Charpentier, Transfige dulcissime H251. Motet. Édition de Louis Castelain. (original) (raw)

Charpentier, Ave verum pour un reposoir H329, H523. Édition de Louis Castelain.

Éditions du Centre de musique baroque de Versailles, 2012

L’Ave verum [H.329&523] de Marc-Antoine Charpentier, composé pour accompagner la procession de la Fête-Dieu de 1683, est l’un des très rares exemples au XVIIe siècle de motets pour soliste ayant un effectif orchestral fourni, avec notamment des parties intermédiaires (alto), comme cela se pratique plutôt, habituellement, dans le grand motet. Ce motet est écrit pour 3 voix solistes : 2 dessus (soprano) et basse. L’orchestre comprend 2 flûtes allemandes (traversières), 1 basse de flûte à bec, des violons divisés, haute-contre et taille de violon (altos) et une partie de basse continue (basse de violon, orgue et clavecin). L'Ave verum pour un reposoir a été recréé par l'ensemble Le Parnasse français lors des Grandes journées Charpentier du Centre de musique baroque de Versailles en 2004. Cette édition du Centre de musique baroque de Versailles, issue de la collection "Les Maîtres du Parnasse français" comporte une introduction historique, le texte latin et sa traduction en français, des notes pour l'interprétation, la partition et des notes critiques.

Charpentier, Ouverture et offertoire pour le sacre d'un évêque H536, H432. Édition de Louis Castelain.

Éditions du Centre de musique baroque de Versailles, 2012

L'ouverture H536 et l'Offertoire H432 ont été composés pour accompagner l'office du sacre d'un évêque, sans doute à l'église Saint-Louis des Jésuites à Paris. L'offertoire a été recréé par l'ensemble Le Parnasse français à Paris, en 2010. Cette édition du Centre de musique baroque de Versailles, issue de la collection "Les Maîtres du Parnasse français" comporte une introduction historique, le texte latin et sa traduction en français, des notes pour l'interprétation, la partition et des notes critiques.

Ahouach de Telouet Extrait Hesperis 1921

Haouach à Telouet En été 'g:w, au cours ,de la harka, faite dans les régions du Dades d ùu Todgha, sous le commandement de Hadj 1'hami Glaoui, pacha de~Iarra kech, nou.; ellmes, pendant ,d{'ux courts séjours il 1'... lollet, l'occasion d'assister à des Iwouacll. Notre intention n'{'st pas, ici, d'évoquer {'n littérateur et en arti~te le pilloresque de ces scènes étranges, ni, en ethnographe, d'en fJréciser la yaleur ou la signification primitiw, mais bien de transcrire les quelques obseryations que nous avons pu prendre, en passant, sur les chants el les danses qui composent ces cérémonies nocturnes. Le haouach est donné par les gens de la casbah et des villages yoisins, à J'occasion d'une solennité quelconque, fète religieuse, épisode de la yie privée ou publique de,s chefs. La cour, irrégulière et montuf'us{" de la maison du caïd Si JJammou, a été soigneusement balayée et arrosée; dans un coin s'élève un tas de broussailles rt de bois qui servira il alimenter un Lrasier. A la tomb,~e de la nuit, arrivent quelquC's hommC's porteurs de grands tambourins, dont «uelquf's-uns sont agrément~s dl' petites cymbales m{~tal liflucs, à la façon dt'S tambours de La~qllo('. Pal' groupes, des fe/lnnes en habits ,de fète C'ntrent dans l'enceinte. EIl1"s ont mis par dessus ieurs caftans dC' teintes violentes-car la mode ors yilles a pénétré jusqu'icines robes d,C' gaze blanche, l'aide il la croire clllpesér, parfoi,s nwucJwtée dC' points de broderie. Sur leur tl~le, ks cheYeux, réunis en chignon, l'ont pris dans lin voile de couleur éclalante qui, laissant les oreillrs il décounrt, descen? sur la nlJ(Iue; un bandeau, plus foncé, à rayures rougC's, vC'rles, violettes, enserre Il' front, s'attache il l'occiput et tombf' jus(lu'aux n,jns oiI il Pf'ut se ll'rmin('r par de longuC's franges. lA' cou cst pris dans les sauvages colliC'rs il J1111~i('urs rang,; de diycr5es longuf'lIr~, ('l'I 1e5 bOIlI.',; d"ll11hre, macéré('s dan5 l'huile,~ont $éparéc's par dt' petil~objf,ts en ilrgt'I1t, dt'~pièces d1' monnaie et ,des blénwnts de menuC' vC'rroterie, fonds de l'allirant étalagr dt's marchands ambulants (l'UI1 tiC'nt encore boutique~ous le porche 111l~me de la cour). Leur face, à la hauteur ùes sourcils épilés, barrée tran5Y€rsale

Lully, Plaude lætare Gallia LWV37. Grand motet. Édition de Louis Castelain.

