Justine Gain | The Metropolitan Museum of Art (original) (raw)
Papers by Justine Gain
Les Cahiers de l'École du Louvre, 2024
FR Au xixe siècle, à mesure que l’idée de musée prend forme de manière significative dans le pays... more FR
Au xixe siècle, à mesure que l’idée de musée prend forme de manière significative dans le paysage francilien, apparaissent les premières tentatives en matière de muséographie et de restauration. L’exercice de la biographie d’objets, celle de quatre sculptures féminines en bois alors attribuées à Germain Pilon, permet d’explorer ces phénomènes qui s’entrelacent. Le parcours de ces figures qui soutenaient jadis la châsse de sainte Geneviève, dans l’église parisienne du même nom, illustre autant la pratique muséale d’une époque que son goût croissant pour la Renaissance française. Cette étude se propose d’analyser les pérégrinations du groupe durant le xixe siècle, ainsi que les diverses pratiques qui ont permis son exposition au sein de trois institutions, elles-mêmes capitales dans l’histoire des collections : le musée des Monuments français, le Louvre ainsi que les Galeries historiques de Versailles.
EN
Constructing the taste for the French Renaissance: The peregrinations of Germain Pilon's ladies in the nineteenth century
In the nineteenth century, as the idea of a museum took shape in the Paris region, the first attempts at museography and restoration appeared. An object biography of four wooden sculptures of women attributed to Germain Pilon at the time provides an opportunity to explore these intertwined phenomena. The journey of the figures, which once supported the shrine of Saint Genevieve in the Paris church of the same name, illustrates both the museum practice of an era and its growing taste for the French Renaissance. The aim of this study is to analyse the peregrinations of the group during the nineteenth century, as well as the various practices that enabled it to be exhibited in three institutions that were themselves key players in the history of collections: the Musée des Monuments Français, the Louvre and the History Galleries of Versailles.
The Sculpture Journal, 2023
In the nineteenth century, as European countries reacted to industrialization, art and burgeoning... more In the nineteenth century, as European countries reacted to industrialization, art and burgeoning industries intertwined in a myriad of new ways. From this union, several major changes occurred in building construction, decorative arts and sculpture. The career and oeuvre of Jean-Baptiste Plantar, French ornamentalist and sculptor des Bâtiments du Roi, illustrate the new relationships forged between traditional architectural patterns and industrial artistic production. Despite holding a central role in their establishment, Plantar has been largely unheeded both by his contemporaries and later writers. This article reasserts Plantar’s significance in the creation of a visual – essentially Parisian – landscape in the first half of the nineteenth century.
Ge-Conservación, 2023
From 1833, Louis-Philippe transformed the former royal residence of Versailles into a new museum:... more From 1833, Louis-Philippe transformed the former royal residence of Versailles into a new museum: the Historical Galleries. He gathered collections illustrating national history, from Middle Ages to his reign. To offer a proper setting, the architect Frederic Nepveu chose plaster as the main material of the decoration. And to do so, he hired the official sculptor of the time: Jean-Baptiste Plantar (1790-1879). As any sculptor, he used plaster as a sketch, but above all, he applied it largely in the mural decoration, even in key locations as the Great Battles Gallery and the 1830s Room. Plaster was also employed as a museographical tool to present collections, merged in an ensemble evoking their past eras. More than created an ornamental coherence in the galleries, Plantar’s works demonstrate the flourishing implementation of plaster in official architecture, and the means processed to show it.
