Adrian Liman | CIEM - Academia.edu (original) (raw)
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Conference Presentations by Adrian Liman
A finales der la pasada semana, la fiscalía de Estambul ordenó la detención y el encarcelamiento ... more A finales der la pasada semana, la fiscalía de Estambul ordenó la detención y el encarcelamiento de 210 personas acusadas de haber participado en los preparativos del golpe militar de 2016. Entre los sospechosos figuraban miembros de las fuerzas armadas: ejército de tierra, marina, aviación y guardia costera, así como oficiales de la gendarmería y otros cuerpos de la seguridad del Estado, acusados de pertenecer a la organización "terrorista" creada y liderada por el clérigo Fetullah Gulen, ex aliado del Presidente Erdogan, que vive en el exilio desde 1999. Gulen negó en reiteradas ocasiones su participación en los preparativos de la intentona.
C e n t r o I b é ri c o d e E s t u di o s M a s ó ni c o s (C I E M) M a dr i d – 2 0 1 6
El 28 de mayo de 1926, mientras que los republicanos parecían incapaces de ocultar su división, u... more El 28 de mayo de 1926, mientras que los republicanos parecían incapaces de ocultar su división, un golpe militar liderado por Gomes da Costa instauró una dictadura en Portugal. El gobierno presidido por Antonio María da Silva fue incapaz de reaccionar eficazmente ante el movimiento de los militares. La caída de la Primera República resultó ser un cúmulo de factores entre los que se encontraba una crisis de legitimidad y de representatividad del republicanismo portugués, la incapacidad de hacer frente a la oligarquía financiera, la coherencia en la organización del bloque conservador tras el gobierno de Sidónio Pais y también la inestabilidad política y social de la que todos los actores parecían culpables. Sumemos a esto un ejército que asumió la mística tarea de salvar la nación, la pérdida de confianza en el régimen de la intelectualidad portuguesa, la caída del bloque que apoyó el advenimiento de la República en 1910 y la erosión de algunos valores ideológicos incorporados por el régimen republicano. Cabe señalar que ya a partir de los años veinte, el Gran Maestre del Gran Oriente Lusitano Unido, Sebastião de Magalhães Lima, llamó la atención sobre de diferencias políticas y sociales que afectaban el bienestar de los portugueses.
La Masonería moderna ha dejado innumerables huellas en la Ciudad Condal. A veces, los signos que ... more La Masonería moderna ha dejado innumerables huellas en la Ciudad Condal. A veces, los signos que se pueden hallar en algunos edificios de los barrios burgueses tienen un incuestionable origen en la tradición iniciática de la Orden, ya sea porque el responsable de su colocación haya sido un masón que ha querido así dejar constancia de su condición a quien lo supiese interpretar, o porque en algún momento se hayan desarrollado allí actividades relacionadas con la Masonería. Pero también se debe admitir que, en ciertas ocasiones, el hecho de optar por elementos decorativos que tuvieran significado masónico puede ser fruto de la mera casualidad.
Il est très difficile, voire dangereux, d'aborder les pages les plus sombres de l'histoire de la ... more Il est très difficile, voire dangereux, d'aborder les pages les plus sombres de l'histoire de la Franc-maçonnerie espagnole sans une analyse préalable des facteurs et du contexte qui débouchèrent sur l'ouverture d'une parenthèse, qui dura quatre décennies, d'interdiction et de persécution systématique. Du point de vue historique faut-il rappeler que la répression de l'Ordre maçonnique dans la Péninsule ibérique se déroule en même temps que la montée d'un totalitarisme s'appuyant sur les secteurs les plus conservateurs de la société – l'oligarchie, le clergé, etc.