Bruno Beschizza (original) (raw)
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Bruno Beschizza | |
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Bruno Beschizza en 2023. | |
Fonctions | |
Maire d'Aulnay-sous-Bois | |
En fonction depuis le 5 avril 2014(10 ans, 8 mois et 21 jours) | |
Élection | 5 avril 2014 |
Réélection | 27 mai 2020 |
Prédécesseur | Gérard Ségura |
Président de l'EPT Paris Terres d'Envol | |
En fonction depuis le 11 janvier 2016(8 ans, 11 mois et 15 jours) | |
Élection | 11 janvier 2016 |
Réélection | 11 juillet 2020 |
Prédécesseur | Création de l'EPT |
Conseiller régional d'Île-de-France | |
En fonction depuis le 18 décembre 2015(9 ans et 8 jours) | |
Élection | 13 décembre 2015 |
Réélection | 27 juin 2021 |
Circonscription | Seine-Saint-Denis |
Président | Valérie Pécresse |
26 mars 2010 – 19 novembre 2015(5 ans, 7 mois et 24 jours) | |
Élection | 19 mars 2010 |
Circonscription | Seine-Saint-Denis |
Président | Jean-Paul Huchon |
Premier vice-président de l'EPFIF | |
En fonction depuis le 31 mars 2016(8 ans, 8 mois et 25 jours) | |
Prédécesseur | Chantal Canales et Jean Lafont |
Conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis | |
2 avril 2015 – 13 janvier 2016(9 mois et 11 jours) | |
Élection | 29 mars 2015 |
Circonscription | Canton d'Aulnay-sous-Bois |
Prédécesseur | Gérard Ségura |
Successeur | Mohammed Ayyadi |
Biographie | |
Date de naissance | 24 mars 1968 (56 ans) |
Lieu de naissance | Saint-Mandé (Val-de-Marne) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UMP, puis LR, SL (depuis 2019) |
Profession | Policier |
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Bruno Beschizza, né le 24 mars 1968 à Saint-Mandé (Val-de-Marne), est un homme politique français et ancien officier de police.
Membre du parti Les Républicains, il est conseiller régional d'Île-de-France depuis le 18 décembre 2015, maire d'Aulnay-sous-Bois depuis le 5 avril 2014 et président de l'Établissement public territorial Paris Terres d'Envol depuis le 11 janvier 2016.
D'origine italienne, Bruno Beschizza est élevé dans une cité HLM de Montreuil en Seine-Saint-Denis.
Il est titulaire de la médaille de la Défense nationale. Il est auditeur de la 17e session de l'Institut national des hautes études de sécurité en 2006 et nommé chevalier dans l'ordre national du Mérite le 30 janvier 2008[1].
Il est marié et père de cinq enfants[2].
Il est parrain de l'un des cinq enfants d’Alain Bauer et de l'un des fils de Manuel Valls[3].
En 1983, il est admis au lycée militaire d'Aix-en-Provence où il reste six ans. Après un an de service militaire dans les forces françaises en Allemagne, il réussit en 1991 le concours d'officier de la police nationale et il est affecté comme lieutenant de police à la Compagnie d'intervention à Paris en 1992. Il est promu capitaine le 22 juillet 1998[4], commandant de police le 22 décembre 2004[5], nommé à l'emploi fonctionnel de commandant de police le 16 février 2009[6].
Il siège à partir de 1995 en tant qu'élu du personnel à la commission administrative paritaire pour le corps de commandement de la police nationale. En 1998, il est nommé membre du Conseil supérieur de la Fonction publique de l'État[7].
De novembre 1998 jusqu'au printemps 2010, il est secrétaire général du syndicat Synergie-Officiers[8].
Il est choisi par Nicolas Sarkozy et Valérie Pécresse pour être tête de liste UMP pour la Seine-Saint-Denis à l'élection régionale de 2010 en Île-de-France[9]. Il est élu conseiller régional d'opposition le 21 mars 2010. Au regard du code électoral qui dispose que « ne sont pas éligibles »[10] « les fonctionnaires des corps actifs de police dans les cantons où ils exercent ou ont exercé leur fonction depuis moins de six mois[11] » et Bruno Beschizza n'ayant jamais travaillé en Seine-Saint-Denis, il aurait dû être déchu de son mandat.
