Micrométastases et cancers bronchiques non à petites cellules (original) (raw)
2004, Revue des Maladies Respiratoires
Introduction Non-small cell lung cancer has a poor prognosis, including those with operable, apparently localised, disease. Preoperative staging investigations and histo-pathological analysis are poor at detecting small clusters of tumour cells, particularly in lymph nodes. State of art New methods based on immunohistochemistry, or molecular biology, have been developed to detect these so-called micro-metastases. We present a ten-year review of the literature published on this topic. Perspectives These publications primarily reported on the detection of micro-metastases within mediastinal lymph nodes removed at operation in order to identify patients at risk of recurrence, for whom adjuvant therapy might be offered. Conclusions Lymph node micro-metastases have been demonstrated to be an independent prognostic factor for survival, especially in stage I patients. On the other hand, the presence of bone marrow micro-metastases did not appear to be of significant prognostic value in non-small-cell lung cancer. Finally, the clinical relevance of circulating tumour cells is still debatable, although recent published studies show interesting results.
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Revue des Maladies Respiratoires Actualités
A subgroup of patients suffering from stage IV non-small cell lung cancer is becoming more and more frequently encountered: it comprises patients who present with one single metastasis. If it can be assumed that there is no specific biological phenomenom underlying a single metasasis but a single event captured at a specific moment of time, one cannot avoid the questions of specific details of therapeutic management. The metastatic sites that are open to a multimodal approach are few and aggressive management is generally limited to pulmonary, cerebral or adrenal metastases.It is important to emphasise that this approach requires three closely related conditions: (i) an extensive search for other metastases; (ii) The possibility of local control of the primary tumour, which requires that the node status is less than N2; (iii) the addition of adjuvent chemotherapy. This last recommendation is arguable as it is not based on direct scientific data but deduced, by inference, from a large series of randomised trials of adjuvent chemotherapy. Even though an isolated metastasis from non-small cell lung cancer is probably not a biological entity distinct from the more common multiple metastatic disease, it remains true that its management stretches the limits of treatment and may change the management of all stage IV disease.
Cancer/Radiothérapie, 2002
Le cancer bronchique est la tumeur maligne la plus fréquente, son pronostic est sombre avec un taux de guérison à 5 ans qui est passé de 6 % dans les années 1960 à 15 % seulement dans les années 1990. La chirurgie reste le traitement de référence, mais elle n'est réalisable que pour une petite minorité des patients (environ 25 %). Après chirurgie, le taux de survie n'est que de 25 %, ce qui justifie la recherche actuelle de traitements adjuvants, tant pour le contrôle de la tumeur primitive que de la dissémination métastatique. Dans ce contexte, la chimioradiothérapie prend toute son importance, soit à titre exclusif, pour les patients non opérés (tumeur non résécable ou patient non opérable pour raisons médicales), soit à titre préopératoire. Cette revue rappelle les essais pivots de la chimioradiothérapie exclusive du cancer bronchique non à petites cellules non métastatique. Lorsque la chimioradiothérapie est exclusive, des progrès notables sont observés grâce à l'amélioration des techniques d'irradiation et des drogues disponibles, associés selon des schémas novateurs au prix d'une augmentation des effets secondaires. II semble se confirmer que le schéma d'association concomitante soit optimal, même si des améliorations sont attendues. Il faut aussi compter sur les progrès récents dus à la radiothérapie de conformation, qui fait espérer un nouvel accroissement des résultats.
Radio-chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules de stade III inopérables
2007
L es cancers bronchiques constituent la première cause de décès par cancer tant chez l’homme que chez la femme. Les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) représentent 80 % de tous les cancers, et 40 % des CBNPC sont de stade IIIA ou IIIB inopérables. La radiothérapie seule s’est imposée dans les années 1970 comme supérieure au traitement palliatif dans les cancers bronchiques localement évolués, avec une dose standard de l’ordre de 60 Gy délivrés sur six semaines (1). Néanmoins, les résultats étaient médiocres avec une médiane de survie à moins de un an et des survies à deux ans de l’ordre de 15 à 20 %, et de moins de 5 % à 5 ans (2). Face à ces mauvais résultats, la chimiothérapie a été associée à la radiothérapie. La chimiothérapie peut être réalisée soit de façon séquentielle avec deux modalités chronologiques, en induction avant la radiothérapie, ou en consolidation après la radiothérapie, soit de façon concomitante avec la radiothérapie selon deux modalités de dose...
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