Stewart Jackson, The Australian Greens. From Activism to Australia’s Third Party (original) (raw)
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Legitimacy and Political Problem-Solving in 21st Century Australia
Je tiens avant tout à exprimer ma profonde reconnaissance au Professeur Jean-François Gajewski qui a dirigé ce travail doctoral avec rigueur et bienveillance. Ses conseils pertinents et ses encouragements tout au long de la thèse ainsi que ses suggestions et lectures m'ont toujours été d'un très grand secours pour la réalisation de ce travail. Je remercie vivement les Professeurs Pascal Louvet, Peter Wirtz d'avoir accepté de rapporter sur ma thèse. Je remercie également les Professeurs Geneviève Causse et Pierre Chollet d'avoir accepté de participer à mon jury de thèse. Je remercie particulièrement Monsieur Peter Wirtz et les deux rapporteurs anonymes de la revue FCS pour leurs précieuses remarques sur un article extrait du chapitre 2 de ma thèse. Mes remerciements les plus sincères s'adressent à Madame Geneviève Causse qui était ma directrice de mémoire en Master de Recherche et m'a donné le goût de la recherche. Un grand merci à Monsieur Alexis Cellier qui m'a donné beaucoup de conseils pour le traitement des données. Mes remerciements s'adressent également à Monsieur Claude Faure pour son amitié, ses conseils et sa disponibilité. Je remercie sincèrement Monsieur Bertrand Quéré d'avoir accepté de participer à une présoutenance. Ses conseils ont été précieux pour l'amélioration de ce travail. Je tiens à exprimer mes remerciements à Etienne Duchatel, Joël Gondouin et Bernard Boisgard, qui m'ont consacré une partie de leur temps et ont eu la gentillesse de m'aider à améliorer ma thèse. Ma reconnaissance s'adresse aussi à tous les membres de l'IRG. Merci également à mes chères amies Lan Lan Cao et Hong Lei Yang, pour leur écoute et leurs encouragements. Leur soutien moral m'a été d'un grand secours dans les moments difficiles. Enfin, je remercie profondément toute ma famille qui m'a sans cesse soutenue tout au long de cette recherche. Introduction Générale La transparence de l'information revêt un enjeu primordial pour la recherche en finance. Les marchés financiers ont besoin d'informations claires, fiables et régulières pour allouer les capitaux de manière optimale. Dans cette perspective, les régulateurs financiers ont souligné l'importance de la transparence de l'information, notamment après les scandales d'Enron et de WorldCom. Suite à ces événements, des changements législatifs conséquents, tels que la loi Sarbanes-Oxley aux Etats-Unis et la loi de Sécurité Financière (LSF) en France sont intervenus. Les objectifs majeurs ont visé à retrouver la confiance des investisseurs et assurer le bon fonctionnement des marchés de capitaux. En réaction à cet environnement, la communication est devenue pour les sociétés cotées, un enjeu stratégique qui leur permet de gérer la relation avec les investisseurs et de s'approprier la culture de l'entreprise concernée. Une information de bonne qualité et réputée fiable favorise l'appréciation correcte de la valeur de l'entreprise et attire les investisseurs en améliorant l'image de l'entreprise. Parallèlement, le développement d'Internet a mis à disposition des entreprises un outil de communication alternatif et puissant. Par comparaison avec les voies traditionnelles, l'offre d'information par Internet bénéficie de plusieurs avantages : elle est moins coûteuse, plus efficace et plus facile d'accès pour le grand public. C'est pourquoi la réglementation de l'AMF (Autorité des Marchés Financiers), exige des sociétés cotées sur l'Eurolist depuis janvier 2007, la diffusion intégrale de l'information réglementée par voie électronique. La tonalité des annonces financières et la performance future des entreprises La tonalité des annonces financières et la réaction du marché financier Chapitre 1. La politique de communication des entreprises Résumé : Ce chapitre développe une synthèse sur l'offre d'information volontaire et la gouvernance des entreprises françaises cotées. En premier lieu, nous présentons les stratégies de communication financière au travers des objectifs multiples, du choix des cibles et des vecteurs de communication couramment employés. Dans un second temps, nous étudions l'influence de l'environnement juridique sur la publication d'information. Dans cette perspective, nous analysons les lois et les principes relatifs au gouvernement des entreprises en France, en présentant les trois codes de bonne conduite et la loi NRE. Par la suite, nous positionnons nos recherches à partir d'une synthèse des études empiriques existantes sur l'offre d'information volontaire en deux catégories : les études sur le contenu de l'information et celles sur la forme. Enfin, les choix théoriques retenus pour répondre aux différentes recherches empiriques de la thèse sont présentés.
Edward Maille in "Reporterre" about my views on the US Green Party. (In French)
Reporterre, 2024
https://reporterre.net/Etats-Unis-pourquoi-le-Parti-vert-peine-a-percer Aux États-Unis, le Parti vert est le grand défavorisé du système Peu connu, le Parti vert étasunien peine à rivaliser avec les deux poids lourds traditionnels du pays, les Démocrates et les Républicains. En cause notamment : une série d'obstacles institutionnels et médiatiques.
