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Papers by Saikou Yaya Diallo
In this paper, we use consumption dominance curves, a tool developed by Makdissi and Wodon (2002)... more In this paper, we use consumption dominance curves, a tool developed by Makdissi and Wodon (2002) in order to assess the redistributive impact of electricity subsidies in Guinea. The data in the 'Enquête Intégrée de Base pour l'Évaluation de la Pauvreté (EIBEP) 2002-2003’ show that subsidizing electricity is not consistent with a poverty reduction objective. Dans cet article, nous utilisons
Néphrologie & Thérapeutique, 2011
Introduction.-Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune de cause inconnu... more Introduction.-Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune de cause inconnue avec une présentation clinique hétérogène. L'atteinte rénale est l'une des manifestations les plus fréquentes et les plus graves du LES. Le but de notre étude est d'analyser les caractéristiques cliniques, biologiques, immunologiques et histologiques rénales d'une série récente de 278 patients lupiques avec atteinte rénale. Patients et méthodes.-Il s'agit d'une étude rétrospective et descriptive portant sur 278 dossiers de patients colligés, en sept années, dans notre service de néphrologie de janvier 2004 à décembre 2010. Les paramètres cliniques, biologiques, et histologiques ont été étudiés chez tous nos patients. Tous les patients ont bénéficié d'une ou plusieurs biopsies rénales. Les lésions histologiques rénales ont toutes été analysées par la même équipe d'anatomo-pathologistes avec la classification de l'ISN/RPS. Nous n' avons pas retenu les dossiers de lupus à début pédiatrique (25 cas), les lupus intriqués à d' autres affections systémiques (22 cas) ni les lupus sans atteinte rénale (40 cas). Résultats.-Il y avait dans notre série 256 femmes (92 %) et 22 hommes dont l'âge moyen, au moment du diagnostic, était de 33 ans (ext : 17 à 65 ans). Lors de la présentation initiale, les signes rénaux étaient faits de : syndrome néphrotique dans 85 % des cas, anomalie du sédiment urinaire (protéinurie et/ou hématurie) dans 15 % des cas, une Insuffisance rénale dans 70 % des cas. Le bilan immunologique du lupus était positif dans 91 % des cas. L'examen histologique rénal : la glomérulonéphrite lupique (GNL) est de classe II dans 20 % des cas, de classe III dans 30 % des cas, de classe IV dans 45 % des cas et de la classe V dans 5 % des cas. Aucune glomerulopathie non-lupique n'est associée et aucune GNL de classes I ou VI. Des lésions vasculaires sont décrites chez 17 patients. Il s'agissait de lésions de MAT chez cinq patients, d' une vasculopathie lupique dans un cas et des lésions de SAPL dans 11 cas. Pour les lupus masculins, les GNL étaient de classe III dans 64 % des cas, de classe IV dans 36 % des cas. Discussion.-Dans notre série, les néphropathies lupiques demeurent sévères avec une fréquence très élevée des formes prolifératives de classe III et IV (trois-quarts des cas). Nous avons comparé nos résultats à ceux de deux autres séries historiques de la décennie précédente. La répartition des GNL reste inchangée, semblable pour les deux périodes. Cependant dans la série actuelle, l'intervalle entre le début du lupus et la PBR est beaucoup plus court. Les patients nous sont confiés plus tôt. L'âge moyen des patients au moment de la PBR est le même dans notre série comparé aux deux séries historiques. Sur le plan thérapeutique, des progrès notables sont enregistrés avec l'introduction précoce et une plus grande utilisation des Immunosuppresseurs. Conclusion.-Nos données sont comparables à celles publiées dans la littérature avec toujours une nette prédominance féminine et une sévérité de l'atteinte rénale exprimée par la grande prévalence des formes prolifératives lupiques. La comparaison à nos deux séries historiques, apporte des renseignements sur l'évolution des pratiques thérapeutiques en Algérie. * Auteur correspondant. Introduction.-La glomérulonéphrite extramembraneuse (GEM) est la première cause de syndrome néphrotique primitif de l'adulte. La GEM est idiopathique dans 75 % des cas, dans 5 à 10 % des cas elle est associée à un cancer. Les hémopathies malignes sont les cancers les plus rarement associés à cette histologie rénale. L'objectif de ce
Revue du Rhumatisme, 2007