Livraisons de l'histoire de l'architecture, 2020
En 1842, Louis-Philippe, roi des Français, perd son fils ainé, Ferdinand-Philippe d’Orléans. Vict... more En 1842, Louis-Philippe, roi des Français, perd son fils ainé, Ferdinand-Philippe d’Orléans. Victime d’un terrible accident Porte Maillot, l’héritier du trône décède dans une modeste demeure, route de la Révolte. En l’honneur du prince, le roi et la reine érigent une chapelle commémorative en lieu et place de l’accident. Les meilleurs artistes sont convoqués pour célébrer la mémoire du prince. La chapelle Saint-Ferdinanrd résiste au temps, à la guerre de 1870 et même aux établissements de divertissement qui pullulent, à la Belle Époque, sur la zone de non aedificandi. Au début du XXe siècle, les héritiers des Orléans décident de protéger la chapelle au titre des Monuments historiques, en raison de son emplacement stratégique, aux portes de la capitale. Pourtant, dans les années 1970, alors que le projet du palais des Congrès de la porte Maillot voit le jour, la chapelle est déplacée, en surplomb du périphérique parisien. Dégradée, elle passe aujourd’hui presque inaperçue derrière l’œuvre monumentale de Guillaume Gillet. La plaque commémorative de l’accident, témoignage négocié lors du déplacement de la chapelle, autrefois lieu de mémoire, est désormais recouvert par l’enseigne Mayo du restaurant de l’hôtel Hyatt.
Château de Versailles, 2019
Thesis Chapters by Justine Gain
Online, 2024
Issu de mes recherches doctorales, ce catalogue en ligne répertorie l'ensemble des œuvres dessiné... more Issu de mes recherches doctorales, ce catalogue en ligne répertorie l'ensemble des œuvres dessinées de Jean-Baptiste Plantar (1790-1879) conservées à la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris, au musée Carnavalet - Histoire de Paris, au musée national des châteaux de Versailles et Trianon, au musée national du château de Fontainebleau, ainsi qu'au Getty Research Institute, à Los Angeles. Le catalogue se compose de différentes notices explicatives visant à identifier avec précision les travaux de ce sculpteur.
Mémoire de master II de l'École du Louvre, 2018
Jean-Baptiste Plantar, l’ornement dans les Galeries historiques de Versailles, mémoire de master ... more Jean-Baptiste Plantar, l’ornement dans les Galeries historiques de Versailles, mémoire de master II, sous la direction de M. Lionel Arsac, conservateur chargé des sculptures au musée national des châteaux de Versailles et Trianon, et de M. Jean-Michel Leniaud, directeur d'études à l'École Pratiques des Hautes Études, Paris, École du Louvre, 2018
Conference Presentations by Justine Gain
Ce colloque a pour ambition de contribuer à établir un dialogue entre deux champs de recherche pa... more Ce colloque a pour ambition de contribuer à établir un dialogue entre deux champs de recherche particulièrement dynamiques, mais n’ayant été jusqu’ici que trop peu mis en relation l’un avec l’autre : l’histoire de l’ornement, et l’histoire des professions liées à l’architecture et à la construction. Par ce rapprochement, il s’agit ainsi de tendre vers une meilleure compréhension des « mondes professionnels » de l’ornement architectural. Tout type de second œuvre permettant de développer la sensibilité à l’architecture est susceptible d’être étudié : de la sculpture ornementale aux parquets, marbreries ou vitraux, en passant par la peinture murale, ou encore la mosaïque. Si les problématiques liées aux formes, fonctions et usages de l’ornement – notamment dans un monde marqué de façon croissante par des impératifs de sobriété et de durabilité – pourront être abordées de façon subsidiaire, elles ne constitueront néanmoins pas le cœur des interventions.
Résolument positionné du côté des acteurs et des pratiques professionnelles, cet événement invite à interroger prioritairement le spectre des professionnels de l’ornement (leur formation, l’évolution de la réglementation des différentes professions concernées et du statut social qui leur était associé…) ; les rapports entre métiers (répartition des tâches et division du travail, cas de collaborations…) ; ainsi que l’organisation des chaînes de production et les conditions de réalisation concrète des ornements.
Aucune limite géographique n’est fixée. Sur le plan chronologique, le choix s’est porté sur l’époque contemporaine élargie, englobant le XVIIIe siècle et s’étendant jusqu’à nos jours. Cette longue période est marquée par trois phénomènes cruciaux : le développement de la production en série des ornements ; des changements importants dans les mondes professionnels de l’architecture et de la construction ; et enfin, de fréquents débats autour de l’ornementation.
