Pancréatite aiguë liée à une hémobilie compliquant un carcinome hépatocellulaire (original) (raw)

La toxocarose peut-elle être responsable d’une pancréatite aigue?

Pan African Medical Journal, 2018

La toxocarose humaine est une zoonose parasitaire cosmopolite causée par Toxocara canis et Toxocara catisqui sont des ascarides des chiens et des chats. C'est une affection le plus souvent bénigne. Nous rapportons un cas de pancréatite aigue dans le décours une toxocarose.

La néphropathie aiguë à oxalates en cas de pancréatite chronique

Forum Médical Suisse ‒ Swiss Medical Forum, 2019

La néphropathie chronique à oxalates est une complication connue d'une pancréatite chronique. A l'inverse, la néphropathie aiguë à oxalates est beaucoup trop rarement décrite en rapport avec une pancréatite chronique, mais peut toutefois entraîner une insuffisance rénale aiguë souvent irréversible. Etant donné que les facteurs de risque incluent, outre une atteinte rénale préexistante, des insuffisances prérénales aiguës, l'anamnèse suggestive présente le risque d'établir un diagnostic erroné conditionné par l'étiologie plus fréquente.

Anévrysme de l’artère hépatique révélé par une pancréatite - à propos d’un cas et revue de la littérature

Pan African Medical Journal, 2014

Les anévrysmes de l'artère hépatique sont rares et pourvoyeurs de complications graves. La pancréatite est reste une mode de révélation inhabituel. À travers une observation d'un anévrysme de l'artère hépatique propre et les auteurs font une mise au point sur les anévrysmes de l'artère hépatique, les auteurs discutent le rôle de la chirurgie et le rétablissement du flux hépatique artériel dans le traitement de ces lésions vasculaires.

Association entre pancréatite aigue et hyperparathyroïdie : à propos de deux cas observés à Antananarive

Annales Africaines de Medecine

Acute pancreatitis (AP) associated to the hyperparathyroidism (PHPT) has been rarely reported, particularly from Sub-saharan Africa. So, we aimed to report a case that illustrates interactions between AP and PHPT. The case consists of a 23-year-old woman who developed AP, primary hyperparathyroidism and hypercalcemia. And the second case consists of 30 years old woman who developed AP, secondary hyperparathyroidism and hypocalcemia. AP and hyperparathyroidism were considered unrelated and their coexistence was attributed to independent hypercalcemia and high level of parathormone. La pancréatite aiguë (PA) est rarement associée à l’hyperparathyroïdie, en particulier en Afrique Subsaharienne. Nous rapportons deux cas cliniques épinglant l’interaction possible entre la PA et l’hyperparathyroïdie. Il s’agissait d’une part d’une patiente âgée de 2 ans, présentant une PA et une hyperparathyroïdie primaire associée à une hypercalcémie, et d’autre part une patiente de 30 ans, suivie pour u...

Leucemie aigüe myelo monocytaire à eosinophiles révélée par une pancréatite aigüe

Pan African Medical Journal, 2015

La leucémie aigüe myélomonocytaire à composante éosinophile (LAM4eo) est une hémopathie maligne rare, caractérisée par une prolifération blastique myéloïde avec présence d'une composante monocytaire et des éosinophiles anormaux. Elle est associée à l'inversion du chromosome 16, parfois à sa variante la translocation (16;16).Nous rapportons un cas de LAM4eo chez un patient de sexe masculin âgé de 51 ans, découverte au décours d'un bilan paraclinique pour pancréatite aiguë (PA) confirmée par la TDM. L'hémogramme a montré une hyperleucocytose à 123G/l faite de 60% de blastes, une monocytose à 5 G/L ainsi qu'une lignée éosinophile dystrophique. Le myélogramme a objectivé l'infiltration de la moelle par une population blastique estimée à 61% d'expression hétérogène à la Cytométrie de flux : Des blastes très immatures exprimant fortement les marqueurs CD117 et CD34 ; des blastes prédominants qui expriment les antigènes CD33, CD13, CD65 (myéloblastes). Et une partie des blastes, était positive pour le CD14, CD4, CD11c (monoblastes).Après une exploration étiologique approfondie n'ayant pas pu trouver un lien de cause à effet, l'association entre les deux pathologies a été considérée comme fortuite et la pancréatite a été rattachée à la prise de paroxétine. Le patient a été mis alors en condition, et a été traité par chimiothérapie avec bonne évolution clinique et biologique.