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Papers by Witor Belchior

XVI. Três autores que tocaram no tema do Reinado Social de Jesus Cristo e, quer direta ou indiret... more XVI. Três autores que tocaram no tema do Reinado Social de Jesus Cristo e, quer direta ou indiretamente, na liberdade religiosa e de cultos.

"RESPOSTA DO PADRE J-M GLEIZE AO PADRE BASILE DO BARROUX: UMA CONTINUIDADE IMPOSSÍVEL"

Prólogo 1-O Blog da revista La Nef publicou em sua página de 5 de julho de 2014 um estudo do Padr... more Prólogo 1-O Blog da revista La Nef publicou em sua página de 5 de julho de 2014 um estudo do Padre Basile Valuet, OSB, intitulado "Os mal-entendidos de Ecône sobre a liberdade religiosa" (abreviado aqui como BV2). Este estudo é uma resposta ao artigo publicado na edição de março de 2014 do Courrier de Rome, intitulado: " Dignitatis humanae é contrário à Tradição" (abreviado aqui como CDR).

Vatican II et « l'herméneutique de la continuité » Le cas crucial de la liberté religieuse par l'... more Vatican II et « l'herméneutique de la continuité » Le cas crucial de la liberté religieuse par l'abbé Bernard Lucien parution dans Sedes Sapientiae n° 96 La question de la liberté religieuse au concile Vatican II et sa situation par rapport à l'enseignement antérieur du magistère ont fait couler, dans tous les secteurs de l'Eglise, beaucoup d'encre. Un fait intéressant à relever, pour les auteurs de la mouvance dite « traditionaliste », est le suivant. Quatre théologiens de cette famille de pensée avaient successivement abordé l'étude de ce problème en partant du point de vue que Vatican II présentait une contradiction formelle avec le magistère antérieur de l'Eglise. Après des études approfondies et par des chemins différents-qui s'opposent parfois-, ils ont finalement abouti à la conclusion que, malgré les importantes déficiences de la déclaration Dignitatis humanae qui expose la doctrine sur ce point dans le dernier concile, une telle contradiction n'existait pas. Il s'agit du révérend Brian Harrison (1), des rédacteurs de Sedes Sapientiae (2), du père Basile Valuet (3) et de l'abbé Bernard Lucien. Nous écrivions pour notre part, rejoignant certaines des vues de l'abbé Victor-Alain Berto : « On peut dire en définitive que la déclaration est faible, équivoque, dangereuse, mais non pas erronée en son enseignement principal (4). Faible dans ses considérants : certains sont très conditionnés par le contexte historique et culturel et par une vision assez irréaliste, oublieuse des conditions concrètes de l'exercice de la liberté affaiblie par le péché, comme de la perversité de certaines forces devant lesquelles les faibles sont sans défense. Equivoque en plusieurs de ses expressions : à tel point que, malgré les explications du Rapporteur, on l'invoque pour justifier l'émancipation des théologiens à l'égard du magistère. Dangereuse surtout parce que ses silences l'ouvrent à l'interprétation indifférentiste. Mais, en son affirmation centrale (…) Dignitatis humanae ne contredit pas le magistère antérieur et présente même un développement homogène de la doctrine sur l'ordre social » (5). Et nous appelions à mener un « combat théologique » pour la juste interprétation de l'enseignement central et la correction des déficiences de Dignitatis humanae. Les débats sur la Tradition dans l'Eglise et les dégâts du laïcisme dans la société confirment l'opportunité de cet appel lancé il y a dix-huit ans. A la suite du discours du Saint Père du 22 décembre 2005, l'abbé Bernard Lucien ouvre de nouveau ce dossier toujours brûlant, en exposant sa position. e discours maintenant célèbre de Sa Sainteté le pape Benoît XVI à la Curie romaine du 22 décembre 2005 (6) appelle tous les fidèles à recevoir le concile Vatican II non pas selon une herméneutique de rupture et de discontinuité avec l'enseignement magistériel antérieur mais dans un esprit de continuité et d'harmonie ouvert aux développements et aux réformes légitimes. Qui s'est penché avec attention sur les textes du dernier concile oecuménique n'ignore pas que si de L Fraternité Saint-Vincent-Ferrier Sedes Sapientiae www.chemere.org Vatican II et « l'herméneutique de la continuité ». Le cas crucial de la liberté religieuse Abbé Bernard Lucien-Sedes Sapientiae n° 96 2