En partenariat avec la Fondation Napoléon, le Centre André Chastel et l’école doctorale 124 (Sorbonne Université), le laboratoire HiCSA et l’école doctorale 441 (université Paris 1 Panthéon Sorbonne), le laboratoire Histara et l’école doctorale 472 (EPHE)
Comité d’organisation
Justine Gain (EPHE ∕ École du Louvre), Elsa Jamet (Centre André Chastel), Lucie Prohin (INHA)
Comité scientifique
Basile Baudez (université de Princeton), Jean-François Bédard (université de Syracuse), Jérémie Cerman (CREHS, université d’Artois, Arras), Sophie Derrot (INHA), Jean-Philippe Garric (HiCSA, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Valérie Nègre (IHMC, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Estelle Thibault (AUSser, école nationale supérieure d’architecture ParisBelleville), Ariane Varela Braga (université nationale d’enseignement à distance, Madrid)
Parmi les intervenants et les intervenantes pressentis
Carla Bodo (université du Québec, Montréal), Tomislav Bosnić (centre Cvito Fisković, Institute of Art History in Zagreb, Split), Lauren Cannady (chercheuse indépendante), Christine Casey (Trinity College Dublin / ERC Advanced Grant “STONE-WORK”), Thibaud Dapremont (centre André-Chastel), Turner Edwards (INHA), Hakima El Kaddioui (architecte, membre associée du laboratoire AHTTEP, UMR AUSser), Sophie Fradier (LRA, ENSA Toulouse), François Gilles (sculpteur-ornemaniste / laboratoire DYPAC, UVSQ Paris-Saclay), Laura Girard (LRA, ENSA Toulouse), Claire Le Thomas (chercheuse indépendante), Conor Lucey (University College Dublin), Nikos Magouliotis (École polytechnique fédérale de Zurich), Gilles Maury (ENSAPLille – université de Lille), Juan Pablo Pekarek (INHA), Antoine Picon (Harvard Graduate School of Design, Cambridge), Daniel Lucas Teijeiro Mosquera (université de Saint-Jacques-de-Compostelle), Benoît Vandevoort (KU Leuven, Louvain), Mercedes Volait (laboratoire InVisu, CNRS / INHA), Freya Wigzell (université de Greenwich)
Les Cahiers de l'École du Louvre, 2024
FR Au xixe siècle, à mesure que l’idée de musée prend forme de manière significative dans le pays... more FR
Au xixe siècle, à mesure que l’idée de musée prend forme de manière significative dans le paysage francilien, apparaissent les premières tentatives en matière de muséographie et de restauration. L’exercice de la biographie d’objets, celle de quatre sculptures féminines en bois alors attribuées à Germain Pilon, permet d’explorer ces phénomènes qui s’entrelacent. Le parcours de ces figures qui soutenaient jadis la châsse de sainte Geneviève, dans l’église parisienne du même nom, illustre autant la pratique muséale d’une époque que son goût croissant pour la Renaissance française. Cette étude se propose d’analyser les pérégrinations du groupe durant le xixe siècle, ainsi que les diverses pratiques qui ont permis son exposition au sein de trois institutions, elles-mêmes capitales dans l’histoire des collections : le musée des Monuments français, le Louvre ainsi que les Galeries historiques de Versailles.
EN
Constructing the taste for the French Renaissance: The peregrinations of Germain Pilon's ladies in the nineteenth century
In the nineteenth century, as the idea of a museum took shape in the Paris region, the first attempts at museography and restoration appeared. An object biography of four wooden sculptures of women attributed to Germain Pilon at the time provides an opportunity to explore these intertwined phenomena. The journey of the figures, which once supported the shrine of Saint Genevieve in the Paris church of the same name, illustrates both the museum practice of an era and its growing taste for the French Renaissance. The aim of this study is to analyse the peregrinations of the group during the nineteenth century, as well as the various practices that enabled it to be exhibited in three institutions that were themselves key players in the history of collections: the Musée des Monuments Français, the Louvre and the History Galleries of Versailles.
