr�te. Nous ne sommes pas libres de faire avec lui tout ce que nous voulons. La mutilation, le suicide et l�avortement sont �galement pervers devant Dieu.
Nous n�avons pas de droit aux enfants. Que nous en ayons, c�est une gr�ce de Dieu. Les gens qui s�engagent dans le business des m�res porteuses essaient d�obtenir des enfants de force ou par le vol. La maternit� de substitution n�est pas diff�rente de l�esclavage sous sa pire forme : le propri�taire d�esclaves pouvait avoir un enfant avec une fille esclave, mais normalement, il ne s�en emparait pas, et ne l��tait pas � sa m�re. C�est ce que fait le p�re avec l�enfant d�une GPA.
La soci�t� traditionnelle avait une institution, celle des � mamans subsidiaires �, comme dans le cas de Jacob, de Rachel et de Bilha (Gen�se 30[2]), mais la vraie m�re de l�enfant n��tait pas priv�e du fruit de ses entrailles.
La question correcte n�est pas � est-ce que les m�res porteuses devraient �tre autoris�es � porter un enfant dans leur corps pour d�autres ? �, comme on nous pr�sente parfois la chose. C�est une question du m�me acabit que celle-ci : � devrait-on autoriser les gens � nourrir les crocodiles de leur propre corps ? � Naturellement, aucune femme n�abandonnerait son enfant sauf si elle y �tait forc�e. Elle peut �tre forc�e par la faim, par la pauvret�, ou par la force.
Isra�l, avec son immense communaut� gay, est un grand acheteur de femmes dans les pays pauvres pour leur propre reproduction. Au d�part, ils allaient en Inde, jusqu�au jour o� les Indiens ont d�cid� de mettre fin � cette forme d�esclavage et d�enl�vement d�enfants. Alors ils se sont rabattus sur le N�pal. Un tremblement de terre a d�vast� le pays, et m�me cette catastrophe n�a pas fait comprendre aux habitants du N�pal ni d�Isra�l que leur conduite �tait horriblement p�cheresse et criminelle, et qu�ils avaient m�rit� le ch�timent divin.
Il n�y a pas que les gays qui ach�tent des gosses. Bien des couples normaux en Isra�l sont incapables d�avoir des enfants, et ils s�adressent aux agences sp�cialis�es dans le trafic d�esclaves. Ils devraient plut�t �valuer leur propre conduite et prier pour que Dieu leur pardonne. Les enfants sont une b�n�diction, et tout le monde ne la m�rite pas. La Bible regorge d�histoire de femmes st�riles, qui priaient, se repentaient, et dont les pri�res ont �t� entendues. Les Isra�liens devraient cesser d�affamer Gaza, ouvrir ses ports et fronti�res, et Dieu ouvrirait la matrice de leurs femmes.
Ils essayent de tricher avec Dieu, mais on ne filoute pas Dieu. Toutes les astuces techniques n�apporteront pas le bonheur que peut donner un vrai b�b� n� normalement.
Maria Poumier, sp�cialiste fran�aise en mati�re de Grossesse Pour Argent[3], pense que les acheteurs d�enfants esclaves vont au-devant de beaucoup de malheur. � Un enfant achet� n�est pas aim� de la m�me fa�on qu�un enfant naturel, mais comme un chat ou un chien, choisis en fonction de leur pedigree ; on peut les revendre s�ils sont d�sagr�ables ; cela s�appelle du � r�h�bergement � dans le cas des enfants adopt�s. Il n�y a pratiquement plus d�adoption internationale, parce qu�il y a eu trop de cas av�r�s d�enfants vol�s, et que les enfants adopt�s deviennent ing�rables pour leurs parents adoptifs quand ils grandissent, m�me dans les familles les plus aimantes. �
Pourtant, elle est optimiste, dans l�espoir que les enfants esclaves �lev�s dans des foyers opulents se dresseront contre ceux qui les ont achet�s et vol�s � leurs m�res � de substitution � et esclaves.
A son avis, les agences font beaucoup d�argent et le d�pensent en �largissant leur base pour faire encore plus d�argent. L�int�r�t r�cent des gays pour la chose a �t� provoqu� par ces agences, parce qu�elles consid�rent les gays comme des clients potentiels. [4] Comme l�exploitation de la � femme gisement � est une forme moderne de traite, les juifs sont les champions dans ce business comme ils l�ont �t� pour la traite des esclaves d�autrefois, �crit Maria Poumier[5].
L�infertilit� est un excellent business, dit-elle en citant les recherches de S�bastien Renault. � Voil� pourquoi il y a une telle propagande s�ductrice pour le mode de vie gay, pour leur faire ressentir l�infertilit� naturelle de la sodomie comme une injustice sociale. Les gays sont consid�r�s comme de nouveaux consommateurs, qui augmentent les profits des agences. �
Je pense que derri�re leur d�sir de faire de l�argent il y a une raison beaucoup plus perfide ; la recherche d�une domestication totale de l�homme, comme je l�ai �crit dans mon essai � Apocalypse Now �[6] . C�est cela qui doit �tre combattu. Il y a une loi mentionn�e dans les livres contre l�enl�vement et le trafic d�esclaves, et cette loi devrait �tre mise en �uvre contre les agences en question.
Nous devrions prendre la naissance, la vie et la mort comme elles viennent, ce que faisaient nos anc�tres. Si nous n�arr�tons pas ce fl�au maintenant, nous verrons nos enfants et petits-enfants d�pec�s pour que leurs organes soient greff�s sur de riches banquiers qui veulent vivre �ternellement, s�ils ne sont pas achet�s et vendus pour le divertissement des couples gays. Nous verrons des enfants fabriqu�s et produits en masse pour des pr�l�vements d�organe, pour faire la guerre, pour bosser, comme l�a proph�tis� Aldous Huxley dans son livre excessivement visionnaire. On peut prendre le contr�le des plans de Dieu, mais cela a un co�t tr�s �lev�, un co�t qui fera para�tre d�risoire la d�sactivation du trait� d�Obama avec l�Iran.
Contact : adam@israelshamir.net
Traduction : Maria Poumier
Premi�re publication : Unz Review
[1] http://www.michelcollon.info/Israel-et-la-collecte-d-organes.html, http://www.jonathan-cook.net/blog/2013-11-15/israel-to-return-palestinian-body-parts/, etc.
[2] � 1 Lorsque Rachel vit qu'elle ne donnait point d'enfants � Jacob, elle porta envie � sa soeur, et elle dit � Jacob : Donne-moi des enfants, ou je meurs ! 2 La col�re de Jacob s'enflamma contre Rachel, et il dit : Suis-je � la place de Dieu, qui t'emp�che d'�tre f�conde ? 3 Elle dit : Voici ma servante Bilha; va vers elle; qu'elle enfante sur mes genoux, et que par elle j'aie aussi des fils� �
[3] Voir le documentaire Le Fruit de nos entrailles (59�) https://www.youtube.com/watch?v=GYiCdGeow-E
[4] Voir le film B�b�s en kit , sur le r�seau mondial isra�lien : https://www.youtube.com/watch?v=CHj21kk1I18
[5] Ouvrage � para�tre : La GPA, mode d�emploi.
[6] Essai inclus dans le volume Notre-Dame-des-Douleurs, http://plumenclume.org/home/17-notre-dame-des-douleurs.html .