ANALYSE PETROGRAPHIQUE ET SEDIMENTOLOGIQUE DE L'ALBIEN D'AIN MIMOUN, KHENCHELA,(NORD-EST ALGERIE) (original) (raw)
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DÉFICIT EN EAU POTABLE DANS LE DISTRICT AUTONOME D'ABIDJAN
L’eau est source de vie. Sa disponibilité et sa gestion optimale sont le préalable à tout bien-être économique et social. La Côte d’Ivoire, qui dispose d’un vaste réseau hydrographique, a mené de longue date une politique prometteuse dans le secteur. Nonobstant, les populations souffrent d’un déficit d’approvisionnement récurrent ces dernières années. La situation du District autonome d’Abidjan est à cet égard préoccupante. Au-delà des solutions actuellement mises en œuvre, la réflexion devra s’orienter de plus en plus vers une gestion plus écologique de la ressource qui passe par un aménagement optimal de l’espace urbain abidjanais.
The present work is a contribution to the characterization of agricultural soils in the region of Oulja (Sahel Doukkala) between Sidi Abed and Oulad Ghanem. This region is considered as a very important agricultural center, known nationally for its high potential of maraichere culture. However, once the plots are destined to these last, they know a significant regression, probably related to changes in soil quality. Therefore, a sampling compaign was done in October 2014 in three stations, in order to evaluate the agronomic quality of soil in the region. Soil quality has been appreciated through some physical and chemical indicators to know: pH, organic matter, calcium carbonates and structural stability in dry and in water. Results indicate that the pH is basic with grades ranging from 8.2 to 8.4 on average, calcium carbonate rates are high in the various stations and greatly exceed 23%, organic matter contents ranging on average of 2.5% to 4.11%, rate of unstable aggregation in water remains below 30%.
Nous avons développé des modèles pour évaluer les menaces naturelles principales auxquelles est exposé Delmas 32. La menace sismique, la menace d’inondation et la menace d’instabilité des pentes ont été retenues comme celles qui pourraient affecter le plus le quartier, surtout en tenant compte des caractéristiques du terrain et des conditions de vulnérabilité présentes. En apparence et suivant les donnés disponibles, la liquéfaction des sols sableux ne parait pas plausible de se matérialiser de manière importante. Tous nos commentaires et déductions sur l’instabilité des pentes sont générés à partir d’observations géologiques-géotechniques en surface. Il faudra les vérifier au moyen d’études spécifiques de terrain en profondeur (i.e. sondages carottées, SPT, résistivité électrique, sismique de réfraction, essais de laboratoire, calculs, etc.). De ceci et à partir de l’observation des affleurements dans les berges des ravines, nous avons constaté que la verticalité de leur falaises est directement liée au degré élevé de résistance au cisaillement des conglomérats qui les constituent. L’absence de nappe phréatique dans la couche supérieure des conglomérats favorise le maintien des pentes. Par contre, les couches d’argilite bien que de faible plasticité et relativement peu sensibles à l’eau et donc que leur résistance ne soit pas susceptible de subir de fortes chutes dues à la saturation. Cependant, elles sont fissiles et après plusieurs cycles d’humidification-dessiccation, elles deviennent susceptibles à l’érosion. Une condition critique à considérer est le cas de la zone affecté par le macro-glissement de terrain qui s’est produit en 1989 au sud du quartier de Delmas 32 (voir chapitre 3.2.2) et en partie causé par le mouvement d’un remblai mal compacté et qui aujourd’hui se trouve très densément peuple. Il existe une couche d’argile riche en montmorillonite, qui, lorsque saturée par une nappe phréatique pérenne se caractérise par une faible résistance au cisaillement. Celle-ci a été vraisemblablement à l’origine du macro-glissement de Delmas 32 de 1989. À cause de l’ampleur et de la forte densité des constructions actuelles, il n’est pas possible d’évaluer le degré d’activité, le taux de mouvement ni la possibilité d’une réactivation soudaine de ce mouvement de terrain. Le seul moyen de diagnostiquer la probabilité de reprise des mouvements serait issu d’une campagne d’études géotechniques, hydrogéologiques et géophysiques permettant de modéliser la masse glissante et ses propriétés mécaniques et hydrauliques. Ce macro-glissement n’est pas analysable avec la méthodologie Mora-Vahrson, qui vise plutôt à la potentialité du développement de glissements de plus petite échelle. Les analyses de stabilité géotechnique des pentes réalisées confirment les