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Papers by Sylvain Gallais
Questions de communication, Dec 1, 2005
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
Research Papers in Economics, 2002
This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adj... more This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adjusting to the exigencies of an increasingly globalized environment.
Questions de communication, Sep 1, 2005
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
Questions de communication, 2005
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
La situation délibérative dans le débat public
Journal des Économistes et des Études Humaines, 1998
L'article de Hans Herman Hoppe "Time Preference, Government and the Process of De-civili... more L'article de Hans Herman Hoppe "Time Preference, Government and the Process of De-civilization : from Monarchy to Democracy "2 suggérait fortement l'antagonisme génétique entre démocratie représentative3 et efficacité économique*. En cause de fond, il s'agit du statut des droits, de la nature de ceux de la propriété. Propriété "publique" et propriété privée ne motivent pas du tout les mêmes comportements. La question principale nous semble plutôt avoir échappé à une distinction fondamentale, de laquelle découle clairement celle faite abondamment dans la littérature et dans l'article cité, entre droits de propriété (droits négatifs5 en
Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises ... more Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises en œuvre. Les debats politiques televises sont frequemment detournes en operations de communication, et les NTIC proposent des forums se contentant de juxtaposer des opinions. L'efficacite du debat public residerait plutot dans la legitimite conferee au citoyen et dans son impact sur les processus decisionnels. Se pose ainsi le besoin d'une reflexion sur la situation deliberative dans le debat public.
Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises ... more Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises en œuvre. Les debats politiques televises sont frequemment detournes en operations de communication, et les NTIC proposent des forums se contentant de juxtaposer des opinions. L'efficacite du debat public residerait plutot dans la legitimite conferee au citoyen et dans son impact sur les processus decisionnels. Se pose ainsi le besoin d'une reflexion sur la situation deliberative dans le debat public.
This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adj... more This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adjusting to the exigencies of an increasingly globalized environment.
Journal des Économistes et des Études Humaines
Compte Rendu par Sylvain Gallais * Maurice Flamant a déjà produit plusieurs ouvrages d'économie (... more Compte Rendu par Sylvain Gallais * Maurice Flamant a déjà produit plusieurs ouvrages d'économie (dont trois "Que sais-je ?" sur le libéralisme). Le dernier offre bien plus d'intérêt si on sait le lire au travers de la vision contemporaine de l'analyse économique des institutions. Il est passionnant en raison de l'engagement de son auteur ; analytique et descriptif ; rarement synthétique et théorique. La dynamique en question s'y révèle protéiforme. En fait, nous livre M. Flamant, elle est "synergie de forces diverses, et de nature variée". Les premiers chapitres (19ème siècle) réservent une place modeste mais indéniable à l'évolution des institutions (politiques, économiques, sociales) : rôle des marchands, commerçants, et grands financiers, des lois (Enclosure Act, Poor Law, décret d'Allarde contre les corporations, ...), des réglementations financières, du Reichsrecht contre le Landsrecht, etc. Les chapitres suivants (jusqu'à 1989) traitent secondairement des institutions économiques influentes, et plus souvent en termes de politique économique (exemple : influence de l'augmentation des taux d'escompte comme cause de la crise de 1929), exception faite évidemment des cas de l'URSS et du Japon. On ne peut que regretter que l'influence économique de l'évolution des institutions fondamentales (droits de propriété, droits des contrats commerciaux ou du travail, ...) n'ait pas été traitée avec autant d'importance que l'a été celle de l'évolution des techniques (quelle est la cause de cette évolution ? génération spontanée ?). Ce travail représente surtout une agréable et utile compilation des faits a priori marquants de la croissance économique des deux derniers siècles. Sur ce point, il apparaît finalement quelque peu conventionnel ou "globaliste". Ainsi, on peut y trouver incidemment une conception holiste sinon volontariste de la société et de ses transformations. A titre d'exemple : les groupes humains semblent être perçus comme des "acteurs" volontaristes-mais peut-être n'est-ce qu'une façon d'écrire concise et rapide ; ou bien encore : l'Etat est présenté comme un substitut de l'initiative entrepreneuriale, sans que la question soit posée du rôle inhibiteur de la réglementation existante.
Journal des Économistes et des Études Humaines, 1992
Journal des Économistes et des Études Humaines, 1992
Questions de communication, Dec 1, 2005
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
Research Papers in Economics, 2002
This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adj... more This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adjusting to the exigencies of an increasingly globalized environment.