Ayant refusé le statut d'attaché d'administration centrale qui lui est proposé, il est nommé sous-préfet hors cadre, le code électoral disposant également que les sous-préfets ne peuvent être élus « dans le département où ils exercent ou ont exercé leur fonction depuis moins d'une année[12]. » Il est nommé sous-préfet hors-cadre par décret du président de la République Française, Nicolas Sarkozy en date du 23 avril 2010[13],[14],[15],[16], et est titularisé conformément à la loi le 28 avril 2012[17]. Cela lui permet de continuer à exercer un mandat politique tout en ne subissant pas d'incompatibilité avec son statut de fonctionnaire. Bruno Beschizza est promu par Manuel Valls au grade à accès fonctionnel d'administrateur général[18].
Fin 2010, avec l'arrivée de Jean-François Copé à la tête de l'UMP, Bruno Beschizza est nommé secrétaire national à l'emploi des forces de sécurité. Il est membre de la « cellule riposte » dirigée par Brice Hortefeux et joue le rôle de « porte-parole officieux » pour l'UMP avec Valérie Rosso-Debord, Sébastien Huyghe et Franck Riester[19]. Il se distingue notamment lorsque Jean-François Copé le charge à l'été 2011 de questionner le Parti socialiste sur l'affaire Guérini, lui donnant même la parole en pleine conférence de presse[20].
En juin 2012, il est choisi candidat pour les élections législatives par l'UMP dans la troisième circonscription (anciennement treizième circonscription) de Seine-Saint-Denis, ancrée à gauche. Le député-sortant Michel Pajon, maire de Noisy-le-Grand, y avait réalisé en pleine « vague bleue » lors des élections législatives de juin 2007, un score de 54,79 % au second tour. En 2012, Michel Pajon remporte l'élection avec 60,38 % des voix au second tour, contre Bruno Beschizza, qui recueille 39,62 %[réf. souhaitée].
En mai 2013[21], il est investi par son parti comme tête de liste UMP pour l'élection municipale de 2014 dans la ville d'Aulnay-sous-Bois, tenue jusqu'alors par le socialiste Gérard Ségura. Ce dernier avait conquis la ville en 2008 après 25 ans de gestion de la ville par des maires de droite. Il déménage alors de Rosny-sous-Bois[22] pour s'installer dans cette ville dont il convoite la mairie. Le 30 mars 2014, Bruno Beschizza est élu maire d'Aulnay-sous-Bois en obtenant un score de 60,70 % des suffrages exprimés lors du second tour des élections, contre 39,30 % pour son rival socialiste[23]. Durant sa campagne, il reçut le soutien de nombreux politiques de son camp comme le député-maire de Meaux et président de l'UMP Jean-François Copé[24], le sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois Philippe Dallier[25], ou encore le sénateur et ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin[26].
Bruno Beschizza prend ses fonctions de maire le 5 avril 2014 au cours d'un conseil municipal d'installation[27]. Sa première décision[28] est d'écrire une lettre adressée au nouveau ministre de l'Éducation nationale Benoît Hamon, au sujet de la réforme des rythmes scolaires engagée par Vincent Peillon en 2013. Le nouveau maire estime « ne pas pouvoir appliquer ce décret dans des conditions satisfaisantes »[29] et « demande le report de son application. »
Bien que la droite soit minoritaire en voix, il est élu président du syndicat intercommunal SEAPFA par 27 voix contre 10 au maire EELV de Sevran, Stéphane Gatignon, car ayant reçu le soutien du député-maire Front de gauche François Asensi[30].
Le 12 décembre 2014, élu président de l'UMP, Nicolas Sarkozy le nomme secrétaire national aux relations à la sécurité[31].
Après un temps d'hésitation[32], Bruno Beschizza se lance finalement dans la course des élections départementales 2015 à Aulnay-sous-Bois et est élu conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis le 29 mars 2015 avec 65,57% des suffrages aux côtés de Séverine Maroun, sa première adjointe à Aulnay-sous-Bois[33].