Éditions du Centre de musique baroque de Versailles, 2013

Le grand motet Plaude lætare Gallia, œuvre de circonstance, fut composé par Jean-Baptiste Lully sur une poésie latine de Pierre Perrin pour le baptême du Grand Dauphin. La création eut lieu le 24 mars 1668 à Saint-Germain-en-Laye. L'œuvre est écrite pour un petit chœur (2 dessus, haute-contre, taille, basse), un grand chœur (dessus, haute-contre, taille, basse-taille, basse) et orchestre à 5 parties. Cette édition du Centre de musique baroque de Versailles, issue de la collection "Les Maîtres du Parnasse français" comporte une introduction historique, le texte latin et sa traduction en français, des notes pour l'interprétation, la partition et des notes critiques.

L 'orchestre de Marc-Antoine Charpentier

Revue de musicologie, 1986

Charpentier par exemple, dans ses Règles de composition, confère une vertu sensuelle précise à chaque tonalité. De même, dans David et Jonathas, les exemples sont abondants : Jonathas (IV,3), désespérément seul, chante à l'heure du choix douloureux en La mineur « tendre et plaintif» ; David, personnage plein de douceur, annonce l'horrible combat (1,2) en Mi mineur «e fféminé, amoureux et plaintif».

Mondonville, Cantate Domino. Grand motet. Édition de Louis Castelain

Centre de musique baroque de Versailles, 2015

Les grands motets de Mondonville représentent l'apogée d'un genre initié par Robert et Dumont, formalisé par Lully et développé par Lalande et ses successeurs. Ces grands motets assurèrent le succès à Mondonville pendant plus de vingt ans au Concert Spirituel et à la Chapelle Royale. Cette édition du Centre de musique baroque de Versailles comporte une introduction historique, le texte latin et sa traduction en français, des notes pour l'interprétation, la partition et des notes critiques.

Lully, Miserere LWV25 - Grand motet - Édition de Louis Castelain

Créé pendant la Semaine Sainte de l’année 1663, par les chanteurs de la Chambre et de la Chapelle du Roi, et l’orchestre des Vingt-quatre Violons, le Miserere de Lully fut admiré en son temps et longtemps considéré comme le modèle du grand motet français Le psaume 50, avec ses vingt versets courts aux affects variés offrit à Lully l’occasion de prouver, dans le genre du motet, son talent de dramaturge. À une époque où l’écriture contrapuntique dominait encore la musique sacrée, les contrastes dramatiques introduits par Lully, en usant de tous les artifices d’écriture permis par le double-chœur, représentèrent une véritable nouveauté en France. Cette partition peut être interprétée par différents effectifs vocaux et orchestraux. Au minimum, il faut un petit chœur de 6 solistes (2 dessus, 1 bas-dessus, 1 haute-contre, 1 taille, 1 basse), un grand chœur à 5 voix (dessus, haute-contre, taille, basse-taille, basse), un orchestre à cordes, et un orgue positif. Cette édition du Centre de musique baroque de Versailles comporte une introduction historique (FR/EN), le texte latin et sa traduction (FR/EN), la partition et un appareil critique (FR/EN). La réduction clavier et le matériel du Miserere sont disponibles chez le même éditeur.

Mondonville, Nisi Dominus. Grand motet. Édition de Louis Castelain.

Éditions du Centre de musique baroque de Versailles, 2015

Les grands motets de Mondonville représentent l'apogée d'un genre initié par Robert et Dumont, formalisé par Lully et développé par Lalande et ses successeurs. Ces grands motets assurèrent le succès à Mondonville pendant plus de vingt ans au Concert Spirituel et à la Chapelle Royale. Le Nisi Dominus fut joué plus d'une quarantaine de fois au Concert Spirituel. La source unique de cette œuvre est sans doute une partition réduite, c'est à dire dont il manque les parties d'alto. La préface propose une étude sur les parties d'alto dans les grands motets de Mondonville, et une argumentation pour démontrer que le Nisi Dominus comportait surement des parties d'alto. Dans la partition, on trouvera une proposition de reconstitution de ces parties d'alto. Le Nisi Dominus a été recréé pour la première fois en 2003 par l'ensemble Le Parnasse français. Cette édition du Centre de musique baroque de Versailles comporte une introduction historique, le texte latin et sa traduction en français, des notes pour l'interprétation, la partition et des notes critiques.

TURQUIE CONTEMPORAINE (Paris, Juin 1891)

Organe de la Jeune Turquie Première année. — N° 5. Lundi, le 1 ier Juin 1891.  Le Pouvoir Personnel du Sultan Abdülhamid II (Critique jeune-Turque de l'autoritarisme du Calife Ottoman (1876-1909) à travers un journal d'opposition qui paraissait à Paris à la fin du XIX e siècle). … suivi d'un article sur son frère ainé, présenté sous des aspects plus sympathiques et dont le malheur est attribué principalement à Abdülhamid II  Mourad V