Rupture post-traumatique d’un kyste dermoïde intracrânien : à propos d’une observation (original) (raw)

Fracture pathologique du scaphoïde carpien (kyste synovial intraosseux). Aspect clinique et thérapeutique. À propos d’un cas

Chirurgie de la Main, 2009

Les auteurs rapportent un cas de fracture pathologique du scaphoïde carpien sur kyste synovial intraosseux. Cette lésion géodique qui ne semble pas être aussi rare au niveau du carpe, peut être découverte par hasard ou rarement par des douleurs du poignet, exceptionnellement par une fracture. À notre connaissance, un seul cas de kyste synovial intraosseux du scaphoïde carpien révélé par une fracture a été publié. Le traitement chirurgical souvent efficace de ces tumeurs bénignes, en cas de fracture ou de symptomatologie douloureuse, consiste en un curetage de la lésion suivi d'un comblement par de l'os spongieux à quoi on associe une stabilisation en cas de fracture associée. La prise d'une greffe osseuse vascularisée aux dépens de l'artère transverse antérieure du carpe paraît être une solution parfaitement adaptée à cette chirurgie à la fois pour le traitement de la fracture du scaphoïde et également pour la cure du kyste. Le pronostic reste bon et la récidive est exceptionnelle.

Rupture post traumatique de la membrane de Bruch: à propos d’un cas

Pan African Medical Journal, 2015

Une contusion du globe peut se compliquer de rupture de la membrane de Bruch ou de la choroïde. Cette complication est observée dans 5 à 10% des cas avec une nette prédominance masculine. Nous rapportons l'observation clinique d'un patient de 26 ans, victime d'un traumatisme contusif sévère de l'oeil gauche chez qui l'examen retrouve une rupture de la membrane de bruch au fond d'oeil ; l'evolution spontanné a été marquée par une amélioration visuelle sans complications néovasculaires. Au cours des ruptures post traumatiques de la membrane de bruch le pronostic est essentiellement lié d'une part à sa localisation par rapport à la macula; et d'autre part à la survenue de complications néovasculaires (15 à 30 % des cas).

Kyste dermoïde intraorbitaire. À propos d’une observation et revue de la littérature

Journal Français d'Ophtalmologie, 2013

Kyste dermoïde ; Intraorbitaire ; Imagerie Résumé Les kystes dermoïdes périorbitaires sont des tumeurs bénignes rencontrées le plus souvent pendant la jeune enfance. La localisation intraorbitaire, même si elle est rare, ne doit pas être méconnue. Une imagerie de bonne qualité permet de poser le diagnostic et oriente la voie d'abord chirurgicale. Nous rapportons l'observation d'un kyste dermoïde orbitaire, révélé par une exophtalmie majeure unilatérale droite chez un homme de 46 ans avec une revue de la littérature.

Rupture aiguë post-traumatiquede l’isthme aortique

Journal de Chirurgie, 2008

Rupture aiguë post-traumatique de l'isthme aortique G. Lesèche, J.-M. Alsac, Y. Castier La rupture traumatique de l'isthme aortique est un événement rare, survenant dans un contexte de traumatisme violent avec forte décélération. Pour cette raison, elle s'accompagne fréquemment de lésions associées qui conditionnent le pronostic vital. Ses modalités diagnostiques ont bénéficié de la généralisation des explorations non invasives telles que la tomodensitométrie et l'échocardiographie transoesophagienne. La chirurgie conventionnelle en urgence reste la référence thérapeutique pour les ruptures isthmiques isolées, ou ne s'accompagnant pas de lésion associée sévère, dont le pronostic ne risque pas d'être aggravé par le clampage aortique et l'héparinisation générale. La faisabilité et l'efficacité du traitement endovasculaire réalisé en urgence justifient qu'il soit privilégié par rapport à l'indication plus classique de chirurgie conventionnelle différée, chez les blessés ayant des lésions associées sévères. Toutefois, la connaissance à plus long terme des résultats du traitement endovasculaire conditionne l'élargissement éventuel de ses indications dans cette pathologie d'urgence dont le pro nostic reste grave.