Après son élection, il garde son mandat[34],[35]. Arguant d'un recours concernant son élection au conseil départemental, il ne démissionne du conseil régional que fin novembre 2015, quelques jours avant le renouvellement de cette assemblée[36]. Tête de liste départementale Les Républicains-UDI-MoDem en Seine-Saint-Denis, dans le cadre de l'élection régionale de 2015 en Île-de-France conduite par Valérie Pécresse, il est réélu et annonce cette fois vouloir démissionner de son mandat au département[36].
Le 11 janvier 2016, il est élu[37] président de l'établissement public territorial Paris Terres d'Envol (territoire T7) qui rassemble huit communes séquano-dionysiennes de la métropole du Grand Paris.
Il soutient Nicolas Sarkozy au premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016. Dans le cadre de sa campagne, il est nommé orateur national chargé de la sécurité[38]. Au second tour, il se range derrière François Fillon[39].
Le 31 mars 2016, il est élu premier vice-président de l'établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF) aux côtés de Valérie Pécresse[40].
S'opposant en novembre 2016 à une campagne d'affichage de prévention de la transmission du SIDA entre personnes du même sexe, il prend un arrêté demandant le retrait des affiches représentant deux hommes qui s'embrassent. Il est critiqué par son opposant le député Daniel Goldberg : « Une affiche d'une femme embrassant un homme n'aurait pas déclenché cet arrêté. Cela porte un nom : l'homophobie[41]. » Alors que le maire d'Aulnay-sous-Bois considère cet affichage « contraire aux bonnes mœurs et à la moralité (...) et [risquant de] heurter la sensibilité de l’enfance et de la jeunesse », le préfet de la Seine-Saint-Denis estime cet arrêté illégal et saisit le tribunal administratif pour obtenir son annulation[42]. Qualifié d’arrêté homophobe par huit élus d'opposition, Bruno Beschizza les poursuivra par une plainte en diffamation. Mais le maire d'Aulnay-sous-Bois sera définitivement débouté quatre ans plus tard par la Cour de cassation et devra verser aux élus 2500 € au titre des frais de procédure administratifs[43].
Après la requalification de « viol en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique » en « violences volontaires en réunion avec arme par personnes dépositaires de l’autorité publique » contre les quatre policiers soupçonnés d’avoir violemment interpellé un jeune homme de 22 ans à Aulnay-sous-Bois le 2 février 2017, l'ancien syndicaliste policier Bruno Beschizza conteste cette incrimination moins grave envers les policiers mis en cause. La jeune victime présente une section du sphincter anal et une lésion du canal anal de dix centimètres de profondeur et des blessures au visage lui valant un premier arrêt de 60 jours d’interruption totale de travail[44].
Au printemps 2018, il soutient l'ouverture de l'école musulmane hors contrat Philippe Grenier par l'association Espérance musulmane de la jeunesse française. En septembre 2018, un dirigeant de cette association accuse l'Éducation nationale « d'apprendre la masturbation » aux enfants, et « les laïcistes » d'avoir « enlevé le hijab de l’école », « lancé une vendetta contre les bandanas, les jupes longues, les sorties scolaires », « mis en application les ABCD » de l’égalité et de vouloir mettre en place « des sorties scolaires dans les Gay pride »[45],[46].
Le 15 mars 2020, la liste qu'il conduit pour les élections municipales remporte le scrutin avec 59,33 % des voix[47] mais avec seulement 32,92% de taux de participation[48].
Lors du second tour l’élection présidentielle de 2022, il annonce qu'il votera en faveur d'Emmanuel Macron.
Franc-maçon depuis 2000 en étant d'abord initié au Grand Orient de France, il devient vénérable de sa loge en 2004, il a fait partie de deux loges en Île-de-France. En 2008, il quitte le Grand Orient pour rejoindre la Grande loge de France, une obédience moins progressiste et plus spiritualiste. Jusqu'en 2010, il niait son appartenance maçonnique[49].