Analysing Political Change beyond the ‘Democratic Backlash’: Uses and Policies of the Past
This section aims at linking the analysis of public policies relative to the past and the political uses of history in countries that underwent a regime change. Dealing with the past is an important stake in every newly established regime that may consider the past both through continuities and breaks (Hodgking and Radstone 2003). By analysing public controversies triggered by these policies of the past, this panel seeks to contribute to the international scholarly debate on the (re)definition of democratic and authoritarian regimes and on the dynamics of political change. In order to go beyond the typological problems raised by terms such as ‘illiberal democracy’ or ‘electoral authoritarianism’ (Schedler 2006; 2013; Börzel, 2015), the section will focus on the boundaries between different regime types and their repertoires of legitimation. It will shed light on regime change through the lens of the policies relative to the past. These policies come in different kinds: transitional justice, construction or destruction of monuments, museums and other symbols of the past, opening or closing archives, rewriting national history, etc. (Gensburger, Lefranc, 2017). The public controversies triggered by these initiatives may reflect the power relations between majority and opposition (Bensussan & al, 2003) or lead to reconfigurations in institutional arenas (Neumayer, 2018). They may also favour the emergence of alternative memories and sometimes protest movements. The analysis of these controversies as well as of the implementation of policies related to the past (Behr, 2015) sheds light on how those in power seek to legitimate themselves and how they deal (or do not deal) with alternative narratives. While there is a vast body of scholarly literature on confronting a ‘painful past’ (Mink, Neumayer, 2007), the historicity of European construction (Déloye, 2006), the Europeanization of memory (Gensburger, Lavabre, 2012) and strategic uses of memory as a resource (Mink, Bonnard, 2010), this panel goes beyond the European frame to take into account different contexts in countries that experienced a regime change or authoritarian periods. While the ‘democratic backlash’ thesis draws on indicators pertaining to political representation and participation and classifies countries as ‘democratic’, ‘authoritarian’ or ‘hybrid’ (Diamond, 2002; Schedler, 2002), we ask how controversies over the past illuminate the relationship between those who govern and the citizens, how a political offer is established and negotiated, and how a sense of political community is fostered. This panel is not limited to the analysis of professionals of politics; it is open to contributions on the engagement of memory entrepreneurs and representatives of professions (academics, journalists…) in the struggles under study, as well as of groups of citizens. This contextualised analysis should allow to refine general approaches on ‘transitions from authoritarian rule’, ‘transitions to democracy’ or the ‘democratic collapse’ (Tomini, 2017). By analysing the links between the policies of memory and the processes of democratisation or democratic decline, the panel brings a worthwhile contribution to the analysis of system transformations in their complexity. Contributions are expected to address one or several of the three following themes: - The evolution of public policies relative to memory linked to the configurations of political fields; the consequences of the opening/closing of archives; attempts to control the work of historians and journalists; how this relates with the dynamics of regime change. - Controversies in the public sphere; confrontations between political schemes relative to the past and citizen initiatives (academics, associations of victims, memory entrepreneurs), international reactions to legislation on the past, etc. - Dynamics of definition and redefinition of the past and the present. Legitimation strategies of rulers; struggles over the interpretation and meaning of a dictatorial past or regime change (references to a national narrative, founding fathers, religion, temporalities of democratisation). The panel welcomes proposals (in English or French) that are empirically robust and grounded in theory, addressing both policies of the past and a regime change and based on single or multiple country case studies. We welcome contributions from various subfields of political science and ask the authors to specify the methodology and fieldwork realised. Abstracts in English or French (800 words max.) must be sent to both panel organisers. Paper proposals must be sent to each of the panel’s conveners before December 12th 2018
Annales. Histoire, Sciences Sociales , 2023
Compte rendu de l'ouvrage de Penny McCall Howard : Environment, Labour and Capitalism at Sea: “Working the Ground” in Scotland, Manchester, Manchester University Press, 2017, 248 p.
En Bretagne et au Pays de Galles comme dans d'autres régions européennes, l'essor des écologistes dans le paysage politique depuis les années 1970 s'est effectué dans un contexte spécifique : la présence de mouvements et formations autonomistes 1 actifs et à l'implantation militante, institutionnelle et électorale non négligeable. Comme nous allons le voir, ces circonstances ont été déterminantes dans le développement du mouvement écologiste, de par les proximités idéologiques entre écologistes et autonomistes, les collaborations entre organisations, mais aussi les débats et clivages suscités par cette coexistence. Bretagne et Pays de Galles présentent cependant deux cas contrastés : tandis qu'au Pays de Galles le Green Party émerge tardivement dans les années 1980 et reste (à ce jour) nettement plus faible que les autonomistes du Plaid Cymru du point de vue électoral, institutionnel et militant, en Bretagne au contraire le mouvement breton associatif et culturel étant dénué d'une forte traduction partisane propre, les écologistes surpassent l'Union démocratique bretonne, principal parti autonomiste, dès le tournant des années 1980. Cette asymétrie des rapports de forces entre les deux régions n'a pas empêché l'existence de relations poussées dans les deux cas mais en a déterminé les contours. Centrée sur l'analyse des débats idéologiques et des relations interpartisanes, cet article se focalise donc sur les formations suivantes : les partis écologistes principaux, Les Verts Bretagne et le Wales Green Party 2 et les partis autonomistes principaux UDB et Plaid Cymru 3 . L'émergence, assez largement concomitante, des partis écologistes et nationalitaires se déroulant au cours des années 1970, nous commencerons donc pour l'essentiel notre analyse à cette date, en accordant une attention particulière au tournant des années 1990, caractérisé par un pic électoral des partis écologistes.