Le Sujet et les Je(ux) de Discours dans L\u27Oeuvre de Brian Friel (original) (raw)

Présentation générale du volume Le Sujet

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2003

CO-ENONCIATION ET CO-LOCUTION. ARTICULATIONS Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER Sujet énonciateur et sujet de l'énoncé dans la relation d'interlocution fictive .

Le Sujet et les frontieres de la psychologie

Presentation at the "Soutenance d'habilitation," December 2001, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Published in Pour l’Histoire des Sciences de l’Homme [Bulletin de la Société française pour l’histoire des sciences de l’homme], n° 23, 2002, 40-50.

Paroles Éthyliques du discours au sujet

Cette thèse a pour objet d'étude les productions langagières d'alcooliques "de comptoir". Dans un premier temps, nous nous attachons à décrire ce qui fait dans nos communautés la "culture de l'alcool'" et les pratiques auxquelles elle donne lieu. Cette division a pour objectif de rendre possible la prise de distance avec nos propres préjugés en même temps qu'elle permet de découvrir (d'une manière apriorique que devra contester la démarche empirique) l'alcoolisme et l'alcoolique. Dans une deuxième division (celle-là même qui constitue la partie centrale, capitale de la thèse), nous nous consacrons à l'analyse des particularités des "paroles éthyliques". Nous nous attachons aux thèmes récurrents, aux récits, à la subjectivité et aux conversations éthyliques, avant de proposer une synthèse qui se veut un fil conducteur entre les phénomènes observés dans ces différentes approches. Les caractéristiques discursives, énonci...

Husserl et l'institution du sujet

Giornale di metafisica, 2022

The article aims to analyse the Husserlian concept of Stiftung (institution) in its relation to the genesis of the subject. Husserlian analyses indicate that the genesis of experience is structured according to the polarity between a «first time» (that establishes a new sense) and a subjective habitus as a horizon of possible repetitions and transformations. On the basis of these Husser-lian analyses, it is possible to state that there is thus an «institution of the subject» in the ob-jective sense of the genitive: the subject itself is formed by this anonymous instituting move-ment. However, this conclusion contrasts with the transcendental idealism as general frame-work of Husserlian phenomenology. The article then attempts to articulate this thesis along three directions: the facticity of the first time; the horizon of repetitions and differences; the genesis of the subject by feedback from the institution.

Sujet, infini et mort chez E. Husserl et E. Levinas

This paper aims at a reflection upon Emmanuel Levinas' phenomenological concept of infinity, insofar as it concerns subjectivity and self-experience. In this regard the originality of Levinas consists in reversing the metaphysical meaning of infinity when applied to a subject: either this concept was reserved for the potential openness of an “absolute I” or it was used to denote God's actual infinity. But Levinas conceives infinity in terms of an ethical experience of a passive self-transcendence, of an exposure to the absolute otherness of the other. The experience of the own mortality underlies this experience of the infinity: I know that I'm mortal not just because I know I will die. I make the experience that I'm mortal because my responsibility for the other can go up to give my life for him. Seemingly there's nothing alike in Husserl's phenomenology of an endless living present and the transcendental I that belongs to it. However I will argue that Husserl knows about a paradoxical presentiment of death that doesn't have to mean certitude about being or non-being, but rather an inquietude questioning a pure immanent continuity of the “I”.

Sujet et Temps Dans Le Corpus Des Grammaires Françaises (Xviie–Xviiie S.)

Letras, 2014

L'article montre comment les grammaires du français des XVIIe et XVIIIe introduisent la question du sujet dans la langue à partir de leur théorisation du temps linguistique. Plus précisément l'analyse porte sur le modèle de sémantique temporelle exposé dans la Grammaire générale et raisonnée (1660), et sur les procédures formalisées d'analyse du temps que les auteurs de ce texte célèbre inaugurent, dont une des caractéristiques est l'introduction de la notion de 'point de vue' du sujet sur le procès.