Léger, Thierry & Fredrik Westerlund (dirs.), (2016) "La violence dans les premières oeuvres. Les cahiers J.-M. G. Le Clézio (original) (raw)

« La transfiguration de la violence dans l’œuvre de Jaime Ávila, Juan Manuel Echavarría, Oscar Muñoz et Miguel Ángel Rojas », Première journée de l’Ecole Doctorale d’Histoire de l’Art : « Les mésaventures de Vénus : les notions de beauté du XIXe et XXe siècle. Editions de la Sorbonne, Paris (2009)

En effet, la Colombie est le théâtre d'un conflit armée complexe 1 qui dure depuis plus d'un demi-siècle 2 . Différents acteurs sont au coeur de ce conflit (l'armée, la guérilla et les paramilitaires). Les affrontements qui dans leur majorité ne frappent pas directement l'ennemi mais la population, notamment dans la frange rurale, ont conduit les analystes à qualifier de guerre civile non déclarée le conflit du pays. Cette violence se trouve à l'origine de différents traumatismes, comme celui des déplacés. Il s'agit des paysans, des Indiens mais aussi des populations issues des communautés noires, obligés d'abandonner leurs terres, alimentant les ceintures de misère des grandes villes.

Dominique Fougeyrollas-Schwebel, Helena Hirata et Danièle Senotier (dir.) « La violence, les mots, le corps », Cahiers du genre, n° 35, Paris, L’Harmattan, 2003, 282 p

Recherches féministes, 2000

« La transfiguration de la violence dans l’œuvre de Jaime Ávila, Juan Manuel Echavarría, Oscar Muñoz et Miguel Ángel Rojas », Première journée de l’Ecole Doctorale d’Histoire de l’Art : « Les mésaventures de Vénus : les notions de beauté du XIXe et XXe siècle. INHA, Paris (2006)

En effet, la Colombie est le théâtre d'un conflit armée complexe 1 qui dure depuis plus d'un demi-siècle 2 . Différents acteurs sont au coeur de ce conflit (l'armée, la guérilla et les paramilitaires). Les affrontements qui dans leur majorité ne frappent pas directement l'ennemi mais la population, notamment dans la frange rurale, ont conduit les analystes à qualifier de guerre civile non déclarée le conflit du pays. Cette violence se trouve à l'origine de différents traumatismes, comme celui des déplacés. Il s'agit des paysans, des Indiens mais aussi des populations issues des communautés noires, obligés d'abandonner leurs terres, alimentant les ceintures de misère des grandes villes.