-qui ne sont pas prêts d'accepter les réformes promues par une pléiade appartenant à un groupement laïque et libéral. En outre, l'approche moderniste et innovatrice de la Franc-maçonnerie est parfois confondue avec l'idéologie des politiciens de gauche et, plus concrètement, des républicains et des socialiste espagnols, qui avancent des mesures « révolutionnaires » afin de changer les structures sociales d'un pays fondamentalement agricole, gouverné par une caste de caciques. Cette polarisation de la société est aggravée par la révolution industrielle naissante à laquelle s'ajoutent les contradictions qui lui sont inhérentes. Dans ce contexte, le sentiment général est que la franc-maçonnerie et, plus concrètement, les personnalités qui appartiennent à l'Ordre jouent un rôle prépondérant dans la prise de décisions politiques pendant la Deuxième République espagnole (1931-1936). Certains Frères survivants de cette époque s'accordent avec les historiens pour affirmer que la présence d'une nombre élevé d'initiés au sein du Gouvernement républicain de Madrid (d'un total de 11 ministres, 5 étaient maçons) ou du Parlement (de 470 députés, 183 appartenaient à l'Ordre) ne fait qu'intensifier la phobie des éléments pro-fascistes et des cercles conservateurs, entretenue par les consignes antimaçonniques de l'Eglise catholique. Il ne faut pas oublier que les interdictions imposées à la Franc-maçonnerie ibérique entre le XVIII et le XX siècle vont dans le même sens que la non moins accidentée histoire de l'Eglise, qui prit la défense des prises de position du Saint Siège vis-à-vis de l'Ordre, en inculpant systématiquement les franc-maçons de toute initiative libérale, laïque ou progressiste présentée pendant la République. A quoi s'ajoute un troisième facteur : le rejet ouvert et déclaré du général Francisco Franco envers une institution qui avait refusé à maintes reprises sa demande d'adhésion aussi bien dans les loges militaire d'Afrique que dans les Ateliers cosmopolites de Madrid. Il va sans dire que ce refus conditionna son attitude vis-à-vis de ses compagnons d'armes initiés et, en général, face au peuple maçonnique. En effet, l'une des premières mesures des militaires soulevés le 18 juillet 1936 fut l'assaut, la mise à sac et la destruction des loges maçonniques. Le 15 septembre 1936, le parti national publie un premier décret qui déclare la maçonnerie contraire à la loi et considère les maçons des « prisonniers pour crime de rébellion ». Sans doute le terrain était prêt ; quelques semaines auparavant, un journal andalous lançait la proclamation suivante : « Nous lutterons afin de former un seul front national contre les juifs et les loges de maçons, contre Moscou et les sociétés ouvrières de type marxiste … ». Pendant l'été de 1936, des dizaines de maçons se trouvant en zone nationale furent fusillés sans autre forme de procès. L'historien espagnol José Antonio Ferrer Benimeli note, à titre
La caída del Muro de Berlín, en noviembre de 1989, y el consiguiente desmembramiento del llamado ... more La caída del Muro de Berlín, en noviembre de 1989, y el consiguiente desmembramiento del llamado campo socialista creó las condiciones necesarias para la vuelta de la Orden masónica a los países del Este europeo. Huelga decir que el proceso, que aparentemente iba a ser largo y penoso, discreto y pausado, se precipitó tras los primeros intentos de normalización del panorama iniciático. Y ello, por múltiples razones, sean éstas intuidas o confesadas. Si bien en algunos casos se trataba de proceder al levantamiento de columnas en países donde la tradición había sido totalmente eliminada por regímenes totalitarios, en otros se procedió al "re-encendido" de las luces, jamás extintas durante la dictadura comunista.
Du point de vue historique faut-il rappeler que la répression de l'Ordre maçonnique dans la Pénin... more Du point de vue historique faut-il rappeler que la répression de l'Ordre maçonnique dans la Péninsule ibérique se déroule en même temps que la montée d'un totalitarisme s'appuyant sur les secteurs les plus conservateurs de la société -l'oligarchie, le clergé, etc.-qui ne sont pas prêts d'accepter les réformes promues par une pléiade appartenant à un groupement laïque et libéral. En outre, l'approche moderniste et innovatrice de la Franc-maçonnerie est parfois confondue avec l'idéologie des politiciens de gauche et, plus concrètement, des républicains et des socialiste espagnols, qui avancent des mesures « révolutionnaires » afin de changer les structures sociales d'un pays fondamentalement agricole, gouverné par une caste de caciques.