Revue du Rhumatisme, 2007
Revue du Rhumatisme, 2007
In this paper, we use consumption dominance curves, a tool developed by Makdissi and Wodon (2002)... more In this paper, we use consumption dominance curves, a tool developed by Makdissi and Wodon (2002) in order to assess the redistributive impact of electricity subsidies in Guinea. The data in the 'Enquête Intégrée de Base pour l'Évaluation de la Pauvreté (EIBEP) 2002-2003’ show that subsidizing electricity is not consistent with a poverty reduction objective. Dans cet article, nous utilisons
Néphrologie & Thérapeutique, 2011
Introduction.-Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune de cause inconnu... more Introduction.-Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune de cause inconnue avec une présentation clinique hétérogène. L'atteinte rénale est l'une des manifestations les plus fréquentes et les plus graves du LES. Le but de notre étude est d'analyser les caractéristiques cliniques, biologiques, immunologiques et histologiques rénales d'une série récente de 278 patients lupiques avec atteinte rénale. Patients et méthodes.-Il s'agit d'une étude rétrospective et descriptive portant sur 278 dossiers de patients colligés, en sept années, dans notre service de néphrologie de janvier 2004 à décembre 2010. Les paramètres cliniques, biologiques, et histologiques ont été étudiés chez tous nos patients. Tous les patients ont bénéficié d'une ou plusieurs biopsies rénales. Les lésions histologiques rénales ont toutes été analysées par la même équipe d'anatomo-pathologistes avec la classification de l'ISN/RPS. Nous n' avons pas retenu les dossiers de lupus à début pédiatrique (25 cas), les lupus intriqués à d' autres affections systémiques (22 cas) ni les lupus sans atteinte rénale (40 cas). Résultats.-Il y avait dans notre série 256 femmes (92 %) et 22 hommes dont l'âge moyen, au moment du diagnostic, était de 33 ans (ext : 17 à 65 ans). Lors de la présentation initiale, les signes rénaux étaient faits de : syndrome néphrotique dans 85 % des cas, anomalie du sédiment urinaire (protéinurie et/ou hématurie) dans 15 % des cas, une Insuffisance rénale dans 70 % des cas. Le bilan immunologique du lupus était positif dans 91 % des cas. L'examen histologique rénal : la glomérulonéphrite lupique (GNL) est de classe II dans 20 % des cas, de classe III dans 30 % des cas, de classe IV dans 45 % des cas et de la classe V dans 5 % des cas. Aucune glomerulopathie non-lupique n'est associée et aucune GNL de classes I ou VI. Des lésions vasculaires sont décrites chez 17 patients. Il s'agissait de lésions de MAT chez cinq patients, d' une vasculopathie lupique dans un cas et des lésions de SAPL dans 11 cas. Pour les lupus masculins, les GNL étaient de classe III dans 64 % des cas, de classe IV dans 36 % des cas. Discussion.-Dans notre série, les néphropathies lupiques demeurent sévères avec une fréquence très élevée des formes prolifératives de classe III et IV (trois-quarts des cas). Nous avons comparé nos résultats à ceux de deux autres séries historiques de la décennie précédente. La répartition des GNL reste inchangée, semblable pour les deux périodes. Cependant dans la série actuelle, l'intervalle entre le début du lupus et la PBR est beaucoup plus court. Les patients nous sont confiés plus tôt. L'âge moyen des patients au moment de la PBR est le même dans notre série comparé aux deux séries historiques. Sur le plan thérapeutique, des progrès notables sont enregistrés avec l'introduction précoce et une plus grande utilisation des Immunosuppresseurs. Conclusion.-Nos données sont comparables à celles publiées dans la littérature avec toujours une nette prédominance féminine et une sévérité de l'atteinte rénale exprimée par la grande prévalence des formes prolifératives lupiques. La comparaison à nos deux séries historiques, apporte des renseignements sur l'évolution des pratiques thérapeutiques en Algérie. * Auteur correspondant. Introduction.-La glomérulonéphrite extramembraneuse (GEM) est la première cause de syndrome néphrotique primitif de l'adulte. La GEM est idiopathique dans 75 % des cas, dans 5 à 10 % des cas elle est associée à un cancer. Les hémopathies malignes sont les cancers les plus rarement associés à cette histologie rénale. L'objectif de ce
Revue du Rhumatisme, 2007
Revue du Rhumatisme, 2007
Revue du Rhumatisme, 2007