observations de terrain, à l’effet que les pentes sub-verticales des ravines sont assez stables à court terme, pourvu que l’activité humaine n’engendre pas des changements radicaux dans la condition du terrain. Cependant, les écoulements torrentiels à haut débit d’énergie dans les ravines, continueront à se présenter chaque fois que les pluies dépasseront une cinquantaine de millimètres par heure. Dans ces conditions, il faudrait envisager que les talus des ravines seront continuellement minés et à long terme ils peuvent devenir instables si aucune protection hydraulique adéquate contre l’érosion n’est assurée: d’une part au pied par le courant des rivières et d’autre part sur les crêtes contre le ruissellement de surface, au moyen de fossés de drainage et d’assainissement et en réparant les fuites des tuyauteries d’aqueducs pour éviter des écoulement qui se jettent sur les pentes et l’humidifient les terrains. Les méthodes de prévention et mitigation qui s’imposent dans ces zones exposées consistent essentiellement à améliorer le drainage pour éviter leur infiltration dans le sol: i) drainage des eaux de pluie au moyen de fossés d’assainissement pour éviter les stagnations; ii) canalisation des eaux usées qui sont actuellement rejetées directement sur les talus; iii) drainage souterrain en cas de présence de nappes phréatiques. Pour vérifier la stabilité générale des pentes, à long terme il faudrait réaliser, pour chaque endroit en particulier, des analyses de stabilité spécifiques. La vérification des conditions de stabilité et ses facteurs de sécurité peuvent être réalisés par des exercices de retro-calcul et de sensibilité paramétrique au moyen des logiciels tels que STABL®, SLOPE/W 2007®, ou autres. Il est clair que la fiabilité des résultats de ces calculs sera fonction de la qualité de la prospection géotechnique respective (reconnaissances de terrain, sondages, analyses de laboratoire, etc.). Les études hydrologiques et hydraulique menés jusqu’à présent ont permis de produire des scénarios et modélisations déterministes des zones inondables, au moyen des logiciels HECRAS et HECHMS. Il a été possible aussi de réaliser des zonages préliminaires de la menace d’inondation à Delmas 32. Dans le cas de la menace d’inondation, il est à considérer le fait que l’abondance et le manque de contrôle des déchets solides, mise à part les considérations environnementales évidentes et graves, constitue un problème majeur de multiplication et d’aggravation de la menace d’inondation, surtout à cause de leur influence dans les systèmes de drainage en général. Dans les étapes futures d’étude, il faudra considérer trois scénarios d’analyse supplémentaires: i) Situation actuelle avec blocage par des déchets solides dans le système de drainage primaire et sous les ponts; ii) Situation avec les structures actuelles, sans blocage par des déchets solides; iii) Situation avec les structures actuelles redimensionnées et sans déchets solides. Ces scénarios doivent s’accompagner de guides pour la conception des mesures structurelles et non-structurelles, la relocalisation des bâtiments qui se trouvent dans les zones inondables et le redimensionnement des structures hydrauliques à capacité hydraulique insuffisante. Il faut aussi envisager d’interdire la réoccupation dans des zones inondables, gérer les déchets solides et d’implanter des programmes d’éducation et de gestion du risque pour diminuer la vulnérabilité face aux inondations. Par superposition des informations correspondantes à l’exposition des enjeux aux menaces naturelles, il a été possible de construire des cartes préliminaires où l’on peut identifier les niveaux combinés des menaces de glissement et d’inondation. Par convention, nous avons établit les indicatifs suivants sur nos fichiers SIG: • Glissement = G (identifié par la méthode Mora-Vahrson) • Inondation = I (suivant les modèles HEC)
Journal of The Israël Prehistoric Society. vol 31. pp.43-184., 2001
The sedimentological and biostratigraphic study of Upper Cretaceous in the region of Imin'Tanout allowed to individualize three differents senonians formations: The dolomitic limestone and marl formation of Anou-nfeg of Coniacien age, the dolomitic formation of Ait Abbes of Santonian age and the phosphatic formation of Maastrichtian age. The first formation is formed in an environment of internal platform in communication with the wide passing a coastal environment with continental influences. The second formation characterizes a tidal internal platform passing an environment of sebkha type, affected by marine incursions. The last formation is transgressive and marks the return of the sea, in a hot and arid climate.