Petite suite sur la liberté religieuse et Vatican II par l'abbé Bernard Lucien parution dans Sede... more Petite suite sur la liberté religieuse et Vatican II par l'abbé Bernard Lucien parution dans Sedes Sapientiae n° 97 Au nombre des problèmes posés par la déclaration du concile Vatican II sur la liberté religieuse Dignitatis humanae (DH), il y a ceux-ci : son enseignement central est-il infaillible ou seulement proposé de façon directe par le magistère simplement authentique ? Un fidèle catholique peut-il suspendre son assentiment à cet enseignement, voire le refuser, et à quelles conditions ? Des théologiens, même traditionnels, divergent sur la réponse à la première question. La controverse entre les abbés Christophe Héry (1) et Bernard Lucien permet de réfléchir à la deuxième question, dont l'enjeu est important pour l'attitude du fidèle face à un texte magistériel en général, et pour le statut de Vatican II en particulier. Il importe de souligner que la question évoquée dans cette controverse est loin d'épuiser le problème. Un texte magistériel comporte ce qui est enseigné « premièrement et par soi », mais aussi tout l'appareil des considérants et des explications (2). La qualité de ceux-ci influe sur une juste interprétation de l'enseignement central, et peut la faciliter ou la compromettre. Dignitatis humanae présente de lourdes déficiences sous ce rapport, déficiences signalées dès le début par les membres du Coetus internationalis patrum (qui regroupait, à Vatican II, les pères conciliaires de tendance traditionnelle), et de plus en plus reconnues aujourd'hui dans divers horizons théologiques et ecclésiaux.

In the course of the last few years Fr. Martin Rhonheimer and Prof. Thomas Pink have been engaged... more In the course of the last few years Fr. Martin Rhonheimer and Prof. Thomas Pink have been engaged in an important debate on the teaching of the Second Vatican Council on religious freedom in its declaration Dignitatis Humanae. 1 The context of this debate is Benedict XVI's call for a 'hermeneutic of reform', rather than a 'hermeneutic of discontinuity and rupture', in the interpretation of that council. Fr. Rhonheimer presents the council's teaching on religious freedom as an example of reform. He describes it as rejecting the teaching of the 19 th century popes on the right to religious freedom and the state's duties towards the true religion, but he denies that this rejection is a case of discontinuity, because these teachings do not involve 'an explicit assertion of wanting to present a definitive doctrine in a matter of faith and morals'; 2 they are at the most 'a question concerning an aspect of the social doctrine of the Church.' 3 Prof. Thomas Pink has criticised Fr. Rhonheimer, and presented his own interpretation of Dignitatis Humanae. This interpretation is based on the views of Suarez on coercion in matters of religion. Suarez held that the Church is the sole authority with jurisdiction over deeds that are opposed to religion and the salvation of the soul; the civil magistrate may only punish crimes that are contrary to the natural ends of the state, which are public peace and human justice. The Church has this jurisdiction over all validly baptised Christians in virtue of their baptism, whether they are Catholics or not. This jurisdiction entitles her to coerce Christians into carrying out the commitments they made at their baptism. The commitments that are rightful objects of coercion include the commitment to internal belief as well as to outward profession of the faith. Suarez points out that although punishment cannot

This volume contains the papers delivered at a colloquium on Vatican IPs 'Declaration on Religiou... more This volume contains the papers delivered at a colloquium on Vatican IPs 'Declaration on Religious Liberty', Dignitatis humanae, held in Norcia, Italy, in the autumn of 2015, on the occasion of the 50th anniversary of that document's promulgation. The colloquium was organised by the Dialogos Institute, and was attended by His Eminence Cardinal Raymond Burke, whose opening address is the first paper in this collection. The purpose of the colloquium was to understand the Church's teaching on religious liberty: to investigate the scope and limits of this right, and the 'the moral duty of men and societies toward the true religion and toward the one Church of Christ9.1 We did not desire either to praise or to bury that most controversial document of the 21st ecumenical council, but rather to grasp its meaning and its degree of authority by studying it in a properly theological manner, that is, in conjunction with other relevant magisterial documents and in the light of the sources of revelation. In illo tempon... Our colloquium opened on 30th October 2015, precisely one year before the earthquake that destroyed all the churches in Norda, and made many of its houses uninhabitable. The basilica of St Benedict, built over die place of his birth, is today a pile of rubble. The monks have moved out of the town, and are living on the side of the mountain that overlooks it Simple, but permanent, structures have been built there, serving as oratory and living quarters. There they intend to remain, praying for the inhabitants of Norda, and for the world; and they hope in time to build a monastic church, and a monastery large enough to house a number of monks greater than would have been possible in their old site in the town. After all, if our home collapses, be it one monastery or the whole of Christendom, what else shall we do but build it again? Magna gloria domus istius novissimaplus quam prima.

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