- ↑ a et b [1]
- ↑ « PolitiqueS - Sécurité : la gauche sous surveillance », sur LCP Assemblée nationale
- ↑ Julien Rebucci, « Bruno Beschizza: portrait du nouveau porte-flingue de Nicolas Sarkozy », Les Inrockuptibles, 14 avril 15 (ISSN 0298-3788, lire en ligne)
- ↑ « Arrêté NOR INTC9800327A »
- ↑ « Arrêté NOR:INTC0400941A »
- ↑ « Arrêté NOR:INTC0930037A publié au bulletin officiel du ministère de l'Intérieur »
- ↑ [2]
- ↑ [3]
- ↑ « Seine-Saint-Denis : Bruno Beschizza, “gamin de Montreuil”, policier et tête de liste UMP », Le Monde, 8 février 2010.
- ↑ « Article L340 du Code électoral », legifrance.gouv.fr, 21 mars 2010 (consulté le 6 février 2017)
- ↑ « Article L195 du Code électoral », legifrance.gouv.fr, 6 février 2016 (consulté le 6 février 2017)
- ↑ Franck Johannès, « L’Elysée tente de sauver le siège de Bruno Beschizza », lemonde.fr, 22 avril 2010 (consulté le 23 novembre 2016)
- ↑ « NOR:IOCA1009407D »
- ↑ Remous autour de la promotion de Bruno Beschizza, Le Parisien, 28 avril 2010
- ↑ Bruno Beschizza sera nommé sous-préfet, Le Figaro, 21 avril 2010
- ↑ Le conseiller régional Bruno Beschizza va devenir sous-préfet, NouvelObs, 22 avril 2010
- ↑ Beschizza (UMP) titularisé sous-préfet, Le Figaro, 28 avril 2012.
- ↑ Le Canard Enchaîné, 10 juillet 2013
- ↑ « Comment l'UMP organise sa riposte », sur www.20minutes.fr
- ↑ « Copé veut confronter le PS à ses «contradictions» », 25 août 2011
- ↑ 93600INFOS - Municipales 2014: L’UMP aurait un candidat officiel (Aulnay Libre)http://93600infos.wordpress.com/2013/05/29/municipales-2014-lump-aurait-un-candidat-officiel-aulnay-libre/
- ↑ « Bruno Beschizza à l'assaut d'Aulnay », Le Parisien, 18 septembre 2013 (lire en ligne)
- ↑ MonAulnay.com: Municipales 2014 : Bruno Beschizza élu maire d’Aulnay-sous-Bois - http://www.monaulnay.com/2014/03/municipales-2014-bruno-beschizza-elu-maire-daulnay-sous-bois.html
- ↑ Le Parisien: Jean-François Copé est venu remotiver les militants UMP - http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/jean-francois-cope-est-venu-remotiver-les-militants-ump-29-11-2013-3359741.php
- ↑ Le Parisien : Seine-Saint-Denis : six villes basculent à droite - http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-six-villes-basculent-a-droite-31-03-2014-3727247.php
- ↑ 93600INFOS: EXCLUSIF : Réaction de Jean-Pierre Raffarin, ancien premier ministre, suite à son déplacement à Aulnay-sous-Bois hier soir - http://93600infos.fr/info/2014/03/11/exclusif-reaction-de-jean-pierre-raffarin-ancien-premier-ministre-suite-a-son-deplacement-a-aulnay-sous-bois-hier-soir/
- ↑ MonAulnay.com: Conseil municipal du 5 avril : La liste des 20 nouveaux adjoints - http://www.monaulnay.com/2014/04/conseil-municipal-du-5-avril-la-liste-des-20-nouveaux-adjoints.html
- ↑ MonAulnay.com : Réforme des rythmes scolaires : la lettre du maire d’Aulnay au ministre de l’Éducation nationale - http://www.monaulnay.com/2014/04/reforme-des-rythmes-scolaires-la-lettre-du-maire-daulnay-au-ministre-de-leducation-nationale.html
- ↑ 93600INFOS: Bruno Beschizza, officiellement maire d’Aulnay-sous-Bois depuis samedi matin - http://93600infos.fr/info/2014/04/11/bruno-beschizza-officiellement-maire-daulnay-sous-bois-depuis-samedi-matin/
- ↑ « Le syndicat intercommunal bascule à droite », Le Parisien, édition 93, 31 mai 2014 (ISSN 0767-3558, lire en ligne)
- ↑ « Nominations », u-m-p.org, 12 décembre 2014.
