Les troupes délite dans la documentation de Mari d'époque péléo babylonienne HIMA 9 p. (original) (raw)
2020, Revue internationale d'Histoire militaire ancienne
HiMA d'Histoire Militaire Ancienne Dossier : Les troupes d'élite et l'État dans l'Antiquité Jean-Christophe Couvenhes-Note liminaire : les troupes d'élite et l'État dans l'Antiquité Philippe Abrahami-Les troupes d'élite dans la documentation de Mari d'époque paléo-babylonienne Pierre Tallet-À l'origine des armées pharaoniques : les troupes égyptiennes de l'Ancien Empire Christophe Batsch-Les guerriers du roi en Israël ancien. Mercenaires, gibborim (preux), fils de lumière Gerbert-Sylvestre Bouyssou-La garde du tyran grec, un monopole de la violence illégitime, vii e-i er siècles avant J.-C. Jean-Nicolas Corvisier-Le bataillon sacré à l'épreuve des sources littéraires : institution civique ou nécessité militaire ? Denis Knoepfler-Des kryptoi athéniens à la krypteia spartiate : un nouveau décret de Rhamnonte et un témoignage littéraire méconnu (Plutarque, Genio Socratis, 34, Moralia, 598e) Jean-Christophe Couvenhes-Tarantinoi, hipparchoi, tarentinarques, tarantinarchia de l'époque hellénistique (iv e-i er siècles av. J.-C.) Catherine Wolff-Les extraordinarii Bernard Legras-Les troupes spécialisées de Cléopâtre VII : la cavalerie de la garde royale d'Alexandrie Philippe Leveau-Les gardes du corps des rois de Maurétanie, imitation de la cour de Rome et témoignage d'un projet politique Giusto Traina-Machiavel, Plutarque et les cataphractes de Tigrane d'Arménie Maxime Petitjean-Cataphractaires et clibanaires : troupes de choc ou cavalerie d'apparat de la cour impériale ? (iii e siècle-v e siècle après J.-C.
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La sécurité de la Maurétanie césarienne était d'ordinaire confiée à une garnison permanente composée d'auxiliaires (ailes et cohortes), à bien distinguer des renforts envoyés pendant de grandes révoltes Recensement des divinités attestées. Difficulté à aborder la religion des soldats à travers la seule épigraphie.
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New administrative documents from the end of the šakkanakkus' period (19 th century BC) allowed us to better understand the use of MAŠ (1/2) and IGI.4(diš) (1/4), and to identify new graphemes AŠ and AŠ.AŠ to express the fractions 1/3 and 2/3. Like MAŠ and IGI.4(diš), the graphemes AŠ and AŠ.AŠ are numeric logograms that always precede the item they quantify. These graphemes for the fraction 1/3 and 2/3 do not have any parallel in contemporary Mesopotamian traditions. Are these graphemes an innovation or a legacy from an older tradition ? As the graphic tradition of the end of the šakkanakkus' period has many archaic features, our purpose was to examine the graphemes for these fractions in the earlier traditions of the third millennium (Early Dynastic and Old Akkadian Periods) in northern and southern Mesopotamia. A relationship to graphemes SA 10 ×AŠ and SA 10 ×AŠ.AŠ expressing 1/3 GIN 2 and 2/3 GIN 2 in the southern Mesopotamian texts dated to EDIII seems possible.
P. Butterlin et al. (eds.), Mari – Ni est, ni ouest. Actes du colloque à Damas 2010, Syria supplément 2, 2014
Soixante-quinze années de découvertes archéologiques à Mari sont sans aucun doute une date à célébrer, car ce site contribue de façon essentielle à notre compréhension de la culture du Proche-Orient du III e et du début du II e millénaire 2 . Avant que les découvertes archéologiques dans la région de barrages du lac Assad, dans les années 1970, et du lac Tishrin, dans les années 1990, n'aient été effectuées, la section septentrionale du moyen Euphrate 3 constituait une zone largement inconnue, Tell Ahmar et Karkémish mis à part. Les contacts de Mari avec cette région ont été par conséquent moins étudiés que ceux avec la Mésopotamie du Sud. Ceci apparaît sur la carte qui illustre les relations de la Ville II de Mari, la fig. 100 du livre fondamental sur Mari de J.-Cl. Margueron 4 (fig. 5).
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2019 a « Mari et l’histoire militaire mésopotamienne : du temps long au temps politico-militaire »,
dans M. d’Andrea, M.G. Micale, D. Nadali et S. Pizzamenti et A. Vacca (dir.), Pearls of the Past, Studies on Near eastern Art and Archaeology in honour of Frances Pinnock, marru 8, Zaphon, Münster, p. 109-138. , 2019
L'histoire militaire de la Mésopotamie est un mal aimé de la bibliographie et de l'historiographie non seulement de la Mésopotamie ancienne mais aussi de l'histoire militaire, en dehors de la période néo-assyrienne. C'est là un singulier paradoxe : rares sont les manuels généraux qui consacrent un chapitre entier à son histoire militaire. Naturellement, de longs passages sont consacrés à la guerre sumérienne et aux relations politiques conflictuelles entre les « cités Etats », agrémentés d'analyses sur le conflit entre Umma et Lagash ou de commentaires sur l'étendard d'Ur. L'étude classique de Cooper sur le conflit entre Umma et Lagash 1 a très largement figé la discussion sur la guerre sumérienne, une guerre entre Cité Etats agraires.
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