LE PESAGE DE à A ZWIEBEL (original) (raw)
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Etudes rurales, 2006
LE « DÉVELOPPEMENT DURABLE » est devenu, au fil des années, un concept incontournable en matière de gestion de l'environnement et d'aménagement du territoire, et ce autant dans les pays industrialisés que dans les pays dits les moins avancés. Si, dans un premier temps, ...
Pour les historiens, l'histoire de JIJEL remonte à quelques 2000 ans. Le nom meme de la cité n'est pas éclairci. Jijel tirerait son nom du berbère «Ighil-Ighil» , de colline en colline ou en se referant à l'antiquité romaine, on a « IGILGILI » de « JILJIL », cercle de pierres sur lequel, la cité s'est construite pour échapper aux invasions venant du Nord.
L'ÉVANGILE DE JEAN, CHAP.I, VERSETS 1 À 6
Parmi les «évangiles chrétiens» qui portent sur l'apparition et l'activité de Jésus le Christ, l'évangile de Jean occupe une position très particulière. D'un côté, "Jean" se passe de bien des particularités, par lesquels les évangiles canoniques contrastent avec l'ensemble des évangiles non-canoniques et d'autres textes, surtout de Naghamadi. Chez Jean, le "curricu-lum" de Jésus est presque omis, en faveur des renvois aux enseignements spécifiques et qui s'accordent aux traditions religieuses et philosophiques beaucoup plus anciennes, voire gnostiques.
LES MYSTÈRES DE LA BÊTE ZOLIENNE
OSTIUM, 2018
The Mysteries of the Zolian Beast Few French writers have pushed the love of animals as far as Emile Zola. To the somewhat Rousseauist eyes of the French writer, the animal is always good and man, animated by a “fraternal tenderness” towards him, has a sacred duty to defend this mute and fragile companion against hunger and cruelty. But where does the human bestiality come from, since we do not keep it from animals? In theory, Zola begins by imputing it to the incompatible “shock of temperaments” (Thérèse Raquin), then he explains it by misery (Germinal) or analysis it as degeneration, a “hereditary crack” (The Human Beast). The article examines in detail how the “bad Beast” works in practice, in Germinal’s text. It proves that the way Zola uses this notion corresponds in fact very vaguely to his own naturalist theories. The Beast is a curious relative of the Christian devil, on the one hand, and of the evil deities of paganism, on the other. Omnipresent and polymorphic, absolutely not “scientific”, contrary to what Zola claims, but very suggestive on the poetic level, the Beast remains one of the most striking metaphors of evil that the ending nineteenth century have invented.
le 08.02.14 | 10h00 | © D. R. Cette fois, la blessure ouverte dans ce «grand corps malade» qu'est devenue l'Algérie a pour nom le M'zab.
2011
Au nord de Beyrouth, le caza de Jbeil fut le théâtre d"une intense compétition électorale au printemps 2009. Le caza faisait partie de ces quelques circonscriptions décrites par les observateurs comme des « clés » du scrutin national. Le suspens électoral y a battu son plein jusque tard dans la nuit du 7 juin. Malgré l"important savoir-faire électoral des candidats et les pronostics de leurs machines rompues au décompte prévisionnel des votes famille par famille, la question du « qui va gagner » restait apparemment largement ouverte, contrairement à nombre d"autres circonscriptions où l"élection était gagnée d"avance, faute de concurrents effectifs ou du fait de l"hégémonie manifeste d"un groupe politique. Les résultats du vote dans cette circonscription, les choix de Jbeil, étaient attendus à plusieurs titres, en particulier du fait de la géographie sociale et communautaire de ce territoire de vote. Le caza de Jbeil, qui est représenté depuis 1960 par deux députés maronites et un député chiite, est un observatoire original des effets du retour à la loi de 1960 en termes de production et de (re)production d"identités politiques communautaires. Avec 78,75% d"électeurs chrétiens, il est souvent présenté comme une circonscription chrétienne. Mais ses 18,82% d"électeurs chiites brouillent sensiblement cela. Cette circonscription n"a jamais été intégrée dans une muhafaza après Taëf, mais simplement associée au caza de Keserwan dans la circonscription du Mont Liban I en 2000 et 2005. Si bien qu"en l"occurrence, et par opposition à ce que l"on peut observer ailleurs, le nouveau découpage territorial de 2009 renforce évidemment le caractère local du vote, mais va aussi à l"inverse du sens des revendications chrétiennes pour le retour au caza. S"il s"agissait pour les leaders maronites d"être plus maîtres de la désignation des représentants chrétiens, à Jbeil le retour au caza rend le vote proportionnellement plus pluri-communautaire qu"il ne l"était à l"échelle du Mont Liban I (le Keserwan est très majoritairement chrétien). Partant, Jbeil fut en 2009 un territoire de compétition électorale combinant des enjeux nationaux et locaux, les seconds ne se réduisant pas aux premiers. 8 « Des candidats indépendants se présentent aux élections se réclamant du 8 et du 14 mars, ou même en dehors des deux groupes. Je compte sur cette pensée indépendante pour gérer la chose publique après le 7 juin. Elle est, également, un besoin non seulement pour le Président mais aussi pour la patrie. Le Président n"a pas besoin d"un bloc parlementaire pour assurer des acquis d"ordre politique », Entretien
ou Comment l'esprit vint à l'homme Personnage double « Contrasté » Le personnage de Jacob-Israël est étonnant car terriblement « contrasté » au point qu'on pourrait se demander s'il n'a pas précisément pour rôle d'incarner cette caractéristique humaine qu'est l'ambigüité. Ou même la versatilité, dira-t-on, si l'on veut asséner un jugement négatif toujours facile à porter quand on connaît le sens de l'Histoire. Mais pour celui qui la fait, ce n'est pas aussi facile notamment quand il faut aller à contre courant des pratiques sociales, se débattre dans des conflits d'intérêt, ou incarner un projet ontologique démesuré, aux allures de destinée, que vous ont légué vos père et grand-père.
