L’apport de l’archéologie des charpentes pour l’étude historique et architecturale de l’église de la Trinité de Fécamp (original) (raw)
2002, Tabularia : Sources Écrites de la Normandie Médiévale, Université de Caen, Etudes
Sources écrites des mondes normands médiévaux Guillaume de Volpiano : Fécamp et l'histoire normande | 2003 À propos des articles de K. Brockhaus, « La genèse architecturale de l'église de la Trinité… » et de L. Grant, « Fécamp et l'architecture en Normandie ». L'apport de l'archéologie des charpentes pour l'étude historique et architecturale de l'église de La Trinité de Fécamp About K. Brockhaus' article, "Architectural genesis of the church of Holy Trinity…" and L. Grant's, "The abbey of Fecamp and architecture in Normandy". The contribution of archaeology of wooden frameworks to historical and archaeological study of the church of the Holy Trinity of Fécamp
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L’évolution des charpentes d’églises du Val d’Oise, du XIe au XXe siècle
Revue archéologique du Centre de la France, Tome 47, 2008
De 2003 à 2006, un inventaire des charpentes des églises du Val d'Oise a été réalisé dans le cadre du SDAVO afin de définir les lignes générales de l'évolution des structures et des techniques de charpenterie du XI e au XX e s. Cet inventaire a permis d'observer 150 charpentes, toutes époques confondues, et d'étudier plus précisément celles qui apparaissaient comme les plus représentatives de chaque type identifié et de chaque période. Si plusieurs charpentes romanes inédites ont été relevées, celles-ci demeurent à l'état de réemploi et appartiennent à un répertoire relativement connu. Les charpentes gothiques du premier tiers du XIII e s. sont nombreuses (12 % du corpus) et pour la plupart inédites. Plusieurs d'entre elles témoignent de la parfaite maîtrise du concept des fermes et pannes vers 1230 et de sa large diffusion dans l'architecture religieuse en Île-de-France dès cette période, au détriment des chevrons-formant-fermes qui survivent jusqu'au XVI e s. uniquement pour des voûtes. Les charpentes post-médiévales dénoncent une baisse de la qualité des bois d'oeuvre qui s'accompagnent, à l'approche du XIX e s., d'une perte des compétences techniques en charpenterie.
2020
Ce rapport porte sur l'étude archéologique et structurelle de la charpente du choeur de la cathédrale Notre Dame de Paris. L'objectif de cette étude est de caractériser la charpente d'origine, d'en comprendre le fonctionnement, d'identifier les phases de construction et de réparations et, à travers ces dernières, de connaître les pathologies et les défauts de conception de la structure du XIIIe siècle. Ce travail aborde aussi les questions du chantier médiéval, du levage, des bois d'oeuvre, de leur façonnage et des datations dendrochronologiques qui amènent à reconsidérer l'évolution des campagnes de construction de la cathédrale. Ce travail se base sur l'analyse des relevés de Rémi Fromont et Cédric Trentesaux réalisés en 2015, des centaines de photos collectées et des analyses dendrochronologiques des années 1991-1996. Il a bénéficié de l'aide d'Olivier Girardclos (CNRS, UMR6249) pour la réinterprétation des analyses dendrochronologiques, et de Kévin Jacquot (MCF, UMR MAP 3495) pour la vectorisation des relevés et des coupes extraites des scans. Cette étude vient donc en complément des travaux de R. Fromont et C. Trentesaux qui ont essentiellement alimentés cette recherche. Ce rapport intermédiaire sera complété d'ici l'été 2020 par l'étude de la charpente de la nef. Une courte présentation de celle-ci est néanmoins présente en fin de rapport. Pour une lecture rapide du rapport, les points essentiels sont mis en gras. La dénomination des pièces de charpente est représentée sur la fig. 21 (ferme C07) et un glossaire est présent à la fin du rapport.
2017
Étude archéologique des charpentes et des couvertures Rapport d'étude archéologique commandité par la DRAC Normandie-Service régional de l'Archéologie autorisation : 28-2016-017 par Sylvain Aumard et Frédéric Épaud (CNRS) avec les collaborations de Xavier d'Aire (CEM) et Christophe Perrault (CEDRE) Centre d'études médiévales Saint-Germain 2016 Lisieux (14), cathédrale Saint-Pierre : charpentes et couvertures-CEM, 2016 1 SOMMAIRE * Fiche signalétique p. * Générique de l'opération p. * Localisation du site p. * Extrait cadastral p. * Autorisation de fouille p. * Avis de la CIRA p. * Résultats p. 1-Partie introductive (F. Épaud, S. Aumard) 1.1-Le contexte architectural et les recherches antérieures p. 1.2-Charpentes et couvertures : les acquis avant 2016 p. 1.3-Problématiques et circonstances de l'étude p. 1.4-Proposition d'étude : descriptif et moyens mis en oeuvre p. 2-La charpente du déambulatoire (F. Épaud)
2003
Le présent rapport constitue une nouvelle étape dans le projet "Anciennes charpentes du Val-d'Oise" défini avec Anne Dietrich en Novembre 2001. Le constat initial du projet montrait que des études ponctuelles (église de Montreuil-sur-Epte, de Gonesse, d'Ennery et grange abbatiale de Maubuisson) avaient été menées sans réelle ambition de définition et d'exécution d'une politique cohérente d'analyse des combles anciens sur le département du Val-d'Oise. Ces études, menées par différents chercheurs, ont donné lieu à des articles ou rapports qui montrent bien, chacun, l'intérêt qu'il y a à évaluer et étudier de manière systématique les charpentes anciennes sur le territoire départemental qui semblait particulièrement riche de ce point de vue. A partir de ce constat et suite à un premier travail d'inventaire bibliographique d'Anne Dietrich, une liste de bâtiments remarquables a été établie. Cette liste recense, de manière non exhaustive, les édifices susceptibles de receler dans leurs combles des éléments de charpenterie présentant un intérêt particulier pour l'histoire et l'archéologie. Au total ce sont 68 batîments, répartis sur 63 communes, qui ont été retenus (fig. A). Frédéric Epaud, au cours de deux mois de terrain à la fin de l'année 2003, a pu visiter, totalement ou partiellement, les combles de 16 des monuments retenus en 2001 par Anne Dietrich. Il a également visité 7 édifices, répartis sur 6 communes, qui ne figuraient pas dans l'inventaire dressé initialement 1 (fig. B). Ces 7 édifices sont aussi riches d'enseignements que les 16 autres. Ceci prouve que ce sont l'ensemble des monuments médiévaux et modernes (principalement des églises) qui doivent être visités afin d'obtenir un panorama aussi exhaustif que possible du potentiel archéologique et historique des charpentes anciennes du Val-d'Oise. Les perspectives offertes à partir de ce travail d'inventaire sont multiples. Ainsi cette étude permet :-de faire prendre conscience de l'ancienneté insoupçonnée de certains combles,-de cibler les combles des bâtiment présentant un intérêt particulier : ancienneté des bois, techniques de charpenterie particulières.-de révéler cette partie traditionnellement invisible des monuments. De plus,elle présente un intérêt pour un très large public :-d'élus en charge du patrimoine local,-de professionnels (archéologues, responsables du patrimoine, architectes...), A plus long terme le contenu de ce rapport peut être vulgarisé à destination du grand public pour faire partager au plus grand nombre les nouvelles connaissances sur les combles de ces 23 édifices.
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