D. Trystram - Academia.edu (original) (raw)
Papers by D. Trystram
Journal de Radiologie, 2006
Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiol... more Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiologie organique. L’examen clinique et l’interrogatoire du patient sont souvent difficiles et il n’est pas toujours possible de preciser les antecedents et les circonstances de survenue, elements importants d’orientation diagnostique. Les etiologies, variees, sont dominees par les causes toxiques, metaboliques et infectieuses. Le bilan d’imagerie a une place importante dans la prise en charge de ces patients soit pour eliminer une cause neurologique, soit pour contribuer au diagnostic en mettant en evidence des anomalies encephaliques evocatrices. Si l’examen scanographique est adapte pour le bilan d’une confusion survenant dans un contexte traumatique, la rentabilite diagnostique de l’imagerie par resonance magnetique est, dans les autres circonstances, superieure. Dans cet expose, sont envisagees les caracteristiques cliniques et radiologiques des pathologies suivantes : infections (encephalite herpetique, abces cerebral), inflammations (encephalomyelite aigue disseminee), pathologies vasculaires (ischemie arterielle, thrombose veineuse, hemorragie sous-arachnoidienne, encephalopathie posterieure reversible), intoxications et affections metaboliques (encephalopathie de Gayet-Wernicke, intoxication au monoxyde de carbone, encephalopathie hepatique) et tumeurs. Les protocoles d’examen les plus adaptes sont discutes.
Journal de Radiologie, 2009
Journal of Neuroradiology, 2007
Résultats.-Aucun échec d'implantation n'est rapporté, ni de complication per procédure. Un patien... more Résultats.-Aucun échec d'implantation n'est rapporté, ni de complication per procédure. Un patient diabétique retraité par stent Taxus a présenté à 6 mois une seconde resténose mais modérée et asymptomatique au niveau de sa carotide intra-pétreuse. Par contre aucune resténose n'a été observée au niveau des 7 autres stents implantés. Conclusion.-L'utilisation de stents imprégnés pour le traitement des sténoses athéromateuses des vaisseaux extra et intracrâniens semble efficace. La mise en place de ces stents ne pose pas plus de difficulté d'implantation que les stents classiques.
Diagnostic and interventional imaging, 2014
Patients need to be examined for intracranial aneurysms if they have had a subarachnoid hemorrhag... more Patients need to be examined for intracranial aneurysms if they have had a subarachnoid hemorrhage. The preferred technique in this situation is CT angiography. Screening can be done for familial forms or for elastic tissue disorders, for which the first line investigation is magnetic resonance angiography. These non-invasive methods have now taken over from conventional angiography that was reserved for the pretreatment phase. A good technical knowledge of these imaging methods, their artifacts and misleading images enables reliable detection of intracranial aneurysms and for an accurate report to be returned to clinicians.
Diagnostic and interventional imaging, 2014
While depiction and definition of morphological and architectural characteristics of CNS vascular... more While depiction and definition of morphological and architectural characteristics of CNS vascular disorders remains the first step of an MR analysis, emerging imaging techniques offer new functional information that might help to characterize rupture risk of CNS vascular disorders. Two main orientations are suggested by recent studies: inflammation of the vessel wall and analysis of physical constraints of blood flow using 4D flow imaging (shear parietal). This paper will focus on radiological application of 4D flow imaging and inflammation imaging, in the characterization of potential prognostic markers of CNS vascular disorders. We will review the basic technical considerations of 4D flow MRA, inflammation imaging and discuss their applications in CNS vascular disorders: aneurysms, arteriovenous malformation, dural arteriovenous fistulas. We will illustrate their potential in the development of individual rupture risk criteria in brain vascular disorders.
Journal de radiologie, 2007
Recent technical progress of MRI and CT made it possible to widen the field of exploration of the... more Recent technical progress of MRI and CT made it possible to widen the field of exploration of the noninvasive vascular imaging in the study of supra-aortic, encephalic and medullary vessels. MRI of the carotid plaques, CT angiography in the detection of the intracranial aneurysms, intracranial time-resolved MRA and MRA of the spinal cord took their place in the field of the noninvasive vascular imaging.
