Tourism and development in mountain regions: P.M. Godde, M.F. Price and F.M. Zimmermann (Eds.); CABI Publishing, Oxon, 2000, ISBN 0 85199 391 5 (hb) (original) (raw)

Tourism Development in Low Mountain Ranges

Studies on Leisure and Tourism Research, edited by Hans Hopfinger, Andreas Kagermeier und Monika Rulle, Volume 3. Andreas Kagermeier und Joachim Willms (Eds.): Tourism Development in Low Mountain Ranges, 2010, Verlag Metagis-Systems, Mannheim

Emergence of mountain-based adventure tourism

Annals of Tourism Research, 2003

Mountains are attractive as tourism destinations. Mountaineering is a long established adventure sport predicated on physical activity, challenge, and risk-taking. It has been, hitherto, the preserve of an experienced elite whose approach is epitomized by self-reliance and independent operation in such destinations. Social boundaries separating mountaineers from tourists are becoming blurred. Existing tourist theory fails to capture the subtleties of emergent mountain-based tourism. Adventure tourism has accelerated a discernible move towards the commodification of mountains. Evidence suggests a dilution of the essential ingredients of “being a mountaineer” as a result of a democratization process facilitated by the arrival of some urban characteristics in wild mountain regions.La naissance du tourisme d’aventure basé sur la montagne. La montagne est une destination touristique attrayante. L’alpinisme est un sport d’aventure qui est établi depuis longtemps et qui est fondé sur l’activité physique, le défi et le risque. Jusqu’ici, ce sport a été le domaine d’une élite expérimentée dont l’approche est la parfaite illustration de l’autonomie et de l’activité indépendante à la montagne. Les limites sociales qui séparent les alpinistes des touristes deviennent floues. Les théories existantes du tourisme ne parviennent pas à capter les subtilités de la naissance du tourisme basé sur la montagne. Le tourisme d’aventure a accéléré un mouvement perceptible vers la commodification de la montagne. L’évidence suggère une dilution des éléments essentiels « d’être alpiniste » comme résultat d’un processus de démocratisation qui est facilité par l’arrivée de quelques caractéristiques urbaines dans des régions montagneuses sauvages