HADiT HÀLID B. YAZlD UNE LECTURE DU LIVRE DES AVARES D'AL-GÀHIZ (II (original) (raw)
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NOTICE SUR UN MANUSCRIT DE LA BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE TUNIS : LE GRIMOIRE D’AL-KHWÂRIZMÎ
Actes du 13e colloque maghrébin sur l’histoire des mathématiques arabes, Tunis 2018
Présentation du magnifique manuscrit A-MSS-10081 [ff. 180b-228b].de la Bibliothèque nationale de Tunis (Fonds Ahmadî). Illustré d’images multicolores, ce traité de magie est attribué à un auteur portant le nom d’al-Khwârizmî. A notre connaissance, il n'existe qu'une seule copie connue de ce traité. Nous invitons les spécialistes à l'étudier et à le replacer dans son contexte.
Arabica 69 (2022), p. 477-522
This study aims at understanding the milieu in which the stories of ʿAdī b. Zayd – the “Christian” poet of al-Ḥīra – and his family were produced. We compare the account of ʿAdī’s life found in the Kitāb al-Aġānī with other late antique and medieval historiographical traditions, and analyse it using methods of textual and literary criticism. The results of our analysis lend support to the hypothesis that stories about the poet could have been developed in al-Ḥīra, between 602 and 633 AD, in order to assert the legitimacy of the Banū Ayyūb family, striving to dominate the city. This survey demonstrates the value of the Kitāb al-Aġānī as a witness to the development and transmission of historiographical lore between Christian and Muslim communities of Mesopotamia during the first centuries of Islam. L'étude vise à retracer le milieu de production des histoires de ʿAdī b. Zayd, poète « chrétien » d'al-Ḥīra, et de sa famille, en comparant la version fournie dans le Kitāb al-Aġānī aux autres traditions historiographiques tardo-antiques et médiévales, d'une part, et en soumettant cette version à la critique textuelle et littéraire, d'autre part. Les résultats permettent de défendre l'hypothèse que ces histoires auraient été élaborées à al-Ḥīra, entre 602 et 633 ap. J.-C., afin d'affirmer la légitimité de la famille des Banū Ayyūb à dominer la ville. L'enquête montre aussi que le Kitāb al-Aġānī est un témoin précieux de la circulation de l'information entre milieux chrétiens et musulmans en Mésopotamie durant les premiers siècles de l'islam.
RÉSUMÉ Cet article porte sur deux fêtes traditionnellement liées au monde pastoral et nomade de l'Ouest Algérien : la wa c da de Sid Ahmad Majdûb (daïra d'Asla) et celle de Sidi Yahia (daïra de Sebdou). Organisées en l'honneur de saints locaux, ces manifestations rendent compte tout à la fois des vicissitudes du monde rural des hautes steppes algériennes, des transformations des identités et des rapports sociopolitiques locaux ainsi que des effets des politiques de patrimonialisation de la culture locale. Les populations nomades et pastorales, en Algérie comme ailleurs, se trouvent de plus en plus confrontées aux divers processus de patrimonialisation initiés par les autorités politiques, dans le sillage des recommandations internationales. Aux travers de ces deux exemples nous souhaitons en particulier illustrer l'idée selon laquelle les populations pastorales et nomades savent user et se préserver des actions patrimonialisantes. Avaliable here : http://www.whpress.co.uk/NP/Supp.html
Note sur les "Mémoires" de Md al-Muḫtār w. Bāh
Il est à craindre que les amateurs de pugilat, de règlements de compte à ciel ouvert et de rudes invectives ne puissent trouver leur « bête égarée » (ḍālla), comme on dit en arabe, dans ce récit de vie plein de (més)aventures et de rebondissements. L'auteur, homme d'une longue expérience aux multiples dimensions diplomatiques, est un fin lettré, issu d'une prestigieuse lignée de savants, qui a sans doute appris dès le berceau, auprès d'une mère vénérée de l'illustre qabīla des Awlād Daymānréputés chez tous les hassanophones pour leur flegme légendaire et leur habileté à manier oxymores et litotesla maxime, très diplomatique, qui enseigne que si le mensonge est prohibé, la vérité est indicible (al-kiḏb ḥrām yaġayr al-ḥagg mā yingāl). La vision essentiellement positive, sinon oecuménique, du monde qui se dégage de ce bel ouvrage et l'infinie bonté dont il fait preuve à l'égard de personnalités à la bonté controverséene nommons personne…susciteront peut-être aussi quelque réticence parmi les tenants de l'idée hégéliano-marxienne selon laquelle «l'histoire avance par ses mauvais côtés ». Et il est également permis de s'interroger sur ce qu'en dirait quelque lecteur de Paul Valéry, qui se demandait naguère, avec un brin d'inquiétude borgésienne : « Que serions-nous donc sans le secours de ce qui n'existe pas ? ».
Littérature et taṭfīl: sur un ouvrage erronément attribué à Ibn al-Gawzī,
« QSA » 20-21 (2002-2003), pp. 53-62
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