Cette étude vise à approfondir les connaissances sur l'évolution des bioclimats dans les villes du littoral béninois au Bénin. Pour ce faire, cette étude a été menée à l'aide des méthodes de statistiques descriptives, et de calcul d'indice bioclimatique (UTCI). Les données utilisées sont les données météorologiques (pluie, température, humidité relative, insolation et vent) à l'échelle mensuelle. Les résultats de cette étude montrent que la tendance générale des ambiances bioclimatiques sur la période 1971-2010 est à l'inconfort, malgré quelques fluctuations. Les mois caractérisés par le plus d'inconfort sont les mois d'avril, mai et juin. A contrario, les mois d'harmattan (janvier, février, décembre) sont les mois caractérisés par un certain confort. Parallèlement, quatre types de temps bioclimatiques ont été déterminés : le temps Frais et Ensoleillé, le temps Chaud et Lourd, le temps Pluvieux et le beau temps avec bref épisode pluvieux. La comparais...
Résumé : La région de Sidi Abdalwahd est située dans la Haute Moulouya, à environ 3 km au NE de Mibladane. Elle occupe la partie SE de la boutonnière paléozoïque de Mibladane-Ahouli. L’établissement de la carte géologique met en évidence un substratum géologique avec des formations variées qui vont du Paléozoïque au Jurassique. Ces terrains sont coiffés par des dépôts quaternaires à actuels. Les dépôts actuels sont composés de matériaux détritiques. Ils correspondent à des dépôts de pente, d’épandages de cônes de déjection et⁄ou de fond de vallée. Ces dépôts se sont mis en place par des éboulements et écoulements intermittents, diffus à concentrés de type torrentiel. Les dépôts quaternaires se présentent sous forme de trois terrasses (T3, T2 et T1) étagées à emboîtées. Ces dépôts ont été mis en place par des écoulements généralement intermittents et de type torrentiels dans des conditions bioclimatiques comparables aux conditions actuelles. Ces dépôts ont enregistré des manifestations néotectoniques qui se sont exprimées par des diaclases, des failles et des basculements des couches des dépôts de la terrasse la plus ancienne (Terrasse T1). Le réseau de la fracturation a joué un rôle déterminant dans la configuration du réseau hydrographique actuel et le tracé de la vallée actuelle de l’Oued Bou Salloum, Mots clés : Dépôts quaternaires, géomorphologie, lithostratigraphie, sédimentologie, néotectonique, Oued Bou Salloum, Mibladane, Haute Moulouya, Maroc.
RÉSUMÉ Des déblais de trois forages implantés à Abidjan (Adjamé-Yopougon-Abobo) ont fait l'objet d'études sédimentologiques (analyse lithologique, granulométrique, morphoscopique et stratigraphique) dans ce travail. Ces études visent à identifier l'origine de ces sédiments et de préciser les facteurs et les mécanismes de leur transport et de leur dépôt au cours du Tertiaire. Après une description lithologique de chaque échantillon, les fractions sableuses ont été traités selon les procédés classiques de granulométrie et les paramètres sont calculés et interprétés. Dans la zone d'étude, les sédiments sont essentiellement argileux et sableux. Les sables sont anguleux à subanguleux, très grossiers, assez bien à mal classés, présentant une asymétrie vers les éléments grossiers et fins selon les intervalles ainsi qu'une symétrie granulométrique. Les paramètres granulométriques indiquent une évolution sigmoïde, traduisant une origine fluviatile ou de dune de dépôts accumulés selon un mode de transport dominé par la saltation. La prédominance des grains luisants, subarrondis à arrondis traduit un transport en milieu aquatique sur une distance relativement longue dans un environnement de dépôt de type rivière et de dune côtière. ABSTRACT Cuttings from holes (3) drilled in Abidjan (Adjamé-Yopougon-Abobo) areas were subject to sedimentological studies (lithological, particle size and morphoscopic analysis) in this work. These studies aim to identify the origin of these sediments and factors and processes involved in their transport and deposition during Tertiary times. After