La Nature, « troisième part » trop souvent oubliée dans la construction d’un être humain (original) (raw)
Related papers
La troisième nature ou la fin des origines
Tumultes, 2010
Distribution électronique Cairn.info pour Éditions Kimé. Distribution électronique Cairn.info pour Éditions Kimé. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-tumultes-2010-1-page-163.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info. * Une première version de cet essai à été présentée à la Maison des Sciences de l'Homme en juin 2004 et publiée sous le titre « Third Nature, or the End of Origins », dans West Coast Line, 50 (2007). L'auteure remercie Sophie Painchault pour son aide apportée à la révision de la traduction.
Le concept de « naturalité » (naturaleza) dans les Sept parties, d’Alphonse X le Sage
e-Spania, 2008
.La meta de este estudio es entender las definiciones que dan del concepto de naturaleza los redactores de las Siete Partidas, de apreciar los cometidos sociales sobre los que descansa la articulación que hacen de dicho concepto con otros, y de dilucidar la manipulación a la que someten la configuración lexico-semántica que forma la palabra naturaleza con sus afines natura y natural.
Naissances de la psychologie: La Nature et l’Esprit
Revue de synthèse, 1994
REsuME : Des sa constitution comme domaine du savoir ala fin du xv! siecle, la psychologie se divise rapidement en deux tendances d'orientation dijferente. La premiere, d'inspiration naturaliste, se situe dans le prolongementdu commentaire de la Physica aristotelicienne et se developpe principalement dans les universites protestantes de Marburg et de Leyde. Dans ces etablissemems 014 regne alors un esprit humaniste, rationaliste et tolerant, se met en place la premiereforme du dualisme de l'ame et du corps. Mais ala meme epoque, dans des cerclesmystiques et hermetistes, se developpe une autre conception de la psychologie dont la methode interpretative s'inspire de l'exegese biblique et met en auvre des precedes therapeutiques, cure d'ame et cure magnetique, qui reposent sur l'influence psychologique.
Parler d'un « retour 2 » de la nature sur la scène artistique, de sa « réinscription 3 », qu'elle soit écologique ou autre, dans l'art, témoigne de la difficulté pour l'imagination environnementale (ou l'écopoétique que je situerai dans une même mouvance), à imaginer autre chose qu'une dichotomie entre art et nature, dont confusément, et de façon paradoxale, elles veulent se défaire. En effet, c'est bien d'un appel au « décentrement » et même à « plus de décentrement » que renvoient les auteurs de « Littérature & écologie : vers une écopoétique 4 ». Comme le dit encore Skinner : « Imaginer des espèces mises en danger est un acte de langage utile ; l'écriture qui décentre assez les configurations habituelles, pour voir qui est en danger, pourrait être plus utile 5 . » Le concept de décentrement -décentrement, par exemple, d'une pensée trop anthropocentrique -semble en effet toucher à l'essence du travail écologique de la littérature dans la mesure où il ne cantonne pas
Article n°3 Peut - on recréer l'humain
L'espèce humaine est la chose la plus essentielle au monde, comme il en est d'une créature parmi tant d'autres, l'ambiguïté s'élève sur la nature même de cette essentialité, l'amour voudrait que l'on comprenne le monde, voire l'existence du raisonner dans le sens que nous propose l'infinité du langage, si à la personne infinie, l'infinitésimalité de l'humain à penser sous l'angle d'un « doit-être là » dont l'aspect quintessenciable de l'amourqui est la résultante de toute chose-montrerait la signifiance. L'humanité entière ne se donne à comprendre que dans ce sillage, l'homme aux yeux éclairés dont l'incorrompu est son propre. Si le péché a donné à la chose pensante une autre définition, même dans les termes nouveaux d'un « je » égaré, l'impensé restera sans peine cette dimension éclairante que l'humain exploite à son profit. Au sens réel de ce concept la question, encore pas moins la place de l'humain dans un macrocosme prônant sa recréation, faisant place à l'impérieuse interrogation, l'humain à l'angle du recréé, soutenable ou inobjectivable. Le mieux qui reste à faire, est de passer à l'exercice. CE QU'ON ENTEND PAR LE CONCEPT « HUMAIN » Si le monde définit l'humain par sa capacité de raisonner, voire son intelligibilité, la Bible le définit en tant qu'être tripartite, il est corps, âme et esprit. La première lettre de Paul aux Thessaloniciens en souligne l'évidence : Que le Dieu de la paix vous conduise lui-même à une sainteté totale et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps, soit conservé irréprochable lors du retour de notre Seigneur Jésus-Christ. Celui qui vous appelle est fidèle, c'est aussi lui qui le fera. (1Th 5. 23 et 24). Chacune de ces parties a une signifiance objectivante, à la personne réelle de l'homme l'esprit, ce qui a conscience d'être, l'âme, sa transitionnalité, cette partie divine qui le relie à l'incréé, à cette enveloppe protectrice, le corps. Si l'humanitude est relative à la posture de l'homme bien pesé, et donc à l'humain, si l'agir que le monde souhaite vivre n'en ait pas moins sa résultante, à l'humain, l'exercice accompli de cette partie immatérielle qui connaisse l'innocuité, l'homme dans sa mesure intérieurement grossi, pesant, se comprenant toujours en termes d'équivocité dans le monde créé, sa nature, ce qu'il y a de plus essentiel dans toutes ses relations éthiques ; il n'a toujours pas besoin de l'homme réel pour vivre son humanitude, capable de prendre conscience de son exister dès son origine il est. Impensable ne l'est pas dans le maintenant.
2022
Je tiens à remercier profondément toute l'équipe de l'association pour m'avoir accueillie, intégrée au sein l'Hirondelle aux Champs. Cette expérience a été avant tout une aventure humaine, où j'ai pu faire de belles rencontres et m'épanouir dans une démarche écologique, au contact direct de la nature. Ensuite, je remercie particulièrement ma tutrice de stage pour sa bienveillance, son accueil chaleureux, sa confiance et son accompagnement lors de mon service civique et de mon mémoire. Je remercie ma directrice de mémoire, Pauline Texier, pour m'avoir guidée sur un sujet que j'apprécie tout particulièrement et pour ses conseils. Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce travail et à mon accompagnement dans celui-ci. A mes enquêtés qui ont donné de leur temps avec plaisir pour m'accorder un entretien. A mes relectrices, ma mère et sa bienveillance, Leila, Margot et Bérénice pour leurs relectures attentives. A celui qui m'a soutenu dans le quotidien du travail de mémoire, Camille. Ainsi qu'à ma famille pour leur soutien, leur amour et la transmission de la passion des plantes. Liste des sigles et acronymes CENH Commission fédérale d'Ethique pour la biotechnologie dans le domaine Non Humain INA Intervention par la Nature et l'Aventure MJC Maison des Jeunes et de la Culture NK Cellules (Natural Killer) : cellules impliquées dans l'immunité humaine RNA Répertoire Nationale des Associations SDES Service des données et études statistiques Auteur inconnu.