Article Maïs à Zounnou (original) (raw)
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Analyse d’ouvrage par Moustafa Zouinar
Activites, 2020
(2018). L'usage des serious games en entreprise : recréation ou instrumentalisation managériale ? Moustafa Zouinar RÉFÉRENCE Lydia Martin (2018). L'usage des serious games en entreprise : re-création ou instrumentalisation managériale ? Éditions Eres. 1 Les serious games ou jeux dits « sérieux » sont désormais mobilisés dans une grande variété de contextes de travail. Ils constituent aujourd'hui un outil de formation parmi d'autres auquel les entreprises ont recours pour « former » leurs salariés. Mais qu'estce qui se joue pour les salariés dans ces jeux lorsqu'ils sont articulés à des objectifs de formation ? Qu'apprennent-ils ? Quel est leur vécu ? Quelles sont les conséquences de la formation par serious game sur le travail réel ? À en croire Lydia Martin, auteure du livre « L'usage des serious games en entreprise. Récréation ou instrumentalisation managériale », qui est le fruit d'une thèse soutenue en 2015, ces questions restaient largement ouvertes dès lors qu'il s'agit d'aborder le travail des managers. Elle nous propose donc de les explorer en tant que psychologue du travail dans le cadre de l'approche clinique du travail. 2 Tout d'abord, dans le premier chapitre, Lydia Martin rappelle les réalités du travail contemporain des cadres-managers. Elle pointe les mutations de ce travail et les conditions économiques et organisationnelles dans lesquelles ils l'exercent, en particulier les exigences toujours plus grandes en termes de réactivité, de qualité, de délai, d'excellence, et d'adaptation à ces exigences (p. 12). Elle souligne les injonctions paradoxales auxquelles ils doivent faire face. Tout en étant encouragés à être autonomes, ils ont aussi à gérer des contraintes (hiérarchiques, temporelles, de production, de performance, etc.) qui, dans les faits de l'activité réelle, réduisent et Analyse d'ouvrage par Moustafa Zouinar Activités, 17-2 | 2020
Article abattis Tsayem-Manusset
Cet article fait le point sur l'agriculture itinérante sur brûlis et les modifications dont elle fait l'objet en Guyane française. L'analyse s'appuie sur une recherche bibliographique et sur une série d'enquêtes effectuées sur le terrain entre 1998 et 2006. L'approche systémique utilisée permet d'aborder les dimensions économiques, socio-culturelles et écologiques de ce système agricole en rappelant ses caractéristiques principales et en relevant les évolutions en cours. La synthèse des données bibliographiques et des observations de terrain montre que cette pratique agricole traditionnelle, appelée abattis, tient une place importante sur les plans social, culturel et écologique, alors que sa fonction économique s'avère essentiellement alimentaire (autoconsommation). Des facteurs démographiques et socio-économiques sous-tendent de plus en plus des modifications dans la conduite des abattis : augmentation des surfaces défrichées, réduction de la durée des jachères, remplacement des abattis par des vergers, etc. Ces modifications amènent à s'interroger sur le devenir de la pratique des abattis car elles ont tendance à limiter la durabilité écologique et socio-culturelle de ce système agricole alors que jusqu'à présent, les abattis semblaient bien inféodés au milieu forestier tout en participant à la cohésion socio-culturelle et en contribuant à la subsistance des communautés locales.