The Sculpture Journal, 2023
In the nineteenth century, as European countries reacted to industrialization, art and burgeoning... more In the nineteenth century, as European countries reacted to industrialization, art and burgeoning industries intertwined in a myriad of new ways. From this union, several major changes occurred in building construction, decorative arts and sculpture. The career and oeuvre of Jean-Baptiste Plantar, French ornamentalist and sculptor des Bâtiments du Roi, illustrate the new relationships forged between traditional architectural patterns and industrial artistic production. Despite holding a central role in their establishment, Plantar has been largely unheeded both by his contemporaries and later writers. This article reasserts Plantar’s significance in the creation of a visual – essentially Parisian – landscape in the first half of the nineteenth century.
Ge-Conservación, 2023
From 1833, Louis-Philippe transformed the former royal residence of Versailles into a new museum:... more From 1833, Louis-Philippe transformed the former royal residence of Versailles into a new museum: the Historical Galleries. He gathered collections illustrating national history, from Middle Ages to his reign. To offer a proper setting, the architect Frederic Nepveu chose plaster as the main material of the decoration. And to do so, he hired the official sculptor of the time: Jean-Baptiste Plantar (1790-1879). As any sculptor, he used plaster as a sketch, but above all, he applied it largely in the mural decoration, even in key locations as the Great Battles Gallery and the 1830s Room. Plaster was also employed as a museographical tool to present collections, merged in an ensemble evoking their past eras. More than created an ornamental coherence in the galleries, Plantar’s works demonstrate the flourishing implementation of plaster in official architecture, and the means processed to show it.
Livraisons de l'histoire de l'architecture, 2020
En 1842, Louis-Philippe, roi des Français, perd son fils ainé, Ferdinand-Philippe d’Orléans. Vict... more En 1842, Louis-Philippe, roi des Français, perd son fils ainé, Ferdinand-Philippe d’Orléans. Victime d’un terrible accident Porte Maillot, l’héritier du trône décède dans une modeste demeure, route de la Révolte. En l’honneur du prince, le roi et la reine érigent une chapelle commémorative en lieu et place de l’accident. Les meilleurs artistes sont convoqués pour célébrer la mémoire du prince. La chapelle Saint-Ferdinanrd résiste au temps, à la guerre de 1870 et même aux établissements de divertissement qui pullulent, à la Belle Époque, sur la zone de non aedificandi. Au début du XXe siècle, les héritiers des Orléans décident de protéger la chapelle au titre des Monuments historiques, en raison de son emplacement stratégique, aux portes de la capitale. Pourtant, dans les années 1970, alors que le projet du palais des Congrès de la porte Maillot voit le jour, la chapelle est déplacée, en surplomb du périphérique parisien. Dégradée, elle passe aujourd’hui presque inaperçue derrière l’œuvre monumentale de Guillaume Gillet. La plaque commémorative de l’accident, témoignage négocié lors du déplacement de la chapelle, autrefois lieu de mémoire, est désormais recouvert par l’enseigne Mayo du restaurant de l’hôtel Hyatt.
Château de Versailles, 2019
Online, 2024
Issu de mes recherches doctorales, ce catalogue en ligne répertorie l'ensemble des œuvres dessiné... more Issu de mes recherches doctorales, ce catalogue en ligne répertorie l'ensemble des œuvres dessinées de Jean-Baptiste Plantar (1790-1879) conservées à la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris, au musée Carnavalet - Histoire de Paris, au musée national des châteaux de Versailles et Trianon, au musée national du château de Fontainebleau, ainsi qu'au Getty Research Institute, à Los Angeles. Le catalogue se compose de différentes notices explicatives visant à identifier avec précision les travaux de ce sculpteur.