J.D. Beazley classe le peintre de Genève dans le Cercle du peintre des Niobides, actif au milieu du Vè siècle av. J.-C. Il lui attribue un nombre limité de vases - trois -, dont l'iconographie, particulièrement intéressante, est l'objet de cette étude.
2014
L’aménagement de la zone artisanale de la Brayelle sur la commune de Cuincy a donné lieu à une opération de fouilles archéologiques préventives menée sur une superficie d'environ 1,7 ha. Menée par la Communauté d'agglomération du Douaisis – Direction de l’archéologie préventive, l’opération se tint du 16 octobre 2012 au 15 avril 2013. Le décapage, qui nécessita l’enlèvement de 0,20 à 0,40 m de terres arables et localement de 0,20 à 0,70 m de colluvions, permit de mettre au jour un total de 458 faits archéologiques. Hormis trois d’entre eux probablement antiques, ils illustrent tous la seule période du second âge du Fer. L’aire des recherches ne permet pas d’entrevoir l’étendue totale de l’occupation protohistorique, qui se poursuit assurément à l’est et au sud-est de la surface décapée. Selon l’estimation la plus optimiste, n’a en effet pu être mise au jour que la moitié du système fossoyé au sein duquel a été implantée la majorité des aménagements. Notons de plus que le comblement des faits n’a livré dans la plupart des cas qu’une quantité très limitée de mobilier. Les travaux agricoles sont une des raisons de l’état d’arasement prononcé des structures. Les vestiges les plus précoces, datés de La Tène ancienne, ont été repérés à l’intérieur de deux portions d’enclos ouverts. L’occupation se caractérise par la présence de probables greniers, associés pour l’un des enclos à un bâtiment quadrangulaire d’une longueur minimale de 13 m pour une largeur de 7 m. Les structures datées de La Tène moyenne et de La Tène finale s'organisent quant à elles dans et autour d’un système de fossés d’enclos inclus dans le probable maillage « parcellaire » général qui apparaît à cette période dans l’ouest douaisien. Les quelques transformations que le système d’enclos subit durant les deux siècles de son utilisation définissent les quatre étapes qui participent de l'évolution continue d’une même occupation. L’un des facteurs qui marque le passage de La Tène ancienne à La Tène moyenne est la reprise des segments de fossés qui délimitaient les anciens espaces de vie par de plus puissants fossés d’enclos qui s’inscrivent dans un système mieux organisé, peut-être même fermé. D’abord ceint par un système à triple fossés au cœur duquel était distingué un espace à vocation artisanale (fosse-atelier : réparation et transformation d’objets métalliques ; fosse d’extraction de matériau), l’espace enclos fut ensuite alternativement protégé par deux, puis à nouveau trois fossés. Ces variations s’accompagnent de l’utilisation ou non comme limite de l’espace de vie du tronçon de fossé voisin de la parcelle d’implantation. Moins représenté qu’à La Tène ancienne, le stockage aérien est accompagné aux étapes suivantes de plusieurs fosses d’ensilage et d’un aménagement circulaire particulier composé d’une légère surélévation de terre entourée d’un fossé. Ces structures liées à une activité agricole étaient le plus souvent à La Tène moyenne et à La tène finale situées sur les marges de l'espace enclos. Cette fois à l'extérieur de l’espace protégé, deux sépultures à crémation ont été mises au jour et datées de 120 à 50 avant J.-C. La fin de l'occupation protohistorique est marqué par le comblement final volontaire mais localisé de portions de fossé, par le non renouvellement des structures linéaires et par l’arrêt de leur entretien (phénomènes réguliers jusqu’à la fin de La Tène finale). Un dernier bâtiment de 33 m² sis dans l'espace qui a été le plus souvent été réservé à l’habitat, est pourtant implanté alors qu’au moins un fossé d’enclos (le plus récent) est d’ores et déjà comblé. Par la suite, le site cesse d’être occupé et les seuls éléments anthropiques postérieurs repérés sur l’espace prescrit sont deux fossés bordiers continus et réguliers d’un chemin probablement antique. L’orientation de ce dernier, qui ne diffère pas de l’axe général des aménagements fossoyés protohistoriques, permettrait de l’inclure aux axes secondaires et perpendiculaires à la voie Arras-Tournai, ou du moins à ceux qui relieraient des occupations antiques connues à proximité (vicus de Lewarde et villa de Courchelettes-Férin par exemple).