Journal of Applied Biosciences, 2016
Objectif : L'objectif de ce papier est de caractériser les cultivars de maïs et de relever les critères soutenant leur adoption. Méthodologie et résultats : La démarche méthodologique a inclus une séance focus group et des enquêtes avec questionnaire de 80 producteurs de maïs, dont 32 femmes, dans le village Zounnou, centre Bénin. Il se dégage que trois cultivars de maïs sont adoptés par les producteurs. Il s'agit des cultivars Gbadé vôvô, gbadé wéwé et Carder. Gbadé Vôvô est adopté par 97,5% des producteurs, pendant que Gbadé wéwé et Carder sont adoptés respectivement par 75,0 % et 37,5 % des producteurs. Les critères d'adoption des cultivars de maïs sont par ordre de préférence décroissante l'importance du cultivar dans l'alimentation du ménage, la demande sur le marché et la disponibilité des semences. Il s'agit de critères soutenus par la préoccupation de souveraineté alimentaire des ménages et qui amènent les producteurs à protéger une diversité de cultivars. Le critère de rendement élevé n'est pas le plus important à Zounnou. Conclusion et application des résultats: La prise en compte des résultats de cette étude permettra de distinguer les cultivars de maïs à fort potentiel d'adoption dans le village et les communautés similaires en vue de l'adaptation aux changements climatiques par le développement d'une agriculture résiliente, fondée sur l'agrobiodiversité et les écosystèmes.
Bull. Séanc. Acad. R. Sci. Outre-Mer Meded. Zitt. K. Acad. Overzeese Wet2 (2019 – 1): 203-223, 2019
Sustainable Land Management in Mountains and Downstream Risk Mitigation: The Moroccan Case. — The mountain, which covers one quarter of the country’s area, produces most of Morocco’s water. This is due to a high runoff coefficient (27 %). But the mountain uses only a small part of its water production, since it accounts for only one fifth of the irrigated area in Morocco, in addition to a significant delay in terms of rural development, water supply and equipment. The policy of niche products diversification through irrigation extension should mean a stronger deduction on the water that leads to the dams mainly located at the piedmont. Is this additional deduction, in the context of global warming, responsible for more shortage downstream, at a time when the risks of flood, linked to the increase in exceptional events, tend to exaggerate? On the other hand, what can be the regulated water supply potential, if well-distributed and well-targeted actions of sustainable land management in the mountains are applied? And what does the effect of these actions have on the frequency and magnitude of the extreme flood events, which are now devastating on the foothills? The paper explores the ways and levers able to ensure the enhancement and preservation of ecosystem services rendered by the mountain, for the benefit of downstream, from a perspective of spatial symbiosis, through systems of joint up-downstream benefits.
Article sur le qoshnay Trad Mag
Le qoshnay, un instrument au timbre extraordinaire et à la tessiture hors norme Figure : Qoshnay ©Sylvain Roy Le qoshnay est un petit instrument monoxyle d'une vingtaine de centimètre fabriquée dans un roseau identique à l'Arduno Donax. L'instrument est dit monoxyle du fait que les anches sont directement taillées dans l'une des extrémités des deux tuyaux. Comme il s'agit d'anches simples, il rentre dans la famille des clarinettes. Le facteur de qoshnay veille à ce que les deux anches soient parfaitement identiques, elles doivent produire la même note et avoir la même "réponse" ou aptitude mécanique. Les deux tuyaux sont percés de sept trous de jeu placés de manière à produire une échelle diatonique majeure voire chromatique (nous développerons ce point plus bas), dans une tonalité de Ré, mais parfois de Do ou Mi en fonction des besoins. Les trous de jeu doivent être placés au même endroit sur les deux tuyaux. Cette symétrie "parfaite" est indispensable pour obtenir le timbre caractéristique du qoshnay. C'est d'ailleurs de cette exigence que vient le sens du terme ouzbek qosh, qui en français serait traduit par paire. Le terme nay renvoie au nom générique de la famille des instruments à vent (le nay est une flûte traversière, le surnay un hautbois et le carnay une trompe en métal). La forme des trous de jeu est importante, tout comme sur le launeddas de Sardaigne, une autre