BIBLIOGRAPHIE Dominique M. Delgrange (original) (raw)
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Genese 4 7 Jean-Marie Delgrange
Le verset m'a paru difficile, et j'avoue avoir paresseusement eu recours à la traduction interlinéaire. Mal m'en a pris! Cela ne m'a guère avancé! Il m'est apparu aussi que pour comprendre, il ne faut pas isoler le verset de son contexte, tout au moins, des versets 4 à 7. Pour autant, ai-je compris? Voici.-français (le plus littéral) : Structure et analyse Il me semble que le verset pourrait se décomposer quatre propositions, toutes introduites par la conjonction ְו. Je fais l'analyse sur cette hypothèse.
Genèse, 1:1 Essai de lecture - Jean-Marie Delgrange
Plus j'y réfléchissais, plus les possibilités semblaient s'ouvrir, un peu comme une pelote de laine, lorsque l'on tire sur le fil... Je n'ai donc aucune prétention à offrir un commentaire ni une lecture autorisée; je me contente surtout d'exposer mes quelques réflexions, avec beaucoup de points d'interrogation. J'ai tenté de faire une lecture mot à mot; elle m' semblé ouvrir quelques pistes pour une lecture de la structure du texte, en partant d'une suggestion émise par Sigal.
Lettres de Mme Du Bocage (1745-1796)
2017
À Pierre-Robert Le Cornier de Cideville À Dieppe, ce samedi 23 juillet 1746 Recevez d'ici, Monsieur, les adieux que je ne vous ai point faits en partant et un tas de remerciements qui ne pourront jamais m'acquitter envers vous. Si vous vous en contentiez, je chercherais à vous avoir de nouvelles obligations afin d'avoir toujours quelque chose à démêler avec vous. Je n'en veux point finir. Comme je ne puis vous servir je veux que vous me soyez utile, enfin [sic] d'entretenir commerce avec vous soit en propos soit par lettre. Si vous voulez me faire plaisir, dites que vous y consentez et que vous avez oublié mes soupçons mal fondés. Les jours obscurcis de nuages Rendent les jours sereins charmants, Ne pouvons-nous sans être amants Ressentir les doux avantages Des tendres éclaircissements ? Et sans suivre tous les usages, Ni les transports de leurs langages, Bâtir sur les bons fondements De nos vrais raccommodements Des liaisons douces et sages, À l'abri des événements. Je m'en flatte, Monsieur, et j'espère que vous voudrez toujours bien m'aider de vos lumières quand vous aurez le temps : je sais que vous avez de quoi l'employer actuellement bien mieux pour vous et pour le public. Travaillez, mais souvenezvous que vous m'avez promis de finir quelque chose, malgré votre goût volage qui vous porte à changer d'objet avant de l'avoir épuisé. Vous m'avez dit que vous voulez envoyer mon poème à M. de Voltaire et à M me Du Châtelet. Je vous prie que ce que vous leur direz de moi ajoute à l'idée qu'il[s] en pourrai[en]t prendre 4. Votre suffrage me sera bien utile si vous envoyez un 4. Ce sera fait : Voltaire et M me Du Châtelet y répondront, par l'intermédiaire de Pierre-Robert Le Cornier de Cideville, dans deux lettres du 19 août 1746. « Je lui en [de son poème] ai fait, quoique très tard, les remerciements les plus sincères. […] J'ai trouvé son poème écrit facilement et avec naturel », écrit Voltaire (D 3450). M me Du Châtelet est plus enthousiaste : « J'ai bien des grâces à vous rendre, monsieur, de l'attention que vous avez eue de me procurer l'ouvrage de M me Du Bocage. Je crois ne pouvoir choisir personne de plus propre que vous, monsieur, pour lui marquer combien j'en ai été contente et combien je suis reconnaissante de ce qu'elle a bien voulu m'en envoyer un exemplaire. Je m'intéresse trop à la gloire de mon sexe pour n'avoir pas pris beaucoup