Stereotactic and functional neurosurgery, 1997
Radiosurgery of cerebral arteriovenous malformations (cAVM) can induce parenchymal changes seen o... more Radiosurgery of cerebral arteriovenous malformations (cAVM) can induce parenchymal changes seen on MRI. The purpose of this study was to classify these changes and to correlate them to clinical outcome and obliteration of the cAVM. 142 patients with cAVM underwent radiosurgery with a linear accelerator between 1994 and 1995. 60 clinical records, MR images, and postradiation angiograms were reviewed. Signal abnormalities and contrast enhancements were correlated with clinical deterioration and size decrease of the AVM. The Spearman nonparametric test was used for statistical correlation. MR findings allowed to differentiate between four grades: grade 1 = no parenchymal changes; grade 2 = hypersignal on T2-weighted sequences, grade 3 = grade 2 + contrast enhancement on T1-weighted sequences; grade 4 = grade 3 + central hyposignal (necrosis-like) + peripheral hyposignal surrounding the AVM on T1-weighted sequences. Grade 4 was significantly related (p < 0.001) to clinical deteriorat...
Journal of Neuroradiology, 2004
Journal de Radiologie, 2006
Résultats : Diverses localisations furent trouvées à l'imagerie. Ainsi, on nota une nette prédomi... more Résultats : Diverses localisations furent trouvées à l'imagerie. Ainsi, on nota une nette prédominance de l'atteinte parenchymateuse isolée, retrouvée dans 75 % des cas, essentiellement mésencéphalediencéphalique 58 %. Une thrombophlébite d'un sinus veineux isolée
The Lancet. Neurology, 2014
Journal de Radiologie, 2005
Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou c... more Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou correspondent a des infarctus cerebraux. Materiels et methodes Parmi les 79 patients consecutifs (52 hommes, âge 26-87 ans) admis pour un AIT en 2003, 28 (35,4 %) avaient un hypersignal en diffusion a l’admission. Vingt-six ont accepte un suivi IRM (FLAIR, T2, diffusion, 3D Tl-SPGR, delai AIT-IRM de controle : 3,5-22 mois, mediane 11 mois). Age, sexe, duree de l’AIT, delai AIT-IRM initiale, volume, ADC, nombre de lesions (unique, multiples) sur la diffusion initiale ont ete compares dans deux groupes : lesions reversibles et irreversibles. Resultats Sur le suivi IRM, 20/26 patients (77 %) avaient un infarctus correspondant aux hypersignaux sur la diffusion initiale. La presence d’un infarctus sur le suivi IRM etait associee a un volume initialement plus important (p = 0,02). Aucune des lesions initialement > 0,4 cm 3 (n = 11) n’etait reversible. Toutes les lesions reversibles etaient uniques alors que la moitie des patients avec sequelles avait des lesions initialement multiples (p = 0,05). Les autres parametres etaient identiques dans les deux groupes. Conclusion La plupart des hypersignaux en diffusion apres un AIT sont irreversibles. Seuls les petits hypersignaux uniques peuvent regresser, traduction possible d’une ischemie reversible. Ceci pourrait s’expliquer par le manque de sensibilite de l’IRM pour la detection des sequelles de petite taille.