Part of program of ICOM 2017 conference in may in Toulon (Var, France) with contribution of Adria... more Part of program of ICOM 2017 conference in may in Toulon (Var, France)
with contribution of Adrian McLiman et Klaus Bettag
Papers by Adrian Liman
Journal of historical studies, 2008
Anuario internacional CIDOB, 1993
A finales der la pasada semana, la fiscalía de Estambul ordenó la detención y el encarcelamiento ... more A finales der la pasada semana, la fiscalía de Estambul ordenó la detención y el encarcelamiento de 210 personas acusadas de haber participado en los preparativos del golpe militar de 2016. Entre los sospechosos figuraban miembros de las fuerzas armadas: ejército de tierra, marina, aviación y guardia costera, así como oficiales de la gendarmería y otros cuerpos de la seguridad del Estado, acusados de pertenecer a la organización "terrorista" creada y liderada por el clérigo Fetullah Gulen, ex aliado del Presidente Erdogan, que vive en el exilio desde 1999. Gulen negó en reiteradas ocasiones su participación en los preparativos de la intentona.
C e n t r o I b é ri c o d e E s t u di o s M a s ó ni c o s (C I E M) M a dr i d – 2 0 1 6
El 28 de mayo de 1926, mientras que los republicanos parecían incapaces de ocultar su división, u... more El 28 de mayo de 1926, mientras que los republicanos parecían incapaces de ocultar su división, un golpe militar liderado por Gomes da Costa instauró una dictadura en Portugal. El gobierno presidido por Antonio María da Silva fue incapaz de reaccionar eficazmente ante el movimiento de los militares. La caída de la Primera República resultó ser un cúmulo de factores entre los que se encontraba una crisis de legitimidad y de representatividad del republicanismo portugués, la incapacidad de hacer frente a la oligarquía financiera, la coherencia en la organización del bloque conservador tras el gobierno de Sidónio Pais y también la inestabilidad política y social de la que todos los actores parecían culpables. Sumemos a esto un ejército que asumió la mística tarea de salvar la nación, la pérdida de confianza en el régimen de la intelectualidad portuguesa, la caída del bloque que apoyó el advenimiento de la República en 1910 y la erosión de algunos valores ideológicos incorporados por el régimen republicano. Cabe señalar que ya a partir de los años veinte, el Gran Maestre del Gran Oriente Lusitano Unido, Sebastião de Magalhães Lima, llamó la atención sobre de diferencias políticas y sociales que afectaban el bienestar de los portugueses.
La Masonería moderna ha dejado innumerables huellas en la Ciudad Condal. A veces, los signos que ... more La Masonería moderna ha dejado innumerables huellas en la Ciudad Condal. A veces, los signos que se pueden hallar en algunos edificios de los barrios burgueses tienen un incuestionable origen en la tradición iniciática de la Orden, ya sea porque el responsable de su colocación haya sido un masón que ha querido así dejar constancia de su condición a quien lo supiese interpretar, o porque en algún momento se hayan desarrollado allí actividades relacionadas con la Masonería. Pero también se debe admitir que, en ciertas ocasiones, el hecho de optar por elementos decorativos que tuvieran significado masónico puede ser fruto de la mera casualidad.
Il est très difficile, voire dangereux, d'aborder les pages les plus sombres de l'histoire de la ... more Il est très difficile, voire dangereux, d'aborder les pages les plus sombres de l'histoire de la Franc-maçonnerie espagnole sans une analyse préalable des facteurs et du contexte qui débouchèrent sur l'ouverture d'une parenthèse, qui dura quatre décennies, d'interdiction et de persécution systématique. Du point de vue historique faut-il rappeler que la répression de l'Ordre maçonnique dans la Péninsule ibérique se déroule en même temps que la montée d'un totalitarisme s'appuyant sur les secteurs les plus conservateurs de la société – l'oligarchie, le clergé, etc.