Parcours scolaire après un traumatisme crânien : à propos d'un cas clinique

La nouvelle revue de l'adaptation et de la scolarisation, 2009

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Imagerie d'un kyste dermoïde cérébral rompu dans le ventricule latéral à propos d'une observation

Le kyste dermoïde intracrânien est une tumeur congénitale, qui se développe généralement dans la fosse postérieure, en extra-axial. Sa rupture spontanée représente un événement rare, de diagnostic clinique difficile, nécessitant le recours à l'imagerie. nous rapportons un cas d'un kyste dermoïde cérébral, basi-frontal gauche rompu spontanément dans le ventricule latéral homolatéral, s'est manifesté par une crise épileptique et diagnostiqué parI. Observation : Il s'agit d'une patiente de 43 ans qui consulte pour une crise épileptique secondaire. Une Tomodensitométrie cérébrale a objectivé la présence d'une lésion cérébrale, basi-frontale gauche antérieure, bien limitée, ovalaire de 5,4 x 4, 5cm, densité graisseuse, contenant une calcification en forme de dent et à paroi très fine, calcifiée par endroit. Cette lésion communique largement avec le ventricule latéral homolatéral au niveau de sa corne frontale et venant au contact du toit orbitaire homolatéral. Elle a objectivé également la présence de multiples gouttelettes de densité graisseuse disséminées , en sous arachnoïdiennes, intéressant les sillons, la citerne de la base du crâne et surtout au niveau la corne frontale du ventricule latéral controlatéral avec niveau liquide-graisse et au niveau du quatrième ventricule(voir figures 1). L'IRM a caractérisé cette lésion cérébrale intraparenchymateuse, basi-frontale gauche antérieure , qui est en hypersignal hétérogène T1 , T2 FLAIR et Diffusion, en hypersignal intense T2 , non rehaussée après injection de gadolinium , à paroi fine ,calcifiée par endroit et rehaussée après injection de gadolinium, sans anomalies du parenchyme cérébral adjacent. Cette lésion communique largement avec le ventricule latéral homolatéral au niveau de sa corne frontale, avec mise en évidence des gouttelettes de signal graisseux au niveau de la corne frontale controlatérale et au niveau du quatrième ventricule (voir figure 2).

Pseudo-kyste post-traumatique du radius : lésion rare et bénigne

Journal de Radiologie Diagnostique et Interventionnelle, 2014

Matéo, 2 ans, sans antécédent particulier, s'était présenté aux urgences pour une fracture de l'extrémité inférieure du quart distal des deux os de l'avant-bras droit suite à une chute de sa hauteur (Fig. 1). L'évolution avait été favorable suite à une immobilisation par plâtre brachio-antebrachio-palmaire d'une durée de 45 jours. Toutefois, une radiographie contrôle avait été demandée à 3 mois après la fracture initiale. La radiographie montrait alors des lésions ostéolytiques corticales, à l'emporte-pièce, millimétriques, l'une au niveau de la métaphyse distale du radius et trois autres médio-diaphysaires, sur le même os (Fig. 2). Le patient était asymptomatique et l'examen de l'avant-bras était sans particularité. Une tomodensitométrie de l'avant-bras avait alors été réalisée (Fig. 3).

Les kystes dermoïdes de la fosse cerebrale postereure

African Journal of Neurological Sciences, 2011

Résultas 3 patients ont présenté un syndrome d'hypertension intracrânienne, dont un patient a présenté une méningite récidivante. Tous avaient un sinus dermique. L'IRM a été réalisée dans tous les cas. Tous ont bénéficié d'une exérèse chirurgicale totale et d'une dérivation du LCR par ventriculo-cisternostomie première en urgence dans un cas et par dérivation ventriculo-péritonéale en post-opératoire dans deux cas. L'évolution était satisfaisante sans récidive avec un recul moyen de 3 ans. Conclusion Dans notre série, le KD de la fosse cérébrale postérieure est toujours associé à un sinus dermique et à une hydrocéphalie. La prise en charge repose sur l'exérèse chirurgicale et sur la dérivation du liquide cérébro-spinal.