Léiomyomatose intravasculaire: une tumeur originale (original) (raw)
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Léiomyome Symplastique Suprarénal de la Veine Cave Inférieure
Annales De Chirurgie Vasculaire, 2009
Nous rapportons un cas de l eiomyome de la veine cave inf erieure, localis e au niveau de la glande surr enale. Une excision en bloc a et e r ealis ee, emportant la glande surr enale droite et le segment de veine cave inf erieure atteint. L'analyse anatomopathologique de la tumeur a r ev el e la pr esence de fibres musculaires lisses et un pl eiomorphisme nucl eaire marqu e, evoquant un l eiomyome symplastique. Ce cas constitue une variante histologique de cette tumeur rare de la veine cave a cellules musculaires lisses.
Léiomyome vésical entraînant la destruction d’un rein
Pan African Medical Journal, 2016
Le léiomyome de la vessie est une tumeur bénigne rare réputée avoir un bon pronostic après traitement chirurgical. Ceci n'est malheureusement pas toujours vrai. Nous rapportons le cas d'une patiente âgée de 33 ans qui a consulté pour des douleurs lombaires droites. Les explorations réalisées ont conclu à une tumeur solide du plancher vésical avec, en amont, un rein droit non fonctionnel et des voies urinaires gauches dilatées. La cystoscopie a objectivé une tumeur solide de la vessie périméatique droite. Des biopsies tumorales ont été faites en même temps qu'une montée de sonde double J gauche. L'étude anatomopathologique a conclu à un léiomyome vésical. Elle a eu une myomectomie par voie transvésicale. Les suites opératoires étaient simples. La patiente a toutefois gardé comme séquelle un rein totalement détruit.
Léiomyosarcome de la veine cave inférieure sous-rénale
Journal de Chirurgie, 2006
Monsieur le Rédacteur, À la suite de la mise au point parue dans votre revue sur les leiomyosarcome (LMS) de la veine cave inférieure (VCI) [1], nous voudrions rapporter un cas de LMS de la VCI sousrénale traité par résection chirurgicale sans reconstruction vasculaire.
Léiomyosarcome pulmonaire primitif révélé par un pneumothorax spontané
Revue de Pneumologie Clinique, 2009
Pneumothorax spontané ; Sarcome pulmonaire ; Léiomyosarcome Résumé Nous rapportons l'observation d'un patient âgé de 57 ans, hospitalisé pour une dyspnée d'effort associée à une toux sèche. La radiographie thoracique montrait un pneumothorax droit avec une opacité paracardiaque droite. Un drainage thoracique était alors réalisé permettant un retour du poumon à la paroi. La tomodensitométrie thoracique révélait une masse médiastinopulmonaire supérieure droite prenant le produit de contraste associée à un épaississement nodulaire de la plèvre. Une biopsie scannoguidée de la masse et des nodules pleuraux concluait à un léiomyosarcome pulmonaire. Le décès survenait un mois après la confirmation diagnostique. Bien que le pneumothorax soit un mode de révélation habituel des métastases pulmonaires des sarcomes, il est exceptionnellement associé aux sarcomes pulmonaires primitifs. Notre observation est la seconde publiée, à notre connaissance, de léiomyosarcome pulmonaire primitif révélé par un pneumothorax.
Léiomyosarcome primitif de l'ovaire en périménarche
Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction, 2007
Primary ovarian leiomyosarcoma is an extremely rare tumor, which is thought to arise predominantly in postmenopausal women. We report the second case in a perimenarchal adolescent. Diagnosis was grounded on light microscopic and histochemical findings. In our case, the treatment was exclusively surgical. As there was no tumoral residue, and according to the low-grade tumor, no adjuvant treatment was performed.
Amylose primitive médiastinale d’aspect pseudotumoral
Pan African Medical Journal, 2015
L'amylose primitive médiastinale isolée est rare et de diagnostic difficile. Nous rapportons l'observation d'un patient âgé de 41 ans ayant présenté une dyspnée et des crachats hémoptoïques. A l'examen physique il n'avait pas d'hypotension orthostatique. Les aires ganglionnaires périphériques étaient libres. La tomodensitométrie thoracique a objectivé un magma d'adénopathies médiastinales réalisant une masse de 45 mm x 60 mm. L'examen anatomopathologique d'une biopsie ganglionnaire guidée par médiastinoscopie a conclut a une amylose médiastinale de type AL. Il n'avait pas d'autres localisations amyloïdes. Un myélome multiple a été éliminé. Le diagnostic d'amylose primitive médiastinale de type AL a été retenu. Le traitement s'est basé sur des cures de Melphalan-prednisone. La chirurgie était évitée vu le risque hémorragique élevé. L'évolution était