Questions de communication, Sep 1, 2005
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
Questions de communication, 2005
APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet art... more APProcHe trANsdisciPliNAire de lA déliBérAtioN (2). l'écoNomie de lA déliBérAtioN résumé.-cet article propose d'étudier le processus délibératif dans un petit groupe, à l'aide des nouveaux concepts forgés par l'économie néo-institutionnelle. il prolonge une précédente contribution (Gallais, 2005) qui présentait la délibération à la lumière des sciences contemporaines de l'information et de la communication. l'hypothèse est que la délibération est un processus d'échanges. considérant que, selon l'enseignement de l'école autrichienne, les comportements sont déterminés par les règles instituées, les relations entre membres du groupe délibératif sont analysées en termes de culture, de coûts de transaction, d'information tels que définis par le néo-institutionnalisme. l'approche est utilitariste et conséquentialiste. en effet, nous postulons que la communication est un enrichissement et que la délibération est source de valeur ajoutée comme l'est tout échange, de même que nous considérons que le cadre institué le favorise. encore une fois, on conclura que la délibération est d'autant plus productive que le groupe et les sujets débattus y sont circonscrits, et que les « coûts de transaction » y sont intentionnellement minimisés.
La situation délibérative dans le débat public
Journal des Économistes et des Études Humaines, 1998
L'article de Hans Herman Hoppe "Time Preference, Government and the Process of De-civili... more L'article de Hans Herman Hoppe "Time Preference, Government and the Process of De-civilization : from Monarchy to Democracy "2 suggérait fortement l'antagonisme génétique entre démocratie représentative3 et efficacité économique*. En cause de fond, il s'agit du statut des droits, de la nature de ceux de la propriété. Propriété "publique" et propriété privée ne motivent pas du tout les mêmes comportements. La question principale nous semble plutôt avoir échappé à une distinction fondamentale, de laquelle découle clairement celle faite abondamment dans la littérature et dans l'article cité, entre droits de propriété (droits négatifs5 en
Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises ... more Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises en œuvre. Les debats politiques televises sont frequemment detournes en operations de communication, et les NTIC proposent des forums se contentant de juxtaposer des opinions. L'efficacite du debat public residerait plutot dans la legitimite conferee au citoyen et dans son impact sur les processus decisionnels. Se pose ainsi le besoin d'une reflexion sur la situation deliberative dans le debat public.
Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises ... more Le debat public est a la fois necessaire pour la democratie et souvent inefficace dans ses mises en œuvre. Les debats politiques televises sont frequemment detournes en operations de communication, et les NTIC proposent des forums se contentant de juxtaposer des opinions. L'efficacite du debat public residerait plutot dans la legitimite conferee au citoyen et dans son impact sur les processus decisionnels. Se pose ainsi le besoin d'une reflexion sur la situation deliberative dans le debat public.
This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adj... more This book is the first in English to comprehensively examine the French economy and how it is adjusting to the exigencies of an increasingly globalized environment.
Journal des Économistes et des Études Humaines
Compte Rendu par Sylvain Gallais * Maurice Flamant a déjà produit plusieurs ouvrages d'économie (... more Compte Rendu par Sylvain Gallais * Maurice Flamant a déjà produit plusieurs ouvrages d'économie (dont trois "Que sais-je ?" sur le libéralisme). Le dernier offre bien plus d'intérêt si on sait le lire au travers de la vision contemporaine de l'analyse économique des institutions. Il est passionnant en raison de l'engagement de son auteur ; analytique et descriptif ; rarement synthétique et théorique. La dynamique en question s'y révèle protéiforme. En fait, nous livre M. Flamant, elle est "synergie de forces diverses, et de nature variée". Les premiers chapitres (19ème siècle) réservent une place modeste mais indéniable à l'évolution des institutions (politiques, économiques, sociales) : rôle des marchands, commerçants, et grands financiers, des lois (Enclosure Act, Poor Law, décret d'Allarde contre les corporations, ...), des réglementations financières, du Reichsrecht contre le Landsrecht, etc. Les chapitres suivants (jusqu'à 1989) traitent secondairement des institutions économiques influentes, et plus souvent en termes de politique économique (exemple : influence de l'augmentation des taux d'escompte comme cause de la crise de 1929), exception faite évidemment des cas de l'URSS et du Japon. On ne peut que regretter que l'influence économique de l'évolution des institutions fondamentales (droits de propriété, droits des contrats commerciaux ou du travail, ...) n'ait pas été traitée avec autant d'importance que l'a été celle de l'évolution des techniques (quelle est la cause de cette évolution ? génération spontanée ?). Ce travail représente surtout une agréable et utile compilation des faits a priori marquants de la croissance économique des deux derniers siècles. Sur ce point, il apparaît finalement quelque peu conventionnel ou "globaliste". Ainsi, on peut y trouver incidemment une conception holiste sinon volontariste de la société et de ses transformations. A titre d'exemple : les groupes humains semblent être perçus comme des "acteurs" volontaristes-mais peut-être n'est-ce qu'une façon d'écrire concise et rapide ; ou bien encore : l'Etat est présenté comme un substitut de l'initiative entrepreneuriale, sans que la question soit posée du rôle inhibiteur de la réglementation existante.
Journal des Économistes et des Études Humaines, 1992
Journal des Économistes et des Études Humaines, 1992