clarinette en roseau, ils sont carrés. Le facteur Bahodir Bobodjanov de Samarkand a fait l'expérience de placer des trous de jeu arrondis, cela changeait le timbre. Comme sur les anches simples des bourdons de cornemuses, une ligature placée à la base de l'anche permet d'en régler l'ouverture et la hauteur (en terme de fréquence). Cette ligature est composée d'une fine cordelette constituée de plusieurs fils de coton. Au centre de cette cordelette est placé un petit "pompon", il ne s'agit pas d'un élément de décoration, il a pour fonction de maintenir un espace entre les deux tuyaux (afin d'éviter des interférences entre les anches) et d'assurer une étanchéité entre les deux tuyaux et la bouche. Figure : Shavkat Matyakubov jouant du qoshnay. ©Sylvain Roy Le doigté du qoshnay est similaire aux autres clarinettes, plus on bouche de trous, plus les notes sont graves et inversement. Mais la similitude s'arrête là, le qoshnay a deux particularités que nulle autre clarinette ne possède : une tessiture de deux octaves et un timbre extraordinaire. Bien que percé de sept trous de jeu, le qoshnay produit une gamme chromatique sur deux octaves. Les notes de la première octave sont obtenues à partir des sept trous de jeu, les altérations sont obtenues par une pression accrue des lèvres sur les anches. Les notes de la deuxième octave sont produites uniquement par ce jeu de pression avec en plus un infime mouvement de recul des lèvres sur les anches, de manière à en réduire la longueur vibrante ce qui permet d'augmenter la hauteur (en terme de fréquence). Précisons ici que cet instrument ne se joue pas en souffle continue, les joues du musicien sont creuses. Le doigté de la deuxième octave est simple, seul l'indexe qui bouche le trou le plus proche de l'anche est levé. Les autres doigts gardent leur position pour assurer le maintien de l'instrument. Il est fréquent de voir les musiciens constituer une sorte de "chambre" au dessus des deux derniers trous de jeu, constituée par le pouce, l'indexe, le majeur et le bord des lèvres. Elle permet de modifier le timbre des notes de la deuxième octave et donne au qoshnay une ressemblance avec la voix humaine. Les nuances de timbre que produit le qoshany sont étonnantes : proche du jeu de la flûte lorsque joué pianissimo à la première octave et proche de la voix humaine à la deuxième octave, l'instrument est parfois comparé aux pleurs d'une femme. On retrouve partiellement ces nuances de timbre dans le sipsi turc ou le sibizga, ou dilli tuyduk de Transoxiane.
exÅxÜv|xÅxÇàá exÅxÜv|xÅxÇàá exÅxÜv|xÅxÇàá exÅxÜv|xÅxÇàá Les travaux présentés dans ce mémoire ont été réalisés au sein du Laboratoire d'Automatique au département d'électrotechnique de l'université Ferhat Abbas de Sétif. Mes remerciements vont tout premièrement, à Dieu le tout puissant de m'avoir donné le courage, la patience et la force pour réalisé ce travail. Je tiens, avant tout, à exprimer ma profonde gratitude à mon encadreur M r . M. ABDELAZIZ, pour la confiance qu'il m'a prodigué pour la direction et tout l'aide qu'il m'a apporté durant toute la durée de ce travail de recherche. Je tiens à remercier également monsieur le président « M. Khemliche» et les membres du jury « H. Radjeai, B. Sait, F.khaber », tous des maitres de conférences à l'université de Sétif pour avoir accepté d'examiner ce travail et leurs commentaires constructifs. J'adresse aussi mes remerciements à tous mes amis et collègues surtout ceux qui m'ont apportés un soutien moral, patience, une amitié inoubliable et précieuse et son dévouement qui fut particulièrement indispensable. Enfin, je tiens à remercier ma famille pour leurs encouragements et leur soutien inconditionnel. 2 1 , M M Coefficient de surface de glissement.
À propos d’arabo-berbère à Mazouna
Études et Documents Berbères
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Article Houngnibo Juin 2018 Annales FA
Les évaluateurs (referees) sont des scientifiques choisis selon leurs domaines et spécialités. Houngnibo et al. : Vulnérabilité des activités pastorales à la variabilité hydro-climatique et raccourcissement des saisons pluvieuses (effets mineurs ou modérés). 94 % des éleveurs-pasteurs s'adaptent mieux aux risques hausse de températures (extrêmement probable) et raccourcissement de saison pluvieuse (très probable) qu'aux risques de sècheresse, de grandes pluies accompagnées de grandes inondations (probable).