Mémoire de master II de l'École du Louvre, 2018
Jean-Baptiste Plantar, l’ornement dans les Galeries historiques de Versailles, mémoire de master ... more Jean-Baptiste Plantar, l’ornement dans les Galeries historiques de Versailles, mémoire de master II, sous la direction de M. Lionel Arsac, conservateur chargé des sculptures au musée national des châteaux de Versailles et Trianon, et de M. Jean-Michel Leniaud, directeur d'études à l'École Pratiques des Hautes Études, Paris, École du Louvre, 2018
Ce colloque a pour ambition de contribuer à établir un dialogue entre deux champs de recherche pa... more Ce colloque a pour ambition de contribuer à établir un dialogue entre deux champs de recherche particulièrement dynamiques, mais n’ayant été jusqu’ici que trop peu mis en relation l’un avec l’autre : l’histoire de l’ornement, et l’histoire des professions liées à l’architecture et à la construction. Par ce rapprochement, il s’agit ainsi de tendre vers une meilleure compréhension des « mondes professionnels » de l’ornement architectural. Tout type de second œuvre permettant de développer la sensibilité à l’architecture est susceptible d’être étudié : de la sculpture ornementale aux parquets, marbreries ou vitraux, en passant par la peinture murale, ou encore la mosaïque. Si les problématiques liées aux formes, fonctions et usages de l’ornement – notamment dans un monde marqué de façon croissante par des impératifs de sobriété et de durabilité – pourront être abordées de façon subsidiaire, elles ne constitueront néanmoins pas le cœur des interventions.
Résolument positionné du côté des acteurs et des pratiques professionnelles, cet événement invite à interroger prioritairement le spectre des professionnels de l’ornement (leur formation, l’évolution de la réglementation des différentes professions concernées et du statut social qui leur était associé…) ; les rapports entre métiers (répartition des tâches et division du travail, cas de collaborations…) ; ainsi que l’organisation des chaînes de production et les conditions de réalisation concrète des ornements.
Aucune limite géographique n’est fixée. Sur le plan chronologique, le choix s’est porté sur l’époque contemporaine élargie, englobant le XVIIIe siècle et s’étendant jusqu’à nos jours. Cette longue période est marquée par trois phénomènes cruciaux : le développement de la production en série des ornements ; des changements importants dans les mondes professionnels de l’architecture et de la construction ; et enfin, de fréquents débats autour de l’ornementation.
En partenariat avec la Fondation Napoléon, le Centre André Chastel et l’école doctorale 124 (Sorbonne Université), le laboratoire HiCSA et l’école doctorale 441 (université Paris 1 Panthéon Sorbonne), le laboratoire Histara et l’école doctorale 472 (EPHE)
Comité d’organisation
Justine Gain (EPHE ∕ École du Louvre), Elsa Jamet (Centre André Chastel), Lucie Prohin (INHA)
Comité scientifique
Basile Baudez (université de Princeton), Jean-François Bédard (université de Syracuse), Jérémie Cerman (CREHS, université d’Artois, Arras), Sophie Derrot (INHA), Jean-Philippe Garric (HiCSA, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Valérie Nègre (IHMC, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Estelle Thibault (AUSser, école nationale supérieure d’architecture ParisBelleville), Ariane Varela Braga (université nationale d’enseignement à distance, Madrid)
Parmi les intervenants et les intervenantes pressentis
Carla Bodo (université du Québec, Montréal), Tomislav Bosnić (centre Cvito Fisković, Institute of Art History in Zagreb, Split), Lauren Cannady (chercheuse indépendante), Christine Casey (Trinity College Dublin / ERC Advanced Grant “STONE-WORK”), Thibaud Dapremont (centre André-Chastel), Turner Edwards (INHA), Hakima El Kaddioui (architecte, membre associée du laboratoire AHTTEP, UMR AUSser), Sophie Fradier (LRA, ENSA Toulouse), François Gilles (sculpteur-ornemaniste / laboratoire DYPAC, UVSQ Paris-Saclay), Laura Girard (LRA, ENSA Toulouse), Claire Le Thomas (chercheuse indépendante), Conor Lucey (University College Dublin), Nikos Magouliotis (École polytechnique fédérale de Zurich), Gilles Maury (ENSAPLille – université de Lille), Juan Pablo Pekarek (INHA), Antoine Picon (Harvard Graduate School of Design, Cambridge), Daniel Lucas Teijeiro Mosquera (université de Saint-Jacques-de-Compostelle), Benoît Vandevoort (KU Leuven, Louvain), Mercedes Volait (laboratoire InVisu, CNRS / INHA), Freya Wigzell (université de Greenwich)