Tinmel, chef-d’œuvre de l’architecture almohade (XIIe siècle), une mosquée toujours inspirante ! (original) (raw)
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THE REINTERPRETATION OF THE AMAZIGH ARCHITECTONIC LANGUAGE VIA CONTEMPORARY MOSQUES IN ALGERIA
International Journal of Human Settlements Vol. 5 Nr. 3 2021, 2021
The various Imazighen dynasties which have followed one another in Algeria mainly the Zirids, Hammadids, Almoravids, Almohads as well as the Hafsids and the Zenet dynasties in particular the Merinids and Zianids, have left a very rich and varied heritage in terms of architectural and architectural elements. Indeed, the Amazigh heritage is considered as an essential source which contributes in the definition of the architectural lexicon of newly built buildings; like the great contemporary Algerian mosques. After the independence of Algeria, the young state needed to display the dominant feature of its architectural identity, of which the realization of a great mosque in Constantine appears as the most sensitive imprint of an identity renaissance that can testify not only to the main religion of the country and the know-how of the people but also a manner of expression of the richness of the local constructive language resulting from the national cultural heritage in particular by the reinterpretation of the architectural and architectural language Amazigh. The result is only the famous Islamic mosque-university Emir Abdelkader of Constantine; a perceptible richly composed masterpiece, remarkable for the harmony of its proportions and the delicacy of its decoration. This eclectic mosque, which has the potential to become the religious heritage of future generations, spills a lot of ink day by day on its identity origin and the cachet of its architecture, which it is considered necessary to evaluate it. To this end, the present analysis of the mosque-university of Constantine in relation to the Amazigh architectural language is essential in order to assess the level of reinterpretation of the elements of the architectural lexicon through this work of worship and culture.
Les recherches actuelles autour de l’architecture dans les provinces maghrébines de l’Empire ottoman consistent dans la plupart des cas en des études qui sont centrées sur les spécificités architecturales des cadres bâtis d’une régence ou d’une autre. Ainsi, rares sont les travaux qui explorent les possibles interférences inter-régionales et qui mettent en exergue la circulation de référents architecturaux d’une province à une autre. Malgré les disparités apparentes dans les trois capitales de ces Régences (Alger, Tripoli et Tunis), leurs études architecturales réciproques soulignent l’appréhension d’éléments stylistiques et esthétiques nouveaux, qui, en s’associant à d’autres d’inspiration locale et ottomane définissent un ensemble architectural cohérent. A l’intersection de l’approche historique et architecturale, notre réflexion porte essentiellement sur le particularisme de l’architecture religieuse de Tripoli à l’époque ottomane, dans laquelle l’influence tunisienne y est prépondérante à partir de la fin du XVIIe siècle. A la lumière de cette constatation, nous essayons dans cet article de mettre en lumière les manifestations qui traduisent cette dynamique d’influence dont les auteurs, souvent anonymes, ont été principalement les artisans, les architectes locaux ou ceux de la Régence de Tunis ; autant de contributeurs qui, à partir du XVIIIe siècle, ont participé au renouvellement progressif du paysage architectural tripolitain.
CAHIERS DU CENTENAIRE DE L'ALGÉRIE VI Art Antique et Art Musulman
En 146 (av. J.-C.) Scipion détruit Carthage. La République Romaine, insoucieuse des aventures lointaines, annexe seulement le nord-est de la Tunisie. Il s'agit non d'une oeuvre de colonisation, mais de l'occupation d'un territoire dont la valeur stratégique est considérable et qu'il serait impolitique de laisser à l'abandon. Rome n'obéit pas encore à sa vocation historique. Elle ne prendra que vers le I er siècle conscience de sa mission. Elle n'a, au début, que d'égoïstes réflexes de défense. Elle forge une armature solide. Avant de civiliser, il faut vivre.
Tout au long de son histoire, l"Algérie s"est maintes fois métamorphosée, épousant à chaque fois, les différentes civilisations qui l"ont gouvernée. Parmi les styles architecturaux qui ont imprégné les villes algériennes, se démarque majestueusement le style néo mauresque.
L’EVALUATION DE LA VALEUR ESTHETIQUE DES MONUMENTS HISTORIQUES Cas de la grande mosquée de Nédroma
2012
Nous tenons à remercier chaleureusement Dieu tous puissant, pour la puissance et la volonté qu'il nous a données. La première personne que je tiens à remercier est mon directeur de recherche, M. OUISSI Med Nabil, pour l'orientation, la confiance, la patience qui ont constitué un apport considérable sans lequel ce travail n'aurait pas pu être mené au bon port. Ainsi, je remercie M. KHATTABI Lahcene pour son co-travail de direction, ses remarques judicieuses, sa disponibilité et sa gentillesse. Je tiens à remercier les membres du jury, M. Abdelkader DJEDID, Mme Souria SALEM ZINAI et M. El-Hadj Ahmed BABA HAMED, pour avoir accepté d'examiner ce travail. Un grand merci à mes collègues : M. Tasfaout Abdellah, Benguella Sonia, Kherbouche Soumia, Didi Ilies et Hamma Walid. Je n'oublie pas le personnel de l'association El-Mouahidia et de la grande mosquée de Nédroma pour leur disponibilité et leur aide. Je tiens à exprimer ma reconnaissance envers M. Khaled BOUDA qui a eu la gentillesse de lire et corriger ce travail. Enfin, j'adresse mes plus sincères remerciements à tous mes proches et amis, qui m'ont toujours soutenu et encouragé au cours de la réalisation de ce mémoire :