Living Lab MACVIA Maladies chroniques (original) (raw)

Vivre et travailler avec une maladie chronique (vih-vhc)

Nouvelle revue de psychosociologie, 2007

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Leucémie myéloïde chronique

médecine/sciences, 2014

Cet article fait partie du numéro thématique publié par médecine/sciences en avril 2014 et intitulé « Microenvironnement tumoral ».

Le Livre Blanc des Living Labs

Umvelt Service Design/Montréal In Vivo, Montréal, 2014

Les décideurs publics ... se familiariseront avec les avantages de l'approche Living Lab et les effets structurants de cette méthodologie à l'échelle d'un territoire. Les investisseurs potentiels dans les projets de Living Lab ... comprendront mieux les modèles d'affaires et les pratiques en termes de gestion de la propriété intellectuelle. Les praticiens en innovation ouverte ... consolideront leur compréhension de ce qui caractérise la méthodologie Living Lab et sauront mieux reconnaître les projets d'innovation qui s'y prêtent. Les porteurs de projets de Living Lab ... découvriront les pratiques d'autres Living Labs et pourront les comparer pour s'en inspirer. Les usagers et citoyens ... pourront s'initier aux concepts et se les approprier de manière à entrer plus facilement en dialogue avec les parties prenantes d'un projet particulier dans lequel ils seraient impliqués.

À Propos Des Maladies Longues et Douloureuses

Mouvements, 2001

Distribution électronique Cairn.info pour La Découverte. © La Découverte. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.

Cephalées chroniques

Feuillets de Radiologie, 2010

Service de neuroradiologie, hôpital des spécialités, CHU Rabat-Salé, îlot 6, immeuble Aguelmane, appartement 4, résidence Assabah, Rabat, Maroc Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Observation Une femme de 56 ans, sans antécédents pathologiques, consulte pour des céphalées chroniques rebelles au traitement médical. L'examen clinique, notamment l'examen neu-rologique, était normal. Une tomodensitométrie (TDM) cérébrale spiralée a été réalisée en coupes axiales (fig. 1A et B), avec reconstructions sagittales (fig. 2) et coronales (fig. 3A et B).

L'expérience intersubjective de la maladie chronique : ces maladies qui tiennent une famille en haleine

2000

La limite de base du modèle biomédical Le modèle biomédical procède de l'application en médecine de la méthode analytique réductionniste des sciences classiques. La croyance directrice présidant à l'élaboration de cette méthodeet sa promesse illusoireporte sur l'idée que l'on réussira à percer le mystère de la réalité et à en acquérir une connaissance claire, distincte et certaine par la dissection progressive de cette réalité en éléments toujours plus petits. L'importation du modèle analytique en médecine s'accompagne d'une décision initiale que nous pouvons illustrer de façon très schématique en ces termes : être malade (avoir mal, se sentir mal, être perturbé ...) se réduit à avoir une maladie, une "entité morbide" à l'intérieur de l'organisme. L'approche médicale doit dès lors suivre le chemin menant de l'homme qui "est mal" et qui vient demander l'aide du médecin aux faits et processus morbides que celui-ci peut identifier dans son corps physique. L'ancien projet "pathologique" institué par la médecine grecque hippocratique (le projet d'un savoir relatif aux souffrances ou aux "passions"-na9qdu vivant) se transforme en une somatologie. Mais cette réduction des na$r à des faits morbides objectifs dans l'organisme implique en outre une modification profonde de l'appréhension du corps lui-même. Comme le résume L. Onnis, le modèle médical est "dominé par la tendance à se focaliser de façon exclusive sur les données biologiquesle corps lui-même étant réduit un objet, à un agrégat d'organes et de fonctions, et se trouvant amputé par-là de son rapport constitutif au monde et aux modalités concrètes de la vie" (Onnis, 1997, p. 24). Le paradigme épistémologique qui, de façon souvent tacite et oubliée, oriente les connaissances et les savoir-faire médicaux a une influence profonde sur la manière dont le médecin, dans son activité clinique quotidienne, approche le patient et le problème qu'il présente. Si l'on se réfère au modèle biomédical, explique Engel, "l'idéal est de trouver aussi vite que possible l'explication la plus simple, de préférence le diagnostic d'une unique maladie, et de considérer tout le reste comme des complications, de l'enduit ou de simples plaintes non relevantes pour la tâche du médecin. Pour le médecin réductionniste, un diagnostic d'infarctus du myocarde suffit à caractériser le problème de M. [XI et à définir la tâche du médecin" (1980, p. 538). Le modèle biomédical comporte un problème de base qui rend compte pour une bonne part du malaise éprouvé, face à la médecine traditionnelle, dans de larges plages de la population, tout comme du malaise que les médecins eux-mêmes peuvent ressentir dans les situations, telles celles de la maladie chronique, face auxquelles leur modèle classique de pensée et d'action les laisse en partie démunis. "L'erreur qui fait de ce modèle un modèle estropié, condense Engel, réside dans le fait qu'il n'inclut pas le patient et ses attributs en tant que personne, en tant qu'être humain" (1980, p. 536). L'approche de l'homme maladeet non du seul fait morbideexige en ce sens, selon Engel, une modification du paradigme scientifique en médecine, c'est-à-dire, pour commencer, une révision critique de la question de savoir comment délimiter le champ propre de la médecine et quelle méthode élaborer pour le connaître et pouvoir y intervenir. 1.1.3 Un paradigme systémique en médecine : le modèle biopsychosocial Pour donner une première idée du sens et de l'exigence qu'il y a à élaborer un nouveau modèledit "systémique"en médecine, Engel souligne le contraste entre la situation du médecin et celle du scientifique de laboratoire : tandis que ce dernier "peut avec une relative impunité extraire et isoler pour une étude séquentielle les composantes d'un tout organisé, le médecin le fait au risque de négliger, voire de léser l'objet de l'étude, le patient" (1980, p. 536). L'objectif de base du paradigme systémique vise précisément à élaborer un cadre conceptuel qui permette d'étudier, suivant un mouvement de va-et-vient dialectique, et les ensembles organisés et les parties qui les composent. cette époque, n'est pourtant pas le port du corset comme tel ou le handicap qui le motive, mais le regard que son père porte sur elle, ainsi que ce qu'elle peut y lire quant à la manière dont son père est affecté par sa maladie : Si mon père me voyait mettre le corset, on sentait, on voyait dans son visage que ça lui faisait mal, qu'il avait de la pitié pour moi, et pour moi, c'était la pire des choses.