De Vittorio Pica à Antonio Maraini, modernité et place de la France à la Biennale de Venise dans les années 1920. ArtItalies n°21, septembre 2015, p. 43-49. (original) (raw)

R. Cioffi, "Jean-Baptiste Wicar, directeur de l'Académie des Beaux-Arts de Naples (1806-1809), et l'importation du style néoclassique francais"

"Le royaume de Naples à l'heure française. Revisiter l'histoire du decennio francese (1806-1815)", a cura di P.-M. Delpu, I. Moullier, M. Traversier, Villeneuve d'Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2018, pp. 307-320.

Gian Lorenzo Bernini et Jean Warin, les portraits de Louis XIV: une compétition au service du pouvoir in La sculpture au service du pouvoir dans l'Europe de l'Époque moderne, a cura di Sabine Frommel e Pawel Migasiewicz, Campisano Editore, Roma 2020, p. 167-182

2020

During the reign of Louis XIV the arts were used systematically as instruments of modern political propaganda. The objective of this work is to understand what kind of message is given to the two marble portraits of Louis XIV, one, created by Bernin from June to October 1665, and the other, almost contemporary, produced by Jean Warin. The former had a remarkable critical fortune as an iconic masterpiece of the Baroque style. In contrast, Warin's bust was less studied, although it is generally mentioned in contemporary chronicles as the optimal result of French national art, in comparison or in opposition to the bust of the Italian Bernini. The study focuses on the portrait "from nature" of Bernini and the "ideal" icon of Warin; Louis XIV in 1665 and the resemblance "in the noble and the great"; the presentation of busts of Louis XIV, as a new competition. Sous le règne de Louis XIV les arts sont utilisés systématiquement comme instruments d’une propagande politique moderne. L’objectif de ce travail est de comprendre quel genre de message est confié aux deux portraits en marbre de Louis XIV, l’un, élaboré par Bernin du juin à octobre 1665, et l’autre, presque contemporain, réalisé par Jean Warin. Le premier a eu une fortune critique remarquable, en tant que chefd’oeuvre iconique du style baroque . En revanche, le buste de Warin a été moins étudié, bien qu’il soit généralement mentionné dans les chroniques des contemporains comme le résultat optimal de l’art national français, en comparaison ou en opposition avec le buste de l’Italien Bernin. L’étude se focalise sur le portrait « d’après nature » du Bernin et l’icône « idéale » de Warin; Louis XIV en 1665 et la ressemblance « dans le noble et dans le grand »; La présentation des bustes de Louis XIV, une compétition nouvelle.

“L’école napolitaine de peinture et les voyageurs français aux XVIIe et XVIIIe siècles”, dans L’âge d’or de la peinture à Naples de Ribera à Giordano, sous la dir. de M. Hilaire et N. Spinosa, Montpellier, musée Fabre, 20 juin-11 octobre 2015, Paris, Lienart, 2015, p, 334-349.

Anne Cartier-Bresson, Monica Maffioli, Vu d’Italie 1841-1941, cat. exp., Paris, Pavillon des arts, éd. Alinari, 2004, 224 p., 200 ill.Arturo Carlo Quintavalle, Gli Alinari, Florence, éd. Alinari, 2003, 608 p., 1000 ill. C. H. Favrod, Il Mediterraneo dei fotografi, passato et presente, cat. exp., ...

Etudes Photographiques, 2005