Journal de Radiologie, 2004
Objectifs Decrire et comparer deux techniques d’ARM (ARM 3D TOF et ARM dynamique multiphase) util... more Objectifs Decrire et comparer deux techniques d’ARM (ARM 3D TOF et ARM dynamique multiphase) utilisables pour reperer la vascularisation medullaire normale utile avant chirurgie du rachis ou de l’aorte. Materiels et methodes En 3D TOF, la resolution spatiale est meilleure : visualisation de 26 vaisseaux dont 4 arteres spinales anterieures (23 % des patients), avec evaluation correcte du niveau d’emergence et 22 veines medianes anterieures ou posterieures. Aucune artere postero-laterale n’est visualisee. Aucun signe semiologique ne permet d’affirmer avec certitude la nature arterielle ou veineuse. Pour l’ARM dynamique, la resolution temporelle est privilegiee : les vaisseaux, surtout les veines, sont mal visualises. Mais, au temps arteriel, les vaisseaux visualises correspondent toujours a une artere radiculomedullaire anterieure. Resultats L’exploration des vaisseaux medullaires en ARM est difficile. Actuellement, elle ne remplace pas l’arteriographie. Connaitre l’aspect normal de la vascularisation medullaire en ARM permet de mieux detecter les vaisseaux anormaux comme en cas de fistule durale. L’amelioration des techniques permettra probablement a l’avenir d’orienter l’arteriographie en indiquant avec fiabilite le niveau d’emergence de l’artere spinale anterieure. Conclusion La fiabilite de l’exploration en ARM 3D TOF ne remplace actuellement pas l’angiographie. L’amelioration des techniques permettra probablement a l’avenir d’orienter l’arteriographie en indiquant avec fiabilite le niveau d’emergence de l’artere spinale anterieure voire de la remplacer.
Journal of Neuroradiology, 2004
Neurochirurgie, 2008
cas. Le DVLM a pu être supprimé chez les autres patients. Aucune morbidité permanente ou mortalit... more cas. Le DVLM a pu être supprimé chez les autres patients. Aucune morbidité permanente ou mortalité n'est survenue. Conclusion.-Les SDIC à DVLM peuvent être embolisés de façon satisfaisante par abord transartériel. La colle acrylique, aux propriétés thrombogènes, thermiques et inflammatoires, reste un embol sûr, permettant un traitement efficace, rapide, peu onéreux.
Journal de Radiologie, 2009
Neurology, 2003
Objectives: To assess the incidence and predictive factors of early and late seizures after ische... more Objectives: To assess the incidence and predictive factors of early and late seizures after ischemic stroke in young adults.Methods: A total of 581 patients (aged 18 to 55 years) with recent cryptogenic ischemic stroke were prospectively enrolled at 30 neurology departments and followed for 37.8 ± 9.7 months. Early seizures (occurring within 7 days of stroke) were assessed by chart review and late seizures were prospectively recorded at each follow-up visit. Clinical and brain imaging findings were reviewed by two neurologists and two neuroradiologists who were blinded to the occurrence of seizures.Results: Fourteen of the 581 patients (2.4%) developed early seizures, 71% of which occurred within the first 24 hours. Rankin scale ≥3 (odds ratio [OR] 3.9, 95% CI 1.2 to 12.7) and cortical involvement (OR 7.7, 95% CI 1.0 to 61.1) were independently associated with early seizures. Late seizures occurred only in patients with hemispheric stroke (n = 20). The risk of first late seizure was...
Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou c... more Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou correspondent a des infarctus cerebraux. Materiels et methodes Parmi les 79 patients consecutifs (52 hommes, âge 26-87 ans) admis pour un AIT en 2003, 28 (35,4 %) avaient un hypersignal en diffusion a l’admission. Vingt-six ont accepte un suivi IRM (FLAIR, T2, diffusion, 3D Tl-SPGR, delai AIT-IRM de controle : 3,5-22 mois, mediane 11 mois). Age, sexe, duree de l’AIT, delai AIT-IRM initiale, volume, ADC, nombre de lesions (unique, multiples) sur la diffusion initiale ont ete compares dans deux groupes : lesions reversibles et irreversibles. Resultats Sur le suivi IRM, 20/26 patients (77 %) avaient un infarctus correspondant aux hypersignaux sur la diffusion initiale. La presence d’un infarctus sur le suivi IRM etait associee a un volume initialement plus important (p = 0,02). Aucune des lesions initialement > 0,4 cm 3 (n = 11) n’etait reversible. Toutes les lesions reversibles etaient uniques alors que la moitie des patients avec sequelles avait des lesions initialement multiples (p = 0,05). Les autres parametres etaient identiques dans les deux groupes. Conclusion La plupart des hypersignaux en diffusion apres un AIT sont irreversibles. Seuls les petits hypersignaux uniques peuvent regresser, traduction possible d’une ischemie reversible. Ceci pourrait s’expliquer par le manque de sensibilite de l’IRM pour la detection des sequelles de petite taille.
Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiol... more Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiologie organique. L’examen clinique et l’interrogatoire du patient sont souvent difficiles et il n’est pas toujours possible de preciser les antecedents et les circonstances de survenue, elements importants d’orientation diagnostique. Les etiologies, variees, sont dominees par les causes toxiques, metaboliques et infectieuses. Le bilan d’imagerie a une place importante dans la prise en charge de ces patients soit pour eliminer une cause neurologique, soit pour contribuer au diagnostic en mettant en evidence des anomalies encephaliques evocatrices. Si l’examen scanographique est adapte pour le bilan d’une confusion survenant dans un contexte traumatique, la rentabilite diagnostique de l’imagerie par resonance magnetique est, dans les autres circonstances, superieure. Dans cet expose, sont envisagees les caracteristiques cliniques et radiologiques des pathologies suivantes : infections (encephalite herpetique, abces cerebral), inflammations (encephalomyelite aigue disseminee), pathologies vasculaires (ischemie arterielle, thrombose veineuse, hemorragie sous-arachnoidienne, encephalopathie posterieure reversible), intoxications et affections metaboliques (encephalopathie de Gayet-Wernicke, intoxication au monoxyde de carbone, encephalopathie hepatique) et tumeurs. Les protocoles d’examen les plus adaptes sont discutes.
Journal de Radiologie, 2006
Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiol... more Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiologie organique. L’examen clinique et l’interrogatoire du patient sont souvent difficiles et il n’est pas toujours possible de preciser les antecedents et les circonstances de survenue, elements importants d’orientation diagnostique. Les etiologies, variees, sont dominees par les causes toxiques, metaboliques et infectieuses. Le bilan d’imagerie a une place importante dans la prise en charge de ces patients soit pour eliminer une cause neurologique, soit pour contribuer au diagnostic en mettant en evidence des anomalies encephaliques evocatrices. Si l’examen scanographique est adapte pour le bilan d’une confusion survenant dans un contexte traumatique, la rentabilite diagnostique de l’imagerie par resonance magnetique est, dans les autres circonstances, superieure. Dans cet expose, sont envisagees les caracteristiques cliniques et radiologiques des pathologies suivantes : infections (encephalite herpetique, abces cerebral), inflammations (encephalomyelite aigue disseminee), pathologies vasculaires (ischemie arterielle, thrombose veineuse, hemorragie sous-arachnoidienne, encephalopathie posterieure reversible), intoxications et affections metaboliques (encephalopathie de Gayet-Wernicke, intoxication au monoxyde de carbone, encephalopathie hepatique) et tumeurs. Les protocoles d’examen les plus adaptes sont discutes.
Journal de Radiologie, 2009
Journal of Neuroradiology, 2007
Résultats.-Aucun échec d'implantation n'est rapporté, ni de complication per procédure. Un patien... more Résultats.-Aucun échec d'implantation n'est rapporté, ni de complication per procédure. Un patient diabétique retraité par stent Taxus a présenté à 6 mois une seconde resténose mais modérée et asymptomatique au niveau de sa carotide intra-pétreuse. Par contre aucune resténose n'a été observée au niveau des 7 autres stents implantés. Conclusion.-L'utilisation de stents imprégnés pour le traitement des sténoses athéromateuses des vaisseaux extra et intracrâniens semble efficace. La mise en place de ces stents ne pose pas plus de difficulté d'implantation que les stents classiques.
