NOTRE-DAME DES 12 ETOILES (original) (raw)

Chapitre 12 gerstle-jbl

Deux types de problèmes sont concernés par les développements qui suivent. Le premier est substantiel et a trait à l'influence politique de la presse écrite sur les comportements politiques ; le second est méthodologique et montre la diversité des démarches empiriques utilisables pour mettre en évidence cette influence tout en plaidant pour leur utilisation complémentaire. Pourquoi porter à nouveau un intérêt à ces questions qui paraissent anciennes ? Principalement pour deux raisons. La première tient au questionnement sur l'obsédante problématique des effets des médias qui taraude la recherche empirique en communication politique depuis Lazarsfeld et à laquelle il est souvent répondu par le mépris, le déni non justifié ou l'emphase médiacratique. Disons le simplement et brutalement, il est absurde de penser que l'information et la communication qui la porte n'ont pas d'effet : ce serait nier d'emblée l'existence même de l'information qui, par définition, est caractérisée par un effet, de type cognitif. L'information est précisément ce qui réduit ou supprime l'incertitude d'un récepteur. C'est un effet de modification de l'état des connaissances, le passage de l'ignorance à la connaissance et donc bien un effet produit par un processus. Ayant dit cela, il reste néanmoins au politiste à montrer comment l'effet cognitif peut être assorti d'un effet de persuasion, de modification des préférences et pas simplement des connaissances, donc à travailler le lien entre cadres de connaissance et cadre de préférence. Et cela sans même évoquer la dimension pragmatique de la communication dont on ne voit pas vraiment à quoi elle se réduit si on retire du raisonnement la notion d'effet : qu'est-ce qu'un performatif sans effet ? La seconde raison de l'attention portée aux deux problèmes de départ tient à l'insuffisance de la recherche empirique consacrée aux relations entre les médias, la presse écrite en particulier, et les comportements politiques entendus au sens large. La recherche quantitative dans le contexte français est notamment très déficitaire, ce qui 1. Le Bohec (J.), Les mythes professionnels des journalistes, Paris, L'Harmattan, 2000, p. 101-105.

Les douze travaux d'HERACLES

et messieurs les Présidents des groupements professionnels des centres universitaires de langues, Chers collègues directeurs, enseignants, enseignants-chercheurs de Franche-Comté, de France et des quatre coins du monde, Après le premier Forum HERACLES qui s'est tenu à l'université fédérale de Rio de Janeiro en avril 2009, il m'est agréable de vous retrouver pour ce 2 è temps fort dans un haut lieu de la dynamique des centres universitaires de langues dans le monde, je veux parler du centre de linguistique appliquée de l'université de Franche-Comté, à Besançon, qui accueille aujourd'hui les représentants de plus de 200 centres universitaires à l'oeuvre sur les cinq continents.

L'ENFANT ET LA COLOMBE

A l'oreille de l'enfant la colombe a dit: «Aime la Vie, en servant Dieu et l'homme aussi, Tels les oiseaux du Paradis tu goûteras Libre et Joyeux le l301Zheur qui ne finit pas. Ton coeur est le miroir où un reflet de Dieu Peut venir un beau jour t'ouvrir un Ciel tout Bleu Le Soleil de l'Amour y brillera sans cesse Si tu ouvres tes bras aux hummcs en détresse. » L'enfant embrassa la colombe et lui dit: « Que tout se fasse en moi comme tu me l'as dit Par ce baiser de Paix tu as ouvert mon coeur A la Source d'En-Haut, unique vrai Bonheur. L'oiseau en s'élançant reprit: «Regarde et voit! Maintenant je te donne le signe de la Voie ! » Et dans un beau ciel bleu, symbole de la Paix, Volait une croix blanche aux ailes déployées.

L'AUTEL DES DOUZE DIEUX

Description L'oeuvre est visible au Musée du Louvre (note 1). Elle est en marbre, provient de Gabies (site de Pantano en Italie, note 2). Son diamètre est de 82,2 cm ; sa hauteur de 36 cm. Sous le plateau des têtes (6 féminines, six/sept masculines), un bandeau circulaire permettrait de dater l'ensemble de l'Olympe d'autour de-2200. Comment comprendre cette œuvre ?

"Unité Didactique n°12

La réforme "Fischler" en 2003 et 2004 1 1. Le point de départ Il n'y avait pas urgence. Il n'y avait ni crise des marchés ni crise budgétaire. Et néanmoins les Ministres de l'Agriculture approuvèrent la plus radicale des réformes de la PAC après la réforme Mac Sharry. Après l'échec politique de la Conférence de Cork, le Commissaire Fischler sut capter les vents favorables et transformer une légère brise en véritable tempête sur la PAC. La raison première pour laquelle la Commission proposa cette réforme fut d'anticiper les prochaines négociations de l'OMC; de permettre à l'Union Européenne d'avoir une attitude offensive; que l'agriculture européenne ne soit plus l'un des obstacles majeurs à un accord commercial international; de sortir la PAC du banc des accusés pour ainsi pouvoir dessiner une Politique Agricole Commune qui nous convienne. Pour pouvoir conserver le maximum possible de protection à la frontière pour notre agriculture, pour pouvoir engranger quelque chose sur le volet dit des "considérations non commerciales", c'est-à-dire entre autres la protection de notre politique de qualité et de nos appellations d'origine, il fallait bouger sur les 2 autres volets classiques de la négociation: le soutien aux exportations et le soutien interne. En ce qui concerne le soutien aux exportations, l'Union Européenne annonça sa volonté de renoncer à toutes ses restitutions à l'exportation dans le cadre d'un accord équilibré sur l'ensemble des soutiens à l'exportation, c'est-à-dire les crédits aux exportations, l'aide alimentaire et les entreprises commerciales d'état ou équivalentes. En ce qui concerne le soutien interne, il fallait s'assurer que notre soutien avait l'impact le plus réduit possible sur les agriculteurs des pays tiers et, en particulier, les agriculteurs pauvres des pays en développement. Une réduction des mesures incluses dans la boîte orange, en premier lieu, mais aussi bleue, était nécessaire. Plus grande sera cette réduction, le plus nos négociateurs auront de marge pour pouvoir défendre l'essentiel. Pour maintenir une activité agricole sur l'ensemble du territoire; pour maintenir une activité économique qui vertèbre le milieu rural; pour permettre que nos producteurs puissent obtenir un revenu digne de la vente de leurs produits sur le marché; pour qu'ils puissent couvrir leurs coûts de production et contribuer à une agriculture et un développement soutenables, le maintien du maximum de préférence communautaire possible est une priorité; la reconnaissance des