de part LETTRES-195-exemplaire à M. de Nivernais 5. Je vous prie d'écrire dessus : « de la part de M me Du Bocage », ainsi qu'aux autres : ils ne seront pas moins sensibles à votre attention et je crois que cela sera mieux pour moi après tout ce que vous avez fait. Il faut me servir tout à fait. Je remets mes intérêts entre vos mains et ne vous en dis pas davantage. Si vous envoyez un exemplaire à l'abbé de Bernis 6 , je vous prie de lui dire qu'il le prête de ma part chez M me Guichard et de leur dire que je ne leur envoie point parce que cela ne vaut pas la peine de leur envoyer un si gros paquet par la porte. Sans doute que vous avez un autre moyen. Adieu, Monsieur, donnez-moi je vous prie de vos nouvelles. Il y a vingt ans qu'elles m'intéressent. J'en serai encore plus curieuse à l'avenir, et pour toujours. Ms. : Papiers Cideville. Tougard, t. II, p. 79-81. * 4 À Pierre-Robert Le Cornier de Cideville Dieppe, le 20 octobre 1746 Vous me gâtez de toutes les manières, monsieur, par vos cajoleries qui sont fort séduisantes et par celles que vous me débitez sous d'autres noms. S'il y en a quelqu'une de vraie, je remets à votre amitié de soin d'y répondre d'une manière qui soutienne la bonne opinion que vous voulez bien donner de moi. Je ne m'en mêlerai pas de peur de gâter mes affaires, surtout auprès de M. de Fontenelle. Vous avez voulu nous priver de votre agréable société, mais vous n'avez pu nous empêcher de parler de la ressource et de la gaieté de votre imagination, de désirer toujours de vous voir finir quelque chose et encore plus de vous avoir dans le moment avec nous. Je me flatte même que vous y seriez amusé et que vous auriez vu avec plaisir que ma santé est beaucoup meilleure. Je crois que je ne suivrai point votre conseil sur mon départ et que je le différerai de huit jours après les fêtes afin de continuer plus longtemps le lait qui me fait du bien. Je ne puis trop vous dire à quel point j'ai été sensible aux marques d'intérêt que vous à la sienne. / Je suis ravie qu'une Académie fondée dans un pays si rempli de talents et d'esprit ait commencé sa carrière par nous rendre justice. Il faudrait que l'Académie de Rouen fît pour M me Du Bocage ce que l'Institut de Bologne a bien voulu faire pour moi, qu'elle l'agrégeât à son corps, et assurément ce serait à bien meilleur titre » (D 3451). 5. Louis-Jules Mancini-Mazarini, duc de Nivernais, membre de l'Académie française depuis 1742, auteur de fables, de poésies et de traductions en vers. 6. François-Joachim de Pierres, futur cardinal de Bernis, membre de l'Académie française depuis 1744, est alors connu comme homme de lettres. 19. Parue en 1729, la traduction en prose du Paradis perdu par Nicolas-François Dupré de Saint-Maur a été mainte fois rééditée jusqu'au xix e siècle. * 30. Richard-François Talbot, comte de Tyrconnel, rejoindra son poste d'ambassadeur en 1750. La lettre doit donc être datée de 1750 et non de 1760 comme dans Opere.
2017 - Damien Delage - Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Cernin
2021
À la faveur d’un projet de zone commerciale et au sein d’un contexte archéologique dense au lieu-dit Saint-Cernin, une fouille d’archéologie préventive a été prescrite par le SRA. Cette intervention s’est déroulée pendant deux mois et demi au printemps 2017 et a été prolongée de deux semaines en tranches conditionnelles pour la fouille de deux puits.
Mme Dugage de Pommereul (1733-1782)
La Garance voyageuse 126, 2019
écrit en collaboration avec Marc Philippe (Lyon I). Paru dans la Garance voyageuse, revue du Végétal. pour vous abonner voir https://garance-voyageuse.org