Diagnostic and interventional imaging, 2014
Patients need to be examined for intracranial aneurysms if they have had a subarachnoid hemorrhag... more Patients need to be examined for intracranial aneurysms if they have had a subarachnoid hemorrhage. The preferred technique in this situation is CT angiography. Screening can be done for familial forms or for elastic tissue disorders, for which the first line investigation is magnetic resonance angiography. These non-invasive methods have now taken over from conventional angiography that was reserved for the pretreatment phase. A good technical knowledge of these imaging methods, their artifacts and misleading images enables reliable detection of intracranial aneurysms and for an accurate report to be returned to clinicians.
Diagnostic and interventional imaging, 2014
While depiction and definition of morphological and architectural characteristics of CNS vascular... more While depiction and definition of morphological and architectural characteristics of CNS vascular disorders remains the first step of an MR analysis, emerging imaging techniques offer new functional information that might help to characterize rupture risk of CNS vascular disorders. Two main orientations are suggested by recent studies: inflammation of the vessel wall and analysis of physical constraints of blood flow using 4D flow imaging (shear parietal). This paper will focus on radiological application of 4D flow imaging and inflammation imaging, in the characterization of potential prognostic markers of CNS vascular disorders. We will review the basic technical considerations of 4D flow MRA, inflammation imaging and discuss their applications in CNS vascular disorders: aneurysms, arteriovenous malformation, dural arteriovenous fistulas. We will illustrate their potential in the development of individual rupture risk criteria in brain vascular disorders.
Journal de radiologie, 2007
Recent technical progress of MRI and CT made it possible to widen the field of exploration of the... more Recent technical progress of MRI and CT made it possible to widen the field of exploration of the noninvasive vascular imaging in the study of supra-aortic, encephalic and medullary vessels. MRI of the carotid plaques, CT angiography in the detection of the intracranial aneurysms, intracranial time-resolved MRA and MRA of the spinal cord took their place in the field of the noninvasive vascular imaging.
Stereotactic and functional neurosurgery, 1997
Radiosurgery of cerebral arteriovenous malformations (cAVM) can induce parenchymal changes seen o... more Radiosurgery of cerebral arteriovenous malformations (cAVM) can induce parenchymal changes seen on MRI. The purpose of this study was to classify these changes and to correlate them to clinical outcome and obliteration of the cAVM. 142 patients with cAVM underwent radiosurgery with a linear accelerator between 1994 and 1995. 60 clinical records, MR images, and postradiation angiograms were reviewed. Signal abnormalities and contrast enhancements were correlated with clinical deterioration and size decrease of the AVM. The Spearman nonparametric test was used for statistical correlation. MR findings allowed to differentiate between four grades: grade 1 = no parenchymal changes; grade 2 = hypersignal on T2-weighted sequences, grade 3 = grade 2 + contrast enhancement on T1-weighted sequences; grade 4 = grade 3 + central hyposignal (necrosis-like) + peripheral hyposignal surrounding the AVM on T1-weighted sequences. Grade 4 was significantly related (p < 0.001) to clinical deteriorat...
