Le site historique de Gare Maritime (Basse-Terre, Guadeloupe) : identification des activités commerciales par l'archéozoologie (original) (raw)
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Etude analytique des décors céramiques du site de la Gare Maritime, Basse-Terre, Guadeloupe
in BERARD B. et C. LOSIER (dir.), (2014) –Archéologie Caraïbe, Taboui n°2, AIHP/GEODE, Université des Antilles et de la Guyane, Sidestone Press academic, Leiden, pp. 303-320, 2014
In 2006, an INRAP team led by T. Romon proceeded to search the Amerindian dump of the Gare Maritime in Basse-Terre. An important collection of ceramics there was discovered and then examined by Mr Hildebrand. The results made possible to assign the occupation to subseries of old huecan and Cedrosan Saladoid. As part of a master’s degree research in archaeology, a study of sets of this pottery was considered a new approach. The latter, inspired by an analysis of J. Van Berg on the Rubannée ceramics, can be called structural. Indeed, the search for elementary motifs in this type of decoration, said abstract, can reconstruct it by studying how the motifs fit together. We can compare the motifs to a panel of vocabulary, which combine according to rules of "grammar" defined. This method thus relies on a precise statistical analysis that highlights the combinatorial rules by inserting an additional factor: that of the various decorating techniques (etching, engraving, painting, modelling). These rules can be translated simply by notions of "presence / absence" or by incorporating a notion of frequency depending on the level of complexity of the decoration. This is the number of motifs creating the set. We call this the set of one or two motifs for simple associations or of four or five motifs for complex sets. The objective of this study is to express an early hypothesis, which would tend to reveal the existence or not of a specific hierarchy of elementary motifs depending on various factors such as complexity of the set or the technique used in both huecan and Cedrosan subseries.
À Benoît Bérard, qui m'a encadré tout au long de la réalisation de ce mémoire. Je lui suis reconnaissante de m'avoir guidé vers ce vaste et complexe sujet d'étude, qu'est la période postsaladoïde et de m'avoir apporté les repères bibliographiques et méthodologiques indispensables. À Patrice Lecoq et à Brigitte Faugère, qui, bien que m'ayant suivi de loin, m'ont apporté leurs conseils méthodologiques, sur la forme et l'organisation des idées de ce mémoire. À Anne-Marie Fourteau et Christian Stouvenot, pour avoir mis à ma disposition le mobilier et les données relatives à la collection céramique de Roseau. Et à Gérard Richard, pour m'avoir transmis la documentation nécessaire, fruit de ses travaux sur ce site de Roseau. À Isabelle Gabriel et Susana Guimarães, pour m'avoir accueilli au dépôt archéologique du Moule, et avoir été mes soutiens logistiques et moraux lors de mon séjour en Guadeloupe. Leur présence, leur générosité et leur sympathie ont fortement contribué à l'étude de ces milliers de tessons.
Archéologie historique en Guadeloupe. Une autre approche du passé antillais
Bulletin de la Société d'Histoire de la Guadeloupe, 2001
Archéologie historique en Guadeloupe. Une autre approche du passé antillais par André Delpuech conservateur en chef du patrimoine « Notre paysage est son propre monument : la trace qu'il signifie est repérable par en dessous. C est tout histoire ». E. Glissant (Le discours antillais).
1987
Deux photographies se sont glissées par erreur dans la plaquette B la place de celles prévues. Nous vous . prions de bien vouloir nous en excuser :
Sofala : d’un pôle commercial swahili d’envergure vers un site archéologique identifié ?
2018
Sofala, la ville de l’or, est consideree dans l’historiographie comme une ville d’envergure du systeme commercial de l’ocean Indien. Pourtant nous savons finalement tres peu de chose sur ce toponyme, et les sources s’y rapportant sont parcellaires et indirectes. Les portugais y construisent un fort des 1505, attires par sa reputation seculaire. Les sources arabo-musulmanes la mentionnent en effet depuis le Xe et les cartes la placent depuis le XIIe. En reprenant les grandes sources arabo-musulmanes, nous essayons de faire l’histoire de ce toponyme qui designe alternativement un pays au sud de la cote des Zanjs, une ville commerciale et une serie de comptoirs commerciaux. Dans ce memoire nous essayons de donner une consistance a ce toponyme et spatialiser le maximum d’informations dans la mesure du possible. Car Sofala, aussi importante qu’elle soit, n’a jamais ete identifiee a un site. Nous essayons d’apporter une approche historique de traitement des sources documentaires, mais ega...