- ↑ Gwenaël Bourdon, « A Aulnay, l'UMP veut prolonger l'effet «municipales » », Le Parisien, édition 93, 23 février 2015 (ISSN 0767-3558, lire en ligne)
- ↑ « Départementales 2015: Le duo Beschizza-Maroun élu avec 65,57 % des voix à Aulnay-sous-Bois », sur 93600INFOS, 29 mars 2015 (consulté le 18 avril 2014)
- ↑ « BESCHIZZA », sur www.iledefrance.fr (consulté le 30 octobre 2015)
- ↑ « Malgré l’impossibilité juridique de cumuler, le maire d’Aulnay brigue la tête de liste 93 des régionales | MonAulnay.com - Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600) », sur MonAulnay.com - Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600) (consulté le 2 novembre 2015)
- ↑ a et b Gwenaël Bourdon, « Aulnay : Beschizza, conseiller régional démissionnaire… et réélu », leparisien.fr, 14 décembre 2015 (consulté le 18 décembre 2015)
- ↑ Hervé Suaudeau, « Bruno Beschizza établit un record de cumul avec son nouveau mandat de Président de territoire », monaulnay.com, 12 janvier 2016 (consulté le 12 janvier 2016)
- ↑ « Primaire à droite : l’équipe de campagne de Sarkozy se précise », lemonde.fr, 31 août 2016.
- ↑ Thomas Poupeau, « Les pro-Sarkozy se rangent derrière Fillon », leparisien.fr, 23 novembre 2016 (consulté le 23 novembre 2016)
- ↑ « Communiqué de presse: Valérie Pécresse, Présidente du Conseil Régional d’Ile-de-France, Élue à l’unanimité, Présidente du Conseil d’Administration de l’EPF Ile-de-France », EPF Île-de-France (EPFIF), 31 mars 2016 (lire en ligne, consulté le 16 novembre 2018)
- ↑ Thomas Poupeau, « Aulnay : le maire interdit les affiches de prévention contre le Sida », leparisien.fr, 23 novembre 2016 (consulté le 23 novembre 2016)
- ↑ « Aulnay-sous-Bois : le préfet saisit la justice pour faire suspendre l'arrêté du maire contre la campagne de prévention du Sida », francetvinfo.fr, 23 novembre 2016 (consulté le 23 novembre 2016)
- ↑ Par Alex et re Arlot Le 5 avril 2021 à 16h56, « Campagne anti-sida : taxé d’homophobie, le maire d’Aulnay est définitivement débouté », sur leparisien.fr, 5 avril 2021 (consulté le 13 avril 2021)
- ↑ Julia Pascual, « Soupçons de viol par des policiers : le maire d’Aulnay-sous-Bois dénonce « un détournement de vérité » », lemonde.fr, 5 février 2017 (consulté le 5 février 2017)
- ↑ « À Aulnay-sous-Bois, une école musulmane hors contrat très soutenue par le maire LR Bruno Beschizza », sur Marianne, 7 septembre 2018 (consulté le 23 septembre 2018)
- ↑ « Aulnay-sous-Bois : une école privée musulmane pour éviter "les sorties scolaires dans les gay prides" », sur Marianne, 30 août 2018 (consulté le 23 septembre 2018)
- ↑ Thomas Poupeau, « Municipales à Aulnay : le maire sortant LR Bruno Beschizza réélu dans un fauteuil », sur Le Parisien, 16 mars 2020
- ↑ « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le 29 juin 2020)
- ↑ Delphine Dyèvre et François Koch, « Dans le 93, débuts laborieux pour Beschizza, policier et franc-maçon », L'Express, 9 février 2010 (ISSN 0014-5270, lire en ligne)
- ↑ « Décret du 13 juillet 2018 portant promotion et nomination », sur legiondhonneur.fr (consulté le 14 juillet 2018).
- ↑ « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°01 du 07 février 2012 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le 12 février 2024)
- ↑ « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°06 du 9 décembre 2024 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le 20 décembre 2024)