Journal of Neuroradiology, 2004
Journal de Radiologie, 2006
Résultats : Diverses localisations furent trouvées à l'imagerie. Ainsi, on nota une nette prédomi... more Résultats : Diverses localisations furent trouvées à l'imagerie. Ainsi, on nota une nette prédominance de l'atteinte parenchymateuse isolée, retrouvée dans 75 % des cas, essentiellement mésencéphalediencéphalique 58 %. Une thrombophlébite d'un sinus veineux isolée
The Lancet. Neurology, 2014
Journal de Radiologie, 2005
Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou c... more Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou correspondent a des infarctus cerebraux. Materiels et methodes Parmi les 79 patients consecutifs (52 hommes, âge 26-87 ans) admis pour un AIT en 2003, 28 (35,4 %) avaient un hypersignal en diffusion a l’admission. Vingt-six ont accepte un suivi IRM (FLAIR, T2, diffusion, 3D Tl-SPGR, delai AIT-IRM de controle : 3,5-22 mois, mediane 11 mois). Age, sexe, duree de l’AIT, delai AIT-IRM initiale, volume, ADC, nombre de lesions (unique, multiples) sur la diffusion initiale ont ete compares dans deux groupes : lesions reversibles et irreversibles. Resultats Sur le suivi IRM, 20/26 patients (77 %) avaient un infarctus correspondant aux hypersignaux sur la diffusion initiale. La presence d’un infarctus sur le suivi IRM etait associee a un volume initialement plus important (p = 0,02). Aucune des lesions initialement > 0,4 cm 3 (n = 11) n’etait reversible. Toutes les lesions reversibles etaient uniques alors que la moitie des patients avec sequelles avait des lesions initialement multiples (p = 0,05). Les autres parametres etaient identiques dans les deux groupes. Conclusion La plupart des hypersignaux en diffusion apres un AIT sont irreversibles. Seuls les petits hypersignaux uniques peuvent regresser, traduction possible d’une ischemie reversible. Ceci pourrait s’expliquer par le manque de sensibilite de l’IRM pour la detection des sequelles de petite taille.
Journal de Radiologie, 2004
Objectifs Decrire et comparer deux techniques d’ARM (ARM 3D TOF et ARM dynamique multiphase) util... more Objectifs Decrire et comparer deux techniques d’ARM (ARM 3D TOF et ARM dynamique multiphase) utilisables pour reperer la vascularisation medullaire normale utile avant chirurgie du rachis ou de l’aorte. Materiels et methodes En 3D TOF, la resolution spatiale est meilleure : visualisation de 26 vaisseaux dont 4 arteres spinales anterieures (23 % des patients), avec evaluation correcte du niveau d’emergence et 22 veines medianes anterieures ou posterieures. Aucune artere postero-laterale n’est visualisee. Aucun signe semiologique ne permet d’affirmer avec certitude la nature arterielle ou veineuse. Pour l’ARM dynamique, la resolution temporelle est privilegiee : les vaisseaux, surtout les veines, sont mal visualises. Mais, au temps arteriel, les vaisseaux visualises correspondent toujours a une artere radiculomedullaire anterieure. Resultats L’exploration des vaisseaux medullaires en ARM est difficile. Actuellement, elle ne remplace pas l’arteriographie. Connaitre l’aspect normal de la vascularisation medullaire en ARM permet de mieux detecter les vaisseaux anormaux comme en cas de fistule durale. L’amelioration des techniques permettra probablement a l’avenir d’orienter l’arteriographie en indiquant avec fiabilite le niveau d’emergence de l’artere spinale anterieure. Conclusion La fiabilite de l’exploration en ARM 3D TOF ne remplace actuellement pas l’angiographie. L’amelioration des techniques permettra probablement a l’avenir d’orienter l’arteriographie en indiquant avec fiabilite le niveau d’emergence de l’artere spinale anterieure voire de la remplacer.
Journal of Neuroradiology, 2004
Neurochirurgie, 2008
cas. Le DVLM a pu être supprimé chez les autres patients. Aucune morbidité permanente ou mortalit... more cas. Le DVLM a pu être supprimé chez les autres patients. Aucune morbidité permanente ou mortalité n'est survenue. Conclusion.-Les SDIC à DVLM peuvent être embolisés de façon satisfaisante par abord transartériel. La colle acrylique, aux propriétés thrombogènes, thermiques et inflammatoires, reste un embol sûr, permettant un traitement efficace, rapide, peu onéreux.