-qui ne sont pas prêts d'accepter les réformes promues par une pléiade appartenant à un groupement laïque et libéral. En outre, l'approche moderniste et innovatrice de la Franc-maçonnerie est parfois confondue avec l'idéologie des politiciens de gauche et, plus concrètement, des républicains et des socialiste espagnols, qui avancent des mesures « révolutionnaires » afin de changer les structures sociales d'un pays fondamentalement agricole, gouverné par une caste de caciques. Cette polarisation de la société est aggravée par la révolution industrielle naissante à laquelle s'ajoutent les contradictions qui lui sont inhérentes. Dans ce contexte, le sentiment général est que la franc-maçonnerie et, plus concrètement, les personnalités qui appartiennent à l'Ordre jouent un rôle prépondérant dans la prise de décisions politiques pendant la Deuxième République espagnole (1931-1936). Certains Frères survivants de cette époque s'accordent avec les historiens pour affirmer que la présence d'une nombre élevé d'initiés au sein du Gouvernement républicain de Madrid (d'un total de 11 ministres, 5 étaient maçons) ou du Parlement (de 470 députés, 183 appartenaient à l'Ordre) ne fait qu'intensifier la phobie des éléments pro-fascistes et des cercles conservateurs, entretenue par les consignes antimaçonniques de l'Eglise catholique. Il ne faut pas oublier que les interdictions imposées à la Franc-maçonnerie ibérique entre le XVIII et le XX siècle vont dans le même sens que la non moins accidentée histoire de l'Eglise, qui prit la défense des prises de position du Saint Siège vis-à-vis de l'Ordre, en inculpant systématiquement les franc-maçons de toute initiative libérale, laïque ou progressiste présentée pendant la République. A quoi s'ajoute un troisième facteur : le rejet ouvert et déclaré du général Francisco Franco envers une institution qui avait refusé à maintes reprises sa demande d'adhésion aussi bien dans les loges militaire d'Afrique que dans les Ateliers cosmopolites de Madrid. Il va sans dire que ce refus conditionna son attitude vis-à-vis de ses compagnons d'armes initiés et, en général, face au peuple maçonnique. En effet, l'une des premières mesures des militaires soulevés le 18 juillet 1936 fut l'assaut, la mise à sac et la destruction des loges maçonniques. Le 15 septembre 1936, le parti national publie un premier décret qui déclare la maçonnerie contraire à la loi et considère les maçons des « prisonniers pour crime de rébellion ». Sans doute le terrain était prêt ; quelques semaines auparavant, un journal andalous lançait la proclamation suivante : « Nous lutterons afin de former un seul front national contre les juifs et les loges de maçons, contre Moscou et les sociétés ouvrières de type marxiste … ». Pendant l'été de 1936, des dizaines de maçons se trouvant en zone nationale furent fusillés sans autre forme de procès. L'historien espagnol José Antonio Ferrer Benimeli note, à titre
La caída del Muro de Berlín, en noviembre de 1989, y el consiguiente desmembramiento del llamado ... more La caída del Muro de Berlín, en noviembre de 1989, y el consiguiente desmembramiento del llamado campo socialista creó las condiciones necesarias para la vuelta de la Orden masónica a los países del Este europeo. Huelga decir que el proceso, que aparentemente iba a ser largo y penoso, discreto y pausado, se precipitó tras los primeros intentos de normalización del panorama iniciático. Y ello, por múltiples razones, sean éstas intuidas o confesadas. Si bien en algunos casos se trataba de proceder al levantamiento de columnas en países donde la tradición había sido totalmente eliminada por regímenes totalitarios, en otros se procedió al "re-encendido" de las luces, jamás extintas durante la dictadura comunista.
Du point de vue historique faut-il rappeler que la répression de l'Ordre maçonnique dans la Pénin... more Du point de vue historique faut-il rappeler que la répression de l'Ordre maçonnique dans la Péninsule ibérique se déroule en même temps que la montée d'un totalitarisme s'appuyant sur les secteurs les plus conservateurs de la société -l'oligarchie, le clergé, etc.-qui ne sont pas prêts d'accepter les réformes promues par une pléiade appartenant à un groupement laïque et libéral. En outre, l'approche moderniste et innovatrice de la Franc-maçonnerie est parfois confondue avec l'idéologie des politiciens de gauche et, plus concrètement, des républicains et des socialiste espagnols, qui avancent des mesures « révolutionnaires » afin de changer les structures sociales d'un pays fondamentalement agricole, gouverné par une caste de caciques.
Part of program of ICOM 2017 conference in may in Toulon (Var, France) with contribution of Adria... more Part of program of ICOM 2017 conference in may in Toulon (Var, France)
with contribution of Adrian McLiman et Klaus Bettag
Journal of historical studies, 2008
Anuario internacional CIDOB, 1993
Revista De Estudios Europeos, 2006
Republica De Las Letras Revista Literaria De La Asociacion Colegial De Escritores, 2003
Anuario internacional CIDOB, 1993
Anuario Internacional Cidob, 1995
La Primavera Árabe y sus perspectivas regionales e internacionales , 2018