Journal de Radiologie, 2009
Neurology, 2003
Objectives: To assess the incidence and predictive factors of early and late seizures after ische... more Objectives: To assess the incidence and predictive factors of early and late seizures after ischemic stroke in young adults.Methods: A total of 581 patients (aged 18 to 55 years) with recent cryptogenic ischemic stroke were prospectively enrolled at 30 neurology departments and followed for 37.8 ± 9.7 months. Early seizures (occurring within 7 days of stroke) were assessed by chart review and late seizures were prospectively recorded at each follow-up visit. Clinical and brain imaging findings were reviewed by two neurologists and two neuroradiologists who were blinded to the occurrence of seizures.Results: Fourteen of the 581 patients (2.4%) developed early seizures, 71% of which occurred within the first 24 hours. Rankin scale ≥3 (odds ratio [OR] 3.9, 95% CI 1.2 to 12.7) and cortical involvement (OR 7.7, 95% CI 1.0 to 61.1) were independently associated with early seizures. Late seizures occurred only in patients with hemispheric stroke (n = 20). The risk of first late seizure was...
Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou c... more Objectifs Determiner si les hypersignaux en diffusion visibles apres un AIT sont reversibles ou correspondent a des infarctus cerebraux. Materiels et methodes Parmi les 79 patients consecutifs (52 hommes, âge 26-87 ans) admis pour un AIT en 2003, 28 (35,4 %) avaient un hypersignal en diffusion a l’admission. Vingt-six ont accepte un suivi IRM (FLAIR, T2, diffusion, 3D Tl-SPGR, delai AIT-IRM de controle : 3,5-22 mois, mediane 11 mois). Age, sexe, duree de l’AIT, delai AIT-IRM initiale, volume, ADC, nombre de lesions (unique, multiples) sur la diffusion initiale ont ete compares dans deux groupes : lesions reversibles et irreversibles. Resultats Sur le suivi IRM, 20/26 patients (77 %) avaient un infarctus correspondant aux hypersignaux sur la diffusion initiale. La presence d’un infarctus sur le suivi IRM etait associee a un volume initialement plus important (p = 0,02). Aucune des lesions initialement > 0,4 cm 3 (n = 11) n’etait reversible. Toutes les lesions reversibles etaient uniques alors que la moitie des patients avec sequelles avait des lesions initialement multiples (p = 0,05). Les autres parametres etaient identiques dans les deux groupes. Conclusion La plupart des hypersignaux en diffusion apres un AIT sont irreversibles. Seuls les petits hypersignaux uniques peuvent regresser, traduction possible d’une ischemie reversible. Ceci pourrait s’expliquer par le manque de sensibilite de l’IRM pour la detection des sequelles de petite taille.
Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiol... more Resume Motif frequent de consultation neurologique, le syndrome confusionnel a toujours une etiologie organique. L’examen clinique et l’interrogatoire du patient sont souvent difficiles et il n’est pas toujours possible de preciser les antecedents et les circonstances de survenue, elements importants d’orientation diagnostique. Les etiologies, variees, sont dominees par les causes toxiques, metaboliques et infectieuses. Le bilan d’imagerie a une place importante dans la prise en charge de ces patients soit pour eliminer une cause neurologique, soit pour contribuer au diagnostic en mettant en evidence des anomalies encephaliques evocatrices. Si l’examen scanographique est adapte pour le bilan d’une confusion survenant dans un contexte traumatique, la rentabilite diagnostique de l’imagerie par resonance magnetique est, dans les autres circonstances, superieure. Dans cet expose, sont envisagees les caracteristiques cliniques et radiologiques des pathologies suivantes : infections (encephalite herpetique, abces cerebral), inflammations (encephalomyelite aigue disseminee), pathologies vasculaires (ischemie arterielle, thrombose veineuse, hemorragie sous-arachnoidienne, encephalopathie posterieure reversible), intoxications et affections metaboliques (encephalopathie de Gayet-Wernicke, intoxication au monoxyde de carbone, encephalopathie hepatique) et tumeurs. Les protocoles d’examen les plus adaptes sont discutes.